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lieux communs (et autres fadaises)
21 mai 2024

micro 215

"L'important n'a jamais été d'accompagner le mouvement du voisin, mais de faire son propre mouvement. Si personne ne commence, personne ne bouge." (Gilles Deleuze, Pourparlers)

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un tirage -remarquable- de Catherine P.

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"Tout à coup, le vent fraîchit. La montagne devint violette ; c'était le soir…
— Déjà ! dit la petite chèvre ; et elle s'arrêta fort étonnée."

(Alphonse Daudet, La chèvre de M. Seguin)

 

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Zabettina in the sky (with diamonds)

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"L'amour non partagé fait plus de victimes que la tuberculose." (Woody Allen, in Café Society)

 

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Shelley Duvall, Sissy Spacek et Robert Altman à Cannes pour Trois femmes

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"Vis maintenant !
Risque-toi aujourd’hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d’être heureux !"

(Pablo Neruda)

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"Nous sommes notre mémoire, nous sommes ce musée chimérique de formes inconstantes, cet amas de miroirs brisés." (Jorge Louis Borges)

 

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"Si tu leur réponds, il y a outrage, si tu résistes, il y a rébellion, si tu prends la foule à témoin il y a incitation à l'émeute." (Maurice Rajfus)
 

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“J’ai décidé d’avoir envie de tout, tout le temps, avec tout le monde, pour toujours” (Vimala Pons)

 

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glands (...)

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"Quand on y pense, j’avais encore une grosse seconde devant moi. Peut-être même deux. Ça me laissait de la marge pour voir venir." (Antoine Volodine, Vivre dans le feu)

 

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Jean Genet et Allen Ginsberg

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"On ne fait jamais assez de bien, mais toujours le mal une fois de trop."(Vladimir Jankélévitch)

 

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attelage de zèbres

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"L’Académie française valide finalement "Ils croivent" "et "Faut qu’on voye"" (Le Gorafi)

 

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Mathieu Boogaerts
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"Après la vague reste l'écume Après le concert, les costumes Après l'amour, une amertume Dur d'être après ce que nous fûmes
 
Après Vinci reste le bitume Après le pollen, un gros rhume Après l'AVC, un légume Nous ne fîmes que ce que nous pûmes"

(A l'aune, Alain Chamfort)

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Marcello x2

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"Le secret pour être heureux c'est de savoir jouir, jouir à table, jouir au lit, jouir d'être debout, d'être assis - jouir du plus pâle rayon de soleil, du plus mince paysage, c'est-à-dire aimer tout de sorte que pour être heureux il faut déjà l'être.-" (Gustave Flaubert)

 

 

 

 

 

 

 

20 mai 2024

le jeu des 7 erreurs

2 versions de l'affiche pour un même film

version belge :

version française :

No comment
(moi je dis ça je dis rien hein...)

18 mai 2024

sur les rails

077
LE DEUXIEME ACTE
de Quentin Dupieux

(Ah, le cas Dupieux...). Ce qui était bien, c'était d'avoir l'avant-première dans le bôô cinéma en même temps qu'à Cannes (comble du raffinement, on avait aussi la même pluie...). Donc on l'a découverte en même temps que les mecs en smoking et les dames en robes froufroutrantes qui avaient auparavant grimpé le tapis rouge... (nous on était juste de plain-pied).
La bande-annonce est sympathique, et on est donc dans les meilleures dispositions (en plus je suis installé entre Manue et Isa...).
Au début, c'est très bien, vraiment. Quatre personnages, (interprétés par quatre acteurs connus (Seydoux, Lindon, Garrel et Quenard) interprétant respectivement Florence (une jeune femme), son père, l'homme dont elle est amoureuse et qu'elle veut présenter à son père, et un copain de l'homme en question -mais ces personnages n'ont pas vraiment beaucoup d'importance-) se retrouvent dans un restau nommé Le Deuxième acte (clic-clic clin d'oeil à Yannick ?), où officie Stéphane, interprété par Manuel Guillot, le dernier acteur cité au générique, en tant que serveur. Quatre acteurs interprétant des acteurs en train d'incarner des personnages
Mais il va vite s'avérer que la frontière entre les acteurs et les personnages qu'ils sont censés interpréter va devenir de plus en plus floue, puis carrément nonsensique (tout ou presque peut arriver, et d'ailleurs presque tout arrive, presque n'importe quoi). Pendant la première demi-heure c'est drôle, c'est malin, c'est culotté, c'est jubilatoire, les échanges entre personnages, entre acteurs, les adresses au spectateur, on se régale.
Et puis ça se gâte. Comme un sale gosse, on a l'impression que Dupieux s'est -déjà- lassé de son jouet, et laisse les choses partir à vau-l'eau. Comme s'il s'en foutait (spoil : le film est censé être le premier film entièrement réalisé par une I.A) ou que, en tout cas, ça ne l'intéressait pas. Plus. Une séquence où Stéphane (le"figurant") n'arrive pas à servir le pinard aux quatre autres tellement il est stressé va virer au pénible (c'est un jeu cruel). Et quelques péripéties plus loin, (qu'est-ce qui est réel, qu'est-ce qui est joué ? Qu'est-ce qui est vrai de vrai ? Ou faux de faux ? Qui joue qui? Quoi ? A qui ? Hello Pirandello...) le réalisateur finit par retomber plus ou moins sur ses pattes. (mais c'est devenu, depuis un certain temps, beaucoup moins drôle, jusqu'au dernier "rebondissement" qui confirme la cruauté de cette chose.).
Ils sont arrivés en couples, ils repartent en couple, (mais pas les mêmes).
Et in fine, Dupieux ne se prive pas d'enfoncer le clou en filmant pendant des plombes la seule chose qui soit a priori infilmable - par convention - dans un film. (spoil : des rails de travelling, oui, juste ça...). Déjà que le film n'est pas très long, cette dernière séquence finit de nous achever (ça ressemble vraiment à un gros foutage de gueule, voilà.) Et plus encore quand on pense au public spécifique (de "gens de la partie" par lequel il va être visionné, en "film d'ouverture", à Cannes.) Plus provoc tu meurs...
C'est, finalement, un film plein de mépris. sous des dehors joviaux et bon enfant. Pour les acteurs, pour les personnages, pour les spectateurs, pour les figurants, pour les gays, pour les femmes, pour les vieux, etc., oui, sous couvert d'apparente bonhomie. Comme si le schtroumpf grincheux s'était déguisé en schtroumpf farceur (à moins que ce ne soit le contraire). Et c'est encore pire, du coup. Encore moins pardonnable. (Mais Dupieux, j'en suis sûr, savait parfaitement ce qu'il faisait...)
(J'ai un problème, je l'ai déjà dit et je le répète : je n'ai pas un très bon deuxième degré...)

