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lieux communs (et autres fadaises)
2 avril 2013

*** bis (?)

(un autre)

... ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé (depuis 2005 quasi, c'est dire!) de "falling in love again" (c'est très juste, finalement, cette idée de chute, autant en français qu'en anglais... J'imagine que Roro Barthes a du gloser là-dessus dans ses Fragments...)

et me reviennent aussi sec deux phrases, de deux amies, la première de Dominique ("tout sauf tomber de nouveau amoureuse...") et l'autre de Malou, plus récemment ("mais est-ce que des fois tu tombes amoureux de quelqu'un de ton âge ?"), je pourrais même en ajouter une troisième, d'une autre amie, il ya beaucoup plus longtemps (Emma : "mais qu'est-ce que tu attends de lui ?") encore une fois parfaitement adaptée à la situation...

le jeune homme en t-shirt de 2005 frisant maintenant la trentaine (et n'ayant plus donné aucun signe de vie depuis 2011 me semble-t-il), je l'avais dans un premier temps remplacé par rien, et c'était très bien comme ça. Ouf!

et, bien que je n'ai rien fait pour, voilà que ce rien est devenu quelque chose, quelqu'un plutôt, et ce, voilà quelques semaines. Je n'en ai parlé à personne (ce n'était pas l'envie qui m'en manquait, mais, à quoi bon, finalement, hein ?) sauf, l'autre soir, sur msn, à Y. (qui passe d'ailleurs ici de temps en temps, me semble-t-il) qui me prêta une oreille attentive (oui, il n'y a guère qu'à lui que je pouvais en parler - et, pourtant, est-ce judicieux de parler d'une vélléité amoureuse à un "ex" qu'on laissa tomber quelques années auparavant ?-) et attendrie.

il me "connait un peu" et me sait midinet, apte aux épanchements lacrymaux autant qu'aux bondissements joyeux, sujet à l'amourachement (tiens, ça rime bien avec arrachement ou détachement) et finalement, (et heureusement) ne m'a donné aucun conseil, ni dans un sens ni dans l'autre, juste me suggérant que je pourrais le prendre en photo avec mon téléphone (mais ceci était surtout je pense pour pouvoir assouvir sa curiosité)

(charybde et scylla) *** était un jeune hétéro de 25 ans, celui-ci est à peu près visiblement le même en couleur, sauf qu'il jouit d'un statut particulier qui laisse penser
1) qu'il a été "cabossé" par la vie
2) qu'il ne restera peut-être pas là très longtemps

je n'ai la possibilité de le voir que deux fois par semaine, mais je ne sais pas si c'est bien (bon) pour moi : si je ne le vois pas, je serai un peu tristoune, mais si je le vois, je sais, qu'après, je serai un peu tristoune aussi...

tout ça parce que la première fois que je l'ai vu, il m'a accueilli d'un bonjour franc avec un vrai sourire, qui, rajouté à son look (la barbe, les boucles, la casquette) m'a fait me demander si je n'étais pas soudain victime d'une quelconque caméra cachée. j'essaie d'être raisonnable et de ne pas y aller à chaque fois, mais c'est plus fort que moi

bien entendu, la première fois, je n'ai pas réussi à balbutier plus que quelques mots (je me faisais penser à un poisson sorti de son bocal) tant je me sentais ravi, les fois suivantes, ce fut à peine un peu mieux.. .J'arrive à émettre d'autres sons que des "hin hin" stupides

et chaque semaine, je suis content quand je grimpe cet escalier (ému et rosissant comme un fiancé, hinhin) , et j'ouvre la porte, et je dis bonjour, et je guette les changements (tiens il est sans casquette, tiens il a coupé un peu la barbe, tiens il a l'air moins joyeux que d'habitude)

c'est à peu près complètement sans issue, je pense, mais, comme dirait Tchekhov "si je ne pose pas la question, au moins il me reste l'espoir...".

et puis, ça m'occupe, hein

les échelons de l'amour

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19 janvier 2013

voeux

c'est grâce à Jean-Robert que je peux vous présenter mes voeux (il n'est jamais trop tard), sous forme d'une élégante variation typographique (et dire que je n'y ai même pas pensé tout seul!)

en deux temps :

 

2013zob1
là, on lit l'année, normal...

mais il suffit que le 3 final se déplace légèrement vers la gauche...

et on ne lit plus du tout la même chose...

