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lieux communs (et autres fadaises)

5 février 2015

de retour le 6 (7)

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4 février 2015

de retour le 6 (6)

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3 février 2015

de retour le 6 (5)

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2 février 2015

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31 janvier 2015

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30 janvier 2015

de retour le 6 (1)

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27 janvier 2015

les chaussures / le fil du micro

(un rêve qui me laisse, au réveil, passablement agacé)

je suis avec (?) , on a acheté chacun une place pour aller au cinéma mais la séance n'est qu'à 13h (ou 15 ?) et on a le temps donc on va (?)

(on se retrouve aux Beaux-Arts, ou peut-être plutôt chez Thomas (le jeune homme dont je m'étais entiché, il ya 10 ans) ambiance de fin d'année, les étudiants préparent des cartes, ou des feuilles A4, qu'ils vont s'échanger, où ils inscrivent chacun leur tour leurs coordonnées, nom, adresse, numéro de téléphone, pour rester en contact (je me réjouis de savoir que je vais avoir les coordonnées de Thomas), tout ça de manière très graphique, très "artistique"

il arrive, d'ailleurs, le voilà, il est entre deux filles, c'est drôle, je me souvenais qu'il était petit, mais là il est vraiment très petit,  il a changé de coiffure, n'a plus "la touffe" qu 'il avait aux beaux-arts ni le crâne rasé qu'il avait ensuite, il a juste des cheveux mi-logns, et raides, ce qui lui fait une drôle de tête ça me fait drôle de le revoir après tout ce temps, je me demande s'ils se souvient que j'ai été amoureux de lui, et je me demande si je suis toujours amoureux, et j'ai du mal à répondre non mais je vais faire comme si de rien n'était
en tout cas, il est très aimable
(je fais quelque chose avec une feuille de papier qui est déjà peinte et sur le bord de laquelle je voudrais laisser une traînée de peinture blanche)


au moment de partir, je m'a perçois que je n'arrive plus à remettre la main sur mes chaussures que j'avais enlevées en entrant, je me souviens que j'avais des sabots, et il n'y en a pas pas, parmi la multitude de chaussures qui sont posées par terre

nous sommes dehors, devant la maison de Thomas, il y a un énorme monticule de terre (comme ceux qu'on obtient en creusant pour faire les fondations d'une maison) on grimpe dessus, un de ses copains  essaie de reconstituer le trajet que j'ai fait, pour essayer de retrouver mes sabots mais c'est compliqué

je suis embêté, j'ai à présent aux pieds une paire de chaussures qui semblent être des chaussures de fille, un peu, pas trop, plus ou moins, ça dépend des fois quand je les regarde

on est en train de marcher à plusieurs dans la rue (ou sur un chemin plat comme un bord de canal), et soudain j'enlève une de mes chaussures (ce sont alors quasiment des talons-aiguilles, mais un peu vieillots, style dame des années 50, gris perle, me semble-t-il), et en la regardant de plus près, je m'aperçois que le nom de sa propriétaire (et son adresse) sont calligraphiés dessus, sur le côté : il s'agit d'une américaine, et je me dis que c'est donc elle qui a dû partir avec mes chaussures (mes sabots)

 

grey shoes

(un autre bout de rêve, le lendemain, sans rapport)

je suis sur une scène, toute en longueur, comme posée sur les douves d'un château (d'ailleurs, par l'espace entre le bord de la scène et les murs, on voit qu'il y a de l'eau en dessous)
je dois faire un duo avec un chanteur japonais (il arrive sur scène) je ne sais absolument pas ce que nous allons chanter et je men inquiète un peu, mais il me fait un clin d'oeil complice, en souriant, genre "ne t'inquiète pas, tout va bien se passer..." La musique commence, je ne reconnais toujours pas la chanson... Nous avons chacun un micro, avec un très looooooong fil, et j'essaie de me dépêtrer du mien, pour changer de place, en le faisant passer dessus ou dessous des obstacles qui sont sur le bord, il me semble que nos deux fils de micro, qui passent par dessus un fil tendu très haut entre les murs, en travers de la scène, sont en réalité reliés ensemble, et que je suis, en quelque sorte un contrepoids pour le chanteur japonais, je m'en rends compte d'ailleurs brutalement puisque, ayant réussi à libérer mon fil d'un obstacle, je réalise que du coup le système de contrepoids ne fonctionne plus, et que, du coup, le chanteur, déséquilibré, tombe à l'eau de façon misérable, (ce n'est ni trop haut ni trop profond) il a l'air humilié, et les gens rigolent...
Arrivent des coulisses des membres de son équipe, dont une dame asiatique qui a l'air plutôt en colère après moi, et ne mâche pas ses mots pour me faire comprendre que c'est de ma faute, parce que j'aurais du venir plus tôt pour les répétitions (comme lui est célèbre et moi pas, c'était à moi de me déplacer, de faire le premier pas)