 

 

15 mai 2024

godes bless america

076
DRIVE-AWAY DOLLS
d'Ethan Coen

Faisons d'abord le point : je l'ai déjà dit, ici et là, et je le répète, je suis un vieux gay réac et monomaniaque, mais, bon, les lesbiennes, c'est pas a priori ma tasse de thé. (Pour parler poliment). or nous avons affaire, incontestablement , ici, à un road-movie lesbien.
(Première raison pour moi d'une légitime inquiétude.) J'avais reproduit ici il y a quelques temps une critique assassine parue dans Libé par ce qu'elle m'avait fait rire à cause de sa méchanceté (et de sa mauvaise foi). Et en qui j'aurais eu tendance à faire plutôt confiance, vu qu'elle n'était pas signée  par une des journalistes habituellement récipiendaires  de mes machines à gifles, et même par un mec que j'ai même souvent plaisir à lire.
J'ai, dans un premier temps pris ça pour argent comptant (et content aussi). L'affaire aurait pu en rester là, mais il y avait eu l'avis de Dominique, qui avait trouvé le film plutôt sympathique  (même si "c'était mieux quand les Coen sont deux"), et -l'occasion fait le larron- le fait qu'on le programmait cette semaine pour six séances.
J'y suis donc allé hier à 13h30, (avant de retourner voir LA VIE DE MA MERE, film pour lequel j'éprouve une énorme tendresse). Eh bien, dès le début (cette scène d'ouverture qui a fait, justement, hurler le journaliste de Libé) j'ai été... conquis.Humour noir, violence "graphique" et verbale, défilé de têtes de nœuds, on est bien chez Coen. Avec, donc, en prime, deux lesbiennes (ça c'est nouveau par contre, l'orientation sexuelle étant, par contre, rarement abordée chez les frérots quand ils tournent à deux, mais là Ethan est tout seul, ceci explique cela) qui convoyent une voiture jusqu'à Tallahassee sans savoir que le coffre contient spoil une tête coupée conservée dans de la glace et une mallette contenant des moulages de bites "réalistes" appartenant à des gens connus (dont celle d'un sénateur qui ambitionnerait de devenir Président.)
Course-poursuite, donc, les copines devant et tous les autres lancés à leurs trouses (dont un couple d'éxécuteurs spécialement plaisant -surtout le moustachu avec le pansement sur le nez-).
Bref, on passe un bon moment (j'ai ri, oui oui) tout ça est traité plutôt désinvoltement (à la réalisation), avec de régulières -et plaisantes-embardées vers l'univers du cartoon,  et donc on le regarde de la même façon. Oui, désinvoltement.

les poursuivies
les poursuivants

 

10 mai 2024

mille-feuilles

073
JUSQU'AU BOUT DU MONDE
de Viggo Mortensen

Oh un western bilingue! (en anglais et en français dans le texte), avec Vicky Krieps en vedette, et réalisé par Viggo Mortensen (qui y joue aussi, et qui en a même -j'ai suivi le générique jusqu'au bout- écrit la musique...).
Un western autour d'une femme forte (Vicky Krieps), de sa relation avec un homme pas bavard (Viggochounet), dont on sait déjà d'emblée presque comment elle finira (ça démarre avec une scène d'enterrement.)
Une ville-champignon du Far-West (un peu comme celle qu'on voyait dans le premier segment de EUREKA de Lisandro Alonso (qui joue d'ailleurs dans ce film-ci, je l'ai vu au générique à ma grande surprise, c'est le pianiste mexicain), segment qui avait d'ailleurs failli être réalisé par Mortensen himself), avec saloon et bureau du shérif, des chevaux, des flingues, et tout un tas de méchants (dont un tout particulièrement, vu qu'il est cinglé, joué par le sexy Solly Mc Leod, dont je n'aurais pas cru qu'il était si jeune, allocinoche lui attribue 24 ans!)
Un beau "western sentimental", (une femme, un homme, the wild wild west...) que le réalisateur a choisi, non seulement  de fractionner, mais aussi -surtout- d'en mélanger les morceaux, sans jamais nous donner aucune précision temporelle, faisant donc confiance -c'est flatteur et  ça fait plaisir- à notre intelligence de spectateur (ce qui n'est somme toute pas si fréquent...), pour la reconstituer et remettre les choses dans le bon ordre. D'où le titre de mille-feuilles donné à ce post, doublement confirmé par le fait qu'on aura l'occasion de voir plusieurs personnages en train de lire (oui oui, des vrais livres avec des vraies pages), ce qui confirme encore la singularité du film.
Pour la petite histoire, c'est une courte séquence commentée, par la journaliste de Télérama me semble-t-il, dans l'émission de cinéma de C*nal, celle de la première rencontre entre elle (Vivienne ) debout  et lui (Holger), assis, sur un coin de marché (elle vient d'acheter du poisson) où il va lui tendre successivement son couteau (pour lui faire goûter un truc), puis sa main (pour se présenter, fort civilement) et enfin son bandana, qu'il vient de dénouer, pour qu'elle puisse s'essuyer la main avec. C'est simplissime, et c'est vrai que ça en deviendrait presque torride...
 

, un long entretien avec le réalisateur, sur le site de So Film, dont le chapeau (de cow-boy hihi) est "J'ai peut-être une sensibilité féminine"

et un...
et deux...
et trois!
et le méchant très méchant (d'autant plus qu'il sait prendre l'air gentil)

 

8 mai 2024

hommes dansant le tango

071
LES CARNETS DE SIEGFRIED
de Terence Davies

On l'a eu avec un peu de délai (deux mois après sa sortie), et j'ai été surpris par le nombre -inhabituel- de spectateurs, à la séance de 17h45, dans la salle 1. J'ai un peu souffert, pour la première fois, de la disproportion entre la taille de l'écran (gigantesque) et celle de la salle (la plus petite du complexe) (j'étais au 3ème rang). J'aurais aimé pouvoir avoir un peu plus de recul , et j'ai d'ailleurs craint un moment que le film ne soit pas projeté tout à fait au bon format (surtout pour les scènes d'archives -il y est question de la guerre de 14- dont les toutes premières me semblaient presque être anamorphosées) tellement l'image projetée était grande, (et moi petit) mais bon je m'y suis fait (j'ai fini par m'y faire).
Le Siegfried du titre (en Vf, parce qu'en Vo le film s'appelle BENEDICTION) est un jeune poète, de langue anglaise, pacifiste, et gay. Toutes choses pas forcément en odeur de sainteté dans l'Angleterre puritaine et corsetée, au début de la guerre (de 14). Le film va le suivre tout au long de sa vie, qui ne sera d'ailleurs -ouf!- pas présentée linéairement, depuis sa prime jeunesse  jusqu'à ses presque derniers jours. Il sera question (beaucoup) de la guerre (et de la paix) surtout au début du film, avant qu'on ne s'intéresse d'avantage à une autre (forme de)  guerre : l'amour (ou le sentiment amoureux) dans une ambiance très "gay Paris" (gay London, plutôt), un peu dans l'esprit de VICTOR VICTORIA (on chante on danse on boit du champagne, on s'aime, ou on fait semblant), la rigolade en moins. (Quoique. Les dialogues sont de véritables tirs d'artillerie et m'ont semblé particulièrement savoureux (vous savez, quand vous avez envie de sortir votre carnet dans le noir pour noter à chaud une réplique particulièrement assassine) et drôles. Ping-pongs vocaux entre Siegfried et ses amants successifs (qui se ressemblent tous un peu (excepté le premier, Wilfried), et se trompent mutuellement, se succèdent et s'interchangent, (un peu répétitivement,certes) pour le seul plaisir, semble-t-il, de s'envoyer des horreurs à la figure. ("Mais on fait ça avec humour, enrobé dans du calembour, mouillé d'acide" chantait Charles Aznavour) et c'est vrai que cette partie-là aurait pu être (peut-être) un peu raccourcie (le film dure plus de deux heures).
Mais la mise en scène brillantissime de Terence Davies (n'en déplaise à la journaliste de Libé, qui pour le coup mérite une machine à gifles XXL*) sait nous faire patienter, et parfois même, d'une pirouette, passer à autre chose. Regarder ailleurs. Et certaines scènes sont d'authentiques bijoux (je pense à celle de la photo de mariage). Car Siegfried va, oui oui, finir par se marier, (les galipettes entre godelureaux longilignes et condescendants auront fait leur temps), il aura même un fils, auquel sera donné le prénom de Georges (son frère mort à la guerre, au début du film), ce qui pourrait d'ailleurs amener le spectateur inattentif à se poser soudain des questions de compréhension. (et là je me suis dit : "Ah oui, mais c'est bien sûr...").
Terence Davies nous laisse donc avec ce dernier film en forme -involontaire ou non- de testament, et qui se clôt d'ailleurs sur une scène particulièrement émouvante, puisqu'il est mort peu de temps après. Des critiques ont d'ailleurs dit que le personnage de Siegfried Sassoon était pour le réalisateur un genre de paravent (de garde-fou) pour évoquer sa propre histoire.
J'adorerais avoir l'intégralité des dialogues tant je les trouve brillants (et je réalise que je n'ai pas évoqué la voix-off du narrateur, tout au long du film, qui nous fait découvrir les textes écrits par ce poète et qui accompagnent l'action.
Oui, brillantissime.

