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lieux communs (et autres fadaises)
2 septembre 2017

bouts de rêves

4 fins de rêves de quatre jours différents, du plus proche au plus lointain

*

une pièce avec beaucoup de monde, des étudiants je pense
il va y avoir un texte qui va être dit, sur scène, par plusieurs hommes successivement (une ligne chacun)
une autre pièce avec toujours beaucoup de monde
Je suis occupé à chercher mon manteau que j'ai posé quelque part et que je ne retrouve pas, mais je croise Dominique qui, en riant, le sort de sa poche, c'est comme un très long k-way froissé, noir et jaune
finalement je vais dire la poésie avec les autres hommes (au début il me semble que c'est La mome néant de Tardieu, mais ensuite il me semble que le vers que je dois dire fait plutôt partie du Dormeur du val de Rimbaud)
le "metteur en scène" me prend à part pour me donner des indications sur la façon de dire les mots (il y a une deuxième partie qui ressemble plutôt à de la poésie sonore, j'ai des mots que je dois prononcer en même temps que les autres, mais je n'ai pas de repères sur quand je dois les dire) il m'explique les modulations d'intensité : fort presque à la fin et en chuchotant pour finir

(peut-être avant) ce même metteur en scène discute avec moi du fait qu'il m'a rencontré quelques jours plutôt dans le hall d'un cinéma  (et je me rappelle bien de ce jour-là en effet, mais je ne le connaissais pas encore, et ne pouvais donc pas le saluer) tout en parlant il a posé sa main bien à plat sur mon ventre et il l'y laisse tout le temps de la conversation, et je trouve ça plutôt agréable

je suis un peu inquiet par rapport à cette poésie je re-demande au metteur en scène de me mettre les indications sur papier, un peu plus tard il m'apporte une feuille sur laquelle tout ça est inscrit, qui est rangée dans une boite en carton qui s'ouvre en deux, comme un nécessaire à correspondance, mais qui devient un truc de gamin(e) rose, style Hello Kitty

Je cherche ma boîte Hello Kitty que j'avais posé quelque part j'en suis sûr, l'heure de la représentation arrive (il va d'abord y avoir des textes dits par des enfants, les petites chaises sont installées sur la scène, qui, d'ailleur, a changé de place et de sens)
j'aperçois, à l'endroit où elle était posée avant, des plate-bandes avec des fleurs, et je me dis qu'il devait y avoir un espace entre la scène et le mur, et qu'on a eu peur que les enfants y tombent

je cherche ma boîte, une fillette, en souriant, m'emmène vers une petite armoire fermée à clé, dont elle ouvre la porte, et je me dis qu'elle a du la mettre dedans

je me mets à répétéer "c'est pas vrai c'est pas vrai..." en rythme, il me semble que j'entends ma voix qui provient alors d'un autre endroit, et, tandis que je répète, d'autres voix masculines viennent, en rythme, s'ajouter à ma mélopée... On le fait plusieurs fois, jusqu'à ce que le metteur en scène indique, en baissant la voix, que le morceau est fini

*

quand j'arrive devant la porte de chez moi (qui n'est pas du tout la porte de chez moi dans la réalité) il me semble que la serrure a changé, en plus il n'y a pas de poignée
je me rappelle que j'avais laissé le manteau gris que m'avait confié ma voisine (Christine ? Patricia ?) et qu'il est tombé par terre, je le remasse, mais ce n'est pas le même manteau, celui ci est en tissu épais, à chevrons, je dois récupérer l'autre
juste à côté, à gauche de la porte, il y a une grosse armoire qui est décollée du mur d'une trentaine de centimètres, et là, je vois, par terre, entre le mur et l'armoire, le "vrai" manteau, en tissur beaucoup plus fin, en plusieurs parties, avec un genre de boléro/caraco
je pousse la porte, puisqu'il n'y a pas de poignée pour l'ouvrir, elle n'est pas fermée à clé
je rentre, inquiet, en demandant s'il y a quelqu'un, en parlant très fort
une voix masculine me répond "qui est là ?" j'aperçois une ombre avec un fusil levé, mais je comprends que c'est encore Jacques en train de me faire une plaisanterie
(plus tard)
Je parle aveec Christine, je lui tends son manteau et je lui dis que je l'ai trouvé dans la poubelle, mais je le dis tout bas à son oreille pour que Jean-Fran ne puisse pas l'entendre

*

je suis dans une pièce, au milieu de bcp de gens,je suis obligé de me tenir très droit, car se sont appuyés contre moi, derrière, comme un siège d'église, deux garçons qui s'étreignent je suis obligé de rester comme ça, mais ça n'est pas désagréable, c'est comme si je leur servais de tuteur

*

Hervé a vu le film "Ozon nu", et il m'explique qu'il en a absolument détesté la fin

*

 

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