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lieux communs (et autres fadaises)
12 septembre 2005

deux semaines

Dans deux semaines, j'aurai terminé ma journée de rentrée aux Bozarts... Qu'ils vont me sembler longs ces quinze jours! J'aurais mieux fait de ne pas reprendre du tout... Pas motivé, donc pas en état de démarrer des projets ou des machins et donc cercle vicieux, style tonneau des danaïdes, je colmate les fuites tant bien que mal, mais hélas je n'ai que deux mains et puis le coeur n'y est pas c'est vrai... Allez, courage!

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10 septembre 2005

karma

Y a pas à tortiller, il va bien me falloir  le réécrire, ce message vanished (que'est-ce que j'aime ce mot!), qui n'a pas arrêter de me gigoter dans la tête, pendant que je regardais Eros (***) dans le böôô cinéma.

En début d'après-midi, en sortant du Super U, (non, non, je n'ai rien senti, j'ai juste ressenti !) avec, mon sac plastoche à la main, j'allais vers ma voiture en me disant que c'était tout de même rudement bien de ne pas avoir à me presser, tout ça grâce à mon statut social dit de célibataire. Oui, pas besoin de speeder, personne n'attend, pas d'horaire à respecter, pas de comptes à rendre, pas de réponses à donner, pas de remarques à écouter...

Bienheureux comme Alexandre, (comment disait Ferré ? ah oui "et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard") seul tranquillement donc, fils de personne (j'ai été orphelin très tôt) et père de personne (là aussi, j'ai su très tôt que je ne le serais pas).
Arrêt sur ces deux mots : orphelin et célibataire : c'est sûr ils me définissent exactement, je ne peux pas le nier, mais, il y a des mots, comme ça, que j'ai du mal à utiliser, comme s'ils me faisaient sentir mauvais de la bouche, et ces deux-là je les trouve aussi datés et usés, que ma détestation serait forte d'être soupçonné de faire appel à la pitié (la votre) afin de mieux vous attendrir -entre Dickens et Zola disons- en les utilisant (voilà une phrase un peu obscure, mais je n'ai pas réussi à mieux faire... l'originale était ni-ckel, tant pis pour vous)

Si je croyais à la réincarnation, je me dirais bien que cette existence-là, je l'ai gagnée à la sueur de la précédente. Je suis sûr que la dernière fois (bad karma)  j'ai dû être une mère de famille nombreuse, avec une flopée d'enfants, le corps distendu par les grossesses successives, qui n'arrêtait pas du matin au soir et du sol au plafond, flanquée d'un époux acariâtre, buveur et coureur, et de tellement d'enfants tiens que je n'ai jamais pu me rappeler de tous leurs prénoms, et peut-être même que je suis morte tuberculeuse, tiens, parce qu'en plus il avait bu l'argent qui aurait permis de payer le médecin, et, à ce moment-là, (choeurs célestes en fond sonore) une voix, là-haut, a dû me sussurer à l'oreille "Ta prochaine vie, tu vas voir, ça va être délicieux comme des vacances, tu l'as bien mérité(e), Georgette..."

Donc, inutile de me regarder avec des yeux envieux : elle à moi cette vie-là, oui oui j'en revendique la paternité! (euh qu'est-ce que je raconte moi...)

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10 septembre 2005

vanished!

Je suis un peu très énervé. Je viens de passer un certain temps à rédiger un message, délicieux spirituel, et tout et tout, j'avais même pris soin d'ajouter une jôôôlie photo, et j'ai dû croire que je l'enregistrais, parce qu'il a disparu. Quand j'ai fait entrée, plus rien! Hop! comme ça! evanoui! effacé! reparti dans le néant ! j'en conçois donc un désappointement certain. J'essaierai de le faire ressurgir des limbes de ma mémoire ce soir si j'ai le temps et si je suis d'humeur... Grrr!

8 septembre 2005

sinistre ?

