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lieux communs (et autres fadaises)
6 août 2012

la viande

je retrouve Elizabeth et Hervé au restaurant (en angleterre ?) c'est bizarrement agencé, nous sommes assis chacun à une table individuelle, une petite table (comme à l'école) et les tables sont plutôt serrées

la viande que j'ai commandé arrive, c'est comme une très grosse entrecôte, mais quand je la coupe, je m'aperçois que l'intérieur est  rose, comme de la viande de porc crue, Elizabeth me dit qu'il faut absolument que la renvoie, pour qu'on la refasse cuire, je fais donc un signe au serveur derrière le bar

nous sommes le lendemain, et je repense à cette histoire de restuarant, et je n'arrive pas à me souvenir si, finalement, je l'ai mangée ou pas cette viande

... mais non, la voilà qui arrive, c'est maintenant un plat plutôt appétissant, même si un peu inhabituel : la viande est en croûte, il y a au-dessus du plat en terre une croûte très fine, friable, comme en pain azyme, et, à l'intérieur, la viande, dans une sauce à la crème ; le détail qui me fait absolument saliver c'est que, disposée tout le long du bord du plat (autour du morceau de viande, donc), il y a de la saucisse grillée, que j'espère être de la saucisse de Toulouse

(bribe de rêve lors d'un bref réendormissement en milieu de matinée)

5 août 2012

du billard ?

(un truc très embrouillé, presque oublié...)

une partie à l'école : accueil du matin dans la salle de jeux (pas la vraie), avec les bancs disposés en rond le long des murs : pas très pratique, d'autant plus qu'il va falloir installer au milieu de la salle ces deux immenses tableaux noir (gris en fait, plutôt en schiste ou en ardoise), il sera donc difficile de voir ce qui se passe de l'autre côté... je discute avec Marie et Cindy d'une nouvelle réorganisation de l'après-midi, où les enfants ne feraient plus la sieste (je fais semblant d'être enthousiaste, mais, en mon for intérieur ça ne m'emballe pas tant que ça...)

je suis avec thomas et (?  un autre petit jeune) nous sommes partis en voiture de l'iufm mais nous n'avons pas attendu ma soeur, il faut que je la prévienne, elle va peut-être nous y attendre... Je tiens mon téléphone portable (il a une drôle de forme, d'ailleurs, presque trapézoïdal) mais je ne sais pas pourquoi, je ne peux pas m'en servir, je discute avec le jeune à ma droite, en expliquant que j'ai un fournisseur d'accès pour... me fournir l'accès justement, mais que je m'en sers que pour avoir le réseau, après j'utilise un autre réseau, bien sûr, et il me dit que, bien sûr aussi, il fait comme moi

le jeune me propose de téléphoner à une de ses copines, pour pouvoir joindre ma soeur, on s'arrête dans un genre de (bureau de poste ? station-service ?) et j'utilise son téléphone pour joindre son amie ; quand ça décroche, elle me prend pour quelqu'un d'autre, elle s'appelle aussi brigitte, mais je lui explique que je suis avec thomas et (?) (j'ai du mal à retrouver son prénom au téléphone, j'ai peur de me tromper)

on est dans (un bar ? un hôtel ? une salle de billard ?) , beaucoup de gens, c'est assez bizarre, les billards sont posés directement sur le sol, on peut y jouer ou simplement s'allonger pour y dormir (il y a beaucoup plus de gens qui dorment que de gens qui jouent) et d'ailleurs, quand je parle de ma soeur à un des mecs allongés par terre, à qui je viens de renvoyer sa boule de billard qui était sortie du tapis, il me montre en rigolant une silhouette allongée derrière moi, endormie au milieu d'autre dormeurs, c'est ma soeur!

en réalité je suis en train de regarder dans un moniteur (un camescope ? un banc de montage ?) la fin du film qu'a réalisé la copine de ma frangine, qui est en train de me le commenter, elle regrette que, sur ce dernier plan (on traine un chariot dans lequel elle est censée être endormie) elle n'ait pas réussi à "jouer le jeu" et à jouer l'endormissement, puisqu'on la voit ne pas pouvoir se retenir de pouffer de rire... je me dis que c'est vraiment dommage, qu'elle aurait du retourner le plan...

30 juillet 2012

la représentation

(à bussang ? )
il est question que je je fasse une partie d'un jeu de société avec des canadiens, avant de commencer des tas de petits pions plats en carton, sont retournés sur la table, il s'agit de retrouver celui qui porte ma photo "qui est toute petite", me fait remarquer ma voisine de droite, évoquant le fait que, pour les cartes des amis du cinéma, c'est moi qui ai tracé le cadre pour y coller la photo, (elle montre avec ses doigts un tout petit rectangle) je retourne tous les petits bouts de carton l'un après l'autre, en vain, je n'arrive pas à retrouver ma photo, c'est fastidieux
je vois passer Pépin, qui va dans la pièce à côté, où je le suis, un genre de bûcher, et je lui demande des nouvelles, je veux savoir comment se passent les répétitions, il a l'air très enthousiaste, mais prononce des noms que je ne connais pas, peut-être celui du metteur en scène, ou de l'auteur du texte, dont je comprends qu'il est très connu, qu'il a de beaux yeux bleus et qu'il va venir pour rejouer en plus une autre de ces célèbres créations (je pense que cela va encore ajouter une heure à la représentation)
je suis dans la même pièce que les amateurs, longue table où on est tous en train de goûter (vague)
sur ladite table, le bibliothécaire vient m'apporter des livres (bouquins d'enfants) je les feuillette, un enfant à côté de moi me pose des questions sur les albums (des histoires de géants et de maisons -pour un prochain spectacle que j'ai dit que j'allais jouer ?-), je discute avec le bibliothécaire, qui me rapporte encore des livres, en lui expliquant qu'il vaudrait mieux "séparer les deux comptes" (les acteurs amateurs et moi), il a l'air un peu étonné, et m'explique qu'il va simplement séparer les bouquins, et poser les miens sur ce petit coin d'étagère (ou cette petite table), là...

