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lieux communs (et autres fadaises)
30 septembre 2005

grasse mat'

Hmmmm... le plaisir de se réveiller à 6h, comme d'hab, de surfer un peu, comme d'hab, puis de retourner se coucher un peu plus tard, en entendant en bas le portail de l'école qui fait klonk klonk chaque fois que quelqu'un entre, oui être au lit bien au chaud, demis rêves vagues et agréables, et n'en éprouver aucune culpabilité... Rouvert l'oeil à 9h30... J'étais censé me mettre à RANGER furieusement fébrilement et méthodiquement MAIS n'étant pas d'accord avec moi même sur le modus operandi autant que sur la tenue vestimentaire la plus adéquate (pour les spécialistes : plutôt en baskets ou en chaussons ? faudrait mettre cette problématique au programme de l'agreg' de philo...) bref j'ai tergiversé et finalement suis retourné surfer encore un peu (...)
(Quand je mets "(...)" (comme Georges Perec dans La boutique obscure), c'est que j'omets sciemment de vous raconter quelque chose.) C'est comme ça vous n'y pouvez rien -remarquez, je pourrais omettre de vous raconter et ne pas mettre (...) ce que j'ai déjà fait maintes fois, sinon, ce blog deviendrait vite A la recherche du temps perdu, par le volume représenté surtout- mais c'est encore mieux quand je vous le dis je trouve... un peu frustrant, isnt'it?)
Evidemment, depuis ce matin, je me sens samedi, faut que mon calendrier interne s'adapte... Alors que je prenais ma douche, Manu (la remplaçante de ma remplaçante pour deux jours) est passée, m'apporter du courrier déposé à l'école (2 cadeaux ! un livre de mon amie Sol  La ligne de beauté, d'Allan Hollinghurst -je lui ai bien dit qu'elle me gâtait trop mais elle m'a répondu non non- et une grande enveloppe des States avec un Henley (t-shirt à boutons que j'ai cherché vainement tout l'été, parce quand il fait chaud je ne supporte pas les tee-shirts qui me serrent le kiki...) et le cd des photos du Portougalch, qui m'a permis de revivre quelques moments sympathiques (y a même 2 ptits films) merci Mercé et Brendan!) On en a profité pour boire l'apéro, puisque je n'avais pas assez faim pour aller manger...
Et j'ai commencé à ranger après...

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29 septembre 2005

faire le point

En rentrant (sous la pluie jusqu'à mi-chemin, puis sous un soleil grave pétant) j'avais envie de bramer (j'adore chanter à tue-tête des chansons stupides quand je suis tout seul dans ma var'ture... d'habitude, j'ai plutôt un faible pour  "Il me dit que je suis beyyyyyyle...", ou un petit cantique de derrière les missels, mais là non :-le verbe correspondant est placé avant la parenthèse, je vous aide c'est "bramer", et voici venir son c.o.d pour terminer cette phrase sinueuse :)  "J'aurais voulu être un artiiiiiiiiiiiiiiiiiiste..."


Ca me le fait souvent en sortant d'un vernissage, ou d'un spectacle de danse, ou d'une pièce de théâtre, cette pensée diffuse que je suis aussi bon que j'aurais pu le faire,moi aussi si... (syndrome Caliméro again ?) A quasi cinquante balais (on va plus chipoter à quelques mois!) vi vi j'avoue le doute m'effleure : et si j'avais raté ma vie ? ou plutôt si j'étais passé à côté d'elle ? (Vous qui passez sans me voir...) Je n'évoque bien entendu ici que le domaine "créatif". Plus de trente ans que je fais mes petits trucs et autres machins, brimborions, brindilles,(et autres fadaises) : un peu graphiste, un peu écrivain, un peu photographe, un peu plasticien, un peu acteur, un peu poaite,etc... ou ne serait-ce pas plutôt presque graphiste, presque écrivain, presque etc... ? Presque tout, et presque rien, donc !
Bref, je rends surtout service (j'ai du mal à dire non, et puis je crois que les contraintes me stimulent) une affiche par-ci, une invitation par-là, avec de temps en temps (de plus en plus rarement) quelque chose rien que pour moi.
Je ne range pas dans cette catégorie mes lieux communs *(que je ne tarderai pas à mettre on line, promis)  petit tirage aléatoire de vingt exemplaires, pour des "abonnés"  qui en ont fait la demande et d'avance conquis (merci les amis!), un objet simple (une formule ?) une forme mixte (texte/image) un contenu que je polis patiemment... je ne sais plus maintenant depuis combien d'années ça dure (pour ce qui n'était au départ qu'un projet de lettres de vacances pour 8 numéros, il me semble, qu'au quatre-vingt-et quelques, je me suis comme qui dirait pris au jeu) je ne sais pas  jusqu'où tout ça va aller (euh mais pourquoi donc je suis en train de vous raconter ça ???)...
Juste pour dire que là où je suis en ce moment, j'y suis BIEN. Et même plus. Donc restons simple et joyeux pour les six mois à venir... Et attention à notre tendance à l'hyper émotivité (a-t-on idée, à mon âge...)