D'aucune(s) trouvèrent le panneau stop sur la photo de mon dernier message "sinistre" et me le firent d'ailleurs savoir (merci à elle)...
Réflexion faite, je confirme : je ne le trouve pas sinistre du tout, ce panneau. Pas joyeux, non, je ne peux pas dire (qui donc d'ailleurs se soucierait des états d'âme éventuels d'un panneau de signalisation ?) En photographie, hormis les manuels* (sujet déja que quelques fois ici j'effleurai...) j'ai une prédilection pour ce que je nomme les "natures mortes, mais mortes!" Des choses plus ou moins vieilles cassées, abîmées, laissées à l'abandon, oubliées... ce genre de choses qu'on trouve sur les accotements* , dans  les caves, les vide-greniers, voire dans les friches industrielles. Oui j'éprouve une grande tendresse pour tous ces laissés-pour-compte. M'intéresse la trace de l'humain, son résultat. Je ne photographie pas, en général, les objets neufs, ils ne présentent pour moi pas grand intérêt.
Par contre, tous les vieux machins, journaux déchirés, panneaux éraflés, paquets de cigarettes écrabouillés, affiches lacérées, murs taggés (gués?), bagnoles embouties, fenêtres borgnes, jouets hors d'usage, vêtements jetés ou perdus, toutes ces choses  me fascinent, et ce depuis longtemps. (Dès que j'aurai un scanner à diapos digne de ce nom, je pourrai remettre en circulation une série d'images prises il ya ...euh... longtemps, intitulée "hors-service"...)
Comme si l'usage de l'objet n'avait qu'une issue : sa mise au rebut.
Photographier ces "fins de course" n'est-ce pas (discours de café du commerce ?) leur offrir un peu d'éternité ?

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7 septembre 2005

silencio!

"You know what ? I'm The hero..." (Droopy)
Après l'apostrophe directe du lecteur (cf dimanche) j'ai tenté une nouvelle stratégie oblique d'approche : le silence. Bon, j'ai tenu deux jours...Je rêvais de pleureuses, de vêtements déchirés dans les affres du désespoir, d'un déluge de questions remplies de sollicitude, voire d'inquiétude, de rumeurs alarmées circulant sur tout le ouaibe : que nenni! point du tout! Tout le monde est resté coi. Style hareng de la baltique congelé dans un iceberg dérivant en plein détroit de Behring.
J'ai voulu faire le malin, en n'en parlant quasiment à personne, de ce blaugue (entre blague et glauque). Je voulais que mes amis le découvrent tout seuls comme des grands. (Mais comment peut-on chercher quelque chose dont on ne connaît pas l'existence ?) Rien. De rien. J'assume...

Comme d'hab, donc, aujourd'hui mercredi , retrouvé intact le plaisir dit "du mercredi". Un jour entier où l'on peut ne faire -en principe- que ce qu'on a envie de faire. Moi le mercredi matin, donc, à l'heure où d'aucuns iraient boire un petit noir en terrasse, j'aime bien aller acheter Libé et les Inrock', prendre la voiture et aller les lire, quelque part, au soleil. Ce "quelque part" est quelque peu pudique aussi, puisqu'il s'agit en réalité toujours des mêmes endroits (ceux qui me sont proches auront bien sûr deviné que ce n'est pas sans rapport avec aller aux mûres). Bref, j'aime bien aller traîner sur les parkings, pour... euh... rencontrer du monde (et aussi faire des photos). Le matin, c'est bien, on ne rencontre pas la faune d'habitués de l'après-midi ou du soir, c'est plus... calme, mais la fortune peut-en être d'autant meilleure ! Ce matin j'ai rencontré mon ami à la voiture rouge (dont je vous parlerai peut-être plus longuement une autre fois...) et j'ai eu le temps de lire deux fois les Inrock' avant qu'une autre rencontre (qui s'avéra hélas plutôt désappointante) ne se produise...
Cet après-midi je dois un peu travailler (professionnellement, à mon avenir et à mon oeuvre) mais comme il fait très soleil , il n'est pas exclus que j' y retourne  faire un tour...