scène de foule (après la répétition ?) je croise notamment Dominique Vuillerez, qui a juste le temps de me demander si j'ai remarqué la façon dont Annette l'a fui, tout le temps de (?)

je reviens, au lieu de départ, et je croise notamment plusieurs jeunes acteurs amateurs qui sont en train de faire les cons sur une moto, il y a notamment quatre ou cinq filles, toutes en robes de mariées, je les engueule en expliquant qu'ils ne doivent pas se montrer, comme ça,  en costumes, aux spectateurs, avant la représentation, parce qu'ils vont (je cherche mes mots) "...casser la magie". une des filles me regarde interrogativement, je reconnais Menehould, qui était avec moi aux Beaux-Arts, ils sont tous  penauds et repartent vers l'intérieur, je suis un peu étonné que mon speech ait fait autant d'effet

je dois rentrer dans les coulisses, pour me préparer pour le spectacle (c'est difficile, la porte a été comme murée sur presque toute la hauteur par des planches, il y a un espace en haut, et il faut se hisser au dessus à la force des main), je n'arrive pas à soulever ma jambe droite pour la faire passer, heureusement arrive derrière moi un des acteurs -un vieux-, qui me pousse pour que je puisse passer
c'est le moment de mettre les costumes avant la représentation, je réalise que j'ai oublié de demander des chaussures tout à l'heure, alors, comme je ne peux pas jouer pieds-nus, j'essaye de retrouver mes baskets  (je suis en chaussettes), Pépin me dit qu'elles sont là, sous la table, j'ai en effet l'impression de les reconnaître, mais, quand j'arrive,  je ne trouve qu'une chaussure de femme, genre ballerine ou talon-aiguille, orange pâle, visiblement trop petite
je vois passer les autres en costumes, noirs et blancs -c'est une pièce qu'on a déjà joué mais le nouveau metteur en scène a changé les costumes pour cette reprise - et je réalise que je n'ai pas du tout répété avec les autres, cet après-midi, et que j'aurais mieux fait de le faire , au lieu de (?)
et d'ailleurs ça y est, nous voilà en scène, je suis avec Pascal Bringoux, nous avons deux répliques à dire, lui d'abord, puis moi. Il dit la sienne, puis me pose une question avant que je puisse commencer la mienne, ce qui fait que je perds complètement le fil, je murmure entre mes dents "là, pascal, tu m'as bien planté..." et j'essaie de retrouver les premiers mots de cette fameuse réplique, que je connais normalement par coeur, sans problème... je commence à paniquer un peu, je tiens la main de pascal, il a mis un gant noir ou je m'aperçois que sont écrites les répliques successives du début, et donc je tente en vain de retrouver la mienne, mais je me mélange dans les différentes lignes, je n'arrive pas vraiment à lire,  et je prononce des mots au hasard, extraits de répliques différentes
(hors-scène) je suis un peu penaud, je vois un autre acteur qui sort, en costume style mandrake, avec cape et chapeau haut-de-forme, il me regarde bizarrement, et je crois lire des reproches dans  ce regard muet

(5h48 : je me réveille, d'assez méchante humeur... je me lève, puis vais me recoucher au bout d'un petit quart d'heure, je me rendors, et c'est reparti aussi sec!)

je suis à Bussang, je suis venu assister à la représentation du soir, et je réalise que je suis en t-shirt et en nu-pieds, je risque d'avoir froid... je demande à pépin s'il peut me prêter des chaussettes (en me disant que ça va être la honte, d'avoir des chaussettes en nu-pieds) et un vêtement... Dans l'appartement de pépin (qui est grand comme le coin-cuisine de malou), il y a za qui est en train de plier des vêtements, je repère une paire de chaussettes qui pourrait convenir, mais c'est très compliqué, elle est sous une pile de vêtements et lorsque je cherche, je ne la trouve plus
il faut que j'aille acheter mon billet, d'ailleurs, mais loulou m'apprend que les guichets ne sont plus "en bas de la rue à droite" comme ils étaient avant, mais qu'ils sont désormais juste à l'entrée. il y a effectivement, juste à gauche, un grand hall avec des escaliers qui descendent, remplis de gens qui viennent acheter leur place. je me mets dans la file, et finalement ça va relativement vite, d'ailleurs me voici déjà en bas, devant le guichet. j'ai a peine le temps de tourner la tête que je m'aperçois qu'un père de famille a resquillé (il est avec sa femme et ses deux enfants) et est déjà en train de parler à l'employé(e) pour acheter des tickets pour toute sa famille. Je suis scandalisé, je le lui fais comprendre, et lui me fait juste un geste du style "ben fallait être plus rapide!"
tandis que je commence à vociférer pour exprimer mon mécontentement, il y a soudain de plus en plus de monde de l'autre côté du guichet (mais du mien aussi), des gens qui doivent être  acteurs dans la pièce, car ils sont les mêmes costumes : certains en noir -costumes de ville- et d'autres en vert -genre combinaisonde jardinier- l'un d'entre eux d'ailleurs me gratifie de la vision rapide de son sexe qu'il a sorti par l'ouverture de la fermeture-éclair, comme pour me dire qu'il(s) n'en ontvraiment  rien à faire de mes histoires et de mes cris, d'ailleurs, l'employé qui est à l'ordinateur qui délivre les billets s'est carrément arrêter de taper sur le clavier, et me toise en silence, comme s'il était en pause. en regardant derrière moi, je réalise qu'il n'y a plus personne dans la file d'attente, je suis le dernier...

