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lieux communs (et autres fadaises)
31 mars 2006

fond de bouteille

Pas envie.
Rien à dire.
Non, vraiment, rien qui vaille la peine.
Qui puisse éventuellement intéresser kixesoit.
Sec.
Vide
Non rien de rien non je ne
Non, non, vraiment rien, je vous assure.
(qu'est-ce qui est vide, le yin ou le yang ?)
Vraiment, vraiment, j'ai beau chercher
J'trouve pas.
Sec de chez sec.
A quoi bon se presser se torturer pour produire n'importe quoi ?
On va pas se prendre la tête, alors, hein ?
(...)

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29 mars 2006

basse-cour

(à partir d'un vieux texte)

Angoissé, moi ? non, je serais plutôt inquiet.
Inquiet comme une caille, un dindon, une poule qui court (c'est plus léger, entre volatil et volatile...) , vous voyez bien, ce genre d'animal un peu stupide, gallinacé ou avoisinant, à l'oeil rond, avec ces petites pattes ridicules pas vraiment faites pour la course. Qui fait des effets de jabot, cou plus ou moins déplumé, émet des sons bizarres si on lui court après ou qu'il s'affole un peu.

Une inquiétude vague, imprécise, sans objet nommé, comme partant du principe qu'il devrait forcément arriver une catastrophe, que la personne là en face devrait vous vouloir forcément du mal, que vous ne serez forcément pas à la hauteur de vos ambitions, que vous n'arriverez forcément pas au bout de votre projet, que vous serez forcément lamentable...
Alors vous trottinez sur vos petites pattes ridicules, sans trop savoir exactement où vous allez, vous vous penchez en avant pour picorer ou faire semblant de, vous vous gratouillez les plumes dans le double espoir d'en ôter ce qui vous y démange et d'en accroître le volume pour éventuellement impressionner un adversaire... éventuel!

Oui, vous tournez en tous sens votre petite tête d'oiseau, avec dedans votre petite cervelle d'oiseau, guettant de quel côté ça pourrait bien vous tomber dessus.
Le renard, la fermière, le coq, le blé empoisonné, l'usine à oeufs, la grippe... on ne sait jamais, les sujets d'inquiétude potentiels sont tellement nombreux que vous pourriez sans souci (!) y consacrer jusqu'au dernier instant de votre courte vie (de bestiole emplumée s'entend)

Angoissé, moi ?
Nooon, plus du tout !

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28 mars 2006

groupons-nous et demain

J'aime bien les manifs...

Surtout quand il ne pleut pas (comme aujourd'hui). Ca permet de retrouver des gens qu'on a, parfois, pas vus depuis longtemps, ça permet de discuter avec d'autres qu'on voit peut-être plus souvent mais avec qui on n'a pas forcément le temps de..., le cortège est variable, changeant, élastique, on peut passer un grand moment à côté de la même personne et hop, soudain un mouvement de foule, une main qui vous tape sur l'épaule, une conversation interrompue, et hop vous voilà ailleurs, avec un autre quelqu'un, à entamer ou reprendre une autre discussion...
Ce matin, j'ai butiné, d'abord sur la Place où la manif devait démarrer, saluant un mari de copine de collègue (il faut bien commencer par le premier visage connu) puis un "ami" de longue date (plus de longue date qu'ami, finalement, d'ailleurs...) puis le couple d'amis chez qui je vais manger le dimanche soir, un autre couple d'amis, et encore deux amis avec qui je fais du théâtre, bref, une longue et affectueuese cohorte d'amis de tous poils et de tous horizons...
Ce que j'aime  dans la manif c'est ce sentiment de fraternité, même si on ne se connaît pas, on sait qu'à priori il y a une accointance, un point commun, des affinités. Une communauté. On est là, dans cette cohorte un peu bruyante et plutôt joyeuse, on n'entend pas forcément les slogans, en tout cas on ne les répète pas, mais on en invente d'autres, encore plus idiots... On se sent porté, agréablement, dans cette marée humaine qui avance paisible, tandis que de chaque côté, sur les berges urbaines du fleuve contestant apparaissent, immobiles, posés, ceux qui nous regardent passer... Observateurs.
Ca a quelques chose de la transhumance.
On est là, même si on n'est pas dupe. (Enfin, on n'est plus dupe) Quand on était plus jeune, on se souvient que des manifs précédentes avaient produit une réaction, un effet, là, nada, niente, bernique. De l'autisme gouvernemental considéré comme une possiblité de dialogue. Déjà, pour les retraites, on s'est fait avoir, comme disent certains chroniqueurs amers, bien profond. Pourtant on était... beaucoup ! (oui ça avait été aussi une belle manif!) Et là, pareil, enfin je suppose, je n'ai pas encore été regardé le journal télévisé.
Je ne le fais plus que rarement, dans les grandes occasions.
Là, je vais aller voir !

