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lieux communs (et autres fadaises)
28 janvier 2006

fermeture provisoire

Je pars une semaine , alors ce blog risque d'être fermé pendant une semaine.
Alors, bonne semaine!
Et à la semaine prochaine !
(retour prévu samedi 4)

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28 janvier 2006

coucou

Je veux parler ici de l'oiseau.
Mais si, rappelez-vous, vous marchez dans la campagne, c'est le début du printemps, et vous entendez  deux notes répétées, dans les sous-bois voisins. Attendrissant. Et bien figurez-vous que ce doux message printanier est délivré par un gros oiseau moche, bête et méchant. J'avais été très surpris quand, plus jeune, j'ai découvert la vérité à son sujet (c'est peut-être pour ça d'ailleurs que je m'en suis souvenu!)
Figurez-vous que le coucou et sa femme sont deux grosses feignasses qui, à la belle saison, préfèrent rester en peignoir et en bigoudis sur leur canapé, à bouffer des chips et boire des bières, au lieu de, comme tout un chacun de la famille oiseau, retrousser ses manches (en plumes) et se mettre au boulot pour se construire le plus mimi des petits nids d'amour afin de s'y livrer à la plus "naturelle" des activités : la reproduction de l'espèce.
Toujours en peignoir sur leur canapé, le coucou et la coucoute tirent aussi des coups (c'est agréable et pas fatiguant) ce qui fait qu'au bout d'un moment la coucoute est enceinte jusqu'à son absence de dents (enceinte jusqu'au bec ?) et elle dit "chéri" emmène-moi aux urgences que j'accouche dans le beau nid d'amour que tu nous a construit". Le coucou est bien embêté, vu qu'il a rien fichu et que le temps presse. Et hop, alors carrément, vous savez ce qu'ils font, ces pourris ? Ils trouvent un joli nid, bien fini,tout doux avec de la mousse et des petites plumes et l'air conditionné et l'adsl, et ils attendent que ses occupants l'abandonnent quelques instants (genre "j'en ai pour cinq minutes, je vais jusqu'au Super U...") et là, hop, la coucoute débarque, s'il ya des petits oeufs tout frais pondus et en pleine couvaison, hop, elle les vire et s'installe là-dedans comme chez elle , un peu à l'étroit des fois parce qu'elle est GROSSE, et que je te couve, et que je te pond, et surtout, après QUE JE ME BARRE. ouais, elle a viré les oeufs des parents dont elle a pris le nid, et elle leur colle son rejeton à elle, oui, elle l'abandonne sans l'ombre d'un remords et repart sur son canapé avec son peignoir...
Quand les autres parents reviennent, ils doivent être étonnés de trouver un énorme oeuf machin à la place des petits oeufs tout mimis jolis qu'ils y avaient laissés mais bon ils doivent se dire que ce sont là les insondables mystères de la nature (ouah... je vais 5 minutes au Super u chercher à becqueter, et hop mon oeuf a quintuplé de volume...) et la petite maman se met vaillamment à couver un oeuf vachement trop gros pour elle, et que quand il va naître ça va faire non seulement un gros moche oiseau tout gris mais aussi une énorme bouche de plus à nourrir (je te raconte pas le boulot, les vers, il va falloir qu'elle les achète par containers!)
Et dès qu'il peut, le coucounet (l'enfant du coucou et de la coucoute,quoi, vous suivez ?) s'envole (ça c'est drôle comme lapsus, j'avais écrit s'enveloppe au lieu de s'envole... No comment!) et quitte sa cellule "familiale" d'adoption sans un regret. Je suis sûr qu'il ne dit même pas merci, cet enfoiré!
Et c'est reparti pour un tour, il va se trouver à son tour un canapé, un peignoir, un fume-cigarettes, jusqu'à la prochaine saison des amours.

Pourquoi je vous raconte ça ? Parce qu'il a pu m'arriver, à plusieurs reprises au cours de ces dernières semaines, de me sentir comme un vrai coucou (oui oui, gros, gris, moche et sournois) installé à une place qui n'était pas à priori la mienne (comme si je l'avais usurpée en quelque sorte), dans un nid tout mimi joli bref, déplacé dans ce décor, et de plus se sentant hypocrite (le loup déguisé en grand-mère... ne pas être là pour les raisons pour lesquelles les autres pourraient penser que vous êtes là, mais d'abord, hein, le savez-vous vous même d'abord pourquoi vous êtes là ?)

