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lieux communs (et autres fadaises)
6 décembre 2019

calendrier d'avent 2019.6

6 décembre

5 décembre 2019

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5 décembre

4 décembre 2019

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4 décembre

3 décembre 2019

calendrier d'avent 2019.3

3 décembre

3 décembre 2019

baguette d'angle

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68, MON PERE ET LES CLOUS
de Samuel Bigiaoui

Et voilà déjà le dernier film de notre Mois du Doc (que j'ai trouvé cette année vraiment d'un excellent niveau), un film que je n'avais pas repéré (qui avait été suggéré par Hervé). Le réalisateur filme son père dans la boutique, Brico Monge, un magasin qui vend du bois mais pas que, qu'il tient depuis plus de trente ans mais qu'il vient de mettre en liquidation... Tout le film se passe dans ladite boutique (ou ses environs immédiats), on fait connaissance du papa, du magasin, des vendeurs (eux aussi là depuis plus de trente ans, les clients, les habitués, et c'est très émouvant. déjà le sujet (un fils filme son père) ne pouvait que me toucher, mais là en plus il est question de quelque chose qui est en train de s'arrêter, qui disparaît irrémédiablement, un petit commerce de proximité, mais aussi une certaine idée de la vie en général et du rapport aux gens en particulier... Il est question de bois, de moulures de voliges de corniches, mais aussi, et surtout, d'humanité. c'est doux, c'est tendre, c'est émouvant, c'est bouleversant. Le père est un personnage d'autant plus touchant qu'il fait tout ça comme il l'a toujours fait : simplement, sans esbroufe (il évoque aussi, de la même façon, sa jeunesse soixante-huitarde).
Un film qui fait du bien (comme a dit Marie à la sortie).
Pudique, subtil, intime, affectueux, tendre, sont les qualificatifs qui fleurissent au long des critiques, et c'est très juste.
Et je terminerai, une fois n'est pas coutume, en citant le Moônde  via allocinoche) : "Le fils filme le père avec ce que leur relation implique de non-dits pudiques et de rugueuse tendresse."
Je n'aurais pas mieux dit.
(En plus, avec Marie, on s'est fait la même réflexion : on a tous les deux pensé plusieurs fois à Coralie : elle aurait été malade en voyant tous les jolis meubles à tiroirs qu'on voit dans le magasin du papa...)

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2 décembre 2019

calendrier d'avent 2019.2

2 décembre

2 décembre 2019

un rêve agréable

je suis à Londres (nous sommes à Londres, beaucoup de gens, Dominique, Malou, Emma, )
la journée va être particulièrement agitée, c'est le Jubilé de la Reine qui va être fêté, un événement important qui va mettre le bazar dans la ville et les transports en commun

je marche dans un espèce de centre commercial, de galerie marchande plutôt, et je croise dans une allée (qui ressemble plutôt à un parking souterrain) un jeune homme souriant qui me tend la main, engage la conversation (en anglais) en me montrant mon sac à dos, et je comprends qu'il me propose de me le racheter car il en a besoin, je suis un peu méfiant au départ, je réussis à lui baragouiner que "the zip is broken " (ce qui est vrai)

je marche toujours dans la même galerie, avec (?), on arrive devant une porte de chambre d'hôtel (une porte verte, numéro 18)

je suis allongé sur le lit et je raconte mon aventure avec le jeune homme et mon histoire de sac à dos, c'est la chambre d'une fille que je connais de loin, qui est en train de s'habiller pour sortir, face à la glace de l'armoire, et il y a deux autres filles allongées à côté de moi sur le lit (je suis allongé sur le lit aussi) qui écoutent l'histoire en rigolant

je quitte la chambre pour essayer d'aller retrouver Dominique et Malou, cet endroit est vraiment immense, beaucoup de couloirs, de coursives, de contre-allées, beaucoup de gens aussi, je me dis qu'en marchant toujours tout droit je ne risque pas de me perdre, et, au pire, je pourrai toujours retourner dans la chambre de (?) mais bien sûr je me perds aussi rapidement...