* "Adoptant une structure en flash-back – à l’honorable vieillesse sépia s’entremêlent des souvenirs plus sauvages –, les Carnets de Siegfried coche toutes les cases du film biographique pachydermique, soucieux que tous les enjeux soient posés, dépliés, clarifiés. Peut-être à cause de cette précaution humble que l’on devine chez Davies, se dégage de chaque séquence (le plus souvent une suite de champs /contrechamps soporifiques) l’impression que les personnages sont condamnés à faire tapisserie, engoncés dans des poses d’un autre temps qu’aucun souffle ne parvient à décoiffer." Libération

7 mai 2024

colza 40

D'abord, l'invitation :

"Je vous invite à fêter le 40ème anniversaire du colza
Mercredi 1er mai 2024 à 12h
au bord du Champ de la Vallée, commune de Mailley
(non loin de la D474), accès facile
Long. 6°066’
Lat.47°558’
Alt. 302 m"

envoyée par Philou

*

avant
 

reflet dans la voiture
colza exagéré (comme toutes les photos, ou presque, de la série)
les premiers arrivés (dont le maître de cérémonie)


*

pendant

(1 : l'installation)

une nappe de pique-nique avec un intérêt particulier...
re-la nappe
les participants (+ votre serviteur, qui prend la photo)

*

(2 : le champagne -j'ai oublié de prendre des photos-)

*

(3 : les lectures)

Coralie a lu -en anglais- un florilège de poètes anglais utilisant le mot yellow
Pépin à lu du Grégoire Bouillier
j'ai lu du Robert Bober
Françoise a lu du Catherine Cusset (et aussi des "parfois" en guise d'intermèdes)
undefined
Christian a lu deux fois, la première pour sa femme et la seconde pour lui-même
Philou a lu du Jonathan Littel, à propos de l'Ukraine (et des ukrainiens)

*

cinq sur la nappe, et un qui prend la photo, assis dans le coffre

(4 : le pique-nique, avec une larme de limoncello en digestif)

*

après

Bye bye le colza, à l'année prochaine!
Ce fut vraiment, vraiment, une exquise célébration...
(On a parlé de point de vue du photographe, de bagnoles, de tout-venant, de St Valbert, de moucherons, de tiques, des absent(e)s, de la citation d'un absent, justement,  qui qualifiait ce événement de "perché", des inconvénients de laisser la charcuterie et le comté au soleil, de la conservation optimale du limoncello, de l'utilité des coffre de voitures pour s'y asseoir, des gens qui passent -une fois- pendant notre célébration et qu'on ne revoit plus -cette année un cycliste et deux motard(e)s-, des frontières entre les communes, de l'effet du rire de C. sur la gestation des sangliers  dans les forêts environnantes, du niveau sonore de la petite-fille de Ch., de la couleur de mes baskets, de la différence entre "jaune" et "moutarde", et de mille autres choses encore...)

6 mai 2024

bête à cornes

070
LE MANGEUR D'ÂMES
de Julien Maury et Alexandre Bustillo

Première séance, 15h45, pas mal de monde dans la salle (le directeur, à ma demande, l'a gentiment classé ADC, puisqu'ils l'avaient en sortie nationale).
On est venu là pour avoir peur, pour flipper, pour sursauter, pour se cacher les yeux... Eh bien le contrat est pleinement rempli : on en a pour ses sous! Le film est efficace...
Même s'il y a des faiblesses, des maladresses, des invraisemblances, des facilités, on reste accroché jusqu'au bout à cette sombre (très sombre) histoire... (même si la fin ne justifie pas tout à fait les moyens...)
Virginie Ledoyen en commandante (de gendarmerie) et Paul Hamy (celui de l'ORNITHOLOGUE)  en capitaine (de gendarmerie aussi)se retrouve dans un patelin perdu des Vosges pour enquêter l'une sur un double meurtre particulièrement sanglant, et l'autre sur une série de disparitions d'enfants sur le même secteur... Guéguerre des polices dans un premier temps, puis ils vont s'associer et c'est quand même vachement mieux... On a aussi la toujours juste Sandrine Bonnaire avec la double casquette de médecin et de psychologue scolaire qui vient leur donner un coup de main...
Une histoire très sombre, je l'ai déjà dit, avec une tension qui va croissant, une fois qu'on a pris ses marques à l'intérieur du film, et qui culmine dans une dernière partie spécialement anxiogène (avec en prime une séance violemment gore -qui, à mon avis, n'était pas forcément indispensable). On n'est pas mécontent de voir se rallumer les lumières de la salle (je vous l'ai déjà dit, je suis très bon public, et j'avoue que j'avais un peu les jambes en coton oui oui...)

 

2 mai 2024

photos d'avril

téléréalité

téléréalité

Un monde parfait

Un monde parfait

Ricky

Ricky

averse

averse

téléréalité ?

téléréalité ?

la mésange

la mésange

pause au 12

pause au 12

nouveau locataire en face (1)

nouveau locataire en face (1)

le Libé est arrivé dans cet état...

le Libé est arrivé dans cet état...

flou, c'est mieux

flou, c'est mieux

téléréalité

téléréalité

morceaux choisis

morceaux choisis

toujours Loulou

toujours Loulou

nouveau locataire en face (2)

nouveau locataire en face (2)

Emma et Cathy

Emma et Cathy

Plazza Victor Hugo

Plazza Victor Hugo

il attend pour son rdv

il attend pour son rdv

à la fenêtre (1)

à la fenêtre (1)

à la fenêtre (2)

à la fenêtre (2)

Philippe (et Florence)

Philippe (et Florence)