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28 septembre 2005

monsieur

C'est comme ça que m'appellent les jeunots et jeunottes de 2ème année du groupe B, avec qui j'avais cours ce matin. On démarrait le module "image/temps", prétexte à manipuler des caméscopes et à faire connaissance. (Auparavant j'ai discuté -très tôt- devant la machine à café avec un barbichu mimi piercé... qui vient juste d'avoir son bac, arghhh!) Les ai trouvés plus faciles d'accès que le groupe A, ai discuté avec quelques uns (des plus agés! il y en a un vieux de 27 ans!)
Voilà voilà les choses se mettent en place doucement, et ça me convient plutôt bien. J'ai encore passé (je n'en ai pas parlé hier, un peu chiffonné que j'étais) un grand moment au sous-sol, à l'imprimerie. J'aime énormément cet endroit, je m'y sens... bien! Pierre est vraiment un homme délicieux, passionné, passionnant, je sens que je vais passer pas mal de temps ici, ça me donne envie de réaliser plein de choses (je commencerais bien par une tite carte de pub pour ce blogchounet... (mais chut! c'est une surprise!) En plus il m'a fait cadeau de  plein de choses : cartes postales, petits carnets, etc... ça m'a touché!
Ce qui est drôle, c'est la "désacralisation" du mercredi, qui devient désormais un jour strictement comme les autres, (je me lève, je prends la bagnole, je vais bosser...) c'est désormais le vendredi qui va me sembler particulier...
Un peu fatigué donc (vous vous rendez-compte, un mercredi où j'ai travaillé...) et donc pas le courage ni la force de traîner trop par ici... Bonne nuit!

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28 septembre 2005

requêtes 1

Je viens de découvrir que dans les outils du blog, sous le volet statistiques, je peux voir la liste des derniers accès (big je is watching you) et leurs provenances. Quand c'est google.fr, je peux savoir via quelle requête les gens sont arrivés sur ce blog ; j'ai pas pu résister au plaisir d'en recopier la liste :

- chansons comportant 20 ans
- site adresse lieux exhibition 31
- acheter enveloppes à bulles
- Roy et Silo
- Le Soler
- bateau king fisher
- les lieux d'achat la banane
- bras en l'air branleurs
- port du gilet fluo
- repérages "permanent vacation"

- l'étourdissement de joel egloff
- lieuxcommuns
- lecteur dvd sept 2005 Super U
- panneaux chantier interdit au public

(au 28/09)
- jacques drillon
- les lieux de vacance
- tarte figues
- panneaux signalétique port du casque
- popo pingpong
- que faire des lieux communs ?

(au 01/10)
- o superman
- strokes positifs
- hier val kilmer était
- aisselle canalblog
- mec gay nu photo
- les ramages des oiseaux
- lieux de vacance

(au 04/10)
- lou reed et laurie anderson
- photo danse contemporaine
- syndrome calimero

(au 06/10)