8 août 2011

le film de fourier

Je suis à un festival de cinéma.
J"ai déjà raté la première projection de la journée. Je crois que je suis à la recherche de mon sac à dos (pas le modèle "fille" comme celui que je vois posé par terre), que je pense avoir oublié dans la salle hier soir (ou ce matin ?)
En me dirigeant vers la salle, sur une vaste esplanade, je croise successivement Pépin, puis Dominique, qui visiblement en sortent (ils n'ont d'ailleurs pas l'air très réjouis). je leur demande "alors ?" mais aucun des deux ne répond, et ils continuent leur chemin... je leur lance un mot désobligeant, que d'ailleurs ils n'entendent pas.
Quand j'arrive dans la salle du "film de Fourier", je comprends que le film en question ne sera pas projeté, comme de coutume, sur l'écran, mais de l'autre côté, derrière, en dehors de la salle, c'est pourquoi il vaut mieux être assis sur le rang de chaises du fond, si on veut espérer voir quelque chose...
Il y a une dame (une ouvreuse ? une organisatrice, qui me montre une chaise vide (nous sommes désormais dans une vaste salle carrelée et vide, avec seulement un rang de chaises -blanches et en fer forgé, des chaises de jardin- qui en font le tour). je me rapproche de la chaise qu'elle m'a indiquée, d'ailleurs le monsieur à côté me dit, que bien sûr, je peux tout à fait m'installer là.
Arrive une spectatrice qui visiblement voudrait aussi s'asseoir sur cette chaise, mais je lui dis que j'étais là le premier, je suis un peu embêté, j'explique à l'ouvreuse que, d'ordinaire la galanterie voudrait que je lui laisse ma place, mais là, je ne peux absolument pas. elle me fait un sourire qui signifie qu'elle comprend (et me donne raison.)
Je suis assis, le film n'est pas commencé, mais je comprends que ça va être très compliqué : en me tordant le coup exagérément je dois  regarder à travers un des petits carreaux d'une fenêtre, qui donne sur une autre fenêtre, de l'autre côté du bâtiment, et je ne vais pouvoir voir qu'une partie tronquée de l'image.
Je me lève alors, comme beaucoup d'autres gens l'ont fait, pour essayer de trouver un meilleur endroit d'où je pourrais voir le film. Je comprend que chacun, d'ailleurs, se débrouille, pour trouver "sa" place, "son" point de vue. Je croise notamment Za, qui marche elle-aussi. Elle a le sourire quand je lui dis bonjour, et lui effleure la tête avec ma main (à moins que ce ne soit elle qui m'effleure la tête avec sa main. en tout cas, il y a des gouttes d'eau sur la main, et elle passe au milieu des feuilles...)

(fin du rêve de cette nuit...)

