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lieux communs (et autres fadaises)
1 décembre 2019

novembre 2019

vendredi 1er (visite)
un jour férié où, de façon inhabituelle, je n'ai pas traîné en pyjama toute la journée (je suis même sorti pour acheter du pain!) ce qui m'a permis d'accueillir de façon décente Christine et Jean-Fran (qui revenaient du cimetière) et de leur offrir un café
samedi 2 (ordinateur)
j'ai pris plusieurs dispositions (arrangements) (que j'aurais dû prendre depuis longtemps déjà), pour régler certains comportements personnels d'addiction(s) informatique(s) dirons-nous, et, d'une certaine façon, je m'en suis récompensé, tiens,  en allant voir Mon chien Stupide
dimanche 3 (Coulevon)
plaisir de voir, en arrivant sous la pluie, de la lumière dans mon ancienne maison, et d'entr'apercevoir par la fenêtre de la cuisine, allumée, que Théo (le nouveau locataire, a joliment décoré les carreaux de celle-ci
lundi 4 (on joue)
au premier tour MARIE  place HOB(E)REAU sur le E de BENNES (x4 = 102), puis au tour suivant, ayant, contre toute probabilité, tiré le X, elle le complète en HOBEREAUX en plaçant DOUX dans l'autre sens (51 points)
mardi 5 (cadeaux)
attendrissant, ce que me donne Manue : dans une cuvette émaillée blanche (pour remplacer celle rouge et en plastoche du papyrus, une pile d'Inrocks (une bonne dizaine), pour lire aux toilettes, et, cachés en dessous, six oeufs de ses poules (pour préparer des bonnes choses)
mercredi 6 (Besac)
toujours le bonheur de voyager en bus, puis celui d'un repas au Royal avec Dominique, avant un magnifique film au Victor Hugo (J'ai perdu mon corps), puis un rapide passage à Forum (deux polars de James Sallis en occase), et à Monop' (deux tablettes de mon chocolat préféré), bref que du bon temps!
jeudi 7 (petits sous)
dans un grand élan de courage insensé j'ai réussi à joindre le service concerné (à partir du bip sonore 0,6€/minute en plus du tarif habituel de la communication), où on a éclairé ma lanterne. Pourquoi ma pension a diminué de 3€ et quelques ? parce que mon taux d'imposition est passé de 7,6 à 7,7%! cqfd (mais je n'ai pas voulu prolonger la conversation pour savoir pourquoi mon taux de machin avait augmenté)
vendredi 8 (gros sous)
oh les gros enculés de banquiers (ou de politiques ou de fiscalistes que sais-je): je solde mon PEL, j'avais donc légitimement droit  à 333,24€ d'intérêts bruts pour l'année, sauf que, sur le papier que m'a imprimé mon conseiller, sur la ligne en-dessous, il est spécifié que me sont retirés de ce montant, en tant que prélèvements fiscaux (dont j'ai d'ailleurs à la suite une liste aussi minutieuse qu'incompréhensible) rien moins que 311,23€, et  que les intérêts nets s'élèvent donc à... 22,01€ ! Oh les salopards!
samedi 9 (musique)
je ne suis pas allé voir Sidi Larsen à Scey parce que j'étais mourant ou quasiment, et du coup me suis fait une soirée musique dans mon salon (et dans le noir) et au chaud avec pour commencer  Rock Bottom, de Robert Wyatt, cet immarcescible, indéfectible compagnon des soirs de lâcher-prise, de dérive, de désir d'immersion et de laisser-aller
dimanche 10 (chez Co&Pép)
le plaisir d'une soirée tarot-raclette avec les aficionados organisé à l'arrache, le plaisir que tout fonctionne, le plaisir de jouer, le plaisir de manger et de boire, le plaisir de beaucoup rire (et le petit plaisir supplémentaire, personnel, la cerise sur le gâteau, d'avoir été en tête toute la soirée et de terminer seul positif hihihi)
lundi 11 (dring dring)
un coup de fil de Philou qui m'informe que dans quelques heures ils vont, avec Fran, prendre le train pour Paris, où ils passeront la nuit, avant, demain matin, de prendre l'avion pour Cuba... rendez-vous fin novembre, amigos!
mardi 12 (concert)
c'est vrai que celui-là on l'attendait tout particulièrement, celui de Bachar Mar-Khalifé ; comme Babx il y a une quinzaine, il était seul sur scène au piano, ce qu'il a joué était magnifique, là n'est pas la question, mais hélas ça a été un peu chiche question durée : il était annoncé "1h15 environ", je ne sais même pas si on a atteint l'environ... (donc un peu de déception, de frustration...)
mercredi 13 (commerce)
ça y est, elle est ouverte la nouvelle librairie qu'on avait vue en travaux il y a quelques mois, elle s'appelle RESERVOIR BOOKS, elle est belle comme tout, je m'étais promis d'y acheter un livre, et donc j'achète 77 dont j'avais envie depuis quelques temps, en plus d'un joli paquet-cadeau, le patron m'offre un des services de presse que son collègue venait de lui apporter : 90 films-culte à l'usage des personnes pressées
jeudi 14 (livre)
j'ai enfin reçu le texte de Ne croyez surtout pas que je hurle, un beau petit livre rouge édité par Capricci, en le relisant, je revois certaines des images associées, mais je m'aperçois surtout qu'il y a un (des) passage(s) que  je ne me souviens pas du tout d'avoir entendu(s) (peut-être dormais je alors ? ce qui m'attriste)
vendredi 15 (lubie)
avant d'aller au cinéma, je fais le tour des magasins d'électro-ménager de la zone commerciale (et il y en a un certain nombre) avec l'envie pressante d'acheter un gaufrier (mais un bon gaufrier, contrairement à ma précédente -et malheureuse- expérience), ça m'occupe presque une heure, mais en fin de compte je repars les mains vides