 

2013zob2

(mmm j'adore!)

29 juillet 2012

de la semaine

faits marquants ?

- les hautes températures (36° vendredi après-midi) qui font apprécier l'eau de la piscine, et la fraîcheur (comparativement) de la maison
- les différentes variations pour jouer au okey : à 3, à 4, à 5, à 7 avec deux jeux!
- un sms intriguant de Malou
- j'ai terminé mon premier "gros bouquin" des vacances : La vie sexuelle des super-héros, de Marco Mancassola, un bouquin très séduisant (que j'avais depuis un an au moins sur mon étagère!), bien écrit, qui m'a fait penser à du Phillip Roth (La tâche) dans un univers légérement différent (uchronie)
- un petit repas de midi à l'Hermitage, avec Emma et Dominique, (trop délicieux comme d'hab de grignoter avec les amies)
- un grand moment à fouiner aux Sandales, sans rien trouver d'assez bien pour dépenser mon chèque-cadeau de 60€
- un petit week-end joliment ensoleillé avec Dominique chez Catherine et Claude
- le plaisir (puéril, je sais bien) d'y avoir gagné toutes les parties de scrabble
- un petit problème récurrent enfin résolu (enfin me semble-t-il..., je touche du bois)
- une discussion à continuer ("faut-il ou non arroser les fleurs, et notamment les roses trémières ?")
- une résolution : je vais écrire quelques cartes postales
- un très joli film : Eté précoce, d'Ozu
- une soudaine envie de retourner faire un ptit tour sur les parkings
- la constance du Libé chaque matin dans la boîte (sinon il n'y aurait quasiment rien d'autre)
- la découverte d'exquises et point trop sucrées cerises en bocaux
- un rendez-vous avec Hervé à 10h du matin pour récupérer les résultats d'un désherbage
- un repas de midi chez les Bousrez (trop délicieux comme d'hab', aussi, même si compromettant niveau alcoolémie!)

 

P1860376

 

 

27 juin 2012

aactes manqués ?

Le manque d'appareil-photo (je l'ai envoyé en réparation, souvenez-vous), tandis que je déambule dans la rue Georges G.au milieu des mecs de la voirie occupés à casser les trottoirs au marteau-piqueur, me fait tenir le compte des photos que je ne peux pas prendre (mais que je n'aurais -en tout état de cause- certainement pas prises!) Il fait soleil, ce mercredi matin, et la rue que j'emprunte est soudain comme un catalogue (bruyant et poussiéreux, certes,  mais tellement agréable à l'oeil) de mecs à casque en gilet fluo, avec des gros bras bronzés, des gueules pas rasées, des godillots poussiéreux,  dans des positions et configurations diverses (celui-ci, en short, penché sur son engin, tendu dans l'effort -je n'y peux rien, mais leurs culs alors sont spécialement appétissants-, celui-là assis dans sa pelleteuse, les quatre autre, là, accroupis en conciliabule, cet autre plié pour ramasser la caillasse... On dirait qu'ils l'ont fait exprès de se déployer là, parce qu'ils me savant impuissant, que je ne peux que regarder, et tenter de me souvenir. Un plaisant catalogue vous dis-je. Oui, j'aime regarder les mecs qui bossent dans la rue, et je dois, heureusement, aller récupérer ce matin mon appareil-photo...