1 mai 2024

avril 2024

lundi 1er

Tiens, le lundi de Pâques tombe le 1er avril! / enfin (et pour 6 mois) les horloges de mon radio-réveil et de ma voiture sont à l'heure! / il pleut encore, alors je ne sortirai pas pour aller m'acheter du chocolat pour midi (sage décision) / je termine GROS PROBLEME de Dave Barry / une averse de grésil en milieu d'après-midi / j'échange avec V. qui n'est pas dispo aujourd'hui mais le serait éventuellement demain après-midi... à reconfirmer ! / je ne peux plus faire de captures d'écran sur plusieurs sites (canal, tf1, mubi, univers ciné...), sur youtube si, sur arte ça dépend quoi..., sur Bref oui, et je découvre JEUDI, VENDREDI, SAMEDI, d'Arthur Cahn, un très joli court-métrage /

mardi 2

Tiens! de bonne heure N. me fait coucou / il semblerait qu'il soit tout seul (et dispo) cet après-midi (son ex et sa fille doivent le passer toutes deux au funérarium), je propose de passer le visiter en début d'après-midi ("pour le café", gourmand bien sûr), et je repartirais au max vers 17h (j'ai une séance à 18h) / je rassemble les affaires nécessaires, j'y rajoute un pack de bière et deux choux à la crème / je passe manger aux Abattoirs avant de partir / un peu plus tard, N., agacé,  m'informe "qu'elles sont rentrées pour manger", puis "qu'elles préparent des choses pour après l'enterrement" (qui a lieu demain) / je pars quand même, pour prendre un peu d'avance, je m'arrête sur un premier parking (...) puis sur un second, 20 km plus loin, et j'attends (je fais même un peu la sieste...) / je reçois un coup de fil d'un numéro inconnu, je décroche pourtant : c'est V. qui me demande si je suis dispo (lui l'est) et je lui dis que hélas moi non / à 16h il s'avère qu'"elles" ne vont peut-être pas partir du tout aujourd'hui... / N. a l'air à la fois énervé et tristounet (il me demande pardon) / je fais donc demi-tour et rentre tranquillou (je mange un des choux à la crème sur le parking (je lui envoie même une photo) / je me gare en bas de chez moi, je vois E. sur le trottoir d'en face, je le salue avec un sourire, je pense qu'il va monter, mais finalement non (Quel con! me dis-je) / 18h : UN ÉTÉ AFGHAN (048) de James Ivory / je regarde un peu K*h lanta (je prends des nouvelles de Ricky...) mais je lâche avant la fin... / je renvoie à Nina le pdf de l'affiche de la Semaine Latino 12 qui démarre demain /

mercredi 3

(assez longtemps dormi, en 3 rondelles) / 7h30 : je suis au labo pour mes analyses trimestrielles d'hémoglobine glycquée (je suis un peu inquiet d'avoir des mauvais résultats) / après, je me paye un grand crème + un croissant au Lion (j'observe les conversation des "hommes" -c'est drôle ils ont tous des doudounes fines, c'est vraiment "l'uniforme" et ils boivent tous un petit noir-) / je lis la "belle lettre" de Philou (que j'avais un peu trop soigneusement rangée) et j'écris dans la foulée un mél à Philou pour l'en remercier / à midi je prépare une "grosse salade" (endives + chicons + pomme + orange + avocat) pas mal du tout / puis je m'énerve tout seul contre la poste (notre envoi n'est pas parti jeudi "parce que 5 enveloppes n'étaient pas timbrées" -ce qui veut dire qu'un connard s'est amusé à les vérifier une par une ?-) puis contre le personnel du cinéma (pas d'affiche de la Semaine Latino), je re-tire en catastrophe des photocopies du planning des séances à distribuer en caisse / 18h : DIEU EST UNE FEMME (049) : nous sommes 3 dans la salle / 20h30 : LA FLEUR DE BURITI (050) : nous sommes 5 dans la salle / en arrivant à la maison, je regarde mes résultats d'analyse (avec une certaine appréhension), et, à ma grande surprise, j'apprends la meilleure nouvelle de la journée : je suis descendu à 6,4 (j'étais à 6,7), (soit sous le taux "minimal" de diabète (6,5)), et je vais me coucher d'excellente humeur...

jeudi 4

tôt j'échange avec M. sur c*co mais ce matin il n'est pas d'humeur... / je réserve pour le Globe à midi ("sous la véranda")/ Je suis toujours agacé par cette histoire de Poste et d'envoi de programmation à retardement / à midi au Globe avec les filles, plat du jour : du paleron -qu'on a déjà connu plus tendre, et moins gras- / 13h30 : LOS DELINCUENTES (051) , en compagnie de Manue, Catherine, et Marie ("comme quand on était jeunes") on est dix dans la salle / l'affiche de la Semaine Latino 12 a -quand même- été scotchée sur le comptoir de la caisse / je m'offre mon rituel café latte au McD* pour passer l'heure avant la séance suivante / 18h : LOST IN THE NIGHT (052) (dont je découvre que j'ai déjà -je ne sais pas où - vu (au moins) le premier quart d'heure) / grignotis tard à la maison en rentrant /

vendredi 5

(dormi plutôt pas mal (trois fois mon à peu près deux heures habituel, je me rendors à chaque fois à vitesse grand v ) / je sors tôt pour aller chercher une commande phot*box (2 lots de magnets avec dessus les gens que j'aime) et, à la boulangerie, des bostoks pour apporter chez Pépin / en repartant de la boulangerie je croise Marie, rue de la Ressorte, qui y va, justement, et s'étonne de me voir dehors si tôt / 9h30 chez Pépin : il en gagne deux (la prem's et la der) et moi celle du milieu (trois "petites parties" ) / Pépin, "en vrai" puis Manue (sur wh*tsapp) m'annoncent qu'ils ont (enfin!) reçu cette fichue programmation... /à midi je fais cuire des asperges à la vapeur (mon porte-couverts s'y prête très bien) puis je chatte avec N., d'humeur assez joueuse / je vais réserver au caveau pour notre repas mensuel avec Emma et Cathy /

samedi 6

(une petite séance sur le coup de 4h du mat' avec N. histoire de se rendormir paisible) / ça y est j'ai arrêté le chauffage / après mon tour de marché j'avais prévu d'aller boire un dernier crème à Coffee Song (c'est son dernier jour) mais quand j'arrive devant la porte c'est fer-mé ! / je décide de prendre le bus pour aller à Besac et j'en profite pour réserver en terrasse à l'Iguane (et je fais bien car quand j'arrive c'est quasiment complet) / il y a tjrs ce serveur chevelu et barbu (aujourd'hui avec un t-shirt Guinness) que je trouve mimi / 13h30 : SIDONIE AU JAPON (053) d'Élise Girard (pour Huppert) / N. est déchaîné (il est tout seul à la maison) et me fait profiter de son incandescence / 15h40 : LAISSEZ-MOI (054) de Maxime Rappaz (pour Balibar) / chez la bouquiniste j'achète 5 livres (+ un sac) / dans le bus de 18h20 (le 202) N. est tjrs aussi hot  (vidéos à l'appui) / le bus s'arrête de façon inopinée à la Malachère, le chauffeur descend, disparaît 5 minutes, et revient avec un espèce de papy /clodo qu'il connaît visiblement et qu'il fait monter / je passe la deuxième moitié du voyage à surveiller une bestiole (une blatte ? un cafard ? une punaise ?) qui baguenaude sur le siège de la rangée de devant (vide), de l'autre côté de l'allée / après le repas, re-séance avec N. : il serait question que j'aille le chercher pour sa permission de 13 à 17h pour qu'on "aille se promener"... on se recontacte demain matin pour confirmer (hum hum)

