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lieux communs (et autres fadaises)
15 septembre 2013

à propos de rêves...

 

traduction :
comment un sentiment réel (le froid, ou du moins le changement de température parce qu'on a rabattu la couette), devient, dans le rêve, la sensation d'un gros chien qui rentrerait soudain dans le lit en faisant un peu le fou (en même temps que la question est-ce qu'on a bien fermé la porte en bas ?)

transitions :
je suis dans ma voiture, je traverse un parking (de routiers), je vois notamment une dame, brune, avec une queue de cheval, dans son bahut (rouge), je vais en direction de l'autoroute (je vois l'embranchement et les panneaux, un peu plus loin sur la droite)
je suis sur cette route, mais à pied, et je marche avec Régis sur une route infiniment droite (et étroite) qui monte et qui descend, on la voit jusqu'à l'horizon, il me semble qu'elle longe une rivière
Je suis toujours sur cette même route, qui traverse d'abord des baraquements de chantier(...), puis traverse carrément une maison où toute la famille, attablée et souriante, nous salue, mais je ne suis plus du tout avec Régis, je suis avec ma soeur, et un charmant jeune homme barbu. Le chemin s'arrête devant une sorte de vasistas, au sol, à moitié ouvert, mais visiblement pas assez grand pour qu'on puisse continuer. Je montre le vélux, au dessus, à travers lequel on pourrait passer, mais il est trop haut, et le jeune homme qui essaie en premier, dit qu'il n'a pas assez de prise pour y grimper, je dois donc le porter, puis je fais la même chose avec ma soeur en me disant qu'avec elle ce sera plus facile, puisqu'elle est bien plus légère (et avec l'arrière-pensée que, quand il ne restera plus que moi, comment vais-je faire pour grimper jusqu'au vélux ?)

reproductions :
un groupe qui avait sorti un cd dont le livret était fait entièrement d'illustrations tirées d'un vieux dictionnaire Larousse, ce qui me remplissait de joie

translations :
une file de gens (principalement des enfants) qui font la queue pour aller aux toilettes (la file est si longue qu'on ne voit pas la porte des toilettes en question (c'est Maria qui a ouvert la porte, et, à ma remarque que ça n'avance pas très vite, elle répond que c'est déjà bien qu'il y en ait une d'ouverte)
se transforme soudain en
une file d'attente (uniquement des adultes) pour accéder à un comptoir où on peut acheter de la nourriture (qui est stockée dans des bacs alignés sur la droite), en principe ce sont les vendeuses derrière le comptoir qui vont chercher les denrées, mais, soudain, les choses se se précipitent, et, au sein d'une énorme bousculade, je réalise que les gens se servent eux-mêmes dans les bacs en question (sensation de "pillage"), et quand j'arrive, après m'être frayé un chemin avec difficultés dans la cohue, il n'y a quasiment plus rien au fond des bacs

répétitions :
- je cherche désespérément à retrouver ma voiture que j'ai garée je ne sais plus où (ou si je sais où, elle n'y est plus...)
- beaucoup de monde, foule, collectivité, colonie de vacances, groupe : beaucoup de gens en tout cas
- théâtre : on remonte une ancienne pièce qu'on a déjà monté (et je ne sais plus mon texte) ou on monte une nouvelle pièce (et je ne sais plus mon texte), ou je vais entrer en scène (et je ne sais plus mon texte) etc.

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