*

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17 juin 2012

obsolescence programmée

J'ai acheté mon appareil-photo (dont je suis extrêmement content) le 13 juin 2009, et j'ai acheté en même temps une extension de garantie de 3 ans.
9+3 = 12, ce qui nous mène au 13 juin 2012.
Ledit appareil-photo est tombé en panne très exactement... le 14 juin 2012.
(tu mets ça dans un film, on n'y croit pas tellement c'est gros)
Bien calculé, non ? (mais bon c'est certainement une coïncidence malheureuse!). Le service après-vente du site où je l'ai acheté, une fois contacté, m'informe -bien évidemment- que la panne qui m'est survenue (l'écran LCd est fichu) n'est pas couverte par la garantie, me renvoie vers le fabricant de l'appareil, qui bien évidemment décline toute responsabilité et me conseille, plutôt qu'une demande de devis (longue et fastidieuse) pour une  réparation (coûteuse) de racheter plutôt un nouvel appareil-photo, bien sûr...
Ce que je manque de faire dans un premier temps (mmmm justement  j'ai vu dans le dernier test comparatif qu'il y avait un S*ny avec un zoom x20 en tête du classement qui me tentait bien) mais bon, mon petit TZ7 j'y suis attaché (je l'ai quand meme payé quelques 400€).
Je réfléchis, je fouine sur internet (mots-clés TZ7 écran lcd défectueux réparation) et finis par dénicher, à l'autre bout de la france, un monsieur qui va m'effectuer la réparation pour 4 fois moins... Le bonheur!
Bon, je vais être privé d'appareil-photo pendant 15 jours, ce qui m'est avouons-le assez désagréable mais bon je serai plus en paix avec ma "conscience" (qu'elle soit écologique, économique, ou consumériste!).

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6 mars 2012

paris 6

La journée "projections de presse" (j'ai d'ailleurs failli me tromper de jour!)

A MOI SEULE
de Frédéric Videau

Une fillette est séquestrée 8 ans par l'homme qui l'a enlevée. Un jour, il la relâche (c'est le début du film). On va suivre la demoiselle (Agathe Bonizer, excellente) dans son "réapprentissage" de la vie normale, dans un mouvement de va-et-vient entre le passé et le présent, comme dans MARTHA MARCY MAY MARLENE. La distribution est ebouriffamment au petit poil : L'homme c'est Reda Kateb, que j'ai toujours extrêmemnt aimé dans chacun des rôles où je l'ai vu, et qui reste ici fidèle à son habitude. Superbe. Mais y paraissent aussi Noémie Lvovsky (hmmm...) Hélèn Fillières (re hummm), Jacques Bonnaffé (re re hummm) et Grégory Gadebois (re re re), tous suffisamment intenses et attachants pour éviter de faire regretter que leur participation soit tout de même si brève... Sortie le 4 avril

POUR LUI
de Andreas Dresen

Une famille allemande moyenne : papa maman et deux enfants. Dès la première scène, le père apprend qu'il a une tumeur au cerveau, inopérable. Le film va donc le suivre, depuis ce a jusqu'à l'inéluctable z, avec une attention quasiment clinique sur le déroulement des choses... Un sujet fort traité de manière idoine, un choc émotionnel (tout est pourtant traité hyper sobrement, sans attendrissement ni larmoyage). Juste les étapes, qui s'enchaînent, aussi impassiblement que les saisons passent, et leurs effets, sur les individualités autant que sur l'ensemble de la cellule familiale. Bref, beaucoup pleuré. Sortie le 4 avril, aussi.

5 mars 2012

paris 5

TATSUMI
d'Eric Khoo

Sorti le 1er février et pourtant déjà quasiment disparu des écrans (une séance dominicale au Reflet Médicis -j'ai eu du mal à trouver la rue Champollion-) ce beau film d'animation singapourien traite de Yoshihiro Tatsumi, créateur de mangas (et auteur de l'autobiographie dessinée Une vie dans les marges, moult primé)a été éalisé par Eric Khoo, auteur du sublime BE WITH ME. Il nous y narre la vie du susdit (qu'il a d'ailleurs aussi réquistionné pour faire la voix off de son autobiographie) enl'entrecoupant de petites histoires cruelles, mangas en noir et blanc (et rouge aussi souvent!) qui furent réalisées en vrai par Tatsumi. Un bel objet graphique, plastique, et asiatique. Y penser pour la prochaine "fête de l'animation", en octobre prochain ???

