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lieux communs (et autres fadaises)
31 août 2016

films vus z'à paris

Nocturama : Photo 

Bella e Perduta : Photo

 Rester Vertical : Photo Damien Bonnard, India Hair 

Exotica, Erotica, Etc. : Photo

Insaisissables 2 : Photo Daniel Radcliffe, Dave Franco, Jesse Eisenberg, Lizzy Caplan, Mark Ruffalo 

Dernier Train pour Busan : Photo 

Moka : Photo 

Hôtel Singapura : Photo

Le BGG – Le Bon Gros Géant : Photo Mark Rylance, Ruby Barnhill

Star Trek Sans limites : Photo Anton Yelchin, Chris Pine, Simon Pegg, Sofia Boutella

Nerve : Photo Emma Roberts

Elektro Mathematrix : Photo

Toni Erdmann : Photo Peter Simonischek, Sandra Hüller

The Endless Summer : Photo

Dans le noir : Photo Gabriel Bateman

L for Leisure : Photo

Parasol : Affiche

Décalogue 9, Tu ne convoiteras pas la femme d'autrui - Décalogue 10, Tu ne convoiteras pas les biens d'autrui : Affiche

18) DANS LE NOIR
17) L FOR LEISURE
16) THE ENDLESS SUMMER
15) LE BON GROS GEANT
14) NERVE
13) STAR TREK SANS LIMITES
12) DERNIER TRAIN POUR BUSAN
11) INSAISISSABLES 2
10) HOTEL SINGAPURA
09) LE DECALOGUE 9/10
08) BELLA E PERDUTA
07) ELEKTRO MATHEMATRIX
06) MOKA
05) PARASOL
04) TONI ERDMANN
03) EXOTICA, EROTICA, ETC.
02) RESTER VERTICAL
01) NOCTURAMA                 
 

29 août 2016

micro162

*

Emmaus :
Maylis de Kerangal était à 2€, et Christian Bobin à 0,5€

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 jeudi, l'orage a cassé plusieurs de mes (plus belles) roses trémières

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"la vieillarchie" (pour la hiérarchie)
(un joli mot-valise d'O. du FJT)

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 les fleurs de bourrache dans les glaçons

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programmation expurgée : j'ai coupé deux quéquettes et trois clitos.

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(Bande-annonce de Rester vertical)
"J'aime beaucoup ce causse..."
(j'entends beau couscous)

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défintiviement provisoire
ou provisoirement définitif?

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"Merci à la personne qui a préféré privilégier son petit confort personnel pour vous mettre en retard, tous autant que vous êtes..."
(le conducteur de la rame, au micro, après un arrêt en station de quelques minutes, pour "vérification")

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Un jeune Indien tout en blanc, au dos trempé par la sueur, admire son reflet dans la vitre pendant tout le trajet, en s'obstinant à rabattre de sa main droite le bas de sa chemise qui s'obstine à rebiquer.

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"Mon père est au fond d'un lac, et demain on va enterrer sa casquette..."
(bande annonce de Le fils de Jean)

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Une dame en robe rouge coquelicot, dont l'arrondi des fesses correspond bien avec l'idée qu'on se fait de la corolle de cette même fleur.

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C'est un peu la faute à Tim Dorsey, tout de même...

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miel de pissenlt de la Lyrette