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4 septembre 2005

sans retour

Comment je vais dire ça ?
Il ne faut pas que je sois trop gémissant, mais pas trop agressif non plus...
Voilà, je m'adresse à toi directement, à vous, ô lecteur/lectrice de ce blog : il y a des fois où vraiment je m'y sens (ici) un peu seul et désemparé. Je vais régulièreement voir en bas de chaque message, mais c'est toujours écrit commentaires (0).
Allez-y, n'ayez pas peur vous n'allez pas salir cet espace vierge ; non, n'ayez pas peur, je ne mords pas, vous pouvez me dire, réagir, m'envoyer juste un petit commentaire, rebondir, me relancer la balle. Si je ne fais que parler tout seul (ce qui m'arrive déjà de temps en temps dans la vraie vie) je crois que ça n'a pas vraiment de sens, c'est pas drôle, c'est dommage... finalement, tout ça, c'est quand même pour vous que je le fais!
J'attends de vos nouvelles
Keep in touch and all the best!

1 septembre 2005

réveille-matin

Ce matin, à 6h30, le réveil a sonné, ce qu'il n'avait pas fait depuis longtemps (quasiment deux mois je pense!)
Oui, mon réveil sonne tôt, mais j'ai horreur d'être obligé de speeder le matin, plus j'ai de temps devant moi et mieux je me porte, et ce matin, donc, ce bip bip électronique, en quelques secondes, a posé le décor d'un espace-temps nouveau : à ce moment précis, c'était comme si les vacances n'avaient jamais existé. Le "temps d'avant" était blanc, vierge, comme une cassette qu'on vient d'effacer. J'étais à nouveau un homme qui travaille. Aurais-je donc auparavant seulement déjà connu l'état de vacancier ? J'en viendrais presque à en douter... J'ai donc tourné la tête sur l'oreiller, et regardé par la fenêtre entr'ouverte (il a encore fait très chaud cette nuit, et hier soir ce voisin qui n'en finissait plus d'écouter de la musique et de la musique et encore de la musique...) le ciel, bleu et lisse. Moment délicat. L'avantage d'un réveil qui sonne tôt, c'est qu'on peut rester au lit encore un tit peu, si on en a envie... et ce matin, l'homme qui travaille avait -bien évidemment- envie de se rendormir, de prolonger, de faire comme s'il avait oublié que c'était aujourd'hui. J'ai donc traîné un peu, j'adore ce moment, c'est comme l'antichambre de la journée, de cette journée, qui serait elle-même un peu l'antichambre de la rentrée scolaire...
D'autant plus que je sortais d'un rêve assez agréable, où je réussissais à vaincre en partie la pesanteur : je sautais en l'air, et quand je retombais, les colonnes d'air sous mes pieds devenaient plus denses, prenaient de la consistance, opposant une certaine résistance, et  ralentissaient ainsi ma chute, me permettant de rebondir à nouveau, comme sur un trampoline immatériel, pour tenter des acrobaties qui rendaient baba mon auditoire. Je refaisais la démonstration plusieurs fois, et c'était vraiment très plaisant.
Je me suis à nouveau tourné vers le rèveil, il était presque 7 heures, me suis donc levé, j'ai posé le pied par terre sans encombre, j'étais donc bien dans la réalité réelle de ce premier septembre... Let's go!