Image un peu grotesque mais un peu drôle en même temps, il devrait bien y avoir un dessin de Gary Larson ou de Glen Baxter pour illustrer ça (je chercherai, promis!)

Et puis non, finalement, si j'étais là, c'est bien parce qu'on m'y avait laissé entrer. Comme les vampires. Pour pouvoir franchir un seuil (et, après, revenir y faire toutes leurs cochonneries de vampires que vous pouvez bien imaginer) il faut au préalable qu'ils y soient invités.
(Bon mais, c'est vrai qu'ils ont aussi mis au moins des manières variées pour parvenir justement à se faire inviter, et même à se faire prier !)
You're welcome !

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27 janvier 2006

humeurs

Toujours de la dent de scie au mental et dans l'air. (Doublement très juste cette image, d'abord à cause de la forme up/down et aussi ensuite de la dangerosité éventuelle : si on est maladroit, on peut se faire éventuellement de un peu mal à très mal.)
Quand je me suis réveillé à cinq heures il avait un peu neigé.
Quand je suis parti aux bozarts à dix heures il avait encore plus neigé. Mais ça ne me dérangeait pas plus que ça (c'est drôle comme, quand on est vraiment motivé, ce qui d'ordinaire aurait pu constituer un obstacle une gêne ou un handicap devient soudain tout à fait supportable, bénin, voire anecdotique...) Il neigeouillait, ok, mais bon la route était presque noire, alors je suis parvenu là-bas sans encombre. Il y avait si peu de monde qu'on aurait pu se croire un dimanche. A l'imprimerie, Pierre avait sa tête sombre des mauvais jours, il n'avait pas l'air bien du tout (début de gastro ?), mais (je n'en ai pas parlé hier) les cartes de voeux bleues (et belles) qu'on avait faites ensemble hier après-midi (il y a des chances que pas mal de personnes qui lisent ce blog, surtout celles qui figurent dans l'expovoeux, en reçoivent une très vite...) étaient sèches, et il les a pliées (oups j'ai oublié le terme technique précis... créné ?) Je les trouve hmm... superbes!
Mangé à midi avec Bernard. (je sentais... en ce moment ça revient de plus en plus fréquemment; faudrait que je reste amoureux tout le temps!!!) Très bien, comme d'hab (Heureusement qu'il est là, celui-là, avec son calme olympien et son humeur égale... il me "stabilise" en quelque sorte.)
L'après-midi a commencé plutôt mal (fatigue, mal au coeur -trop de crème de marron ou début de gastro ?-, quasi envie de gerber) et continue idem. Gens qui font la gueule ou qui vous donnent la main sans vous regarder et ne vous répondent pas quand vous leur demandez ça va ? (je parle au pluriel mais, bien évidemment, il ne s'agit que d'une seul personne...)

Aussitôt bien sûr je me désagrège  ("suddenly turn into a piece of dirt") Arrivent d'autres gens qui me demandent ce qui ne va pas, ça va finir par faire boule de neige cette histoire. Malaise. Je suis sur le point de me casser illico mais tout finit par un peu se dénouer chez Pierre (cette fois-ci, c'est lui qui s'inquiète pour moi) avec quelques explications de part et d'autres sur le fait que certaines personnes perçoivent comme une agression quand d'autres personnes leur demandent ça va ? quand on voit bien qu'elles ne vont pas, alors que ces autres personnes, en disant ça va ? ne voulaient témoigner que de la sollicitude.
Tout ça m'embêtait d'autant plus que je quittais les bozarts pour "un certain temps", et que j'aurais souhaité que ce départ, cette séparation, soient placés sous de meilleurs auspices.

Ce qui s'est passé, heureusement. (...)

Je suis reparti, il neigeait de nouveau, la nuit commençait à tomber, mais j'avais quasiment le coeur léger (allez, osons une petite image nunuche : "quasiment aussi léger que les flocons qui voletaient...")

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26 janvier 2006

paroles paroles

(C'était avant-hier. )

Une soirée où on a fêté les 50 ans d'un ami de 30 ans (c'est un des privilèges de l'âge que d'avoir des amis depuis si longtemps!) Le genre de soirée quasi improvisée, (en tout cas goupillée assez rapidement) qui permet au groupe des amis de se retrouver, pour un événement à célébrer en commun. A partager. On a bu du champagne, on a déliré gentiment, on a évoqué des souvenirs communs, on a  ressorti quelques private jokes, on a beaucoup ri... Les amis fidèles, la "garde rapprochée", ceux avec qui on se dit tout ou presque, tellement on se connaît.