*

28 août 2016

paris en temps réel ou presque 3

mercredi

Canicule, sérieux.
Début de nuit difficile à cause du dos, puis je me relève, à 3h, y passe un coup de sèche-cheveux, reprends des médocs (je mélange l'allopathie et l'homéopathie, ce qui permet d'espérer! deux fois plus! ) et redors ensuite un peu mieux, jusqu'à 7h;
Matinée "lettres recommandées avec accusé de réception" (la banque et la mgen) dans la poste rue Léon Frot avec postières spécialement désagréables (j'ai pensé à la chanson de Perret) puis "je vais jusquà la gare de l'est racheter un billet de retour pas cher vu sur Internet", où un jeune employé insensible à ma détresse m'explique que c'est uniquement une offre internet, et qu'il ne peut donc me le vendre. Je joins Malou au téléphone, qui passera demain après-midi à l'appart, puis je décide, puisque je l'ai bien mérité, d'aller au cinéma :
RESTER VERTICAL à midi, très guiraudien, devant un public quelque peu clairsemé, avec des choses que j'adore, et d'autres moins..
ELEKTRA MATHEMATRIX à 14h un film de Blanca Li dont la bande-annonce m'avait alléché, et qui ne ment pas : 1h20 de jeunes gens qui dansent sur fond d'électro, scènes collectives le plus souvent, un solo, un duo, et tout ça sans un mot. Voir danser des jeunes mâles c'est assez plaisant, surtout le genre élastique du calbute par dessus le jogging, on les voit même torse-nu, parfois avec des mouvements pelviens torrides, et tout ça sans un mot...Stimulant.
puis je file à l'archipel pour voir L FOR LEISURE appâté par le nom de Gabriel Abrantes et par les mots "lutte gréco-romaine", il s'agit de deux mensonges, je suis seul dans la salle et je manque de partir mais je reste quand même jusqu'au bout de cette "comédie expérimentale" (je viens de vérifier sur all*ciné, je n'avais pas rêvé, il y a bien ces mêmes mots...) où des étudiants américains se souviennent de leurs vieux springbreaks...
Retour à l'appart pour soirée moite (mais, tiens, sans Leffe)

jeudi

Canicule, toujours. 
Très mal dormi (c'est juste les changements de position qui sont douloureux, notamment celui de la position assise à la position debout. réveillé à 2h, puis à 6, je me recouche vaillamment à chaque fois.
Je termine les cartes postales, sors pour les poster, et en profite pour aller voir HOTEL SINGAPURA , d'Eric Khoo, au MK2 Beaubourg, malgré les avertissements d'Hervé : il avait raison, ça n'est pas très bon (une dizaine de minutes à sauver, tout de même...)
Malou passe à l'appart en début d'aprem, il fait abominablement chaud, on va à gare de l'est pour qu'elle puisse m'achter ce fichu billet de retour anticipé (41€ qd même!) retour à l'appart où l'architecte des nouveaux propriétaires doit passer, en l'attendant on joue au scrabble (elle gagne les 2 parties) puis on part à Villebon pour passer la soirée chez Pascal, qui vient de rentrer...
Repas délicieux à la fraîche (patates/ épinards/ haddock et tarte aux mirabelles par nous-mêmes dénoyautées). Du très bon whisky avant, du très bon rouge pendant... et une partie de triomino avant d'aller dodo (tous les vélux grands ouverts)
Je profite d'un grand lit où je ne dors pas trop mal (mais pas trop bien non plus)...

vendredi

Petit-déj' à Villebon, puis je rentre à Paris en rer (une grande première pour moi) grâce à mon passe navigo...
Je vais voir NERVE aux Halles parce que c'est là que je suis, et parce que c'est le premier film qui démarre à ce moment. Un film pour ados pas mal foutu, métaphorique sur les réseaux sociaux et les vilains sites qui vous obligent à faire des choses pour la course à l'audimat (mais rien ne vaut la bonne vieille amitié pour en venir à bout, et tiens, encore mieux, l'amûûûr...)
Puis je rentre à l'appart pour grignoter, boire, et je n'en bougerai plus jusqu'au soir (le flemme de me rhabiller pour ressortir...)

samedi

Nuit chaude... Tout est ouvert, mais pas d'air, je dors mal et suis réveillé à 2h du mat' par Alissa qui rentre de Rock en seine (et c'est de ma faute parce que j'ai laissé la clé dans la serrure...)
Comme ils annoncent la journée la plus chaude, je décide de la passer... au cinéma!
D'abord, à 11h au Cinéma du Panthéon, l'avant-première de NOCTURAMA de Bertrand Bonello, en présence du réalisateur (ensuite, pour la discussion). Gros coup de foudre pour le film, pour la maîtrise de la mise en scène de ce récit en 3 temps (la mise à feu, l'attente et l'épilogue), je suis en état de sidération, le meilleur film de BB pour moi, sans hésitation.
Ensuite au Reflet Medicis EROTICA, EXOTICA, ETC. Un doc sur les marins et les putes, plastiquement superbe, un peu excessivement lyrique parfois, mais bon, un film qui exalte "ces marins grecs au torse poilu, si caressants, qui sentent l'homme" ne peut qu'être qu'encouragé...
Il fait toujours aussi chaud alors j'enchaîne hélas sur DANS LE NOIR, une niaiserie sursautante d"où je sors à la moitié du film...
Et je rentre à l'appart, pour le dernier soir que j'y passerai (et la dernière nuit aussi...)

