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lieux communs (et autres fadaises)
17 février 2007

rafistolage (vrac)

Je ne vais pas parler de cinéma ouzbek, ni de musiques lithuaniennes, ni de romanciers kazakhs, je vais parler d'amûr. non, pas vraiment, plutôt d'émoi(s). Oui oui je sais ça faisait longtemps que je me retenais, hein ? Z'inquiétez, je serai bref.
Juste des histoires de mecs comme d'hab qui m'ont fait tout chose chavirer languir and tutti quanti. Le dernier dont j'ai parlé (il ya looooongtemps) c'était ***. J'avais décidé que je n'en parlerais plus, et il m'a bien aidé dans ce sens, d'ailleurs. On se salue, on se parle, même des fois on sourit, mais on reste à distance. Et moi donc, avec un petit zeste de déception (oui oui je dois être un peu maso) je constatais que je n'en souffrais pas trop, voire même quasiment pas du tout. Hop, guéri, comme un grand ?Bizarrement, ce qui m'a conforté dans cette attitude, c'est la semaine à Clermont, quand je me suis rappelé dans quel(s) état(s) j'avais pu me mettre l'an dernier en attendant qu'il appelle, qu'il essèmesse, qu'il me dise s'il venait ou pas. Que de l'attente fébrile à surveiller le téléphone et lui crier sonne imbécile! Alors que là j'étais zen. Par comparaison. J'attendais rien.

Surtout quand j'ai croisé certain barbichu rigolard et bouclé le lundi matin devant la machine à café, et qu'après s'être croisés plusieurs fois dans la journée (et que j'ai un peu forcé le destin à la dernière séance) on a fini le soir en fumant un pétard sur le balcon. En tout bien tout honneur. Il avait un prénom impossible  -ça vient du berbère- (le premier jour je n'arrivais pas à me souvenir de son visage, et le deuxième je n'arrivais pas à mémoriser son prénom.) Il avait vraiment une tête et un sourire comme j'aime. Mais je réalisais qu'aussi sec je démarrais sur les chapeaux de roues. Les questions, les messages, les indices, les inquiétudes.C'est pas possible, comme ça, de remettre les pieds toujours dans les mêmes ornières. Ca doit être inscrit dans les gênes. Heureusement je n'aurai eu à me déchirer qu'un jour et demi, puisqu'il est très vite reparti dans son sud-ouest... On s'est connu le lundi, on ne s'est pas vu le mardi, et il est parti le mercredi...

De retour chez moi, voilà que j'ai croisé un soir sur yahoo un jeune homme (à nouveau avec un prénom impossible!) qui disait souhaiter me connaître davantage. A l'écran je lui donnais une petite trentaine (j'ai toujours énormément de mal à donner un âge aux gens) il s'est avéré qu'il en avait 23! et quand je lui ai dit le mien, il a répondu en rigolant "C'est l'âge de mon père" Arghhh... mais bon ça ne nous a pas empêché de faire plus ample connaissance (c'est ce soir-là que j'ai appris le mot wasted)

Et voilà qu'hier soir (retour en quelque sorte à la case départ), j'apprends, par un malheureux  concours de circonstances, que *** a effacé mon numéro de la mémoire de son portable, et ça me fait quelque chose la déception qui m'envahit alors me fait me dire que finalement je ne suis pas si rafistolé que ça...
Mais en y réfléchissant un peu je me dis que finalement j'aurais réagi de la même façon avec n'importe qui d'autre (de mes connaissances, j'entends.) Donc l'affaire est close, et disons que ça a le mérite d'être clair.


Alors ? A nouveau prêt dirons-nous, tel le vaillant petit tailleur, en route vers de nouvelles aventures...

DSC02505

Commentaires
C
Deloin a raison, le vaillant petit tailleur avait tué sept mouches et avait donc gravé sur sa ceinture "sept d'un coup" !
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Z
Deloin, je crois que tu confonds avec la sombre histoire d'un boucher qui mettait 7 enfants (qui s'en allaient glaner au champ) dans un saloir... Mais bon, je me trompe peut-être de tailleur, va savoir ! Pour ***** aucun commentaire.
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D
si je me souviens bien, le petit tailleur, il en zigouillait sept d'un coup, non...?
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