BOVINES
d'Emmanuel Gras

Encore un changement radical d'ambiance et d'humeur. Séance dominicale dans la grande salle du MK2 B; quasi pleine, de parisiens en famille le plus souvent visiblement ravis de venir prendre ici leur bol d'air sans avoir à se déplacer. Un film joli, pas difficile à comprendre, agréable, pittoresque : le titre annonce la couleur et, la vache, on va la voir sous toutes les coutures et dans tous ses états : vache qui broute, vache qui mâche, vache qui meugle, vache qui lèche (un certain succès dans la salle), vache qui fait caca (un franc succès, là, par contre, je me serais quasiment cru à la ferme avec les enfants, quand on va voir les amis à Authoison), vache qui pète négligemment en sortant du cadre. Vaches allongées ("indolentes odalisques" écrivis-je un jour dans un précédent Lieux Communs) et vaches qui se promènent, vaches seules et vaches en familles, avec pour seule bande-son ou quasi. les meuglements répétés, justement (ces vaches-là, charolaises, sont plus sonores que nos comtoises, que je trouve -chauvinement ? - plus jolies aussi) Le bonheur est dans le pré, vous dis-je!

4 mars 2012

paris 4

Traînassé feignassé, pas de séance(s) du matin. Bu du bouillon de canard et mangé les légumes qui allaient avec...

UN MONDE SANS FEMMES
de Guillaume Brac

Avec mon Vincent Macaigne chéri-chéri (sans déc, il est vraiment très bien en nounours poilu timide et maladroit, on a très envie d'aller le consoler,hein) chronique balnéaire, idylles estivales, marivaudage(s) en flux et reflux, dans un film en fait constitué de deux moyens-métrages qui ont l'heureuse idée d'avoir le même personnage principal, Sylvain (Vincenchounet) et la même géolocalisation (ça jette, non ?), ce qui génère en quelque sorte une continuité narrative. Il y a du Rohmer du Conte d'été ou de Pauline à la plage (les critiques y ont vu en majorité du Rozier... je connais moins je vais pas dire) mais il y a surtout du Guillaume Brac, qui en deux temps trois mouvements vous installe le chapiteau de son petit théâtre des sentiments, avec des vrais gens qui jouent leur vrai rôle et d'autres qui interprètent leur personnage, tout ça sans coutures apparentes et avec un parfum délicieux de naturalisme poétique (la justesse générale de l'interprétation est confondante...)

ULYSSE, SOUVIENS-TOI
de Guy Maddin

Vu juste après, ce qui crée un chaud-et-froid cinématographique indéniable. (Un coq-à-l'âne serait plus juste ?) Voilà donc un film au sublime noir et blanc qui fait semblant de vouloir nous raconter une histoire de gangsters, de fantômes, d'amnésie, de phénomènes psychiques. Un film authentiquement barré, cintré, secoué, avec des images sublimement léchées pour un propos pour le moins abscons et fracassé. Un bonheur de bande-son paroxystique, de montage hâché, de dilalogues parfois hallucinés, d'effets en même temps très simples (surimpressions) mais glamourissimes et efficaces en diable. Un bonheur de véhémence, un torrent d'idées, d'images, de chocs dans lequel il est fort agréable (et recommandé) de s'abandonner. Et Isabella Rossellini est joufflue que c'en est un bonheur (j'adore cette dame, l'ai-je déjà dit ?)

3 mars 2012

paris 3

Journée cinématographiquement pyrotechnique!!! Du bo du bon du sacré cinéma :

OSLO, 31 AOÛT
de Joachim Trier

Les critiques m'ont alléché. Elles ont bien fait. Un film qui débute par une série de "Je me souviens", qui un peu plus tard retransmet des conversations glanées à une terrasse de café (comme le faisaient les anges des Ailes du désir) et se clôt sur une série de lieux vides (vidés serait sans doute plus juste) ne pouvait que susciter mon intérêt, mon émotion, et mon enthousiasme. un beau portrait de trentenaire désabusé (décalé, désaccordé) qui fait le point sur lui-même et les autres lors d'une journée de "permission" (il est en cure de désintox). On le suit, jusqu'à la fin, et c'est magnifique (la musique de générique est également splendide). Du très beau cinéma.