26 août 2016

voici des fruits des fleurs

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25 août 2016

des feuilles et des branches

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24 août 2016

paris en temps réel ou presque 2

dimanche

Plutôt bien dormi 
(6h avec la machine et 3 de plus sans)
Un gros petit déj', puis longues hésitations sur le programme du jour. Finalement première séance à 11h : MOKA , pour Emmanuelle Devos (et Nathalie Baye qui s'en sort très bien aussi, en blonde) dans un film de vengeance assez tendu, qui manque de virer à la catastrophe mais nous offre une jolie fin.
J'avais prévu d'aller ensuite à l4archipel mais il pleut, alors retour à l'UGC Les Halles pour voir LE BON GROS GEANT. Dans une petite salle, une copie curieusement rédigée pour le VF (tout est écrit en français) mais pourtant en VO. Longtemps que je n'avais pas vu de film de Spielberg; Trouvé ça saoulant au début (les gros bourrins de géants) mais c'est beaucoup mieux ensuite.
Puis je repars vers l'Archipel, tout le long du Bvd de Sébastopol, où je vais voir BELLA E PERDUTA, un film italien très beau mais très ambitieux. Arlequin, camorra, buflone, Donizetti, ritalissime avec des acteurs dans leur propre rôle. Complexe.
Auparavant, j'ai discuté avec un vieux très gros monsieur brésilien, amateur de cinéma italien, qui me salue poliment après avoir échangé quelques mots à l'issue de la séance.
Et je rentre à l'appart me faire sauter des courgettes...

lundi

Dormi moyen
Après le petit déj' et quelques tergiversations, (je regarde les sites où on peut acheter des appareils photo numériques, c'est comme si j'étais en manque...) direction MK2 Beaubourg (le pass navigo a bien été activé) à 10h40 pour LE DECALOGUE 9 et 10, Du très beau cinéma en copie restaurée, celui sur les infidélités matrimoniales (dont je me souvenaos très peu) et celui sur les timbres (dont je me souvenais, par contre, très bien.
Puis je prends le métro pour aller où ça? Après réflexion, au MK2 Bibliothèque, o= je vais voir TONI ERDMANN, joli film allemant aussi bien fichu que touchant, mais certainement ni la Palme d'Or ni la comédie joyeusement poilante que la majorité des crtiques avaient décrit(e?)...
En rentrant je photographie dans le métro un jeune homme très joli avec mon téléphone... Direction les Halles où je chope à l'UGC le dernier STARTREK qui est très pyrotechinque z'effets spéciaux au début, mais s'arrange un poil ensuite - mais reste très bruyant, et trop visiblment ciblé ados) ; parce qu'on y entrevoit un couple homoparental et parce qu'un des personnages s'appelle Chékov, il sera beaucoup pardonné...
Retour à l'appart pour y cuisiner des spaghettis (avec le reste de courgettes d'hier)

mardi

Pas trop mal dormi
Jourrnée de merde. Lumbago d'abord (en me penchant pour prendre un truc dans la valise); Un petit, mais quand même. Je marche comme un petit vieux jusqu'à la pharmacie

(là j'avais raconté lce qui s'est passé ensuite minutieusement, tout bien en détail, et, à la fin, Canalbl*g a planté et refusé d'enregistrer, ne sont restées que les trois premières lignes, j'ai pensé que c'était un signe et donc je ne recommencerai pas)