27 septembre 2005

mi-teintes

Vous savez, (ou vous ne savez pas) c'est comme ça qu'on appelle les pochettes canson avec des feuilles de couleurs assorties mais pas les couleurs vives,  plutôt  les tons bleuasses verdasses marronnasses siennasses... Pas des couleurs pures, quoi, des pauvres couleurs on va dire... Ben je me sens un peu comm'ça ce soir (tiens tiens, rigole mon Jiminy Cricket assis sur mon épaule, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas fait son caliméro...) à l'issue de cette deuxième journée.Bon, c'est une semaine particulière, une semaine de rentrée, de (re)mise en route, c'est normal que les profs aient des réunions, que ça ne soit pas vraiment prévu, qu'on en soit pas vraiment informés... Qu'est-ce qu'on passe comme temps à attendre! Les étudiants ont l'air habitués, ils attendent, et discutent. Moi j'me sentais un peu seulet, en plus j'avais oublié mon bouquin délicieux, alors j'en ai profité pour aller faire un tour en ville (le matin, puisque je n'avais pas cours) et aux Sandales, plus précisément. J'ai vu Anne-Marie (je vous parlerai un jour d'Anne-Marie...) et j'ai acheté un roman furieusement pédé (je vous z'en mettrai un excerpt si vous êtes sages) AU BORD DU GOUFFRE (de David Wojnarowicz) Puis acheté un sandwich, flâné sur le marché, et bavé un peu devant les travaux (y avait des manuels, j'ai pris juste quelques photos à la sauvette...)
Cet après-midi, on a vu en cours  les 3 profs en même temps, qui ont exposé le prochain semestre de travail : un sur le texte (plutôt alphabet et calligraphie), un sur l'illustration, et le troisième sur les deux en même temps... Me voilà un peu fixé! Sorti tôt (15h30 au lieu de 18!) et donc été au ciné voir un petit bonheur : MOI, TOI, ET TOUS LES AUTRES. Chronique plurielle des relations  entre plusieurs personnages qui ont en commun le fait d'être  voisins, et d'avoir une ou plusieurs idées fixes ou soucis (une main brûlée, des vidéos d'art, le popo-pingpong, des chaussures roses, des baskets bleues, un "trousseau de l'espoir", un tableau gribouillé...) dans un joyeux méli-mélo tendre et acidulé. exercice réussi d'équilibre entre le scabreux et le rose bonbon, le genre de film dont je sors avec un sourire un peu bête sur la figure et des petites lumières dans les yeux, en me disant que le monde n'est pas si pourri que ça au fond... (et une toute petite voix qui dit "et pourquoi ça ne m'arrive pas à moi, hein ? "
C'est trop inzuste...

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"Je vois la peau brunie d'hommes en short, torse nu ; je vois les bras et les côtes d'un homme caché dans l'obscurité d'une cabine de tracteur ; je vois le dos courbé d'un homme brandissant une pioche à toute volée ; je vois la peau pâle et blanche des aisselles et la tache brune de poils humides d'un homme perché dans une grue au milieu des lignes téléphoniques et je sens naître une boule dans mon plexus solaire sous mon tee-shirt." (D.Wojnarowicz)

26 septembre 2005

c'était la rentrée!

Ben voilà ça y est!
C'était bien la peine de (m'en) faire un fromage! Rentré! Inscrit! Repertorié! Intronisé!
Ce matin, rentrée des "1ère année" (on était 5 vieux ,"stagiaires" assis au premier rang : Claire, Anne-Marie, Cathy, Narbé et je) au milieu d'un aréopage de lycéens chlorotiques et anémiés (un ampli rempli de Petits Choses et de Petites Choses aussi!) propres sur eux et limite apathiques . Cet après-midi, rebelote avec les "2ème année", nettement plus "grands", plus à l'aise, et que je te pierce, et que je te punke, et que je te baggyse, et que je te grossesbasquettes et que je te dreadloque, et que je te clope et que je te ricane... de la vraie graine d'artiste, ça, non ???
Les vrais cours commenceront demain : j'ai eu le temps cet aprèm' d'aller fouiner à la bibliothèque, qui est une mine prodigieuse, emprunté 3 bouquins déjà... Et l'imprimerie, au sous-sol, ce matin, quand on a visité, semblait me faire signe et m'appeler avec ses petites mains " Viens, viens, c'est là que tu vas être bien!" J'ai le mot "typographie" qui me court dans la tête...
Je sens que ces six mois à venir vont n'être que délices ("parce que je le vaux bien") et que cette espèce de culpabilité ressentie, sans raison,  d'être là, aux frais de la princesse, pendant que mes collègues triment, va rapidos s'atténuer...
Suis donc rentré tôt, et comme je ne voulais pas arriver à l'école à cette heure et me cogner dans les enfants et les les mômans, je me suis arrêté dans un sous-bois accueillant et ensoleillé afin d'y prendre quelques photos qui prouvent, s'il en était besoin, que nos bûcherons sont vraiment des artistes... lookez plutôt :