dimanche 7

(j'ai dormi mes trois segments de 2h règlementaires, dont deux contenaient un rêve d'école) / N. est passé sur wh*tsapp dans la nuit pour me re-montrer sa dernière vidéo, mais je ne l'ai re-vue qu'au matin / puis son téléphone se coupe à 9h45 (je connais l'oiseau, et je me doute de ce que ça signifie... finalement ça m'arrange je n'en avais plus si envie que ça... )/ pour midi : crevette tropicale (les géantes) + mayo / darne de sandre (avec un peu de mayo aussi) / et magret de canard aux griottines (réchauffé tout doucement pour que le magret reste saignant) / avec le café, les deux derniers carrés de chocolat noir praliné restants / du coup, plus la peine de me doucher ni m'habiller hihi (tiens, je vais attendre qu'il se re-manifeste, sans lever le petit doigt) / je tombe sur un très joli doc sur Salvatore Adamo / je laisse arte en fond sonore et je vais ds la pièce à côté où je me mets à l'ordi... (j'entendrai ainsi trois documentaires successifs : un sur Simone Signoret, un sur je ne sais plus quel oiseau, et le dernier sur des collectionneurs de Rembrandt(s) / vers 18h j'ai un mot de N. (avec une raison valable et pas encore utilisée) et donc je l'absous / le soir je me pose devant QUATRE MARIAGES ET UN ENTERREMENT que je n'avais pas revu depuis une éternité (j'ai piqué du nez au moment le plus émouvant, celui de l'enterrement...) /

lundi 8

(dernier rêve du matin encore d'école! -avec l'arrivée menaçante d'un dinosaure!-) / je passe un long moment à visionner les plus de 16000 photos archivées sur le blog (mais certaines sont, je ne sais pas pourquoi, en beaucoup d'exemplaires), et j'en sélectionne un certain nombre / je mets en ligne mon premier album-photos sur le blog / pour midi je réchauffe au four le couscous (acheté sans semoule chez mon boucher) / je contacte Manue pour savoir si on se verra au cinéma, elle dit oui / un msg de N. qui m'apprend qu'il vient de voir le médecin : il a chopé le covid : il a pas mal de fièvre et se sent "en vrac" / avant le ciné, j'ai juste le temps d'aller chez L*clerc voir s'ils ont LA ROUTE de Manu Larcenet / Ils l'ont (4 ème des ventes, le Manu!) et donc je l'achète / je m'offre un grand latte au McD* / 18h : LA HIJA DE TODAS LAS RABIAS (055) (on est 3, dont Manue) / j'ai juste une heure avant le film suivant, je mange une Flameküche au B*reau (pas terrib') / 20h30 : MIS HERMANOS (056) (on est 7 dont Hervé) / au retour, petite conversation enfiévrée avec N. comme j'aime, avec quelques photos sympathiques (appétissantes) en accompagnement / et dodo

mardi 9

tiens L. m'envoie une photo "comme au bon vieux temps..." (au réveil) / à midi je fais un genre de chorba avec le reste de légumes de couscous + bouillon + épices (c'est très bon) / 14h45 : mon rdv trimestriel chez mon généraliste (qui a eu des problèmes d'informatique et est très en retard...) tension 15.8 / 16h je file au cinéma pour voir DIOGENES (057), hélas la séance était à 15h45 "comme annoncé sur la plaquette", j'ai raté le premier quart d'heure mais tant pis j'y suis j'y reste / 18h : et de  8! THEY SHOT THE PIANO PLAYER  (058) (jazz +musique brésilienne c'est dire si je suis aux anges) / après on boit une bière au B*reau avec Nicolas et Hervé / tiens L. m'envoie une photo "comme au bon vieux temps" (au coucher) / j'ai regardé K*h Lanta d'un œil : à la fin quel dommage, ils ont éliminé Ricky (qui n'était plus très en forme à vrai dire...) / j'ai procrastine jusqu'à 22h pour faire un peu de rangement dans la cuisine, et je me suis couché après /

mercredi 10

(une visite dont on m'a demandé de ne pas parler...) / j'ai rappelé Pépin parce que je commençais à m'inquiéter de ne pas avoir de réponse : je devrais écouter plus souvent mes messages vocaux... / j'espérais vaguement le passage de E. (mercredi c'est son jour) mais non... / j'ai appris le verbe ghoster : je peux dire que, régulièrement, N. me ghoste / je fais des courses à 11h30 parce que je n'ai rien à manger pour midi / je n'ai pris ni mon téléphone ni mon appareil-photo et donc au moins 2 photos que je n'ai pas pu prendre : sur le trottoir, les traces d'un saignement de nez assez conséquent semble-t-il, et, rue du Breuil, à midi, un nuage de vaillants travailleurs en orange fluo en train de débaucher -là l'aurais pu en prendre plusieurs - de photos, je veux dire- / je compose un second album-photos pour le blog : "captures d'écran" / je termine LA ROUTE de Manu Larcenet (l'album est vraiment très beau, mais très anxiogène aussi) / un repas sur le pouce, un peu de bric et de broc / 20h30 : 20000 LIEUES SOUS LES MERS, au ThéV', pour finir la saison en beauté... /

jeudi 11

réveillé trois fois, recouché pour la dernière fois à 7h30 en me disant que je ne dois pas me rendormir (et à chaque fois ce sont mes ronflements qui me réveillent) / 9h30 : Pépin arrive à l'heure annoncée (avec même un peu d'avance... ) / on joue trois parties (1 pour lui 1 pour moi, et celle du milieu quasiment à égalité (404 à 403) ; j'ai d'ailleurs fait 2 fois 404 et lui deux fois 403 ) / midi au Globe à 4 avec les copines sous la véranda (brochette comtoise, pas mal) / 13h30 : EUREKA (059) de Lisandro Alonso avec Catherine, (on était trois dans la salle) / 16h : ET PLUS SI AFFINITÉS (060) tout seul (on était trois dans la salle)  /

vendredi 12

8h : au scanner / 8h30 : j'en sors, avec un bilan rempli de mots compliqués dont il faudra que je demande le sens à mon généraliste (mais je ne suis pas bcp plus avancé...) / du coup je m'offre un petit-déj' à la BSM : un grand crème et deux croissants (la vendeuse s'est trompée, m'a apporté un croissant et un noir, je dois la faire revenir !) / Emma m'envoie gentiment des sms à propos du scanner /elle m'appelle à la maison et me demande si elle peut passer en fin d'après-midi) / je contacte Philou et il est convenu que nous nous verrons en fin d'après-midi / bref échange avec N. : il est tjrs "en vrac" / un peu plus tard Emma rappelle pour dire que que finalement elle ne passera pas, mais que de toute façon, on se voit dimanche / échanges wh*tsapp avec Frédérique à propos de mon scanner : je lui demande "C'est quoi discopathie dégénérative ?" et elle m'explique succinctement / 18h50 : chez les Soria pour un apéritif dînatoire (et un moment délicieux) / de retour chez moi, je me coucherai plutôt tôt