Auparavant passé un moment à échanger avec mes collègues, à l'école. J'avais besoin de parler. De déverser un peu le trop-plein émotionnel qui affleure juste au niveau des yeux depuis quelques temps (depuis le temps où je recommence -un peu mieux- à sentir) Me rendant compte que ce que je racontais ici n'était pas tant de l'impudeur que le besoin forcené d'en parler. De pouvoir en parler à quelqu'un. Quand ce genre de choses arrive, c'est trop ... vaste pour pouvoir garder tout ça pour soi. Et toutes les deux (mes collègues), me regardant avec un immense sourire et m'expliquant combien j'ai de la chance de pouvoir être ainsi amoureux. Et moi en face, dans tous mes états, larmes surgissant comme un orage de grêle, irrépressibles mais nécessaires.

Tout ça parti d'un chat sur msn effectué juste avant, une conversation où l'on a tenté (la pose "regarde un peu comme je suis tristounet c'est peut-être qu'il y a une bonne raison, réfléchis un peu...") de faire comprendre des choses à son correspondant, où on s'engage sur un terrain un peu mouvant, avançant avec prudence ses mots et où on réalise finalement que l'interlocuteur ne peut/ne veut pas comprendre ce que précisément vous avez envie de lui faire comprendre... Et que ça ne sert à rien d'insister, d'enfoncer le clou. Que ce n'est pas le bon moment.

Reconsidérer donc la situation (verre à moitié vide/ à moitié plein) au terme de cette journée pleine de mots dans tous les sens, dans toutes les directions, à ras-bord... et en revenir au (même) point de départ : vivre au présent.
Vivre d'abord. Parler ensuite.

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25 janvier 2006

comme avant

Arghhh! Quelle horreur!
J'avais pas vu la banderole au-dessus! Toutes mes z'excuses, ô, lecteur(s) (et trice(s) bien sûr)
Je me suis peut-être un peu précipitamment précipité... donc me revoilà "inclassable"...ouf!
... mais pour la petite histoire, sachez que
1) je n'ai jamais eu autant de commentaires d'un seul coup (voui voui!)
2) le nombre de visites quotidiennes a été multiplié par deux.

Moralité : je préfère avoir moins de visiteurs et repartir comme avant! La qualité, comme on dit, plutôt que la quantité.
Bonne nuit à vous et à très bientôt.
Je viens de passer une excellente journée (je pense en tirer un poetit post "de la vie des étudiants" très prochainement sous peu...)

imgp7166 (le hasard fait bien les choses...)

25 janvier 2006

mise au point

Juste une mise au poiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiint (oh la la une vieille chanson préhistorique qui réapparaît...) non simplement pour expliquer que le changement de catégorie (de "inclassable" à "pour adultes" ) ne changera absolument rien au contenu de ce blog... C'est, suite à maintes conversations avec lez zamis aliiée au zeste (conséquent) de paranoïa qui me caractérise, juste une façon de tirer un petit rideau gris sur un contenu qui pourrait offenser quelques esprits fragiles et/ou mal intentionnés...
That's all folks!

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23 janvier 2006

batteries

Ironie du destin (comme on dit dans les romans) : tandis que les miennes perso à moi je (de batteries) sont -grosso modo ces derniers temps- plus ou moins chargées à bloc (tout du moins rechargées), voici que celles de mon appareil photo numérique m'ont lâchement laissé en plan, aujourd'hui, à un moment important.
Mon appareil en nécessite deux, et, pendant qu'une paire est en service, la deuxième est soit en charge, soit déjà prête en stand-by dans la poche ventrale de l'étui, prête à remédier illico à toute défaillance. de celle en activité.

Sauf que là, quand j'ai voulu prendre une photo et que l'inscription piles épuisées est apparue à l'écran, j'ai donc effectué la manoeuvre habituelle (enlever les piles déchargées de la main droite, récupérer les neuves de l'autre main et les insérer dans l'appareil) mais quand j'ai appuyé sur on et que j'ai voulu prendre une photo, est soudain apparue sur l'écran de contrôle, soudain redevenu noir, la mention piles épuisées.
Arghhh!
Deux piles épuisées + deux piles épuisées = pas de photo à prendre.