Pour résumer, mon portefeuille s'est volatilisé entre le magasin Boulinier de Bonne Nouvelle et le quai de la station Bonne Nouvelle, soit une centaine de mètres grand maximum, Au décompte des pertes, ma carte bancaire (j'ai fait immédiatement opposition téléphoniquement, ça coûte bonbon), ma carte d'identité (bah j'ai un passeport) ma carte vitale, et 25 euros (heureusement, la veille, j'avais transféré 100 euros qui s'y trouvaient dans la poche de ma valise restée à la maison... comme un pressentiment, pourrait-on dire)
Ca m'a agacé, avouons-le, mais pas plus que le lumbago qui continuait de flamboyer dans mon dos à intervalles réguliers.
après avoir fait l'opposition et divers trajets en métro, je me suis retrouvé aux Halles, et suis allé voir deux films coup sur coup : d'abord ENDLESS SUMMER, sur un groupe de surfers, film merveilleusement idiot et inintéressant qui m'a juste permis de passer le temps et de me ressaisir, suivi de INSAISISSABLES 2, une histoire de magiciens justiciers hyper doués et désintéressés, avec à leur tête Mark Ruffalochounet, toujours aussi mimi et là je me suis même intéressé au film, qui est virtuose (même si ciblé ados) et qui m'a même donné envie de voir le 1!
puis retour à l'appart (il y fait très chaud) casse-croute, petite lessive, soirée tranquille avec la Leffe rituelle...
Demain est un autre jour...

24 août 2016

et puis voici mon coeur

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23 août 2016

qui ne bat que pour vous

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21 août 2016

encore des polars 2

PROMESSE
(les enquêtes du Département V/6)
de Jussi Adler Olsen

C'est Marie qui m'a fait découvrir cette série, et il était donc logique que ce fût elle qui me le prêtât. On retrouve donc notre trio d'enquêteurs chéris (Carl le grincheux, Assad son assistant syrien et aussi délicieux qu'un loukhoum, et Rose la gothique bipolaire), qui vont rouvrir le dossier d'une affaire vieille de 20 ans : une demoiselle, à bicyclette, un beau matin, a été percutée par un chauffard (et projetée dans un arbre, où elle est morte) qui a pris la fuite. Et le flic qui a mené l'enquête en vain pendant vingt ans les contacte en faisant d'eux son unique espoir...
Je dois avouer que les précédents m'avaient graduellement un peu déçus (en fait, depuis le début de la série, l'intérêt pour les enquêtes racontées -minutieusement, oui, avec le même rythme que celles racontées par Sjowal et Wahloo, que j'adorai en leur temps : une enquête où au départ il n'y a rien, et ou, par un extraordinaire et patient travail de fourmi, on va finir par découvrir, à force d'acharnement, un genre de brindille minuscule qui va permettre de débloquer la situation et de faire démarrer véritablement les recherches -, l'intérêt, donc, décroit, tandis que ce qui nous "tient" -et l'auteur est dué pour ça- c'est la description des rapports entre les trois acolytes -avec un gros faible bien sûr pour Assadchounet) et que les 650 pages bien tassées de celui-ci m'ont donné au début une certaine appréhension. Construit suivant la technique habituelle  à JAO, le récit alterne les chapitres "maintenant" et ceux "il y a un certain temps", nous dressant ainsi le portrait d'une (ou d'une) méchant(e) -je vous laisse le découvrir- tout spécialement salop(e) -idem- et multi-récidiviste.
D'autant plus qu'au début cette histoire de secte et de gourou ne m'intéressait pas particulièrement. L'auteur est assez roublard pour nous donner quelques nouvelles informations sur des "affaires annexes" qui concernent notre trio (on retrouve de loin en loin des personnages de l'entourage de Carl, privé et professionnel (cette affaire du pistolet à clous sera-t-elle un jour résolue ?) et faire ainsi durer le plaisir jusqu'à un volume ultérieur.
C'est très lent pendant très longtemps, un peu trop bavard par moments, et ça accélère (enfin!) dans la toute dernière partie (il se passe, grosso modo, autant de choses dans les 50 dernières pages qu'il s'en est passé dans les 600 précédentes...). La résolution est assez habile, et quand on repose le bouquin, on se dit, allez, qu'on reviendra volontiers pour le prochain volume...