samedi 13

deuxième réveil (entre 2 et 3) : je vais sur l'ordi et je peste contre micros*ft, qui lors de la dernière m.à.j -qui m'a été imposée par surprise (je les avais pourtant désactivées, j'ai vérifié) m'a encore fait perdre l'accès à plusieurs site pour lesquels je dois retrouver les identifiants et m.d.p (heureusement que m*zilla archive les m.d.p!) / je vais assez tôt au marché (avant 9h) il y a déjà une loooongue queue devant chez le boulanger d'amour (ils partent en vacances pour 15j il faut faire des stocks !) j'achète donc un Georges graines de presque 2kg!) / chez le primeur les asperges vertes sont bradées à 4€ le kg (parce qu'elles sont tordues) j'en prends une douzaine / mon sac est très lourd en rentrant (et du coup ma jambe me fait mal) / je cuis les asperges à la vapeur en me lançant dans la préparation des St Jacques gratinées au four dans leur coquille  (c'est du boulot)/ au moment du café, sur c*co je tombe d'abord sur B. avec qui je correspond depuis quelques temps, et qui serait, pour la journée, bcp plus près que d'habitude (il "débroussaille son terrain", -chic un manuel-, rdv est donc pris pour "ce soir"... ), puis sur M., qui est "fatigué" mais qui est ok pour que je passe ; je boirai le café chez lui (...) et un peu plus tard j'en repartirai avec une botte de radis (hihi) / 17h on se recontacte avec B. (je n'aurai pas besoin de changer son initiale hihi) qui a fini de bosser  et me demande si je veux passer ; il me fait un radioguidage aux petits oignons (j'y arriverai direct du premier coup, ce qui n'était pas gagné vu mon sens de l'orientation...) / nous faisons connaissance dans la caravane, échangeons nos 06 ("c'est moi qui t'appelle, hein...") et je repars même avec un trophée... / je me sens extrêmement joyeux sur la route du retour (en plus en arrivant, je trouve disponible "la" place de stationnement ...) / le soir N. se manifeste, il semble avoir retrouvé la forme (photos à l'appui) ... peut-être je pourrais y aller lundi... /

dimanche 14

réveillé de très bonne heure, je vais attendre 9h pour aller acheter des petits gâteaux pour midi... / je poste mon chèque d'arriérés annuel pour la MGEN, et j'en profite pour aller à côté acheter des gâteaux (j'en prends cinq, finalement, des fois que Félicien soit là -mais aussi parce que non seulement j'avais envie d'un mille-feuilles, mais je voulais aussi goûter certains autres, notamment la Gousse...-) / midi à Gy, Emma, Régis, Dominique, il fait très beau, apéro et repas dehors (le rituel poulet/frites, avec cette question sans réponse : pourquoi les frites sont molles ?) ... / je suis un peu déçu par les gâteaux que j'ai apportés (sauf La Gousse, qui est effectivement délicieuse) / On joue au Okey sur la terrasse (presque une dizaine de parties)/ je rentre tranquillou en écoutant ce qu'il y a de beau sur ma nouvelle clé usb / en arrivant chez moi je cuisine ce "chou pointu" que m'avait présenté la vendeuse du magasin de primeurs, et, après quelques ajustements,  c'est plutôt bon (même si un peu cramé par endroits, ma poêle était trop petite) / après je regarde UN MONDE PARFAIT (061) de Clint Eastwood sur arte, que je n'avais pas revu depuis lgtps (variations sur la paternité et Kevin Costner en majesté) / et avant d'aller au lit, un petit échange amical avec N. que je devrais normalement visiter demain après-midi...

lundi 15

(troisième réveil 6h30) / je fais un peu d'ordi, je petit-déjeune, et je me recouche (sans machine à dormir) jusqu'à 11h! / je traîne un peu pour faire à manger ... / à 13h je suis rassasié puis douché rasé habillé, j'envoie un msg sur wh*tsapp et que croyez-vous qu'il advint ? Rien! Téléphone coupé depuis hier soir (bah j'ai l'habitude) / Quelle nouvelle raison / catastrophe ? (Soit il s'agit d'une invraisemblable succession de malheurs, soit d'un acharnement thérapeutique qu'on pourrait qualifier de pervers ?) /  bref je suis allé faire des courses, puis passé à la pharmacie, vérifiant en fin d'après-midi que le téléphone était toujours "en dérangement" (il l'était), et , au retour, me suis garé sur la jolie place vide juste en dessous de mes fenêtres, (on a les petites satisfactions qu'on peut...) avec la ferme intention de ne plus en bouger... / soirée cinéma décevante : USUAL SUSPECTS me semble abscons et IT FOLLOWS me voit m'endormir... /

mardi 16

pour midi je prépare une salade d'endives, au départ basique, (+ pommes), mais qui va singulièrement s'étoffer (+ tomates cerises + radis en rondelles + pistaches non salées + Pavé d'Affinois en cubes + chorizo en cubes + anchois roulés aux câpres)  et c'est très bon / (en dessert des fraises du S*per U qui sont bien moins bonnes que celles de chez mon marchand de primeurs)/ il pleut beaucoup / 15h45 : NOUS LES LEROY (062) et 17h45 : re EUREKA (063) où j'ai le plaisir de voir arriver dans la salle Joseline P., que je n'ai pas revue depuis une éternité (et qui se bat toujours (avec pugnacité) contre la maladie) / en rentrant, sur le parking Serpente, je me remets d'équerre en m'écoutant le Avec le temps de Jane Birkin sur son live au Bataclan / 21h : le temps de grignoter, succinctement, et tiens c'est l'heure de jeter un œil -distrait- sur K*h Lanta (je prends néanmoins quelques photos mais le cœur n'y est pas vraiment) /

mercredi 17

(3h40, et c'est déjà, pourtant, le troisième réveil de la nuit!) / je m'inquiète pour N. qui a disparu des radars depuis dimanche soir et son dernier Bonne nuit et à demain / habillé tôt pour aller faire la queue chez mon généraliste ; j'arrive à 8h30 et je suis tout seul (il consulte à partir de 9h, et sans rdv) je passerai donc le premier / 9h45 je sors de son cabinet avec une lettre de sa part pour prendre rdv pour une infiltration / à midi au Globe mais à 3 (Marie fait la mamie) / (entregent) je regarde LA GARDAV grâce au lien aimablement fourni par le distributeur / 15h45 : BORGO (064) de Stéphane Demoustier / 18h30 : réunion de programmation (en petit comité) au local, où, pour la première fois, Isa se joint à nous... /

jeudi 18

ce matin, au salon, il fait vraiment 19 ; c'est... tonique / on réserve deux tables contiguës à l'Iguane (Emma et sa copine à midi et Dominique et moi à 12h30) / devant la gare je donne de l'argent à un mec qui fait la manche avec une valise à roulettes et un petit chien, et qui sait exactement le somme qui lui manque pour aller à Brest retrouver ses enfants (il m'émeut) / à l'arrivée du bus à Besac, une averse de grêle (c'est la première fois je crois que je marche sous une averse de grêle) / midi 30 à l'Iguane comme prévu, on est finalement tous les 4 sur une table ronde / 13h40 MADAME HOFMANN (065) de Sébastien Lifshitz en compagnie de Dominique / 16h : LAROY de Shane Atkinson (066), tout seul / je prendrai le bus de 19h10, peu rempli, pour rentrer (impression d'être un lézard au soleil au départ...)