je marche le long d'un sentier herbeux, étroit,  avec beaucoup de gens qui marchent aussi dans la même direction. Il faut que j'appelle Dom et Malou, je sors mon portable, et je m'aperçois qu'il est resté allumé dans ma poche pendant tout ce temps, et que des milliers de caractères se sont inscrits sur l'écran (j'espère que je n'ai pas modifié le code-source), je n'arrive pas à avoir l'écran d'accueil, j'ouvre l'arrière du  téléphone, à l'intérieur il y a tout un tas de longues aiguilles (avec un peu de tissu rouge enroulé au bout, comme des petites banderilles) posées comme ça, sans êtrefixées, et du coup certaines tombent par terre (dans l'herbe je me dis que bof elles ne doivent pas servir à grand-chose et je continue ma route en essayant de faire fonctionner le téléphone (toujours en vain) maintenant c'est bizarre, quand j'appuie sur le bouton de mise en marche, il change de taille, (même de forme) devient deux fois plus court, se rallonge jusqu'à une taille normale, affiche soudain un écran de téléphone à clapet riquiqui, comme s'il n'arrivait pas à conserver une forme (une apparence) "stable" aïe aïe aïe il faut que je retrouve les aiguilles qui sont tombées par terre

je fais donc demi-tour et je repars en sens inverse de tous les gens, je regarde par terre, je vois des aiguilles à un endroit mais ce sont juste des épingles de couture, comme si une boîte d'épingles avait été renversée là

je continue et je tombe sur le jeune homme du sac à dos, toujours aussi sympathique et souriant

je lui explique mon histoire (en anglais, j'utilise le mot "needles" (aiguilles), il est juché sur une espèce de carriole avec un empilement d'objets, sur ce chemin étroit ça risque de bloquer le passage (ça fait comme un exode, une marée humaine), aimablement, il m'aide à chercher, et en retrouve -ô joie- quelques-une, que je remets dans mon téléphone

avec toutes ces histoires, il serait bientôt temps de manger, je suis (nous sommes) à présent devant un restau (un pub plutôt on dirait), avec le jeune homme et d'autres gens aussi, je sens que je suis amoureux du jeune homme, qu'il faut absolument que je prenne ses coordonnées, qu'on reste en contact, je fouille dans mon sac pour trouver mon carnet pour qu'il me donne son adresse j'ai beaucoup de bazar dans mon sac et j'ai du mal à trouver quelque chose pour écrire

je me suis absenté quelques temps pour aller aux toilettes, quand je reviens, je m'aperçois qu'il (le jeune homme) a installé une sorte de buffet pour manger, en ouvrant ma valise (une grosse valise à coque en plastique) et en proposant ce qu'il y avait à manger dedans (il y avait beaucoup de choses à manger, vraiment!), j'aperçois des restes de tranches de jambon, de tomates, de pain complet, des miettes, je me dis qu'il n'est pas gêné quand même, et en même temps je réalise que ce n'est pas un voleur, puisqu'il n'a pas touché à la liasse de billets pliés roulés que j'y avais laissée et qui est restée dans un coin de la valise, en évidence, je la récupère et la mets dans ma poche

je me dis qu'il va falloir que je rachète un téléphone (on est à Londres, ça va me coûter bonbon)

(je suis amoureux de ce jeune homme)

en déambulant dans le centre commercial / la galerie marchande pour trouver la sortie je tombe sur une pièce, en haut d'un escalier, j'ouvre la porte,  c'est comme une pièce creusée dans la roche, une ambiance troglodyte, avec des gros volumes parallélépipédiques où un homme barbu  bouge et parle (et je vois en même temps son image en noir et blanc projetée sur le mur, fantomatique, je trouve ça très beau, et je réalise qu'il est en train de répéter lespectacle qu'il va donner le soir même, je n'ai pas envie de déranger et je referme la porte