LES CHANTS DE MANDRIN
de Rabah Ameur-Zaïmèche

Celui-là, c'est peu de dire que je l'attendais... Peut-être trop, et les dithyrambres d'Hervé n'ont pas arrangé les choses. Ni le fait de le voir juste après Oslo, 31 août. D'où le fait que ma jubilation n'a peut-être pas été aussi complètement intense q'elle aurait pu l'être. Un grand film, certes, mais pas LE plus grand. Je le dis et le répète, je tiens Rabah Ameur-Zaïmèche pour un des plus grands réalisateurs français actuels, et  ce film est plein de jubilation, d'insurrection, de force, de complicités, de moments sublimes, mais il est aussi parfois un peu flottant, un peu... décousu (normal, avec des gueux en guenilles). Je l'adore, mais pas autant que j'aurais pu. Mandrin a pâti de Drieu La Rochelle. A revoir, dès la semaine prochaine, dans le bôô cinéma. 

IL N'Y A PAS DE RAPPORT SEXUEL
de Raphaël Sibony

Celui-là aussi, je voulais le voir, et je savais que je n'avais aucune chance de, sauf à Paris. Ce fut donc au St André des Arts, devant un public clairsemé (des hommes seuls, et, bizrrement, trois demoiselles). A partir des milliers d'heures de rushes de making of enregistrées par la deuxième caméra sur pied du hardeur HPG, le réalisateur a construit un documentaire sur le métier d'acteur (trice) X. C'est assez plaisant, de voir ainsi démontée (!) démysthifiée la mythologie hardeuse.Un peu pathétique parfois aussi, peut-être, attendrissant des fois, et d'autres assez comique. Le réalisateur-acteur HPG est évidemment le pivot de la chose (le maître-étalon hihihi) ne répugnant pas à se mettre joyeusement en scène et en vedette. Agréable, mais inégal.

La beauté de la mélancolie, la séduction de la révolte, et l'industrie du cul Sacré mélange détonnant! (Mais difficile de tenir ce diary à jour en temps réel lol)

 

1 mars 2012

paris 2

Un brouillard ce matin à couper au couteau. Vraiment.

Marie : à cause de Satan dans le désert, manqué ce matin une séance de cinéma. Sacré bouquin, t'avais raison!

OKI'S MOVIE
de Hong Sang-soo

Un film coréen grâcieux (gracile ?) qui parle d'amour et de cinéma. Un film doux, même si comme d'hab chez HSS les mecs y boivent plutôt sec. Presque un petit côté Rohmer coréen, incertitudes du coeur etc. et on en parle. Ai été dsl parce que j'y ai un petit peu dormouillé, alors que ça ne passait qu'une seule et unique fois. Et qu'il y a là-dedans plusieurs films successifs, avec la même typo de générique et la même musique, dont le dernier, le plus attachant, donne son titre à l'ensemnle. Profs, étudiantes (et diants), sans oublier un petit morceau de poulpe vivant qu'on vomit (si si!) dans la neige.
Délicieux
(tout seul au MK2 Beaubourg)

MARTHA MARCY MAY MARLENE
de Sean Durkin

J'attendais un thriller et me voilà avec une chronique familiale. un demoiselle s'enfuit de la secte où elle était enrôlée depuis deux ans et va se réfugier chez sa soeur (et son beau-frère) mais l'apprentissage de la vie "normale" n'est pas si facile, et tous en conçoivent un certain désappointement. Un film un peu le cul entre deux chaises thématiques, même si filmé avec un indéniable maestria (les scènes agencées sur deux plans temporels) mais un peu mou du genou tout de même, et qui de surcroît vous abandonne aussi soudainement que lâchement (et sans remords)
(avec Loulou au MK2 Bib.)

Puis soirée délicieuse avec Malou chez Loulou et Fred 

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