24 janvier 2011

le repas de midi

Je suis avec L. (je ne me souviens pas de ce qui est arrivé avant dans le rêve). Nous marchons dans la rue, il est est midi, et nous devons aller manger avant de reprendre le travail. (En réalité, nous ne sous sommes jamais rencontrés "en vrai.). pas très loin, derrière nous marchent Christine et Jean-Fran, qui vont manger eux aussi.
Je pense que je vais emmener .L. manger à l'IUFM, en me disant que ça ne va pas manquer de provoquer des commentaires, piquer des curiosités, mais au moins comme ça, tout le monde sera au courant. Mais nous passons devant une table de jardin en fer forgé, flanquée de deux chaises, qui se révèle être la devanture (la terrasse) d'un restau que je n'avais jamais vu là auparavant. L. y entre, d'ailleurs. (dans le rêve, nous ne parviendrons jamais d'ailleurs à être vraiment ensemble, il est toujours "devant", ou, plus loin...). Il y a beaucoup de monde, il s'gait d'abord de commander, je ne comprends pas exactement ce qu'on peut manger, la blonde au comptoir me dit que les cartes vont arrivées, elles sont apportées par une vieille femme (sa mère ? pensé-je) c'est une pochette plastqiue pliée en deux dans la quelle on a glissé la feuille du jour (une feuille jaune) mais comme on a laissé dedans celle de la veille (une rouge), et que celle -ci s'est un peu mise en boule, on n'arrive pas bien à lire. J'hésite : pâtes ? pizza ? je pense à ce que j'ai lu dans les Inrocks, et à ma décision d'arrêter (ou du moins de réduire) ma consommation de viande. J'opte pour une salade, mais c'est écrit très petit et je n'arrive pas à lire quoi que ce soit.
j'ai conscience que le temps passe, et que je n'aurai peut-être pas le temps de manger. Je me demande si L. va me parler de sa nouvelle copine (...).Je consulte à nouveau la carte, elle a changé d'apparence, la vieille m'apporte une sorte de menu à plusieurs feuilles, datant vraisemblablement d'il ya plusieurs années, et que je n'arrive pas à lire non plus vu que les pages sont collées entre elles (j'arrive à en décoller deux, en les déchirant un peu...).
Le patron au comptoir me regarde interrogativement, et je finir par commander "une pizza" sans autre précision. L. commande aussi la même chose. Le patron, en me regardant, fait une remarque du genre "et bien il aura mis le temps...". Ça m'agace et je sors pour me calmer un peu (j'aperçois de loin Chris et Jean-Fran qui mangent assis à une table).
Quand je reviens à notre table (tout au fond du restau, je trouve L. qui est déjà en train de manger sa pizza., il ya un ou deux gamins assis là, avec qui il discute, et même la serveuse blonde, qui est installée à ma droite. Devant moi est servi un genre de plats de canelloni, ce n'est pas du tout ce que j'avais commandé. la serveuse me précise en riant : "On a pensé à vous... que des aphrodisiaques!" Je commence à manger (une petite grappe de raisin que j'essaie d'avaler en une fois, puis des haricots dont je laisse par mégarde tomber une cuillère sur la nappe, en fait je m'aperçois qu'il en est tombé beaucoup plus que ça) Je viens très rapidement au bout de mon plat, il ne reste plus dans le plat qu'un genre de bouillon clair.
Il faut à présent aller payer. on se lève, et le patron nous demande d'aller dans un autre coin du restaurant. On fait la queue près d'un pilier. Quand j'arrive, L. est en train de donner l'accolade à un jeune homme brun. Puis à un autre, à qui il fait la bise (mais n'est-ce pas le patron ?). Je pense qu'il est quand même très sociable, et qu'il a une incroyable facilité pour attirer la sympathie des gens...) Il a pris la note pour nous deux, et a  fait visiblement des calculs sur le ticket qu'il me tend. je m'étonne de la somme affichée (33€) mais je comprend qu'il a fait le calcul pour lui, et que je dois donc déduire ce qu'il doit de la somme totale. Finalement je m'en tire pour 16€, que je paie en liquide (je me trompe en sortant successivement des billets de mon portefeuille, et tiens je m'aperçois que j'y ai un billet de 100€ mais tout petit, que je pourrais confondre avec un billet de 5.)
Pendant que je paye (je suis désormais à un comptoir, apparaît Cathy, avec une fillette (qui m'appelle par mon surnom de quand j'étais jeune) vêtue d'une robe un peu voyante (genre danseuse indienne, mais dans les tons de gris noir et blanc, avec des trucs qui brillent). L. est déjà sorti, j'explique à Cathy que je suis très pressé , elle me dit "oui oui, évidemment..." d'un air déçu et un peu triste.
Je sors, L. marche devant moi,il est déjà assez loin, à un moment, il entre dans un genre de square (je le vois en contrebas), un édifice avec plusieurs cours intérieures qui se chevauchent. Il est en train de parler avec un gamin. Je suis excédé. Pour attirer son attention, je hurle depuis le dessus. Il se retourne, un peu étonné avec l'air de dire "Ohlala, qu'est-ce qu'il a? " et fait mine de venir me rejoindre.
Mais j'ai tourné à droite, et il semble que les chemins que nous prenons ne correspondent pas. Les plans sont disjoints. je ne vois pas trop comment faire. Je vois sa tête apparaître sur la droite, au ras du sol, en haut d'un escalier, auquel je ne peux pas vraiment accéder

(à ce moment, je suis réveillé par la sonnerie du réveil, et je mets un moment à reprendre contact avec la réalité. Je suis empli de tristesse.)

7 décembre 2010

deux morceaux de rêves

Une répétition de théâtre, avec Pépin et un acteur (Nicolas ?) qui a du mal... J'arrive de Besançon, et je leur dis que j'ai acheté le dvd d'Orlando, avec Isabelle Huppert. Je regarde alors l'écran du moniteur situé au-dessus de nos têtes, et je vois entrer... Isabelle Hupper, dans une tenue rose fuschia (comme sur la pochette du dvd). Elle va jouer une scène avec nous. Nous sommes dans une semi-oscurité, au tour d'elle, et elle chuchote un texte auquel je ne comprends rien...
Il est question pour moi de fabriquer un bouchon avec des allumettes que j'ai disposées en cylindre serré au creux de ma main, mais quand je regarde le goulot de la bouteille en question, aussi constitué d'allumettes serrées, je me rends compte qu'il n'y a pas assez d'espace au milieu pour mettre "mon" bouchon d'allumettes. Et d'ailleurs, comment les faire tenir ensemble , Avec un ruban?
J'entends quelqu'un parler de quelqu'un d'autre qui est en prison et qui a tout fait pour ne plus entendre et combien c'est difficile de le faire en cachette, se boucher les oreilles, et que, d'ailleurs, s'il avait voulu mettre des allumettes, ça aurait été dangereux, on aurait pu lui percer les tympans...
nous sommes en voiture, avec deux autres personnes, mais chacun dans un véhicule différent: j'ai un espèce de tracteur d'enfant avec la roue avant qui colle un peu sur l'accotement, c'est difficile d'avancer, je vois Hervé me dépasser, il est dans un genre de voiture de sport, tellement à l'aise qu'il n'a même pas besoin de mettre les mains sur le volant, et qu'il les a croisées derrière la tête