je repère la voix du jeune homme, il est dans une pièce à côté, quand j'entre il y a des gens, lui est allongé sur une table en verre recouverte de sable, il est tout nu, couchésur le ventre, et donne une espèce de leçon de yoga à un petit gamin allongé sur la table, comme une version réduite de lui, aussi nu et sur le ventre, ils font des mouvements comme de natattion, mais sur le sable de la table pendant que le jeune homme explique quelque chose au garçon

je me dis qu'il faut absolument que j'immortalise la scène (et le fait qu'il y ait des gens dans la salle me donne un genre de légitimité, de prétexte, je vais pouvoir prendre une photo du jeune homme), je fouille dans mon sac et je n'arrive pas à trouver mon appareil-photo "habituel" , à la place, dans le fouillis, j'en trouve un autre, un vieux, presque carré, étrangement plat (quand je le mets en position horizontale il ressemble à un de ces "mini appareils photos " qu'on avait dans les années 70

le jeune homme est toujours sur la table, je tiens l'appareil devant moi et j'appuie sur le bouton de prise de vue, je sens que l'appareil mouline, qu'il a du mal à faire le point, ça prend du temps, le jeune homme s'est rendu compte que je le photographiais, il se relève et du coup prend la pose, c'est comme si l'appareil avait zommé tout seul je ne vois plus  que son visage, plein cadre, il me regarde dans les yeux en souriant, et ce sourire l'illumine "you look like an angel" lui dis-je, et c'est vrai, je vois sur l'écran de visée son visage souriant, avec des cheveux bouclés, et cette image me ravit

j'ai retrouvé Emma (mais c'est aussi Cathy) et nous parlons de quelqu'un, elle me dit qu'elle l'a beaucoup aimé aussi, et qu'elle a d'ailleurs décidé de faire un film sur lui

je lui dis que c'est vraiment merveilleux

(et je me réveille, d'excellente humeur)

2 décembre 2019

ça tourne

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STILL RECORDING
de Saeed Al Batal & Ghiat Ayoub

Des images brutes, tirées d'une matière-monstre (4 ans de filmage, 450h de rushes) accumulée par deux jeunes réalisateurs, témoins de la vie au quotidien (et donc, hélas,  de la guerre au quotidien) dans leur pays, la Syrie (et plus précisément dans (et autour de) la ville de Douma. Une immersion saisissante, au milieu d'une ville en ruines, qui zigzague entre bâtiments dévastés et rues trop exposéées. Combattants, snipers, embuscades, explosions rythment le film de leurs scansions sonores et mortifères, la mort est omniprésente, mais la pulsion de vie aussi, qui intervient à proportion égale pour rééquilibrer le propos (et c'est tant mieux).
Vivre c'est parler, manger, fumer, boire, danser, et c'est réjouissant (réconfortant) de voir vivre  cette belle jeunesse syrienne et barbue (ces jeunes gens, en plus, sont indéniablement très beaux, du genre de beauté indéniable -barbounettes, cils de gazelle, et cette toujours touchante façon de danser- que j'affectionne, en tout cas). La vie dans tous ses états. Combattants, snipers, observateurs, interviewés, chacun à sa façon témoigne, s'exprime, et nous bouleverse (j'ai même rencontré des snipers sentimentaux pourrait-on paraphraser). Le montage alterne les moments de stress et d'accalmie, l'adrénaline et la rigolade, et on se sent à chaque instant aux premières loges. Tout près de, au coeur de.
On parle de la guerre, de Bachar, mais aussi (surtout ?) d'art(s) (le film s'ouvre sur un cours de cinéma, il y sera question de sculpture, de peintures murales), de comment s'exprimer, c'est résister.  Un film important, de par sa démarche, et que je ne pouvais donc pas ne pas faire figurer dans mon Top 10 (qui commence sérieusement à déborder.

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"Sois patiente ô ma Patrie..."

