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lieux communs (et autres fadaises)
13 novembre 2015

casse-pieds

(Rêve)

repas de famille chez catherine p (ça ressemble à Cuse mais ça ne l'est pas)

avant il y a les préparatifs du matin (flou) bcp de monde et d'agitation je discute avec un (beau-frère ? beau-fils ?) de Catherine, c'est un bel homme barbu (j'ai sans doute été amoureux de lui, avant, mais peut-être que je ne le connais pas) il m'apprend, dans la conversation, qu'il a récemment commis une tentative de suicide

je ne sais pas commenti, mais on se retrouve dans l'entrée (ça pourrait être chez moi) allongés sur un canapé (une banquette plus tôt, le long du mur, sans dossier), sous une couverture, serrés l'un contre l'autre, tandis que je devine, par la porte de la cuisine entrouverte, les gens qui s'affairent... n'est-ce pas un peu risqué , d'autant plus que je m'aventure à des explorations manuelles bcp plus poussées (et qu'il a l'air d'apprécier)

c'est l'heure du repas (la table est dehors, mais en fin de compte on est plutôt dans le salon) une grande table, plusieurs personnes assez serrées, il ne reste plus que quelques places disponibles, il est surtout question de trouver un siège. Les gens assis ont déjà fini de manger l'entrée (de la salade de tomates), je tourne autour de la table pour trouver un siège. Arrive derrière moi l'homme du canapé, il tient un tabouret rond qui a l'air assez spacieux et confortable, je pense qu'il va me le tendre, mais non, c'est pour lui, il s'y assoie et commence à manger sans plus s'intéresser à moi. j'ai trouvé un ridicule pliant (c'est comme un siège de pêcheur, mais il est rond, pas très large (une vingtaine de centimètres), mais surtout il est creux, la garniture du siège ayant disparu, et on voit affleurer en dessous le pivot de l'axe central. Je ronchonne, d'autant plus qu'il y a derrière, entassées, toutes les "vraies" chaises du salon, bien rembourrées, dans les tons ocres, qui ont l'air confortables mais visiblement il n'est pas question de s'y asseoir

toujours en ronchonnant, je dis qu'à présent j'aimerais bien pouvoir me servir des tomates (ça a l'air très compliquée de trouver, d'abord le plat, puis une assiette vide pour se servir, les gens autour de moi continuent de manger et de rigoler, il y a même une jeune fille qui me regarde avec l'air de dire "quel casse-pieds celui-là!", j'arrive enfin à me servir, mais quand je me retourne, l'assiette qui était posée devant moi a disparu, quelqu'un a du desservir pendant que je ne regardais pas

Dominique me dit quelque chose que je ne comprends absolument pas, elle fait allusion à quelque chose qu'elle aurait pu/du faire mais qu'elle n'a pas fait

derrière, il y a à présent un rang de chaises où sont installées les gens du "deuxième service" (ceux qui n'ont pas encore / ou qui ont déjà) mangé, puisque je vois, dans les assiettes qu'ils tiennent devant eux des morceaux de viande (une viande qui à l'air vraiment très rosée, pas du tout assez cuite...)

arrive à la porte du salon Catherine P qui dit en souriant d'un air désolé "qu'elle n'a plus que des arena" -je ne suis plus sûr du mot, je l'avais pourtant en me réveillant-, je comprends qu'elle parle des tomates pour la salade...

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