vendredi 19

un jour à grognonner, incontestablement... / dehors il fait froid,  j'ai coupé le chauffage il y a une semaine, et au thermomètre du salon, il fait encore 19° (si ça baisse, je remets le chauffage) / (santé 1) avant mon opération de la cataracte, il faut un rdv avec l'anesthésiste, qu'on ne peut plus obtenir que via un unique numéro de téléphone, qui répond toujours occupé (ce que j'ai expérimenté ce matin) et invite à rappeler ultérieurement / (santé 2) suite aux résultats de mon scanner (la fameuse discopathie dégénérative) je vais prendre rdv pour des infiltrations (qui ne se font qu'à la clinique) : à ma demande, la secrétaire me répond qu'ils sont complets jusqu'en juillet, qu'ils n'en font pas pendant les deux mois d'été, et qu'ils risquent de ne plus en faire en septembre, et me renvoie sur Besançon / (santé 3) je passe à l'hôpital pour me faire rafraîchir la mémoire : il y a tellement longtemps que j'ai pris rdv avec le pneumologue que j'ai oublié la date exacte : la secrétaire me fait gentiment une copie de la convoc : le 4 juillet à 16h40... / tout ça m'a un peu coupé l'appétit, et je suis prêt à ne me contenter que d'un verre de blanc et d'un demi-sachet de crackers (mais bon je tombe sur une petit boîte de cassoulet qui fera très bien l'affaire) / Hervé m'appelle pour me confirmer que nous voyons Romain lundi après-midi pour la programmation (ça y est, enfin,  "le" programmateur est parti) / je me lance dans la confection de la "Tarte aux noisettes à la mode des Langue", que j'aime beaucoup (et qui est encore plus simple quand on achète des noisettes bio et déjà mondées (S*per U) / Je reçois un appel de Zabettina qui ne va pas très bien..., elle a arrêté la nouvelle chimio qui la déglinguait trop, et attend donc un nouveau protocole... et l'arrivée de sa fille lui fait abréger la conversation (je suis heureux pour elle parce que je sais qu'elle adore ses filles) / je mets mon gâteau au four ... et je réalise que j'ai raté la séance du jour de YURT de 18h ("eh bien j'irai demain..." air connu) / mon gâteau n'est pas assez cuit (encore liquide au milieu) et je dois le remettre au four  / je re-regarde LE PRESTIGE de Christopher Nolan mais je ne vais même pas jusqu'à la fin... / mon gâteau est raté (enfin, il n'est pas comme d'habitude), de toute façon il est trop chaud pour être mangé en l'état

samedi 20

(au deuxième réveil, il fait 18° au thermomètre, et hop, donc, je remets le chauffage, ah mais...) / une fois refroidi, le gâteau est un peu mieux, mais bon, y a pas à tortiller, il est raté hein... / au troisième réveil, je me commande des gélules au CBD (les plus chargées) avec 30% de réduc / je discute avec M. sur c*co, et, surprise, il finit par m'inviter à manger à midi / sur le marché j'achète une bouteille de Motey-Besuche) / à 11h comme annoncé je suis chez M. : d'abord dépannage informatique (dans la mesure de mes faibles moyens) puis repas (ça n'est pas souvent qu'un mec cuisine pour moi) puis dessert (...) / il fait très soleil quand je rentre (mais toujours très frais) / je m'arrête chez T*utoccase où je trouve cinq cd à 1€ pièce (dont le délicieux DIVERSIONS), je regrette de ne pas être fan de Frédéric Franç*is car j'aurais pu me procurer l'intégralité de sa discographie (qui est conséquente) hihi... / à la Boulangerie du Théâtre je trouve une baguette très brûlée comme j'aime / 18h : YURT (067) / soirée télé typique de samedi soir : sur le canapé devant jeu de culture générale animé par animateur agaçant /

dimanche 21

(plusieurs réveils et plusieurs rendormissements, suivis de rêves plutôt agréables hélas oubliés) / ça fait une semaine que je n'ai pas de nouvelles de N. / un joli BLOW UP sur l'année 1999 (et en plus, je peux prendre des captures d'écran!) / repas de midi "traiteur asiatique" : riz cantonais & crevettes thaï / après-midi plutôt mollasson(ne) : je ne me suis pas habillé, je joue au tarot (je perds), je fouille dans des vieux dossiers sur l'ordi pour trouver des images non utilisées à mettre dans un nouveau livre-photos qui s'appellerait 2000 et quelques, c'est très long, laborieux, et je ne suis pas certain du résultat (les images ne sont pas au format, pour la plupart, et c'est donc quasiment impossible à mener à bien) / je rédige (ou continue de rédiger) plusieurs posts sur le blog / tiens, pour le dessert, je m'offre du popcorn / (je me coucherai tôt)

lundi 22

(sur le coup de 5h du matin, je regarde plusieurs épisodes de DÉSORDRES de Florence Foresti -j'aime bien Pascal- d'affilée) / recouché, rendormi, réveillé, 8h30 je prends mon petit-déj' et je regarde le dernier épisode / le fameux numéro de téléphone pour prendre rdv avec les anesthésistes est toujours aussi occupé... / je confirme le repas de demain midi avec Cathy et Emma / 15h au cinéma avec Hervé, dans le bureau de Romain (le directeur) pour mettre en place notre prochaine programmation : eh bien c'est vachement plus facile qu'"avant", c'est tout ce que je peux dire! / 17h : je mange la dernière -petite- part de mon gâteau aux noisettes (qui n'était finalement pas si raté que ça ! ) / je sors pour aller récupérer un bouquin, et j'ai vraiment  mal à la jambe quand je marche (le froid ?) / le soir, zappant sur N*tflix, je tombe sur MACHOS ALFA, une série espagnole plutôt drôle (et surtout, le plaisir d'entendre parler español) / avant d'aller dormir, je commence à mettre en forme la prochaine prog : ça se bouscule au portillon, on devrait avoir plus de 20 films! / tout ça me mène jusqu'à 23h passées, et, bizarrement, pour une fois, j'ai un peu de mal pour m'endormir...

mardi 23

(le dernier rêve m'a laissé essoufflé : je devais passer un examen en rapport avec l'espagnol, et des filles avaient égaré tous mes documents...) / 9h06 : j'ai enfin réussi à prendre le fameux rendez-vous pour les anesthésistes (la dame m'a expliqué que la semaine dernière, elles étaient en vacances) /  je suis sorti pour acheter des chocolats pour le café : la jeune vendeuse m'en a fait goûter un à la spiruline et à la fleur de sel... / il fait un beau soleil, et, en rentrant, j'ai entendu Perfect Day de Lou Reed, par une fenêtre ouverte... /12h au Caveau, avec Emma, puis Cathy... (entrée + plat) / ensuite on va chez moi pour boire le café (avec des petits chocolats de chez Az*uz bien sûr) pour un très  joli moment de partage, d'émotion, et de rigolade / rdv est pris pour le 21 mai, on ira aux Abattoirs... / je continue la mise en page "potentielle" de notre prochaine programmation / j'appelle Frédérique qui m'a fait coucou sur wh*tsapp et on discute un moment -de nos problémes de santé respectifs hihi- / après je jette un coup d’œil à K*h Lanta et je me (re)dis que tout ça est assez inepte (et pas grand-chose de joli à photographier)