(une autre nuit)

j'arrive à Paris en train. Je voyage léger, j'ai juste mon sac à dos, il est à moitié vide (je vérifie que mon porte-feuille y est toujours, quand je me dis qu'il faut que j'achète des tickets de métro. Je réalise alors que je n'ai pas de manteau (je l'ai laissé là où j'étais avant de prendre le train, et surtout que je n'ai pas pensé à récupérer mon sac de voyage à l'arrivée à la gare (mais aurais-je alors voyagé en avion ?)
je tente donc de retraverser Paris pour retourner à la Gare de l'est récupérer ce fichu sac (je me prépare déjà, en pensée, à répondre aux questions des employés sur le contenu de ce sac pour prouver qu'il est vraiment à moi...
Je passe dans des rues bizarrement faites, avec des trucs surélevés au milieu, en rendant la traversée malaisée, comme des morceaux de vitraux un peu abimés...
Je passe devant une toute petite gare, dont j'espère un instant que c'est la gare de l'est, mais elle porte un autre nom, c'est une petite gare dont je n'avais jamais entendu parler, comme une gare "en modèle réduit"
Je retrouve Dominique et Malou dans un troquet, je leur raconte mes histoires de sac et de manteau (je me dis que je commence à perdre la tête). Nous sommes dans un troquet, assez cosy, sur une étagàre est posé le press-book d'un film (petit format carré) que j'ai envie de piquer, mais je me retiens. Je m'étonne qu'un press-book traîne ainsi dans un troquet, puis je me rappelle qu'on est dans le troquet d'Agnès Varda, c'est normal qu'elle fasse de la pub pour un film.
Film dont on parle d'ailleurs, avec D. et M. M. me demande si je l'ai vu, que, tout de même un film de 2h19=8, et je réponds en évoquant tous les films actuels très longs qui sortent, tandis que D. se lève précipitamment, peut-être pour aller aux toilettes.
Nous marchons, pour aller manger. Nous passons devant un restau mexicain où se déroule une scène dont je ne sais si c'est un film ou la réalité. Tous les employés "défilent" dans la devanture du restaurant, sur une musique répétitive faites d'applaudissements. Ils sont tous face public, les uns contre les autres, souriants, ça donne envie...
Nous entrons dans ce restaurant, nous asseyons, il y a une longue table, Agnès Varda est assise au bout, je me suis assis à l'autre bout, et (?) est assise à sa gauche. Un premier serveur arrive avec les menus, peut-être nettoie-t-il la table (il est question de miettes). Un deuxième jeune serveur arrive, il m'invite à me rapprocher ("pour la soupe...") et à venir m'asseoir à droite d'Agnès, donc. Je m'exécute en lui expliquant que je ne l'avais pas fait plus tôt parce que je pensais que le premier serveur en aurait peut-être besoin, et d'ailleurs, lui dis-je, pour la conversation ça n'est pas terrible. Le siège en question est un fauteuil en osier très bas, tandis que mes interlocutrices sont juchées sur des tabourets de bar, et que je ne peux pratiquement pas voir leurs visages...
Nous sommes installés pour manger 'j'ai de nouveau une hauteur normale), je' suis seul de mon côté de la table, en face de moi sont assis toujours Agnès Varda, mais aussi Jacques Boudet '(celui qui joue le papa dans Le nom des gens). On apporte les plats. Il y a plein de petits trucs, que je ne connais pas. on a des assiettes individuelles, mais il y a près de moi un plat chargé de saucières et de récipients que je tends à Agnès en disant "honneur aux dames..." (il y a une petite saucière qui s'est un peu renversée au milieu)
Derrière et à côté de nous, des gens sont attablés, discutant bruyamment et riant, il y a notamment deux messieurs qui ont exactement la même chemise (genre motifs hawaïens, marron blanc et noir) alors qu'il y en a un gros et un maigre... Je mange le contenu des petits raviers qui sont dans mon assiette, c'est très coloré, croquant, délicieux, je ne sais jamais à l'avance si je vais manger des fruits ou des légumes...
On regarde un extrait d'un film d'Agnès Varda. Elle a filmé un mec genre Sergei Bubkha, mais il saute en hauteur, l'extrême ralenti caméra au moment du saut le montre allongé au dessus de la barre, souriant, béat, comme s'il était dans son lit... D'ailleurs il est en peignoir (bordeaux), et on peut deviner son pyjama dans l'ouverture. Oui, comme s'il dormait dans son lit...

(je me réveille d'excellente humeur, en me disant que j'aurais ou lui dire que j'avais beaucoup aimé Les plages d'Agnès...)

29 octobre 2010

papier(s) peint(s)

J'ai retrouvé le jeune homme en t-shirt. En rentrant dans un restaurant (ou un bar? ) où je vais habituellement, je le vois, assis de dos, à une table, avec des demoiselles (il a un t-shirt bleu). Je fais marche arrière avant qu'il ne me voie. Je suis content de savoir qu'il est à nouveau à Besac, qu'il va bien (je m'imaginais le pire)
Nous sommes dehors, des chaises sont installées en rond (on parle ?) En relevant la t^tte, j'ai la surprise de voir à nouveau, le jeune homme. il a changé physiquement : plus de barbe, mais une imposante masse de cheveux longs, très féminine, (au milieu de laquelle j'entrevois, d'ailleurs, plusieurs nattes très fines). Il est très calme et souriant.. Je lui dis qu'il a toujours l'art de me surprendre, qu'il n'est jamais pareil à ce que je pensais...