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(Quand personne ne les regarde, peutêtre qu'ils se poursuivent dans les bosquets avec leurs bombes fluo à la main, en riant comme des zozos ???)

25 septembre 2005

dimanche

Terminé L'étourdissement de Joël Egloff. Mouais. Un peu nauséeux. Surtout quand je lis la quatrième de couv' qui parle d'humour irrésistible et de vraie poésie. Peut-être parce que, comme mon amie Emma, je n'ai pas de second degré. J'ai trouvé ça plutôt complaisant, et surtout trop "léger", trop rapide. Il y avait là de quoi faire un bouquin "énorme", dense, dantesque, là on se contente juste d'aligner quelques thèmes (ça ressemble quasiment à une suite de nouvelles d'ailleurs!) en en rajoutant dans la noirceur et le misérabilisme. Je vais vous faire une confidence, je pense que mon ami Sylvain (à qui je l'ai emprunté) a un faible pour les livres qui donnent envie de vomir... Il m'avait déjà fait le coup avec Les saisons, de Maurice Pons, à quoi ce bouquin fait d'ailleurs parfois penser par moments... C'est vrai que j'ai recopié (dans le E  gloff) quelques phrases qui me plaisaient, mais, "trop c'est trop". Pour me changer les idées (?) je vais attaquer Asile de fous de Régis Jauffret (je ne sais pas pourquoi, mais j'aime bien les bouquins, pourtant bien cintrés, de ce mec,  dont Promenade a pourtant failli me fâcher avec plusieurs de mes amis !)
Oui, je lis, car, depuis ce matin, je tournais en rond, comme une mouche dans une boîte, qu'est-ce qui n'était pas comme d'habitude ? et j'ai soudain réalisé que je n'avais pas besoin, comme d'habitude, de tergiverser avant de préparer mon boulot de classe : pas besoin de procrastiner, horreur! je n'avais rien à faire... Va falloir que je m'y habitue, laissez-moi juste un peu de temps.
Donc, la totale dimanche matin frivole : un peu grasse mat', lessive, gâteaux chez V. (le meilleur pâtissier du dimanche ici) pour ce soir (je vais quasiment tous les dimanche(s) soir manger chez mes amis Christine (oui, celle d'Alias, pour ceux qui suivent...) et Jean-Fran) et tant qu'on y est hop! croissants pur beurre pour le ptit-déj, puis tarot on line, et pendre la lessive dehors (comme dans les pubs pour adoucissant textile fraîcheur d'automne ensoleillé, avec le bruit des draps qui claquent dns le vent) avant de se préparer petite pierrade de célbataire (pas terrible).

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24 septembre 2005

samedi

Derniers rangements ce matin à l'école (voir photo ci-jointe, ça le méritait, non ?) Pour ceux qui suivent ce blog depuis un moment, vous avez bien dû vous rendre compte que c'est une problématique qui revient assez souvent chez moi : ranger le bureau (que ce soit a casa ou en classe!) mon problème, c'est que souvent chez moi, intention vaut action, ce qui ne facilite donc pas le rangement effectif dudit bureau...
Enfin c'est fait, je pars l'âme sereine, après avoir laissé mes ultimes remarques et conseils à ma remplaçante, sur de judicieux post-it.
Puis un peu de choses à faire en ville : photos d'identité (pour les Bozarts), marchand de journaux (Libé et Repérages, avec en dvd le premier film de Jarmusch Permanent Vacation : le titre m'a semblé de bon augure !) un peu de manger au Super U, et en rentrant du courrier plein la boîte (notamment le bouquin de Régis jauffret Asile de fous commandé avant-hier)
Cet après-midi, je vais ranger le bureau  balayer et faire un peu de ménage (ok ok c'est pas très glamour, mais il faut bien s'y mettre de temps en temps, et déjà que mon énergie pour ce genre de choses est plus que réduite, si vous en rajoutez encore une louche, je ne vais plus du tout en avoir le courage !)