mercredi 24

(un rêve que j'aurais bien aimer continuer, avec un jeune homme, dans un genre de grange...) / 8h dring! c'est Anne-Marie, qui m'apporte en plus un paquet de bons petits gâteaux / je continue la mise en page virtuelle de la prog n°8 / je renvoie quelques lignes à N. (il est passé hier soir sur wh*tsapp, a lu mes messages, mais n'a rien répondu (je m'en agace) / ça y est j'ai reçu mes gélules CBD et hop! j'en prends une / 15h45 au cinéma : LE MANGEUR D'ÂMES (068) (qui a bien le label ADC) / en revenant, j'écoute le disque de Jeanne Balibar sur ma nouvelle clé usb et ça me fait du bien (ça m'apaise) / je ne sais pas si c'est l'effet placébo, mais il me semble que ma jambe me fait moins mal quand je marche (pourtant il fait froid et humide) / sur les conseils de Libé je commence à regarder sur N*tflix une mini-série british MON PEIT RENNE (l'histoire d'un mec qui se fait harceler par une femme) / L. m'écrit sur wh*tsapp que "le temps n'est pas à la gaudriole". J'en prends note. / Je commence LA ROUTE de Cormac Mc Carthy

jeudi 25

(troisième réveil à 6h, recouchage à 7 et dernier réveil à 8h30) / midi au Globe avec Catherine et Isabelle (on voit que c'est les vacances, il y a des places libres sur le parking de la Poste!) / Comme dit Isabelle en partant "C'est bien de pouvoir prendre son temps..." / Pas de nouvelles de Romain et de la nouvelle programmation, je vais bientôt commencer à m'impatienter (et / ou m'inquiéter) / oh oh résurrection de N. (qui me fait d'abord plaisir, puis m'agace un peu, puis me refait plaisir...  / le soir je continue à regarder MON PETIT RENNE mais je m'endors deux fois de suite, et je vais donc me coucher...

vendredi 26

de bonne heure je regarde une émission de radio avec Alain Chamfort (cette phrase est correcte) / plus tard j'hésite : est-ce que ça vaut la peine que je m'habille pour sortir et aller au cinéma ? / 13h30 : NOME  (069) au cinéma (finalement je me suis fait violence) / Romain confirme par mail presque toute la programmation, et nous propose d'autres films supplémentaires en SN "si ça nous intéresse"... (on arrive à 24, je n'ai plus de place sur le papier) / je vais faire des courses à Esprit Pays*n (mmmm tiens des fromentines aux escargots pour dimanche midi) / j'ai une pâte brisée et une pâte feuilletée achetées hier et j'hésite : une quiche ? une tarte aux pommes ? (en voilà des questions existentielles...) / finalement ça sera une quiche, plutôt réussie d'ailleurs, dont je grignoterai la moitié devant la télé...  / (je regarde un bout de CAPITAINE MARLEAU, après être tombé, en zappant, sur une scène entre Gérard Darmon et Anne Alvaro!)

samedi 27

(troisième réveil à 5h et quelques, comme d'hab') / au marché, rituellement (en revenant je m'amuse à dresser la liste de mes achats, (que je publierai à part) / un coup de fil d'Emma, qui elle aussi a apprécié ce moment chez moi, avec Cathy, après le repas de mardi dernier / je commande un livre de Thomas Vinau, fabriqué à la main, Des poules et des hommes (qui pourrait faire un cadeau, tiens) / le champion de TLMVPSP est battu, c'est désormais une nouvelle championne qui le remplace, Claudie / 15h45 : THE SWEET EAST (070) dans la salle 8 (qui était jusque là pour moi "la salle des films de bourrins" mais c'est en train de changer) et j'y suis tout seul! / après le repas, un temps d'échange sympathique avec N. "comme avant" / je regarde ensuite un jeu télévisé typique de samedi soir, pas très intéressant

dimanche 28

(troisième réveil à 5h et quelques, je fais un peu d'ordi et je me recouche, promis, c'est dimanche...) / midi : un bon petit repas de dimanche : salade lentilles / oignons nouveaux / tomates-cerises & st Nectaire / fromentines (escargots en coque de pâte fine) / fraises / café avec un chocolat de chez Az*uz / Philou m'envoie un mél pour m'informer du quarantième anniversaire du colza : ce sera le 1er mai à midi... / je confirme ma venue sur le champ (!) / il me prend l'envie de faire des chaussons aux pommes, avec le rouleau de pâte feuilletée restant : c'est du boulot mais j'en viens à bout / comme il faut les laisser refroidir,pas possible d'en avoir pour le goûter, j'en mangerai un ce soir pour le dessert / je retrouve dans ma bibliothèque LOIN D'EUX de Laurent Mauvignier, qu'Emma m'avait demandé (c'est un Minuit Poche, c'est pour ça qu'il n'était pas rangé avec les autres) / Un appel de Pépin, qui me confirme leur retour du Portugal et reprend rdv pour un café-scrabble (vendredi matin sera très bien) / je presque finis mon livre-photos 2024.1 (janvier/avril) / et je reprends un peu LA ROUTE avant de dormir...

lundi 29

(donc, si je récapitule,  mon rythme nocturne c'est : premier somme de 2h, réveil, pipi, rendormissement, deuxième somme, réveil, pipi, là un peu d'ordi, je me recouche vers 5h et me rendors pour un troisième cycle, et c'est comme ça toutes les nuits, oui oui) / j'ai fini par trouver je crois ce que je vais lire mercredi pour le colza : un extrait de Robert Bober / 10h et quelques dring! c'est E. avec son parapluie, pour une séance brève mais intense (...) / tiens! on change les fenêtres au dernier étage en face, et, malgré la pluie je m'octroie un instructif reportage photographique (un barbu à bonnet, même avec un masque, ça ne se refuse pas! D'ailleurs, le masque, il l'enlèvera après!) / j'utilise les restes de pâte feuilletée (un autre chausson et des zigouigouis pour l'apéritif...) / J'appelle Gérard qui gentiment se soucie de ma santé, puis D. qui m'a appelé plusieurs fois et laissé des messages pour passer éventuellement cet aprèm' / une modification de dernière minute sur la prog + l'édito d'Hervé envoyé fissa, je pourrai donc porter le tout à l'imprimerie demain matin /  N. me fait coucou en photos... peut-être demain ?? (qui vivra verra)

mardi 30

("sommeil" comme d'hab', petit-déj à 8h30, quand même) / je finalise la prog (l'édito de Hervé est gigantesque, mais je n'y touche pas, il n'y aura que ça sur la dernière page) / je passe un certain temps à rechercher ds mon ordi (et mes disques durs) des photos des anniversaires du colza : je remonte à 2008, puis je saute directement à 2013 : quid des années intermédiaires ? je vais encore chercher... / je pense que j'ai perdu des photos : du colza 2015, je n'ai qu'une unique photo, récupérée sur le blog! /  avec ce que j'ai, je fais un petit bouquin anniversaire de 24 pages, (en deux exemplaires) / Jean-Claude m'apprend par mélle décès de Alain R., qui me fait quelque chose (d'autant plus que je ne m'y attendais pas du tout) / Je passe à l'Imprimerie pour notre programmation : promis avant la fin de la semaine ! / je passe à la poste pour peser notre envoi + enveloppe : l'automate m'affiche 28g, parfait. / je m'offre un repas aux Abattoirs (le plat du jour : steak haché à cheval est moy-moy) / je couvre en papier jaune pétant le livre dont je lirai un extrait demain / je finis de regarder MON PETIT RENNE sur N*tflix / chez le marchand de primeurs (où je vais pour acheter du limoncello pour demain) j'ai la surprise de retrouver le barbu sympathique de Coffee Song (sa femme travaille là) qui travaille donc désormais ici / et le mois d'avril s'achève comme il a commencé (no comment)

 

 

 

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