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31 août 2005

le nez creux

Alleluïa! Tout à l'heure, en sortant du Super U pour aller chercher un caddie (j'allais écrire un cadeau), voilà que, soudain, tout n'était pas exactement pareil qu'à la minute précédente : pourtant soleil aussi chaud, ciel aussi bleu... Ca m'a sauté aux narines! Alors j'ai respiré un bon coup, et voilà-t-y pas que j'ai réalisé que je sentais !
Non, ne rigolez pas... Je souffre depuis quelques années d'un mal mystérieux, l'anosmie, (ou perte de l'odorat) , accompagnée bien sûr de sa copine, l'agueusie, (ou perte du goût), mal apparu consécutivement à un rhume qui semblait ne pas vouloir guérir (c'était au mois d'août, à Le Soler). Pour résumer, en temps normal, je ne sens plus rien, mais rien de rien! et, évidemment, les choses que je mange n'ont plus grand goût : grâce aux papilles, idemne, je perçois salé sucré acide et amer. Et c'est TOUT!
J'ai essayé l'homéopatie : niet! l'osthéopathie : re-niet!, avec L'ORL, que je vais voir de temps en temps, ça marche : le deal est le même , une semaine de traitement à la cortisone, et au bout de quatre ou cinq jours, tout est revenu, pour une durée limitée, un mois en général, et ensuite, tout repart doucement sur ses petites pattes d'oiseau et s'évanouit progressivement (et insidieusement), et retour au point de départ. "Vous êtes cortico-dépendant" m'a-t-il dit avec son demi-sourire habituel...
J'ai fait un scanner, on m'a diagnostiqué une sinusite chronique (probablement d'origine allergique) SAUF QUE , de temps en temps, comme ça, je ne sais pas pourquoi, c'est comme si une petite fenêtre s'ouvrait dans mon cerveau, une zone de rémission, et , comme par magie, je sens les odeurs et je distingue les saveurs, pour une durée limitée, de quelques minutes à quelques heures...
Et là, à midi, c'est ce qui s'est passé : j'ai senti l'odeur du Super U, puis celle de ma voiture, puis celle de mon appart (plutôt douceâtre) et celle de mon frigo (franchement pas terrible), et me suis alors mis un "testeur olfactif", pour voir combien de temps..., juste sous les narines : quelques gouttes d'Opium pour Homme, mon eau de toilette habituelle mais que je ne mets pratiquement plus, à quoi bon puisque je ne la sens pas!!! Il est 13h40, et le temps que j'écrive tout ça,  la "fenêtre" s'est refermée, et me voici renvoyé à mon univers habituel,  inodore et insipide... A chaque fois j'espère, mais à chaque fois non.
Dites, c'est grave, Docteur ?

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Au fait, ça y est! c'est le dernier jour ! aujourd'hui! 
... de quoi ? mais des ouacances, bien sûr!

29 août 2005

grand écart ?

Perplexe, ce soir...
Sur l'utilité de ceci. My blogchounet. Sa place, son rôle, son utilité. Il ya tout de même un paradoxe au départ : à quoi bon rendre public un journal intime ? (je ne sais plus qui a utilisé l'expression journal extime, je trouve que c'est pas mal trouvé du tout, mais, bon, tant pis c'est déjà pris!) pourquoi déballer sa petite lingerie existencielle et ses fanfreluches mentales au pays (que dis-je, au monde) entier? Pourquoi ajouter n petites pages perso aux milliers qui gravitent déjà sur le ouaibe ? Parce qu'on croit que ça peut être utile à quelqu'un ? pour se faire connaître ? pour avoir le sentiment d'être lu (et entendu) ? Pour faire plaisir à ses amis ? pour faire le malin ? Parce qu'on est persuadé qu'on a une tâche, une mission, une grande oeuvre à accomplir ?