samedi 16 (de fil en aiguille)
c'est d'abord une chronique dans Libé sur La nuit du au 15, un livre de Dider da Silva (qualifié dans l'article de "chronopathe") dont le résumé m'appâte suffisamment pour que je pousse jusqu'à priceministruche pour en savoir plus sur les autres livres de cet écrivain (et déposer un souhait pour celui-ci), - là  j'apprends que ce monsieur tient aussi un blog intitulé Danses de travers (comme Erik Satie), dans lequel je vais illico  m'immerger pendant un certain temps, puis je reviens commander quelques-uns de ses livres
dimanche 17 (et glou et glou)
Coralie et Pépin, rentrant tout  emmitouflés de la Braderie me font le plaisir de me rendre visite, et, après avoir profité de la présence de Pépin pour changer cette ampoule fort haut placée qui me posait problème, je leur offre un apéro (vin de noix, Fernet-Branca ou rouge cerise-piment ? ce sera cerise-piment)
lundi 18 (Amis du C)
quel plaisir d'annoncer, sur la nouvelle programmation, la diffusion des nouveaux films de deux de mes réalisateurs chéris : Terminal Sud, de Rabah Ameur-Zaimèche, (à partir du 11.12) et It must be heaven, d'Elia Suleiman, à partir du 25.12 (ce qui n'est pas tout à fait un créneau optimal...)
mardi 19 (le grand embouteillage)
d'abord une annonce "accident à la sortie n" puis, à 14km de Belfort un camion de l'équipement prevenant "bouchon", et, les dix kilomètres suivants à rouler au pas, voire pas du tout, et ce jusqu'à la fameuse sortie n, à prendre son mal en patience (parti à 8h15, arrivé à 10h15!)
mercredi 20 (vieille ville)
laissé ma voiture au parking du cinéma puis parti à pied jusqu'à la Banque Pop' pour me procurer un rib (je n'ai pas emporté mon chéquier), afin de pouvoir faire une demande de remboursement à l'hôtel (parce que l'employée m'a hier soir étourdiment facturé 9 petits déjeuners au lieu de 3)
jeudi 21 (journée exploitants)
le plaisir  intact, retrouvé de faire partie de ce petit groupe de privilégiés et ses rites café / croissants / retrouvailles, avant de commencer, de bonne heure, le visionnement de films en avant-première dans une salle rien que pour nous (ce matin, à la 14, on a vu LA FILLE AU BRACELET et NUESTRAS MADRES)
vendredi 22 (gourmand)
de retour d'Entrevues, passé par chez Coralie et Pépin, pour récupérer mon courrier (qu'ils m'ont gentiment gardé), où j'ai été accueilli... royalement avec un assortiment de douceurs : une mousse au chocolat, du pain d'épices fait maison, et un bon petit café... (ah, les amis)...
samedi 23 (emploi du temps)
beaucoup de choses à faire le matin (poste, courses, Super U, des livres à récupérer ici, puis là) et, du coup, l'après-midi rien de rien, juste je reste au chaud à traîner en jogg (même pas le courage de re-sortir pour aller re-chercher ma voiture pour re-prendre la place de stationnement juste en bas de l'appart' laissée libre par le voisin, c'est dire...)
dimanche 24 (sur la route)
la surprise,en allant fêter les 75 ans de René aux Bâties, de découvrir, dès la sortie de Vesoul, que "le brouillard a tout mis dans son sac de coton..." (moins poétiquement, une sacrée fichue purée de pois qui empêche toute visibilité sans interruption jusqu'à l'arrivée)
lundi 25 (Entrevues)
j'y suis retourné pour le dernier jour (à l'aller avec Jacky au retour avec les Bousrez), et c'était finalement boucler la boucle que de voir, en tout dernier film J'AI ENGAGE UN TUEUR de Kaurismaki (qui était justement le tout premier film de la semaine que je n'ai pas pu voir parce qu'il était complet)
mardi 26 (chaudière)
ce n'est pas le patron de l'entreprise, comme annoncé, qui est venu effectuer l'entretien annuel, mais l'employé, un employé arrivé plus tard que prévu, et qui paraissait d'assez mauvaise humeur et surtout me parlant comme s'il m'en tenait pour personnellement responsable (mais qu'y pouvais-je donc ?), ce qui m'a relativement agacé
mercredi 27 (local)
nous étions peu pour la mizenplis de la nouvelle programmation, et nous n'aurons donc pas le temps de faire du rangement ni même un peu de ménage pour le pot rituel qui se tiendra au local de notre association, vendredi, après notre assemblée générale  (tant pis hein, nos adhérents verront notre foutoir comme il est vraiment)
jeudi 28 (rdv)
pas de scrabble cet après-midi (pourtant ça fait longtemps) mais je retrouve Marie au cinéma, pour aller voir un  très joli documentaire (68, MON PERE ET LES CLOUS),  qui nous met les larmes aux yeux et le coeur en joie
vendredi 29 (AG)
j'en suis sorti particulièrement guilleret, puisqu'il s'avère que nous allons avoir -enfin- un nouveau trésorier (un gentil monsieur a proposé sa candidature lorsqu'Hervé a fait appel aux volontaires)
samedi 30 (pic de glycémie)
tout au long de la journée j'ai grignoté ce gâteau délicieux (de l'avis de chacun-e-) que je ne mange qu'une fois par an (j'en commande 3 ou 4 pour notre assemblée générale, et je ramène ce qui reste à la maison)

Commentaires
Z
En 2020... prends-en 4 comme ça je pourrais en manger davantage sans me dire que tu n'en auras pas pour le petit-déjeuner du lendemain !!
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