Je n'ai donc pas pris de photo (je vais vous en mettre une vieille pour illustrer ce post! ) et j'ai repensé à ce que m'a dit mon copain M., jeudi dernier, cette remarque à propos d'être acteur de sa propre vie au lieu d'en être spectateur (ce que j'avais moi-même écrit de ma blanche main il ya déjà quelques temps) : ben là c'était pareil, je me suis dit allez,allez, laisse tomber l'enregistrement des images, sois juste , au présent, dedans, bien dedans, bien présent...
Et
à ce moment-là je crois que j'ai dû sourire un peu bêtement...

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23 janvier 2006

idem

Aimer, c'est comme sentir.
(Où plutôt, ne pas aimer, c'est comme ne pas sentir.)


On vit dans un monde clos, lisse, exempt de sensations, agréables ou désagréables, d'ailleurs. Vide et rassurant, justement à cause de ça. Pas de grands bonheurs, mais pas de grands malheurs non plus. Tout est moyen, monochrome, uniforme. Au bout d'un certain temps cette platitude-même devient agréable, confortable, rassurante. C'est là-dedans qu'on vit, le bocal, l'aquarium, au chaud dans l'eau derrière les parois. Qu'on tourne en rond (revenir forcément à l'image du poisson rouge parce qu'elle semble d'une extrême justesse).


Que le nerf olfactif se remette au boulot (Y a-t-il, de la même façon, un nerf pour aimer ? le nerf amatif ?) et voilà qu'on a d'un coup perdu tous ses repères, sa stabilité, ses certitudes. Largué dans le blizzard sans compas ni carte, allez vas-y démerde-toi.
Depuis quelques temps (quand je dis qu'il est temps que j'aille voir un psy, hein...) , voilà que les deux choses sont liées. Voilà que, en même temps que je suis in love, mon odorat, ces dernières semaines, réapparaît en pointillés, de façon tout à fait aléatoire, cinq minutes par-ci, une heure par-là, en même temps que mes sentiments font du yoyo -hop un coup au top un coup au fond-, sans que ça corresponde tout à fait vraiment (ça serait trop facile)
Retrouver donc, brièvement,  les sensations, agréables ou désagréables : le parfum délicieux de ma voisine, le goût du café, le "ptit côtes" du midi, les chiottes du RU qui puent, l'odeur des bozarts tout simplement. En profiter avant que ça reparte. Je sais que ça va repartir, mais je ne sais ni quand ni jusqu'à quand (et là, question heart, c'est idem...)

Aimer c'est comme fumer.
(et je ne parle pas des cigarettes hihi)
Quand je n'ai pas de matos, j'en ai très envie.
Et dès que j'en ai et que je peux m'en rouler un méga comme un gros goinfre, et qu'après je suis en vrac dans mon lit quasiment terrassé parce que vraiment je crois que j'ai un peu trop chargé et que j'ai un peu mal au coeur et que je voudrais redescendre un peu , je me dis mais est-ce que ça vaut vraiment le coup de méfu, hein, si c'est pour se mettre minable comme ça ?

Je sais, je sais, je suis excessif (et c'est pas à mon âge (respectable) que çà risque de changer...

Être amoureux, pareil. quand j'en ai pas, j'en ai très envie, et dès que j'en ai un, que je recommence à faire les mêmes conneries (quand je parle d'aller voir un psy, hein, bis...), à essayer d'analyser d'introspecter de supputer de décortiquer de ne pas savoir de passer du sourire aux larmes (comment dit Lagarce ? "... me mena vers le bord des larmes et j'eus peur d'y sombrer..." ),des fois le soir dans mon lit (ça coîncide des fois avec le terrassage susdit) j'en viens presque à me dire Purée mais c'est plus de ton âge, des trucs comme ça, surtout avec son âge à lui... et peut-être que c'était plus simple, avant.
Comme avec le pét', se sentir presque un peu (trop) malade et avoir envie que ça s'arrête. Redescendre. Le sentiment amoureux pourrait-il donc être assimilé à un quelconque adjuvant psychotrope ? Voire...
En tout cas, high ou down, ce qui est sûr c'est qu'on se sent vibrer, exister, et c'est bien ça qui compte, isn't'it?

Aimer c'est comme parler

Y a ceux qui parlent trop, et ceux qui aiment trop,
ceux qui parlent dans le vide, et ceux qui aiment dans le vide,
ceux qui parlent tout seuls et ceux qui aiment tout seuls,
ceux qui parlent trop fort et ceux qui aiment trop fort,
etc...