Still recording ╕ Tous Droits Réservés (7)

Still recording ╕ Tous Droits Réservés (15)

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les réalisateurs

1 décembre 2019

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1er décembre

(comme l'an dernier, le calendrier d'avent sur le blougchounet sera juste composé d'affiches de films, de films tous vus cette année, que vous avez peut-être vus (l'an dernier j'aurais écrit "que vous auriez dû voir", mais à quoi bon...), de films qui m'ont (beaucoup) plu, touché, impressionné, ravi... il n'y a rien à gagner, juste le plaisir (éventuellement) de retrouver le vrai titre... bon mois de décembre à vous!)

1 décembre 2019

novembre 2019

vendredi 1er (visite)
un jour férié où, de façon inhabituelle, je n'ai pas traîné en pyjama toute la journée (je suis même sorti pour acheter du pain!) ce qui m'a permis d'accueillir de façon décente Christine et Jean-Fran (qui revenaient du cimetière) et de leur offrir un café
samedi 2 (ordinateur)
j'ai pris plusieurs dispositions (arrangements) (que j'aurais dû prendre depuis longtemps déjà), pour régler certains comportements personnels d'addiction(s) informatique(s) dirons-nous, et, d'une certaine façon, je m'en suis récompensé, tiens,  en allant voir Mon chien Stupide
dimanche 3 (Coulevon)
plaisir de voir, en arrivant sous la pluie, de la lumière dans mon ancienne maison, et d'entr'apercevoir par la fenêtre de la cuisine, allumée, que Théo (le nouveau locataire, a joliment décoré les carreaux de celle-ci
lundi 4 (on joue)
au premier tour MARIE  place HOB(E)REAU sur le E de BENNES (x4 = 102), puis au tour suivant, ayant, contre toute probabilité, tiré le X, elle le complète en HOBEREAUX en plaçant DOUX dans l'autre sens (51 points)
mardi 5 (cadeaux)
attendrissant, ce que me donne Manue : dans une cuvette émaillée blanche (pour remplacer celle rouge et en plastoche du papyrus, une pile d'Inrocks (une bonne dizaine), pour lire aux toilettes, et, cachés en dessous, six oeufs de ses poules (pour préparer des bonnes choses)
mercredi 6 (Besac)
toujours le bonheur de voyager en bus, puis celui d'un repas au Royal avec Dominique, avant un magnifique film au Victor Hugo (J'ai perdu mon corps), puis un rapide passage à Forum (deux polars de James Sallis en occase), et à Monop' (deux tablettes de mon chocolat préféré), bref que du bon temps!
jeudi 7 (petits sous)
dans un grand élan de courage insensé j'ai réussi à joindre le service concerné (à partir du bip sonore 0,6€/minute en plus du tarif habituel de la communication), où on a éclairé ma lanterne. Pourquoi ma pension a diminué de 3€ et quelques ? parce que mon taux d'imposition est passé de 7,6 à 7,7%! cqfd (mais je n'ai pas voulu prolonger la conversation pour savoir pourquoi mon taux de machin avait augmenté)
vendredi 8 (gros sous)
oh les gros enculés de banquiers (ou de politiques ou de fiscalistes que sais-je): je solde mon PEL, j'avais donc légitimement droit  à 333,24€ d'intérêts bruts pour l'année, sauf que, sur le papier que m'a imprimé mon conseiller, sur la ligne en-dessous, il est spécifié que me sont retirés de ce montant, en tant que prélèvements fiscaux (dont j'ai d'ailleurs à la suite une liste aussi minutieuse qu'incompréhensible) rien moins que 311,23€, et  que les intérêts nets s'élèvent donc à... 22,01€ ! Oh les salopards!
samedi 9 (musique)
je ne suis pas allé voir Sidi Larsen à Scey parce que j'étais mourant ou quasiment, et du coup me suis fait une soirée musique dans mon salon (et dans le noir) et au chaud avec pour commencer  Rock Bottom, de Robert Wyatt, cet immarcescible, indéfectible compagnon des soirs de lâcher-prise, de dérive, de désir d'immersion et de laisser-aller
