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lieux communs (et autres fadaises)
1 février 2019

janvier 2019

mardi 1 (à la télé)
en rentrant de Gy, à trois heures et quelques, j'ai allumé la télé et  je suis tombé sur une scène de Xenia, où les deux jeunes frères prennent leurs aises dans un hôtel désaffecté et dansent, notamment, en slip, (qui est justement ma scène préférée dans ce film) et j'y ai donc vu un signe positif pour démarrer cette année-ci (on fait ce qu'on peut, hein)
mercredi 2 (Navenne-sur-mer)
ai rendu visite à Michèle, de retour dans cet endroit qu'elle a ainsi affectueusement rebaptisé, (la hanche, après le genou), avec un livre d'énigmes cinématographiques et une sucette au chocoçlat avec une effigie de père noël dessus (on a beaucoup ri)
jeudi 3 (ici et là)
les fêtes de fin d'année, les réveillons, les vacances tout ça c'est bien beau mais il faut bien redémarrer : ai donc envoyé un sms à Catherine pour le repas de midi au fjt, et un autre à Marie pour un scrabble en début d'après-midi (oui, reprendre les bonnes habitudes)
vendredi 4 (Authoison)
cette année c'est moi qui ai dégainé la -rituelle- galette le premier, une à la crème d'amande, qu'on a partagée avec Manue et son neveu Charles, en buvant du cidre rosé (offert par la boulangerie pour l'achat de la galette) et c'est moi qui ai trouvé la fêve (une mignonne toupie de porcelaine, et qui fonctionne!)
samedi 5 (Cuse)
re-galette mais cette fois en deux déclinaisons, comtoise et pistache/griottines, mangée à la mi-temps entre deux manches de scrabble (nous étions huit ce jour chez Catherine, sept jouaient -une table de quatre et une table de trois- et un lisait...
dimanche 6 (de bon matin)
ça fait un drôle d'effet d'être réveillé à 5h45 par le bruit de la sonnette et la lumière des gyrophares (descendre précipitammant, pieds nus, et ouvir la porte à un pompier qui me demande si c'est moi qui ai appelé les pompiers -non non-) finalement c'est chez la voisine qu'ils allaient, mais je n'ai pas réussi à me rendormir ensuite
lundi 7 (à l'hôpital)
enfin il est arrivé le jour de ce rendez-vous tant attendu chez l'ophtalmo, à l'heure dite je suis entré dans la salle d'attente C dont je ne suis reparti que deux heures et demie plus tard (quel plaisir qu'une "vraie" consultation, par une jeune interne attentive, délicieuse)
mardi 8 (priceministruche)
on m'informe qu'un de mes souhaits est réalisé (un livre que je cherchais est en vente à trois euros et quelques chez Gibert, mais comme le port est gratuit à partir de 15€ je fouine dans les rayons pour atteindre cette somme et je tombe sur les soldes dans la collection Rivages Noir, que j'affectionne particulièrement ; le temps de faire mon choix parmi les multiples propositions puis de finaliser mon panier et de valider mon achat, j'apprend que le premier livre en question (le souhait réalisé) a été retiré de mon panier  parce qu'il a, entre temps, été acheté par quelqu'un d'autre...
mercredi 9 (opticien)
je suis allé chez celui-là sur les conseils de Marie et parce que je croyais qu'un de mes voisins y travaillait (renseignement pris, ça fait plus de dix ans qu'il a quitté la boutique), je suis entré en souhaitant acheter une paire de lunettes bleues avec des verres qui foncent (photochromiques) plus une paire de solaires (à verres progressifs) pour 1€ supplémentaire, et c'est exactement ce que j'ai acheté
jeudi 10 (au ThéV')
reconnu successivement, dans cette mise en scène de Marivaux par Podalydès (vue en compagnie de Coralie grâce à Pépin) plusieurs acteurs : celui qui joue le juge and Engrenages, celui qui jouait dans Memory Lane de Michael Hers, et celui habitué des films de Podalydès (le frère), sans oublier celui aux côtés de qui Pépin avait joué à Bussang...
vendredi 11 (entre St Loup et Conflans)
en revenant du funérarium, avec Catherine, on a trouvé que la neige sur les arbres ça enchantait le paysage (et qu'il y en avait plus que chez nous) et on s'est arrêté sur un parking pour prendre des photos de troncs d'arbres enneigés
samedi 12 (NPA)
Le Bureau n'ayant pas daigné nous accueillir juste pour y boire une bière après La tendre indifférence du monde, on a du repartir en ville (c'est Manue qui nous a conduits) pour pouvoir la boire, cette fameuse bière, dans ce troquet qui me rappelle invariablement mes jeunes années (et les petits vélos qu'on y buvait)
dimanche 13 (chez les voisins)
cette fois on était six pour le okey, et on a donc joué avec un mort (celui qui gagnait laissait la place et faisait le service pour l'apéro) mais je suis le seul à n'avoir pas quitté ma chaise de la soirée : oui oui j'ai tout perdu!)
lundi 14 (repro system)
trés compliqués à boucler, mes voeux 19 (19 voeux uniques dans 19 enveloppes dont les adresses sont collées seulement après -laissons faire le hasard-) et à les faire imprimer (et massicoter) -je n'en avais pas assez, mais 19 c'est 19- (je me dis que j'en referai d'autres)
mardi 15 (la prog)
bien du mal à la boucler, celle de février! ça m'agace, encore une fois, de faire la remarque que il n'y a qu'ici (dans le bôô cinéma) que  les vacances scolaires de 15 jours durent trois semaines
mercredi 16
(au cinéma)