(j'ai oublié la suite, mais ça durait, et je me suis réveillé, d'assez mauvaise humeur envers moi même, pour m'être ainsi infligé ce rêve gnangnan et très à l'eau de rose...)

J'ai emménagé dans un (très grand) appartement de fonction, avec ma soeur, Françoise J, et Titi V. (un appart' de célibataires, puisque nous avons chacun notre chambre, immense.) Les papiers peints en sont remarquables, chaque chambre a une "identité colorée" spécifique : celle de ma soeur est dans les tons beige marron, 'avec des rayures verticales) la mienne serait plutôt dans des bleus et verts clairs mais assez francs, presque gueulards, un papier au toucher très "acrylique" (vinylique plutôt) assez épais (qui a dû coûter cher) si ce n'est qu'il semble y avoir beaucoup d'humidité dans cette pièce, puisque quand je saisis le bord d'un lé, il semble se décoller sans aucune difficulté.
Oui, l'appart' doit être humide, d'ailleurs, Françoise J. n'a-t-elle pas entrepris de doubler les jointures extérieures de chaque fenêtre avec des couvertures ? A la voir ainsi, penchée au dehors en train de poser les couvertures sur les joints, je me dis qu'il n'y a pas de soucis à se faire pour la tenue de cet appart', Françoise va prendre les choses en main!

26 mai 2010

les deux ou trois soeurs

(bouts de rêve)

(en rouge, les éléments "extérieurs" au rêve)

Nous devons aller au cinéma voir un film à 18h (nous sommes passés auparavant devant, dans ce même rêve ? La façade est très haute, et évoque celle des anciennes Imprimeries Bon, et d'ailleurs, l'affiche en rouge et blanc placée très haut au milieu de la façade pour annoncer le film en question m'évoque la banderole de notre spectacle).

Avant, je traînais dans un espace de vide-greniers, enfin, surtout devant un stand où un homme vend notamment des "fichiers de Trivial Pursuit (en me précisant qu'ils sont désormais épuisés). Je les regarde et j'ai presque les larmes aux yeux en repensant à toutes les parties que nous avons pu jouer. je farfouille dans un genre d'armoire, pour voir ce que le mec a d'autre à vendre, il y a notamment, dans un tiroir, des timbres en caoutchouc, visiblement très anciens, usés, aux illustrations splendides. j'essaie de retrouver ces fameuses boîtes thématiques de questions de Trivial Pursuit, sur une table à côté mais je ne trouve qu'un jeu pour enfants, sur le même principe, mais avec des illustrations plutôt criardes et pas très engageantes.
(il commence à pleuvoir ?)

Je marche dans la rue, derrière moi il y a une fille brune qui marche en discutant avec quelqu'un. C'est un mélange de Dominique G. et de Christine V. Elle dit du mal successivement de deux personnes que je connais (peut-être Yvain et ?). Sans me retourner, je dis à son adresse "Je connais (?) et (?), ce sont des amis..." Et je presse le pas pour prendre de la distance. Je marche dans une énorme flaque.

(avant) Je suis entré dans un espèce de supermarché chinois, plutôt un grand local, avec beaucoup de couloirs et de petites pièces où circulent beaucoup de gens. Il faisait chaud, et j'ai enlevé mon manteau, je l'ai posé quelque part. Je suis bien embêté à présent, à force de tourner dans cette grande surface, je réalise que je n'arriverai jamais à retourner là où j'ai laissé mon manteau. Au bout d'un certain temps arrive un asiatique, qui, sans un mot me tend le manteau en question, avant de disparaître.

J'arrive devant le cinéma de tout à l'heure, mais ce n'est pas la bonne heure, ni la bonne séance, on doit être le matin. j'ai envie d'aller aux toilettes, ça tombe bien, il y a justement, posé devant le cinéma, comme ça en plein air, une cuvette. Je m'y installe. A cet instant j'entends une voix qui m'appelle par mon prénom. c'est ma sœur, qui vient au cinéma pour voir le même film que moi. Je suis extrêmement content de la voir. nous discutons en nous éloignant du cinéma, je lui parle de sa santé, et du sentiment que j'ai qu'elle ne me dit pas tout... elle répond en rigolant qu'il y a effectivement quelque chose de grave, et me cite un nom de maladie compliquée, que je ne connais pas...

Nous marchons (avec ma sœur et un groupe de gens) et nous arrivons sur une place... Ma sœur dit que ce sont des clodos, qui sont là et elle a l'air excédée que nous devions passer par là précisément. C'est effectivement plein de clochards, j'en bouscule un en arrivant sur la place, il porte un genre de moumoute afghane assez sale, et me parle avec un accent de l'Est. Nous traversons la place, il y a un gros chien, sur ma gauche, qui se met à grogner et bondit soudain en me plantant ses crocs dans le bras, mais en réalité ça ne fait pas mal, je ne sens rien...