Toujours est-il qu'il est par contre difficile de parler aux autres, quand on aime.
Enfin, de parler de ce qu'on ressent. On a beau avoir dans la tête des grands mouvements lyriques, des soubresauts explicatifs, des suppositions rassurantes, des inquiétudes démesurées, des certitudes flageolantes, toujours est-il que lorsqu'on tente de les exprimer, de les expliquer, de les transformer en chose parlée, ça n'est plus ça du tout.
C'est comme les fanons de la baleine qui filtrent, ne laissant passer vers l'extérieur que les brimborions, les petits machins ridicules, alors que tout le reste continue de tournebouler dedans. Oui, on ouvre la bouche pour tenter d'expliquer, et ne parvient à l'oreille de l'auditeur compréhensif qu'une bouillie régurgitée, un bouillon clair où flottent des broutilles que l'on n'arrive même pas à rendre cohérentes...
La montagne de vos pensées a accouché d'une souris de mots. Comme s'il y avait entre votre interlocuteur et vous un genre de grillage de garde-manger qui ne laisserait passer que les miettes les plus dérisoires, alors que le plus important reste à l'intérieur.

Mais de toutes façons on se dit que ce n'est pas la PEINE de parler. On voudrait que tout le monde COMPRENNE spontanément. c'est tellement FACILE A COMPRENDRE....

Alors on se tait.
Ou on essaie d'écrire.

(Pour moi) c'est plus facile.

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22 janvier 2006

expovoeux

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(que soient remerciés ici : Marie-H, Régine, Catherine D., Elisabeth, Patricia, Pacoune, Laurent, Mercé & Brendan, Catherine C., Marcello, Dominique, Florence, Isa, Emma & Régis, la Fondation Beyeler, Phil, Fran, Nicolas, Pépin, Anne , Sèverine, Anne et Jean-François, Adèle...)

21 janvier 2006

deux ou trois choses que je sais de l'amour

"tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
qui sont dans trop de films de chansons et de livres..."

PRINTEMPS AU PARKING (Christiane Rochefort) : "...dans les chiottes du Minus, et même en dégueulant,je me suis entendu dire à moi-même J'aime Thomas..." (un ado en fuite trouve l'amour avec un mec plus agé) ... celui-là je le chéris depuis plus de 30 ans! / POURQUOI PAS (Coline Serreau) (un ménage à trois avec deux mecs et une demoiselle...) / LETTRE D'UNE INCONNUE (Stefan Zweig) (Un homme à la fin de sa vie reçoit une lettre d'une femme qui confesse l'avoir aimé en secret pendant toute sa vie) / LE MARI DE LA COIFFEUSE (Patrice Lecomte) (une hisoire d'amour où l'un des protagonistes se suicide "tant que les choses sont encore belles" / L'AVENTURE DE MADAME MUIR (une dame est amoureuse d'un fantôme, ou le contraire..., enfin à la fin ils partent ensemble) / FISHERKING (Terry Gilliam) (pour deux scènes fabuleuses : la valse à Grand Central Station et la déclaration d'amour à la sortie du restau chinois) / QUATRE MARIAGES ET UN ENTERREMENT (Mike Newell) (pour le discours d'un mec à l'enterrement de son amant) / FAST FOOD, FAST WOMEN (Amos Kollek) (une histoire d'amour entre papy et mamie) / BROKEBACK MOUNTAIN (Ang Lee) (des cow-boys amoureux et sentimentaux) MAURICE (James Ivory) (pour Scudder... et pour d'autres raisons!) / TRULY, MADLY, DEEPLY (Anthony Minghella) (une veuve fait réapparaître le fantôme de son mari grâce à la  musique...) / IN THE MOOD FOR LOVE (Wong Kar Wai) (pour le frémissement de l'amour impossible) /  LES ROSEAUX SAUVAGES (pour Stéphane Rideau qui propose à Gaël Morel "et si on se branlait...", avé l'assent s'il vous plaît) / L'HOMME QUE J'AIME (Stéphane Gusti) (pour le thème : un homo amoureux d'un hétéro parvient à ses fins...) / BEAU TRAVAIL (Claire Denis) (pour un amour qui n'avouera jamais sa vraie nature) / LA MAISON DU BOUT DU MONDE / DE CHAIR ET DE SANG / LES HEURES (Michalel Cunningham) (définitivement "mon" écrivain de l'amour!) / VRAIS RÊVES (Duane Michals) (idem, mais en photo!!!)

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