(le début du rêve est extrêmement angoissant, oppressant, et, même si la suite est plus "anodine" je me suis réveillé très mal à l'aise...)
je monte en voiture avec un mec très violent, un genre de psychopathe, la voiture roule mais il ne conduit pas, il est assis à l'arrière -personne ne conduit d'ailleurs, mais la voiture roule... - je suis assis sur le siège passager à l'avant, il est visiblement très à cran il me demande (il s'agit de moi mais c'est comme si j'étais deux) de mimer un acte sexuel avec une fille dont il prononce le prénom mais qui n'est pas là, je m'exécute, je le sens de plus en plus énervé, je profite que la voiture ne roule pas vite pour ouvrir la portière et nous sautons en marche, tandis que le fou reste dans la voiture qui continue sa route...
je suis/nous sommes en rase campagne (je ne sais pas qui est l'autre) sans papier sans argent, je décide de repartir dans l'autre sens vers le village précédent on traverse un bâtiment en se tenant serré tous les deux, comme si l'autre était blessé, comme pour dire aux gens "ne vous inquiétez pas..."
l'autre me raconte que la nuit précédente à l'hôtel, avec le fou ... (?) et que le matin même, en montant dans la voiture il lui a brutalement serré les couilles
j'ai remonté tout une rue, il est question d'un papier qu'on me tend, qui est tâché, je réalise que c'est probablement de la confiture, et sur ce papier je lis / je recopie tout une série de renseignements sur la voiture, notamment le numéro des plaques minéralogiques (mais qui serait plutôt long comme un numéro de sécu) que j'ai recopié avec soin semble-t-il, mais qui me semble changer à chaque fois que je le relis, comme s'il n'était pas "stable"
de nouveau dans la rue (une seule rue, semble-t-il) , des travaux, beaucoup de monde, je repars chercher (?) , je retrouverai Marie et (?) un peu plus tard, j'apprends en relisant le papier que la voiture ne lui appartenait pas, c'était celle d'une femme (et quelqu'un à côté de moi me fait la remarque "Il a écrit Nénette avec 2 n ?")
(la chronologie des descnetes et remontées de rue est très confuse) je repars pour retrouver Marie, il y a un gamin à qui on donne à manger (et j'entends une voix qui prononce les mots "Pipi caca dodo", le film de Marco Ferreri) je retrouve Marie (avec des enfants ?) de l'autre côté de la rue, ils étaient cachés derrière un grand portail vert en fer forgé (les murs sont ocre) Marie était inquiète à cause de mon retard, et me dit "en plus, ce matin, il y avait écrit sur ton blog "... (une phrase lyrique à propos peut-être du chagrin, ou de l'absence, mais que j'ai hélas complètement oubliée)", je lui réponds que je n'ai jamais écrit ça, mais elle dit qu'elle sait bien, que Chloé lui a dit ce matin que le Jihaf venait de pirater des centaines de blogs avec le même genre de phrases...
je vérifie sur mon téléphone, elle me demande ce que je fais, et je réponds "je regarde des images de ton mariage..." (en effet, la scène a été filmé par la porte d'entrée de l'église, mais, bizarrement, tous les gens sont assis comme sur des gradins, face à cette porte justement, il y a notamment des enfants que j'ai eus en classe il y a quelques années) je trouve ça très beau et j'en pleure d'émotion
auparavant, il a été question d'argent, notamment de deux billets de 5€ que je retrouvais dans mon porte-feuille (et j'en étais très heureux puisque je pensais que j'étais sans argent, et d'autre part de vocabulaire (ou de syntaxe ?), avec françoise s., que je reprenais en corrigeant ce qu'elle venait de dire incorrectement à propos d'une certaine somme d'argent qu'elle possédait (comme si elle avait dit "j'ai encore 100€" et que je la corrigeais en disant que si elle possédait plus que cette somme, la phrase n'était pas correcte, mais c'est très flou)
auparavant, la même nuit , j'ai rêvé que je lisais un article de journal, (à propos d'un film de Fellini ?) où le journaliste, parlant d'une actrice (une cantatrice ? Ornella Muti ?) écrivait "elle svène", et que je m'interrogeais sur le sens de ce verbe que je n'avais encore jamais entendu, mais dont je comprenais globalement le sens (= elle est furieuse)