Nous "visitons" (?), toujours avec le même groupe. Le guide nous fait passer par des accents (je voulais écrire "endroits") plutôt étroits, des petites portes, des couloirs, à un moment il faut se faufiler par une ouverture étroite à travers un grillage, je demande ce qu'il faut faire pour continuer, et le guide me répond quelque chose comme "garder ma tête à la bonne hauteur" (il doit y a voir alors, devant moi, sur une palissade, une marque à la peinture grise/argentée)

Nous passons sur un genre de chemin en bois ("sur pilotis ?") plutôt étroit, en file indienne. Il y a sur notre gauche des gens en activité (des artistes ? des artisans ? n'y aurait-il pas aussi une autre de mes sœurs ?) Et voilà que le chemin en bois est devenu un genre de tapis roulant sur lequel se mettent à défiler (il faut donc éviter de marcher dessus) des plats de traiteur asiatiques ("ils veulent nous les faire acheter!")

On est dans un restaurant. Ma sœur est assise en face de moi. et à côté d'elle une autre sœur (en réalité je n'en ai qu'une). c'est la même sauf que elle a le visage presque entièrement recouvert de noir de fumée. un noir très couvrant et très opaque (et, je pense, indélébile). Ce devait être une des personnes qui faisaient (du raku ?) quand on est passée sur le chemin en bois, tout à l'heure... Un homme, visiblement important (le propriétaire du restaurant ?) parle avec ma sœur, et lui tend un plat spécialement à son intention, du "canard au safran" (ce sont des tranches de viande rouge qui ressemblent à du rosbif bien cuit, mais saupoudrées d'une épice rougeâtre) Il y a deux tranches dans le plat, une grande et une petite, ma sœur prend la grande, la mange avec un plaisir visible. Je la regarde avec envie. Elle s'en aperçoit et en déchire alors un petit morceau qu'elle place dans mon assiette. Je suis fâché, j'en aurais voulu plus, je dis que je n'en veux pas, et passe l'assiette à ma voisine. Ma sœur sourit, et en se penchant au-dessus de la table, elle m'évoque une anecdote (fausse) survenue pendant notre enfance entre mon père et ma belle-mère. Elle dit d'abord un mot ("la griffure" ? "l'éraflure" ? non...) pour évoquer une joue "frottée", grattée de mon père par sa femme, suite à une querelle entre eux. Ma sœur raconte tout ça un peu fort, de façon désordonnée. Mon père suivait un feuilleton, avec une énigme et un coupable à la clé, et elle lui avait donné des indices ("il est gros..." 'il est riche..." '"il est mal rasé..." ) qui révélaient l'identité du coupable, Ils 'étaient alors disputés et battus.

(après le repas ?) une pièce avec beaucoup de gens, connus pour la plupart (dans ce rêve en tout cas). Il y a notamment un homme brun avec un enfant sur les genoux, dont je me dis que ma copine devrait se méfier. (Par rapport à l'enfant). moi j'ai sur les genoux une énorme chienne jaune gentille, genre berger des Pyrénées, qui a la particularité d'émettre un genre de gémissement quasi humain lorsqu'on lui appuie sur un endroit précis de la tête, au-dessus des yeux. je le fais plusieurs fois, et à chaque fois elle produit ce petit gémissement qui fait rire l'assistance. Mais n'y aurait-il pas là-dedans quelque chose de dangereux , Si j'appuie au mauvais endroit, est-ce que je ne risque pas de produire une réaction inattendue de sa part ?

(ailleurs ? avant ?) Je suis en voiture, (ma nouvelle voiture), dans une ruelle / un couloir vraiment étroit(e) (je touche quasiment les bords des deux côtés) J'avance lentement, je croise alors un flic, puis deux, qui viennent en sens inverse. Ils ne sont pas vraiment menaçants (imposants, mais pas menaçants, il y a dans leur tenue quelque chose, un désordre, qui ne me les fait pas craindre), je réalise en les croisant que je n'ai pas attaché ma ceinture de sécurité. comment vont-ils réagir ? leur regard passe sur moi, à travers le pare-brise, mais ne s'arrête pas... Ils me parlent alors, en rigolant, de tout à fait autre chose (une œuvre d'art , une tapisserie à protéger, à ne pas abîmer ,) et je comprends qu'ils vont m'aider à sortir de là (je leur dis, en plaisantant aussi, que je n'aimerais pas rayer ma voiture, parce qu'elle est toute neuve...)

(temps de retranscription : 8h47/9h35)

