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lieux communs (et autres fadaises)
18 novembre 2009

médusé

(attention, âmes prudes et chastes yeux, ne lisez pas plus loin...)
J'ai loupé de peu l'attaque cardiaque : j'étais assis dans ma voiture, au soleil, en train de lire la rubrique cinéma de mon quotidien préféré, lorsqu'est venu se garer bruyamment derrière moi un camion allemand (j'ai juste regardé la plaque). En descend illico le chauffeur, qui passe sur le côté pour se dissimuler aux yeux des passants lorsqu'il fait son gros pipi. (les routiers anglo-saxons appellent ça watering the tires). Je le suis des yeux dans le rétro, quand même un peu intéressé, puis je le vois se remettre les choses en places remonter dans le bahut, et claquer la portière.
Je crois l'affaire terminée, quand, en jetant à nouveau un coup d'oeil dans le rétro, je vois... un truc. Que je n'identifie pas immédiatement. Il se tient debout au milieu de l'habitacle, et l'angle des rayons du soleil fait que le haut du corps reste dans l'obscurité. Qu'est-ce ? Je regarde mieux, oui, oui, il n'y a pas de doute, il est là, immobile, et, visiblement il vient d'enlever le bas. Je vois la touffe noire, je vois sa teub. Mon coeur fait comme qui dirait un bond. Serait-ce une invite ?
Je sors de la voiture, et me rapproche juste un peu du camion. Il y a comme un mouvement, à l'intérieur, après ces quelques secondes "suspendues",  il se penche, s'agite, et visiblement, ôte son slip. Je suis comme hypnotisé. Il continue, se retourne, et m'exhibe cette fois son côté face, un cul assez joyeusement rebondi. et apparemment velu. Je reste là, à baver quasiment, quand il y a un nouveau mouvement, et je le vois, après m'avoir jeté un oeil, effectuer un nouveau mouvement, pour enfiler un shorty blanc (que j'imagine repassé de frais et sentant bon l'adoucissant). Hop! il remballe tout, et continue, cette fois-ci, il faut un peu plus se contorsionner, il remet son jean...
Ce spectacle charmant n'a pas duré plus de deux minutes, je réalise alors que j'avais l'appareil-photo dans mon sac et que j'aurais pu immortaliser l'événement, peut-être, non ? Non.
Et je suis resté là, comme un con, pendant que le bahut redémarrait virilement...

Commentaires
C
c'est vraiment comme ça que je l'ai perçu...
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M
ç'aurait pu être un rêve...mais non y'a qu'à toi que ça peut arriver!!
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J
Ch'uis morte de rire !!
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