micro

 

26 janvier 2015

"ce film n'existe pas encore"

REALITE
de Quentin Dupieux

Oh le plaisir! Oh le bonheur! Oh la jubilation! C'était  le premier film de la journée de prévisionnement à Lure, et ce n'était pas forcément celui dont j'attentais le plus. Après un Rubber que j'avais adoré, puis un Wrong en demi-teinte, et un Wrong cops encore en demi-teinte (on en était donc au quart-de-teinte), je ne savais pas trop à quoi m'attendre...
Le système Dupieux dès l'ouverture (de la chasse ?) se met en place : au départ un bout-à-bout de scènes qui n'ont rien à voir entre elles : un papa qui tue un sanglier pendant que sa fille l'attend dans la voiture, un animateur avec un costume de rat qui se gratte en questionnant son invité pendant une émission culinaire, un des cameramen de cette émission qui va présenter son projet de film d'horreur à un producteur, un grand monsieur barbu habillé en femme dans une jeep militaire qui s'arrête pour cueillir des fleurs...
Puis chacune des scènes se dérègle légèrement : dans le sanglier, il y a une cassette vidéo ; l'eczéma du présentateur semble imaginaire ; l'entretien entre le réalisateur et le producteur se fragmente et se recompose ; le grand monsieur jette les fleurs qu'il vient de cueillir devant la porte d'une maison où il vient de sonner...
Puis surgissent les interférences, entre les différents segments, et le film se dérègle encore légèrement plus : la petite fille et son papa sont dans un film regardé par le producteur, et pourtant ont croisé en voiture le grand monsieur habillé en femme qui est pourtant dans un rêve que ce monsieur raconte à sa psy, qui n'est autre que l'épouse de... Bon je ne vais pas faire mon Télérama et vous raconter toute la suite (ni toute la fin) mais tout ça va s'emberlificoter de plus en plus inextricablement (et jouissivement) : le "réel", le filmé, le raconté, le rêvé, l'imaginé, à tel point qu'à la fin on ne sait plus du tout qui est vraiment qui, qui filme qui et qui rêve de qui... Tout ça délicieusement nappé de "la musique qui rend fou" (Phil Glass, Music with changing parts) -dixit Jean-Luc-.
On peut s'amuser à (essayer de) compter, par exemple, combien il y a de films dans Réalité (ah, au fait, c'est juste le prénom de la petite fille, hein) et tenter de tracer un diagramme sagittal (ou un diagramme de Carroll -Lewis!- vous vous rappelez des maths modernes ?), sauf qu'on se rapprocherait plutôt, ici, de la folie douce, voire de la furieuse...
Contrairement à ses précédents films, Réalité est "rigoureusement" cohérent dans son incohérence (à moins que ce ne soit le contraire) et c'est pour moi, sans aucun doute, le meilleur film de son réalisateur. Et peut-être celui qui, grâce à la présence d'Alain Chabat, pourrait peut-être lui permettre (sans doute, je l'espère) de trouver son premier grand succès public (il le mérite!).
Pour citer Poe (ou Propaganda) : "Just a dream within a dream"... Mais à la puissance n (ou même n+x ?)

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25 janvier 2015

haute-couture

c'est pas souvent que je m'intéresse aux photos de défilés, mais là, je fais une exception...

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... c'est mimi, pour l'hiver, non ?

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