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lieux communs (et autres fadaises)
1 juin 2018

mai 2018

mardi 1er (parking)
eu envie d'aller vérifier s'il y avait quand même des mecs qui travaillaient aujourdhui : il y en a, quelques routiers étrangers, mais qui dorment surtout, et j'en profite pour terminer le délicieux La fonte des glaces (de Joël Baqué)
mercredi 2 (à la cave)
j'ai bien fait de changer de fournisseur de fuel (depuis l'année dernière, grâce à mon voisin) : le livreur qui est venu ce matin est sympathique, rigolard, calme, ça me change de l'insupportable bourrin (et qui gueulait tout le temps) que j'avais dû me coltiner toutes les années précédentes
jeudi 3 (chez la voisine)
expérimenté la dure réalité du concept de "démonter les couches" (suite à l'immobilisation forcée de Jean-Fran, Christine m'a demandé de l'aider) : dévisser, désolidariser, revisser, transporter et ranger les planches desdites couches
vendredi 4 (sur la route)
après avoir (merveilleusement) roulé pendant cinq heures sur l'autoroute (je conduisais), Dominique a réussi à nous concocter, pour les 150 derniers kilomètres, un itinéraire "touristique" via les routes les plus minuscules qu'elle a pu trouver
samedi 5 (Bellou)
comme un avant-goût de Noël, on a mangé des escargots (que Malou et Dominique avaient ramassés l'année dernière), quasiment une douzaine chacun(e)
dimanche 6 (Moulicent)
comme d'hab' le beau temps, comme d'hab le barbeuk' ("Tu sens déjà la fumée...") et comme d'hab' pas assez de lard (et comme d'hab' j'ai calciné les deux pauv'tranches)
lundi 7 (Maugis quelque chose)
une promenade matinale qui m'essouffle et m'assoiffe, heureusement suivie par un repas réconfortant au Café des amis, où nous nous étions entrés juste pour nous désaltérer (Pascal et moi) en attendant les filles, qui, elles,  avaient fait un ultime détour pour "apercevoir un manoir"
mardi 8 (cuisine)
Malou nous a concocté une tarte aux flocons (délicieuse), dont la particularité est qu'on n'en trouve pas la recette sur internet (et que celle qu'elle avait (Malou) était plutôt vague)
mercredi 9 (Bretoncelles)
difficile de trouver sur le ouaibe l'heure exacte d'ouverture de la bonne boulangerie (ici 7h30, là 10h30) devant laquelle on s'est garés juste avant 10h (ce qui était, justement, la bonne heure)
jeudi 10 (sur la route)
rentrés donc un jour plus tôt que prévu, autoroute merveilleusement vide (moins de poids lourds que sur les doigts des deux mains), et heureusement que Dominique était là, puisque c'est elle qui a conduit le plus (un grand moment au départ et un autre à l'arrivée)
vendredi 11 (à la cave)
une journée qui commence mal (chaudière, chauffe-eau, nouveau compteur électrique) mais se termine mieux (le joli chauffagiste me dévoile gentiment -et involontairement- son caleçon jaune imprimé façon BD)
samedi 12 (Besac)
le temps d'un aller-retour pour voir Plaire, aimer, et courir vite de Christophe Honoré (séance à 13h10), difficile de trouver le temps de manger (incident dit "de la ficelle chorizo-comté"")
dimanche 13 (Super U)
après les avoir repoussées pendant deux jours, suis quand même allé les faire, ces courses, et acheté de quoi préparer des épinards à la florentine (une idée, comme ça)
lundi 14 (à la maison)
se rendre à l'évidence : il semble que l'élève a dépassé le maître  (oui Marie est devenue bien plus forte), et donc accepter qu'elle me batte désormais régulièrement au scrabble
mardi 15 (chez le voisin)
Merci à Jean-Fran qui a réussi à sauver les 78 films que j'avais enregistrés sur mon (défunt) graveur (et dont j'étais quasiment prêt à faire le deuil, tellement ça me semblait sans solution)
mercredi 16 (dehors)
un orage qui a pris son temps pour mûrir (comme un abcès), lumière maladive, avant de finir par éclater (pluie très violente) puis de disparaître comme il était venu (retour du soleil et du ciel bleu)