Qui ça peut intéresser de savoir que je mange des figues, qu'il ne me reste plus que deux jours de vacances, que je suis un "vieil orphelin qui refuse de grandir" ? Hein, dites-moi, qui, qui donc? oui, levez le doigt s'il vous plait... (Personne... grand silence blanc)
Cet après-midi, j'en ai visité quelques uns, de blogs, des "inclassable", des "gay", des "pour adulte", des "journal" des "poésie" (arghh le mot me hérisse! ), et au lu de ces pages, je me disais tiens ça j'aurais pu le faire ou bien ohlala quelle épouvante ce machin ou encore comment peut-on oser montrer (ou écrire) ça ? C'est vrai que je m'astreins, ici,  depuis le début à une certaine retenue, (décence? pas certain que ce soit le bon mot, pudeur peut-être conviendrait mieux, mais ça fait un peu vierge rosissante...), un respect  esthétique, dans la mesure où je m'attache à (re)créer quelque chose qui me plaît, qui me convient, qui me ressemble.
Mais ça n'est pas vraiment moi . Ou plutôt ça n'est pas complètement moi. Il y a de ça, bien sûr, mais il n'y a pas tout. Le sommet de l'iceberg, le couvercle de la marmite, l'arbre qui cache la forêt... Il m'a fallu gommer un peu l'inquiétante étrangeté, lisser les aspérités, arrondir les angles. Pour être... clean ? propret ? conforme ? rassurant ? Mais, c'est quand même un peu de la triche : il manque tout un pan. L'autre côté, la face obscure, Mister Hyde... L'envers, l'arrière, le background quoi ! Je le sais bien qu'on est tous pareil, janus aux deux visages, celui qu'on montre aux autres et celui qu'on voit, dans son miroir,  quand on est tout seul chez soi et que personne ne regarde. Comme ça nous arrange.
Faut-il (doit-on) tout raconter ? Le sentiment de l'exhibition, l'impudeur, peuvent en effet parfois être excitants. Mais jusqu'à quel point ? Peut-être alors me faudrait-il deux blogs, public/privé, ou night and day.
Top to bottom : le trivial et le sublime...

imgp0382et   imgp1658 ,

(par exemple...)

28 août 2005

oxygène

Ben voilà!
C'était pas plus difficile que ça! De retour ce soir à la maison, joyeusement et légèrement. Parce que une belle fête champêtre, la "Fête du jardin", à Villers-Ch, parce qu'une cinquantaine de gens, des amis proches, des relations, des inconnus, des qu'on aurait  envie de connaître, certains (très peu) qu'on est fatigué d'avoir connus (un seul à vrai dire, et il semblerait en plus que ma rancoeur s'émousse avec le temps. C'était il y a si longtemps...), d'autres qu'on est heureux de retrouver...
Une tablée gigantesque, un jardin superbe, les rires et les private jokes, les plaisanteries amicales, les conversations duelles, les délires collectifs (ah les renards qui ont appris à pisser debout dans les bois pour refiler l'échinococcose au maximum de consommateurs de baies...), de la tarte aux figues et du soleil vaillant, que demander de plus ? Et, à la fin, chacun qui repart avec son petit paquet, terrine, grillade, tarte, (mais bon à cette heure je n'ai pas très faim...)
Heureux, donc, en rentrant. La preuve ? Je faisais cette fois-ci partie du dernier carré. Oui, les quatre derniers, ça n'est pas si souvent que ça arrive. J'étais... bien , il n'y a pas d'autre mot. Pas d'inquiétudes ni soucis ni nuages ni aigreurs. Léger. Le contact des gens, y a rien de tel... (Les grandes découvertes de Moi, tome 1)

Tiens, (sans aucun rapport avec ce qui précède) je ne résiste pas au plaisir de reproduire ici ce paragraphe lu dans Libé de samedi, qui m'a mis en joie (certains vont encore m'accuser de sectarisme ou de parti-pris, mais tant pis! ) :
"Les manchots gay peuvent-ils adopter ? la réponse est oui. Roy et Silo, les manchots gay de Central Park qui ont fait couler tant d'encre à New-York (Libération du 27 juillet) avaient tellement envie d'un bébé manchot qu'ils couvaient une pierre traînée jusque dans leur nid. Emu, leur gardien a remplacé la pierre par un oeuf fécondé, et c'est ainsi que Tango est né. ses deux papas s'en sont très bien occupés, et tous trois vous passent le bonjour."
C'est-y pas mimi?

Une tite photo pour terminer (allégresse ou exaltation ? dommage qu'il y ait un machin en bas à droite (pas envie de recadrer : "Et c'est l'imperfection qui rend la chose humaine"...)

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