SALTY
de Mark Haskell Smith

... et je n'ai pas pu m'empêcher de redémarrer aussi sec un MHS (le troisième). Après les cuisiniers hawaïiens (Delicious) et les bras coupés américains (A bras raccourci), nous voici face à une rock-star (le bassiste d'un groupe de métal mondialement célèbre) en vacances en Thaîlande avec son épouse. Bière glacée sur la plage et doigs de pieds en éventail au programme. Sauf que l'épouse en question va se faire enlever par un groupe de pirates, et que la mécanique délicieuse va se mettre en place. Qui dit enlèvement dit rançon, et voilà qu'un agent américain va entrer en scène, pour perturber ladite remise de rançon, puis vont apparaître -plop! et replop!- toute une flopée d'autres personnages qui vont fou-furieusement faire mousser la bière fraîche de ce pauvre Turk Powell (c'est la rock-star).
C'est à la fois très improbable et très excellemment raconté. Impeccable. Ettrès digeste. Après les 650 pages roboratives de JAO, ces 350-là filent à toute berzingue (une écriture nerveuse, acérée, drôle, bandante, tout pour plaire, quoi.) Encore un PAQV (et avec un sous-texte gay extrêmement affleurant, sauf que c'est fois, il s'agit d'amours au féminin). Comme dans tout cocktail exotique savamment dosé, on pourrait y voir un certain second degré désinvolte et dézingueur, plaisant, plus un-je-ne-sais-quoi qui apporte un zeste d'amertume -ô très légère-, qui viendrait contrebalancer le sucre et les épices, mais ça se boit vraiment vraiment avec délices.
Hautement recommandé!

21 août 2016

paris (en temps réel quasi)1

Le train de 5h49 est bien parti à l'heure et arrivé à l'heure aussi.
Le gardien était prévenu et m'a donné la clé de l'appart sans histoires,
A 10h j'étais au Franprix comme d'hab' pour faire les provisions (comme d'hab')
Puis suis parti direction Arts et métiers, pour humer le vent parisien (car depuis deux jours, je re-sens légèrement...)
D'abord pour voir s'il n'y aurait pas eu un sony cybershot d'occase (hélas non) puis le MK2 Beaubourg, puis Les Halles... Le Chantier de la Canopée a disparu, lplus de palissades jeunes et vertes, les boutiques sont ouvertes), il reste encore des palissades autour des trvaux d'aménagement du jaedin, mais le"point de vue" a disparu, et on ne peut donc rien en voir... déception.
Je vais voir DERNIER TRAIN POUR BUSAN, qui décoiffe sa race... (film de zombies coréen)
A la Fnac Forum, pas de sony d'occase non plus...Je vais à pied à St Michel fouiner dans toutes les librairies d'occase pour trouver un Tim Dorsey : RIEN! Rien de rien, chou blanc, le vendeur de Gibert à qui j'ai posé la question m'affirme, après consultation informatique, en avoir trois dans le magasin, mais ne sera pas fichu d'en retrouver un seul en rayon...
Je vais voir PARASOL à l'Espace St Michel (un film belge délocalisé à Majorque) plastiquement très réussi mais quand même très triste (Ulrich Seidl n'est pas loin), trois histoires mettant en scène trois personnages (un père, une mère, un fils), où il sera question, entre autres, de mensonge et de tromperie. Plastiquement très abouti, mais humainement onconfortable, entre aigreur et amertume.
J'envisageais d'aller voir Stalker au Desperado (unique séance restante à 20h30) mais il s'avère
1) que le cinéma est très mal desservi question métro
2) que ledit trajet en métro jusqu'à chez Malou s'avère assez compliqué
3) que le film durant deux heures et demie, le retour risque de s'effectuer assez tard
J'abandonne l'idée donc, aussitôt que j'ai réussi à trouver une station (Maubert-Mutualité) et je rentre à la maison (j'ai mal à la jambe te un peu au dos aussi) presque sans regrets, pour me cuisiner un plat de courgettes sautées à l'huile d'olive (et au curcuma) en buvant une Guinness et en réfléchissant à mon avenir parisien immédiat

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