ondulé
Conquis,ravi, séduit, enchanté, sous le charme
enthousiasmé!
à ce concert de Mathieu Boogaerts mardi 28 à Lure
juste là, avec son t-shirt bleu
sa guitare, ses mots, sa dégaine et ses mimiques
guitare / voix, point barre
et nous résume vingt ans de carrière et sept albums
(le 7ème est à venir bientôt) en une heure et demie
une guitare, donc, deux micros et quatre lumières (dont on ne vit jamais la lumière 3)
une proximité, une simplicité, une évidence
une heure et demie, oui, de pur plaisir
-je jubilais-
il chante, il joue
avec la guitare, avec les mots, avec le public
il précise qu'il n'est pas en tournée
raconte la genèse de ses chansons
montre les accords qui ont vu naître chacune
les mots qui ont surgi
il explique, dialogue, remercie
questionne, fait chanter
parfois même se retourne en tortillant du croupion
ça passe trop vite quand on jubile
-je me régale-
un rappel deux rappels
il part vers les coulisses en traînant derrière lui tout le petit matos électrique, fils, branchements
revient, il a fait allumer la salle
est heureux de voir que c'est complet
("et pourtant c'est mardi...")
revient pour un ultime ultime rappel salle allumée et scène éteinte
part doucement
et c'est fini
c'était doux et c'était fort
dehors repartant dans la nuit chacun a l'air enchanté
Boogaerts, oui, un cas à part,
un spécimen, un truc rare
un moment intime
(émerveillé comme un gamin j'étais)