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lieux communs (et autres fadaises)
1 décembre 2017

novembre 2017

mercredi 1er (à la maison)
jour férié + Toussaint + heure d'hiver + lecture de Manu Larcenet + par la fenêtre nuit à noire à 18h + estomac chamboulé = surgissement d'un certain vague à l'âme
jeudi 2 (au Super U)
petit instant de panique intense au moment de régler à la caisse : mon porte-feuille qui est d'habitude dans une des poches de ma chemise n'y est plus... vérification faite, il est resté dans la voiture, sur le siège, à côté du pain que j'ai acheté juste avant...
vendredi 3 (Culturebox)
bien commencé la journée (fini la précédente plutôt) en matant sur l'ordi la retransmission en direct du concert de The National à la Grande Halle de La Villette (mais avec une connexion moyenne et un débit moyen, ça le fait moyen aussi...)
samedi 4 (chez les voisins)
venu prendre un café avec la voisine qui vient de rentrer d'Inde, j'en repars avec un mixer à soupe et ses accessoires, donné par son mari (qui venait d'en racheter un autre parce que celui-là était cassé)
dimanche 5 (salle de bain)
Rien de tel qu'un bon gros joint pour vous mettre de bonne humeur : celui du siphon du lavabo (démonté -beurk- puis remonté) que j'ai eu l'idée de replacer correctement  et qui a permis que ça devienne étanche
lundi 6 (au courrier)
pas encore le nouveau téléphone (je suis impatient), mais, tiens, le nouveau Courrier du Lecteur, qui s'est informatisé (étiquettes pour les adresses)
mardi 7 (dans ma rue)
rentrant chez moi de nuit, je trouve que quelque chose a changé au niveau de l'éclairage public : la façade de ma maison, ainsi que celle du voisin, sont désormais violemment éclairées (c'est l'effet led, comme je l'apprendrai un peu plus tard)
mercredi 8 (Echo System)
Manue en rigolant avait dit "je t'envoie le pigeon" en désignant le jeune homme à qui elle venait de confier des tickets pour qu'il les porte au bar, de l'autre côté de la pièce, et il a donc traversé la pièce en faisant le pigeon, tandis que  son jean porté vraiment très bas donnait l'impression qu'il allait le perdre d'un instant à l'autre, le faisant s'auto-qualifier, quand on le lui a fait remarquer, de pigeon défroqué
jeudi 9 ((à la poste)
si je n'étais pas allé voir sur le site de l'expéditeur de ce téléphone que j'attendais, je ne me serais pas rendu compte que j'avais mis le mauvais nom de village à la suite du (bon) code postal, et, du coup, je ne serais pas allé à la Poste dès l'ouverture des bureaux avec mon numéro de suivi, pour expliquer tout ça à la postière, qui n'aurait pas écrit le numéro sur un post-it, pour penser à dire aux gars du Tri de modifier cette fameuse adresse dès que le paquet serait flashé dans leur service, et bien sans tout ça, je n'aurais pas eu le colis dans ma boîte en rentrant chez moi en début d'après-midi. Ouf!
vendredi 10 (soirée tarot)
ce 20 d'atout que je mets sur le 18 de Pépin qui venait de couper le roi de carreau de Coralie, et qui, du coup le sauve, et provoque une explosion d'enthousiasme de Manue, produisant une réaction en chaîne qui soulève le tapis qui renverse la bière sur la table le tapis et trempe la feuille des scores
samedi 11 (au cinéma)
A ciambra est programmé à 17h45, mais, comme dans le cinéma de Vesoul on canalise tous les spectateurs en stabulation libre dans le hall pour les faire tous rentrer en même temps, à 18h, toutes les séances, celles de 17h45, de 18h, et de 18h15, je me vois forcé de faire ce que je ne fais d'habitude jamais : remonter la file, en emportant une mamie dans mon sillage, en disant "On a une séance à 17h45...", et arriver dans la salle alors que le film vient quand même de commencer
dimanche 12 (photobox)
un dimanche pluvieux-- de merde- passé en pyjama à faire des calendriers en ligne (pour profiter des dernières promotions proposées par mail), mais la connexion défaille régulièrement et m'oblige à sauvegarder à chaque minute, après avoir perdu, à plusieurs reprises, toutes les modifications parce que je n'avais pas pensé à le faire
lundi 13 (sur la route)
en rentrant du cinéma, sur la dernière portion de ligne droite avant l'entrée du village, je croise, dans le fossé,  du côté de la piste cyclable, un renard, qui attend sans doute que je sois passé pour traverser