12 mai 2010

le jour d'après

Bolandoz, là où nous faisions des colonies maternelles (le bâtiment) Nous y sommes arrivés la veille et nous y avons dormi. (Nous, c'est à dire un groupe de gens, quasiment celui avec le quel je suis parti en Inde). J'erre dans les couloirs, c'est le matin, et je cherche désespérément l'endroit où j'ai bien pu dormir la nuit précédente, pour retrouver mes affaires (et qui donc était avec moi dans la chambre.
Je tente de retrouver la porte par laquelle nous sommes entrés, pour retrouver la chambre. Le bâtiment est à présent l'ancienne Ecole Normale (celui des dortoirs des garçons). Je croise des gens, je les interroge, Philou s'est installé au troisième étage il a l'air très content d'avoir une chambre avec une salle de bains... Je croise d'autres gens, des jeunes, que je ne connais pas. Je manque de perdre mon sac à dos, que j'avais posé sur l'appui d'une fenêtre, en hauteur (il y a beaucoup de bagages posés sur les rebords des fenêtres...)
Je cherche toujours, je suis à l'extérieur, je marche dans une espèce de lande... je suis un peu perdu, je voudrais téléphoner, je ne trouve pas mon téléphone, j'arrive à une maison où habite une vieille femme très gentille que je connais, que nous connaissons tous... Je lui explique mon problème, mais je ne suis pas sûr qu'elle le comprenne bien, elle me donne des noms de médecins dont elle pense qu'ils pourraient m'aider...
Je repars de chez elle, elle m'indique le chemin à suivre : à travers le village, monter, puis prendre un peu à gauche et continuer toujours tout droit. Pendant( que je suis en train de relacer mes baskets (que j'avais ôtées sur le pas de sa porte)arrive son mari, avec un imperméable et la capuche sur la tête, dégoulinant de pluie. Il me fait signe en souriant que dehors ça tombe, et je pense que je vais me prendre un orage  pendant que je serai sur la lande.
La dame est ressortie sur le balcon, , voyant la direction que je prends, et m'explique que ce n'est pas tout à fait ça, mais que ça va aller quand même... J'arrive en effet, en prenant tout droit,, devant un grand magasin (genre prisunic) mais qui est visiblement fermé. Sur la petite place, une troupe de mecs qui répètent une pièce (ou un spectacle) en faisant pas mal de bruit. Il y a deux routes parallèles (une de chaque côté du magasin), qui portent des panneaux indicateurs. Je prends celle qui est sur ma gauche, mais je vais ensuite du côté droit, là où c'est indiqué "centre-ville".
Je retraverse la lande, il y a des enfants qui sont en train de faire un grand jeu (une colonie de vacances ?) certains en contrebas sont en train d'allumer un feu (je les vois depuis le dessus, en franchissant un passage rocheux très escarpé -j'ai un peu la trouille- au milieu d'un autre groupe d'enfants qui discutent entre eux sans s'occuper du tout de moi.
J'arrive dans une pièce taillée en amphi (avec des gradins) où des gens sont en train de faire de la danse (répéter un spectacle?) je monte tout en haut, je voudrais partir, j'appelle l'ascenseur, la porte s'ouvre mais la cabine n'est pas à hauteur du sol, elle est à une quarantaine de centimètres. Plutôt que de l'enjamber pour rentrer, j'appuie dessus pour la mettre à niveau, mais elle s'enfonce et est à présent trop basse. Je referme la porte et suis soulagé quand je vois le bouton d'appel qui s'allume : quelqu'un d'autre a appelé l'ascenseur, et il est reparti.
Je vois alors Fran, qui est en train de répéter sa danse comme les autres. Elle me dit que mon histoire de chambre est résolue , qu'il y a "une fille qui a retrouvé mes affaires).
Les autres du groupe sont là aussi. Je leur dis en rigolant que ça y est je me suis rappelé de celui avec qui j'ai dormi la nuit précédente : il s'agit de Laurent D. (et je précise, toujours en rigolant "le seul qui ne faisait pas partie de notre groupe..."

25 janvier 2010

3 bouts de rêve(s)

la ruelle

Par la baie vitrée de mon appartement, je vois le mur entièrement vitré, aussi, de l'appartement qui est de l'autre côté de la ruelle. C'est Pépin qui y habite. Il est assis, en train de manger tout seul. Je réalise que nous habitons vraiment très près l'un de l'autre, et que c'est vraiment bête de manger comme ça tout seul chacun de son côté de la ruelle.

L'attrape-moustiques

Je dois garder le bébé de (?) pour un soir. Il me montre que ce n'est pas difficile de veiller sur lui, il suffit d'entortiller un drap et de le nouer grosso-modo autour d'une des jambes du bébé. (?) m'explique aussi comment fabriquer un piège à moustiques : il s'agit d'un mince fil de nylon qu'on noue en un genre de double noeud coulant, et quand le moustique passe, on attend qu'il passe sa tête, on tire sur les fils de chaque côté et couic! le moustique est pris. Je m'entraîne à fabriquer le piège, mais au lieu de fil de pêche je n'ai qu'un genre de lacet, plutôt épais, qui s'effiloxhe aux extrémités.

la piste de saut à ski

Jean-fran a proposé à Christine une sortie nature, une promenade jusqu'au dessus d'une piste de saut à ski.. Elle est folle de joie.  On  voit la piste depuis le bas, elle est impressionnante, très haute, la piste au milieu est entièrement verglacée. Pour s'en approcher, on doit passer par la cour d'une ancienne école où j'ai travaillé. Elle aussi est entièrement verglacée. Christine n'est pas rassurée, elle a peur que la glace cède. Je m'élance, effectivement ça commence à craquer sous moi, je prends de la vitesse, je pose à peine les pieds tellement je vais vite, la glace se fissure, de l'eau roule assez furieusement, je me dis que j'ai une chance si t'atteins le bord du bâtiment, je pourrai me poser sur les bordures de fenêtres. Je vois mes pieds, qui sont minuscules et se déplacent très rapidement. Derrière moi, très loin, je vois Christine et Jean-Fran qui hésitent, au milieu de la cour, et avancent lentement. Au lieu d'aller tout droit, j'ai fait un crochet illogique, mais je serai bientôt arrivé au bord, et même pas mouillé. D'ailleurs je n'ai pas vraiment peur.

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