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lieux communs (et autres fadaises)
9 avril 2018

insoupçonnable

 

(je me réveille)

(je suis à moitié étouffé, j'ai eu une remontée de bile dégueulasse, j'ai le sentiment que ma respiration est obstruée, et la machine me souffle à donf dans les narines... je tousse beaucoup, et je mettrai plusieurs minutes à me remettre, assis sur le bord de mon lit, pour retrouver une respiration normale et me calmer... Je me rendormirai sans la machine)

j'ai rêvé que j'avais assassiné Martine T mais que j'étais insoupçonnable. Pourtant les flics enquêtaient mais j'étais sûr d'avoir effacé toute trace, d'avoir pensé à supprimer tout élément qui me rattachait à elle. Je me disais que la seule chose qui pouvait me trahir, ce serait ma réaction lorsque les flics m'interrogeraient : je risquais de devenir tout rouge, de bafouiller, et alors ils sauraient. je sais que je suis un meurtrier mais je suis le seul à le savoir.

un peu plus tard (un peu plus tôt ?) dans le rêve, je marche avec Jean-Marc T. Nous descendons le long d'une falaise très accidentée, c'est dur de conserver son équilibre, j'ai peur de glisser et de tomber, je ne le vois plus mais je l'entends tenir des propos incohérents, répétant les mêmes mots sans fin. J'ai réussi à franchir un petit surplomb herbeux, mais je suis accroupi et ne pourrai pas me relever, je lui dis alors qu'il va devoir prendre mon bras pour m'aider à me remettre debout (ce qu'il fait) mais ce n'est absolument pas Jean-Marc T.c'est un jeune homme qui souffre d'une maladie mentale, ce qui explique qu'il répète sans cesse la même chose...

En arrivant en haut de la falaise, il ya  les flics, qui continuent leur enquête et qui contrôlent les gens. C'est une fliquette qui me regarde passer, au début avec un air soupçonneux, puis elle fait signe à son collègue qu'il peut me laisser repartir, que ce n'est pas moi qu'ils recherchent

je marche dans une ville la nuit en compagnie du jeune homme qui répète toujours la même chose, et je me souviens que, juste après le crime, je suis allé voir Catherine et je me suis comporté de la façon la plus naturelle possible (comment d'ailleurs ai-je pu réussir à faire ça ?) et donc je suis quasiment sûr de pouvoir donner le change et ne pas me faire arrêter

nous cherchons l'adresse de quelqu'un, dans une barre de HLM

dans mon rêve je me réveille alors et je réalise que je n'ai pas pu la tuer, puisque je l'ai vue lors du dernier festival, elle était vivante, je suis rassuré

mais non, je réalise alors qu'elle est vraiment morte, que c'est bien moi qui l'ai tuée, je vais devoir vivre avec ça le reste de ma vie et rester sur mes gardes

je suis avec une femme assez âgée (une amie de Martine T.?), dans un bureau assez cossu, et elle trie des papiers et des objets que j'examine au fur et à mesure (il y a des choses qui m'appartiennent, des papiers sur lesquels j'ai écrit) en vérifiant bien que je n'y ai laissé aucune trace compromettante) cela commence à s'amonceler sur le bord de son bureau

elle me propose alors de massicoter des papiers, je lui explique que je n'ai jamais utilisé de massicot comme ça, elle me répond que c'est très facile, qu'il faut juste aligner les paquets de feuilles en se basant sur les repères de couleur. Je commence donc à prendre des liasses que j'empile dans le massicot, c'est compliqué, elles ont toutes des dimensions différentes, et je ne vois pas comment il va être possible de les aligner et de les couper correctement

je change de sujet avec trois bandes dessinées qu'elle me tend, et dont je lui dis qu'elles m'appartiennent (je me souviens que dans le troisième tome -que j'ai dessiné moi-même- il y a peut-être des choses qui pourraient me trahir, je dois absolument le récupérer, elle me tend donc les trois volumes, de la taille et du style de Yakari, et elle me fait remarquer en rigolant que, sur le deuxième, en première page, il  y a non seulement le tampon de l'école, mais qu'une élève a aussi écrit son prénom dessus, comme s'il lui appartenait à elle

(je me réveille)
(cette fois je me rendors avec la machine...)

je suis avec deux employés municipaux (ils ont des tenues de travail d'un joli bleu pétant) qui font les idiots (ils prennent leur pause?) ils sont assis face à face sur deux chaises très proches, ou peut-être même bien sur la même chaise d'ailleurs... Au début ils font juste les clowns, se font des grimaces, mais ils se rapprochent de plus en plus, se touchent, se frottent, ça devient troublant, au point de me donner l'idée de sortir mon téléphone pour les photographier (je vois ensuite la scène sur l'écran de mon téléphone, et je vois que l'un des deux a même sorti sa bite, mais que la photo est floue, je me dis alors qu'il vaudrait mieux que je les filme...)

(je me réveille)

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