dimanche 10 (chez Co&Pép)
le plaisir d'une soirée tarot-raclette avec les aficionados organisé à l'arrache, le plaisir que tout fonctionne, le plaisir de jouer, le plaisir de manger et de boire, le plaisir de beaucoup rire (et le petit plaisir supplémentaire, personnel, la cerise sur le gâteau, d'avoir été en tête toute la soirée et de terminer seul positif hihihi)
lundi 11 (dring dring)
un coup de fil de Philou qui m'informe que dans quelques heures ils vont, avec Fran, prendre le train pour Paris, où ils passeront la nuit, avant, demain matin, de prendre l'avion pour Cuba... rendez-vous fin novembre, amigos!
mardi 12 (concert)
c'est vrai que celui-là on l'attendait tout particulièrement, celui de Bachar Mar-Khalifé ; comme Babx il y a une quinzaine, il était seul sur scène au piano, ce qu'il a joué était magnifique, là n'est pas la question, mais hélas ça a été un peu chiche question durée : il était annoncé "1h15 environ", je ne sais même pas si on a atteint l'environ... (donc un peu de déception, de frustration...)
mercredi 13 (commerce)
ça y est, elle est ouverte la nouvelle librairie qu'on avait vue en travaux il y a quelques mois, elle s'appelle RESERVOIR BOOKS, elle est belle comme tout, je m'étais promis d'y acheter un livre, et donc j'achète 77 dont j'avais envie depuis quelques temps, en plus d'un joli paquet-cadeau, le patron m'offre un des services de presse que son collègue venait de lui apporter : 90 films-culte à l'usage des personnes pressées
jeudi 14 (livre)
j'ai enfin reçu le texte de Ne croyez surtout pas que je hurle, un beau petit livre rouge édité par Capricci, en le relisant, je revois certaines des images associées, mais je m'aperçois surtout qu'il y a un (des) passage(s) que  je ne me souviens pas du tout d'avoir entendu(s) (peut-être dormais je alors ? ce qui m'attriste)
vendredi 15 (lubie)
avant d'aller au cinéma, je fais le tour des magasins d'électro-ménager de la zone commerciale (et il y en a un certain nombre) avec l'envie pressante d'acheter un gaufrier (mais un bon gaufrier, contrairement à ma précédente -et malheureuse- expérience), ça m'occupe presque une heure, mais en fin de compte je repars les mains vides
samedi 16 (de fil en aiguille)
c'est d'abord une chronique dans Libé sur La nuit du au 15, un livre de Dider da Silva (qualifié dans l'article de "chronopathe") dont le résumé m'appâte suffisamment pour que je pousse jusqu'à priceministruche pour en savoir plus sur les autres livres de cet écrivain (et déposer un souhait pour celui-ci), - là  j'apprends que ce monsieur tient aussi un blog intitulé Danses de travers (comme Erik Satie), dans lequel je vais illico  m'immerger pendant un certain temps, puis je reviens commander quelques-uns de ses livres
dimanche 17 (et glou et glou)
Coralie et Pépin, rentrant tout  emmitouflés de la Braderie me font le plaisir de me rendre visite, et, après avoir profité de la présence de Pépin pour changer cette ampoule fort haut placée qui me posait problème, je leur offre un apéro (vin de noix, Fernet-Branca ou rouge cerise-piment ? ce sera cerise-piment)
lundi 18 (Amis du C)
quel plaisir d'annoncer, sur la nouvelle programmation, la diffusion des nouveaux films de deux de mes réalisateurs chéris : Terminal Sud, de Rabah Ameur-Zaimèche, (à partir du 11.12) et It must be heaven, d'Elia Suleiman, à partir du 25.12 (ce qui n'est pas tout à fait un créneau optimal...)
mardi 19 (le grand embouteillage)