(plus tard)


23h50, retour de concert : Pascal Mathieu et Mathieu Boogaerts. Très bien. Très très bien. Pascal, la première fois que je l'ai vu, c'était en 85 à Bourges (ouh la la ... 20 ans déjà?) c'était nettement plus... rock et destroy, mais il avait déjà cette écriture virtuose (il reprend d'ailleurs quelques vieux textes). Mathieu B. je le connaissais un peu par disque ("Ondulé...") mais je savais que c'était quelqu'un que j'avais envie d'aimer. C'est un gentil. Sur scène, ça fonctionne impeccable, cette espièglerie nonchalante (ou nonchalance espiègle ?) fait mouche, il y a quelque chose d'enfantin, de naïf, de bricolé, de minimal rigolard, qui le rend terriblement attachant. Terriblement. Comme ses petites chorégraphies esquissées, lui déhanché, jambes lancées, fesses tortillées, et les yeux levés pour allumer les projos... Délicieux je vous dis!

PS (sans rapport avec ce qui précède, et suite à une discussion devant le chapiteau, après le concert des Mathieu) : Mes amis sont unanimes, je devrais lire Valeurs Mutualistes, plutôt de le jeter illico tout de go aux vieux papiers...

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23 septembre 2005

vendredi

Voilà.
Dernier après-midi de classe. Réunion de parents dans la foulée. J'entends dire des choses gentilles sur notre école et sur ma classe. Petit pot d'adieu avec le personnel de l'école. Pas d'adieu, juste d'au revoir m'a dit Marie en partant. Ca me fait quelque chose pourtant. Mais bon ce n'est que six mois. qu'est-ce que six mois , à peine deux saisons, je les quitte au début de l'automne et je les retrouve au début du printemps...
Pour fêter ça, je me paye un petit cinoche : SHANE BLACK'S KISS KISS BANG BANG. Quand je rentre dans la salle, j'ai un moment d'hésitation : moyenne d'age 12 ans, fous-rires, portables et pop-corn (et coups de pieds dans les sièges) Heureusement ça se calme. Drôle de film, à mi-chemin entre polar années 50 et Tex Avery, avec un Val Kilmer (dans quoi jouait-il déjà j'ai comme un trou) impeccable en détective gay, avec un jeu d'une sobriété étonnante pour composer ce genre de personnage... Deuxième degré (le film, pas Val Kilmer) parfois presque un peu fastidieux, mais ensemble plutôt bien ficelé (mais je ne comprends pas comment on peut envoyer des gosses de douze ans voir ça... Ou peut-être s'y envoient-ils tous seuls ?)
Reste plus qu'à programmer Alias pour Christine, et c'en sera fini de ce dernier vendredi de classe...

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22 septembre 2005

jeudi

un jeudi, "le" jeudi, le dernier jeudi... entre le froid du matin et le froid du soir, il a fait très soleil ciel bleu  chaud comme on aime à ce moment de l'année.(Tiens ! aujourd'hui c'est l'automne.)
Et pourtant... Un peu chiffonné ? Sans doute à cause de ma rencontre d'hier après-midi, j'ai rêvé cette nuit que j'étais très amoureux, que j'avais un amant (oh le misérable lapsus j'avais écris mamant) plutôt jeune d'ailleurs (mais moi aussi n'étais pas également plutôt jeune ?) qui m'aimait et que j'aimais, et dans le rêve, je me rendais compte que le fait d'être amoureux vous faisait véritablement vivre au sein d'un nuage de gaz style ozone, ou gaz hilarant, et je réalisais que ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé... (depuis l'apiculteur* ?)
Je ne peux évidemment pas ranger dans cette catégorie mon copain à la voiture rouge ou le papa de M, dans un cas, il ne s'agit que de sexe, et dans l'autre que de fantasme... Bien que prochainement sénile, j'arrive encore à faire la différence, ouf!

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