jeudi 17 (au cinéma)
dans la salle 1, ce -pas si courant- moment de silence et d'immobilité qui a succédé à la fin du générique de Mes provinciales, de Jean-Paul Civeyrac
vendredi 18 (fjt)
peut-être fus-je troublé par ce soudain nuage de pompiers au bar, ou par la virile procession lors de la sortie des Rodesch', toujours est-il que j'ai confondu uchronie et dystopie, à propos de Transit, de Christian Petzold
samedi 19 (mms)
tiens, Dominique m'a envoyé hier une photo de l'aile emboutie de sa chère Opel à Ginette, que je n'ai vue que ce matin, et donc je l'ai appelée (à cause d'una attache de caravane me dit-elle)
dimanche 20 (Authoison)
avec Manue, on a pris le café dehors, au soleil, devant la maison, oui, on a lézardé, au milieu des iris, des arums, et des pivoines (encore en bouton mais riches de promesses)
lundi 21 (au pain)
pris en vain la voiture pour aller acheter du pain, espérant trouver ouvertes une de mes boulangeries habituelles (ah, mon "petit épeautre"...), mais non (qui donc m'avait affirmé "mais tout est ouvert ce jour là!" ?) à la troisième j'ai fini par renoncer
mardi 22 (à pied)
marché deux fois ce même jour, la première en fin de matinée (une manif plutôt bon enfant, même si pas assez conséquente) et la seconde en début d'après-midi (un horrible tour de lac en plein soleil sans vent ni ombre ou presque)
mercredi 23 (fjt)
tiramisu(s) : dans la coupelle carrée (que j'avais choisie parce que je pensais que c'était là qu'il y en avait le plus), il y avait, au fond, des morecaux de fraises ; dans le verre (que catherine avait choisi parc e qu'elle pensait que c'était là qu'il y en avait le plus), il n'y avait que du biscuit...
jeudi 24 (plate-bande)
c'est une rude tâche  que d'éradiquer complètement un buisson d'iris (parce que sans couleurs ou presque), je m'y suis attelé à la fraîche, armé du pic prêté par ma voisine (et de la pelle que je lui ai ensuite empruntée)
vendredi 25 (parking)
ça m'a semblé une bonne idée (et quasiment un geste artistique) de venir ici pour  terminer Amours sur mesure de  Mathieu Bermann (POL) tellement la distance était grande entre le contenu du livre (parisien, cultivé, bisexuel, intello) et mon environnement de lecture (routiers en short, familles en camping-car, convoi exceptionnel)
samedi 26 (au jardin)
aidé aujourd'hui ma voisine à planter des haricots (son mari étant toujours immobilisé) ; appris aussi le mot poquet (groupe de 7 haricots, tous les 30cm)
dimanche 27 (piscine)
après l'avoir maintes fois rebâchée, puis, pour la première fois ce jour, débâchée, j'y ai, en fin de journée, "trouvé l'eau si belle que je m'y suis baigné" (24°) pour la première fois de l'année ("au début elle est froide, mais après elle est super bonne...")
lundi 28 (dehors)
juste au moment où je sortais de chez moi pour partir à pied rejoindre Catherine, il a commencé à pleuvoir, et je suis donc rentré pour me changer (et partir au fjt en voiture)
mardi 29 (chez les voisins)
Fabienne m'a donné un gland germé qu'elle a trouvé dans le jardin, (probablement transporté par un oiseau puisqu'il n'y a pas de chênes ici), et j'ai du coup ramené chez moi ce bébé chêne que j'ai envie de replanter (mais où ?)
mercredi 30 (fjt)
ce jeune maçon couleur caramel au beurre salé, (que j'aime tout particulièrement), m'a -involontairement- remercié de lui avoir proposé le dernier pichet à eau disponible (on en avait deux sur notre table) en me dévoilant, au dessus de son short bleu, la naissance de sa raie, avenante comme une fossette
jeudi 31 (rue des ursulines)
j'y ai trouvé une place pour me garer (la dernière) en allant jouer au scrabble chez Marie, et j'en ai profité pour rayonner et joindre l'utile à l'agréable (scrabble donc, rendez-vous impromptu chez la coiffeuse, bière bienvenue  chez Pépin)

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