d'abord une annonce "accident à la sortie n" puis, à 14km de Belfort un camion de l'équipement prevenant "bouchon", et, les dix kilomètres suivants à rouler au pas, voire pas du tout, et ce jusqu'à la fameuse sortie n, à prendre son mal en patience (parti à 8h15, arrivé à 10h15!)
mercredi 20 (vieille ville)
laissé ma voiture au parking du cinéma puis parti à pied jusqu'à la Banque Pop' pour me procurer un rib (je n'ai pas emporté mon chéquier), afin de pouvoir faire une demande de remboursement à l'hôtel (parce que l'employée m'a hier soir étourdiment facturé 9 petits déjeuners au lieu de 3)
jeudi 21 (journée exploitants)
le plaisir  intact, retrouvé de faire partie de ce petit groupe de privilégiés et ses rites café / croissants / retrouvailles, avant de commencer, de bonne heure, le visionnement de films en avant-première dans une salle rien que pour nous (ce matin, à la 14, on a vu LA FILLE AU BRACELET et NUESTRAS MADRES)
vendredi 22 (gourmand)
de retour d'Entrevues, passé par chez Coralie et Pépin, pour récupérer mon courrier (qu'ils m'ont gentiment gardé), où j'ai été accueilli... royalement avec un assortiment de douceurs : une mousse au chocolat, du pain d'épices fait maison, et un bon petit café... (ah, les amis)...
samedi 23 (emploi du temps)
beaucoup de choses à faire le matin (poste, courses, Super U, des livres à récupérer ici, puis là) et, du coup, l'après-midi rien de rien, juste je reste au chaud à traîner en jogg (même pas le courage de re-sortir pour aller re-chercher ma voiture pour re-prendre la place de stationnement juste en bas de l'appart' laissée libre par le voisin, c'est dire...)
dimanche 24 (sur la route)
la surprise,en allant fêter les 75 ans de René aux Bâties, de découvrir, dès la sortie de Vesoul, que "le brouillard a tout mis dans son sac de coton..." (moins poétiquement, une sacrée fichue purée de pois qui empêche toute visibilité sans interruption jusqu'à l'arrivée)
lundi 25 (Entrevues)
j'y suis retourné pour le dernier jour (à l'aller avec Jacky au retour avec les Bousrez), et c'était finalement boucler la boucle que de voir, en tout dernier film J'AI ENGAGE UN TUEUR de Kaurismaki (qui était justement le tout premier film de la semaine que je n'ai pas pu voir parce qu'il était complet)
mardi 26 (chaudière)
ce n'est pas le patron de l'entreprise, comme annoncé, qui est venu effectuer l'entretien annuel, mais l'employé, un employé arrivé plus tard que prévu, et qui paraissait d'assez mauvaise humeur et surtout me parlant comme s'il m'en tenait pour personnellement responsable (mais qu'y pouvais-je donc ?), ce qui m'a relativement agacé
mercredi 27 (local)
nous étions peu pour la mizenplis de la nouvelle programmation, et nous n'aurons donc pas le temps de faire du rangement ni même un peu de ménage pour le pot rituel qui se tiendra au local de notre association, vendredi, après notre assemblée générale  (tant pis hein, nos adhérents verront notre foutoir comme il est vraiment)
jeudi 28 (rdv)
pas de scrabble cet après-midi (pourtant ça fait longtemps) mais je retrouve Marie au cinéma, pour aller voir un  très joli documentaire (68, MON PERE ET LES CLOUS),  qui nous met les larmes aux yeux et le coeur en joie
vendredi 29 (AG)
j'en suis sorti particulièrement guilleret, puisqu'il s'avère que nous allons avoir -enfin- un nouveau trésorier (un gentil monsieur a proposé sa candidature lorsqu'Hervé a fait appel aux volontaires)
samedi 30 (pic de glycémie)
tout au long de la journée j'ai grignoté ce gâteau délicieux (de l'avis de chacun-e-) que je ne mange qu'une fois par an (j'en commande 3 ou 4 pour notre assemblée générale, et je ramène ce qui reste à la maison)

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