égalité des sexes : à la séance de Doubles vies, je suis le seul homme parmi cinq femmes dont l'une, assise juste derrière, ne verra pas grand-chose du film (et va assez vite m'agacer), puisqu'elle se met à ronfler aussi sonorement qu'un homme (son attitude disloquée entr'aperçue en me retournant  suggère un sommeil incommode)
jeudi 17 (en allant à Thann)
heureusement que c'est Hervé qui conduit : j'aurais eu du mal à négocier correctement ces deux séries de lacets et de virages en épingle à cheveux très serrés , qui montent et  tournent beaucoup (et dont le gps confirme en temps réel la configuration)
vendredi 18 (au bar du Théâtre)
ça me fait toujours quelque chose lorsque, après un spectacle, on est resté suffisamment longtemps ("Tu veux boire un coup ?") pour voir arriver les acteurs dudit spectacle, on leur dit bravo bravo, ils répondent merci en faisant mine de rosir, et commandent un verre de rouge (ce sont des hommes et des femmes comme vous et moi, simplement, et j'ai un peu de mal à faire le lien avec ceux qui quelques instants avant virevoltaient sur scène)
samedi 19 (La Femme du Boulanger)
Mimi avait pris une "permission longue" et nous sommes donc allés manger là ce midi de façon fort plaisante ma foi (deux jeunes serveurs attentionnés dont un d'origine turque avec une ombre de moustache qui m'évoquait un ancien élève) car étant arrivés les premiers ou presque nous y fûmes servis sans attente ou presque
dimanche 20 (devant le bôô cinéma)
j'arrivais pour voir La prière, elles venaient de voir Leto et nous nous sommes croisés devant les portes, je les ai trouvées tellement mimi toutes les deux avec leurs manteaux à capuches bordées de fourrure -fausse ou vraie- (il faisait frisquet et même ça neigeouillait) que je n'ai pas pu résister au plaisir de les photographier
lundi 21 (bulletin de santé)
à quoi ça tient hein : hier tout allait bien, et voilà que ce matin je suis tout cagneux, comme une envie de gerber, puis la sensation de froid, et ce gros ganglion qui pousse sous l'oreille mon dieu l'après-midi de pire en pire me voilà quasiment mourant (les mecs détestent être malades)
mardi 22 (médecin)
j'avais obtenu un rendez vous à 19h ("le docteur a une heure de retard..." m'avait dit la secrétaire), et je suis passé une heure plus tard ; comme a dit une jeune qui entrait (et ressortait) avec son copain pour la troisième ou quatrième fois "Il fait des heures supp!" (en fait il m'a diagnostiqué je n'ai pas trop compris quoi, et il avait surtout envie de me parler un peu des gilets jaunes...)
mercredi 23 (météo)
de toutes façons il falllait que je sorte pour aller chercher mes médicaments, j'ai donc pris la voiture, valeureusement, au moment où il neigeait le plus fort (si si) et que la route n'était pas vraiment dégagée (re si si), et du coup j'ai poussé jusqu'au Super U pour aller faire des provisions, des fois que ça ne s'arrête jamais (mais quand je suis re-sorti, ça commençait déjà à fondre!)
jeudi 24 (entre Dijon et Gray)
la surprise et le plaisir de voir soudain apparaître dans la lumière des phares, au bord de la route, un jeune faon immobile, comme s'il attendait sagement de pouvoir traverser sans encombre
vendredi 25 (transport)
suis allé chercher Dominique (qui venait de Besançon en Mobigo à 1,50€) au "Pôle Multimodal" (en vrai, ça veut juste dire "la gare routière") à11h05, et l'ai ramenée au même endroit, après le cinéma, pile-poil pour 15h50
samedi 26 (prévisions)
météofrance avait lancé une alerte orange pour pluies verglaçantes pour quatre départements dont le notre et, du coup, j'ai attendu la fin de l'après-midi pour oser sortir et aller faire des courses (et me rendre compte qu'il n'y avait rien)
dimanche 27 (recettes)
me suis interrogé en trouvant sur internet les mille variations d'une recette pourtant simple : le gratin d'endives au jambon (par exemple ceux qui coupent le bout, ceux qui coupent en deux en long, ceux qui coupent en rondelles, ceux qui cuisent 10' ceux qui cuisent une heure, ceux qui font égoutter une heure, etc. -Perec se serait régalé et nous aurait un peu organisé tout ça-)
lundi 28 (Vesoul-Besac & back)
ça y est je l'ai enfin pris ce fameux bus à 1,50€, même si ça s'annonçait mal : les horaires annoncés sur Internet ne coiïncidaient pas avec ceux du panneau sur le quai, mais si si le bus en question (celui qui part à 11h25 et arrive à 12h20) existait bien, même si son horaire n'était (malencontreusement) pas mentionné (retour conseillé : 19h10 ou 20h10)
mardi 29 (fjt)
mangé avec Catherine, mais pas de tour de lac ensuite, notre emploi du temps "habituel" est un peu bousculé tous ces derniers temps, et j'aspire au retour de notre aimable routine
mercredi 30 (Gabriel)
presque déçu, finalement : les chaînes météo avaient annoncé l'apocalypse, deux flocons sur les tableaux prévisionnels, jusqu'à cinq centimètres au sol, des vents violents... et ici, rien, à peine quelques floconnets qui n'ont même pas blanchi la route
jeudi 31 (coïncidence)
à midi en dessert il y avait (entre autres) justement le dessert dont j'avais cherché hier des recettes sur le ouaibe : un gâteau de crêpes (et celui-ci était au chocolat) (et j'ai préféré le garder pour le goûter)

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