mardi 14 (au Théâtre)
un plaisant Hôtel Feydeau, mis en scène par Lavaudant, où je découvre avec grand plaisir qu'André Marcon porte à merveille le costume (et la perruque) de Louis XIV
mercredi 15
(au téléphone)
répondu à une vingtaine de questions pour les présélections d'un jeu-tévé (où je serai le binôme de Marie, qui nous y a inscrits), j'ai eu bon à cette première manche (sans avoir pourtant réussi à me rappeler du nom "du" spationaute français, ni à compléter le refrain d'une chanson d'Obispo, entre autres), la suite vendredi...
jeudi 16 (coîncidence)
l'après-midi, comme chaque fois que je passe devant le marchand de plantes, je pense qu'il faut que je pense à acheter un(e) oxalis, et le soir même, à la télévision, Charlotte Gainsbourg, en promo,  m'apprend que la dernière chanson de son album s'appelle les oxalis...
vendredi 17 (11h/11h30)
incroyable tout ce que j'ai pu faire en une demi-heure : passer au bureau de tabac récupérer un colis de chez Gibert, passer à la MDA pour prendre le courrier et déposer les papiers, passer à la Poste pour envoyer un bouquin... et du coup j'ai même eu encore le temps de passer chercher Catherine à l'école pour l'emmener manger au FJT
samedi 18  (cordonnerie)
après avoir eu par Marie la confirmation que l'échope existait toujours, j'ai donc traversé la ville avec à la main un sac contenant une botte que je souhaitais faire recoudre, pour apprendre, en arrivant devant, via un papier scotché sur la vitre, qu'elle était fermée exceptionnellement ce samedi après-midi là (mais qu'elle serait ouverte lundi après-midi)
dimanche 19 (au Théâtre)
Une Histoire de la  passion magnifique, d'après Bach, par le collectif Le cortège d'Orphée, qui s'ouvre sur un très long silence, comme une immersion, le temps que chacun(e) des seize interprètes (trois musciens sont déjà installés)  entre en scène et y prenne sa place
lundi 20 (au Théâtre, encore)
Quand on va voir un spectacle gratuit (Djihad) organisé par le Conseil Citoyen Rêpes/Montmarin, et qu'il faut faire la queue pour obtenir un ticket d'entrée, l'idéal est que la personne qui délivre les tickets en question soit, justement, votre amie (merci Marie)
mardi 21 (salle 205)
pour la formation Ecole et Cinéma pour Petites casseroles, les enseignantes étaient trois fois plus nombreuses que pour Chantons sous la pluie, la semaine précédente
mercredi 22 (en voiture)
le hasard a fait que c'était Il n'y a plus rien de Ferré qui passait à ce moment, dans le mix que j'avais fait, et, avec Catherine, on l'a écouté attentivement, d'abord à l'aller, puis la fin au retour
jeudi 23 (dans les étages)
Comme Marie me l'avait demandé, je l'ai aidée à transbahuter un lit d'enfant dans ses escaliers malcommodes, qui m'ont bien confirmé que je n'avais plus vingt ans.
vendredi 24 (salle de jeux)
un moment très émouvant, de se retrouver comme ça, toutes/tous là, notre belle équipe, celle de nos plus belles années de travail, pour fêter le dernier jour de travail de Saïda
samedi 25 (la nuit)
sommeil en rondelles : j'en profite pour terminer, en deux fois, les 100 dernières pages de l'extraordinaire (et touchant) Une mort qui en vaut la peine, de Donald Ray Pollock
dimanche 26 (Festival Entrevues)
le soir, avant de repartir, dans le hall du cinéma désormais presque vide, Claude W. me propose un bonbon au coquelicot, acheté la veille à la Ste Catherine
lundi 27 (Noz)
fouillé longuement dans ce bac de "beaux livres à moins 70%", et reparti avec un beau et grand volume d'Abécédaires (La Martinière), heureux comme un gamin
mardi 28 (Belfort)
On est reparti plus tôt que prévu (après la séance de 18h) parce que ça faisait un petit moment qu'il s'était mis à neiger, dehors les voitures étaient blanches, et le paysage aussi (mais à Vesoul, après, rien)
mercredi 29 (au Théâtre)
assis sur la scène, au premier rang, (dans ce "dispositif bi-frontal"), pour deux pièces d'Eschyle adaptées par Olivier Py, n'en avoir retenu que cet alexandrin "Que t'a donc apporté d'avoir aimé les hommes? "
jeudi 30 (sncf.fr)
appris incidemment, de la bouche d'un contrôleur sympathique, que, pour les billets de ter achetés sur internet, seule la date est prise en compte par le contrôleur, l'horaire n'étant donné qu'à titre indicatif

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