26 mars 2006

heure d'été

Pour la première fois, peut-être, j'ai vécu en direct le passage à l'heure d'été.

Une soirée exquise, placée sous le signe de la nostalgie, avec des amis, dont quelques-uns que je n'avais pas vu(s) depuis un certain temps.
Repas délicieux, champagne, fous-rires, tout était parfait. Oui, on a beaucoup ri.
Je suis parti de là-bas à preque deux heures du mat', mon éléphant a bien roulé (je commençais un peu à somnoler)
Et hop, à deux heures et demie (arrivé chez moi) il était trois heures et demie (c'est mon ordi qui me l'a dit)
Eté. (Peut-on être et avoir été ?)

Je l'ai pris comme un signe, un signe amical, un signe de plus.
On change d'heure, on change d'histoire.
On passe à autre chose.
Comme avant.
Comme d'habitude
Comme toujours, va.

(Encore heureux qu'on va vers l'été...)

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26 mars 2006

liste ***

(travelling arrière final)

*
Stranger than paradise
les avant-bras
ni bière ni café
Une journée noire
1 litre de lait par jour
ne pas s'ennuyer
les "cordons-bleus"
Un homme qui dort
pourquoi tu viens pas dans la salle avec nous ?
Gentille

Rue de la P.
une carte verte en deux morceaux
si j'ai pas mes cinq heures de solitude par jour...
baZar
le festival télérama
(zoom x12)
les gilets zippés
(Printemps au parking)
Pâtes sauce crème champignons et poivrons
petite fantaisie pour piano k 397
un chocolat
le bonnet péruvien
mais c'est notre bus qui arrive !
la vodka
Brokeback Montain
J'adore le vert...

Edges of illusion
ptitom
un petit marque-pages photo
un pamplemousse bleu en colère
jeudi après-midi
ovomaltine au café
jules
une religieuse au chocolat bien dodue
bisous
la douche froide
c'est dans la douleur qu'on se sent exister...
Dead man
Music for 18 musicians

7j = 3 calbutes / 2 t-shirts / une paire de cho7
"Je vous trouve très beau"
Fantomas
Quatre mains

Nostromo
je ne me sens pas concerné
l'impression du t-shirt vert
Clermont-Ferrand
mon slip pour un mac
FisherKing

j'ai plus de lait
et toi qu'est-ce t'en as pensé ?

pfff
08.08
TO THROW UP PUSH HERE
un peu plus qu'un ami ?
trop de neige tue la neige
(je suis en retard mais je suis en avance)
café solidaire
*

(final ? ahahah)

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25 mars 2006

tentative

ESSAYE-MOI
de Pierre-François Martin-Laval

Voui, voui, voyez-bien, chuis pas sectaire, m'arrive d'aller voir d'autres films que les ***** dans les Cahiais du Ciléma, les Gnou d'Or au Festival Intello Plus Plus, ou, plus modestement, les versions originales baltes sous-titrées en croate.(ou birman). Un film simple,  "grand public", une comédie popcorn et zygomatiques, un truc léger, vite réchauffé au micro-ondes du marketing, vite avalé vite digéré. Péjoratif, je ? Non, juste réaliste.

D'abord je n'aime pas trop ces castings néo comique franco franchouille (les Robin des Bois par-ci, Kad par-là...), mais le réalisateur a eu le bon goût de se choisir Pierre Richard (dont il a les yeux bleus) comme paternel de fiction, Julie Depardieu comme dulcinée-à-priori-récalcitrante-mais-pas-tant-que-ça-parce-qu'on-sait-bien-que-ça-va-bien-finir (sa première apparition est d'ailleurs quasiment à couper le souffle, tellement elle est mimi, derrière sa porte entrebaillée...) et Isabelle Nanty comme belle-mère putative (que voulez-vous, moi je l'aime cette petite bonne femme-là)

Le film ? Disons que ça patauge tellement au début que ça ne peut que finir un peu mieux. On (la critique, plutôt bien intentionnée) nous sort le couplet du Pierrot lunaire, de la fantaisie poétique, du vert paradis des amours enfantines, de Pierre Etaix, de Jacques Tati... Eh, oh oh, faudrait pas pousser quand même, pourquoi pas tant qu'on y est David Lynch pour l'humour décalé et Tex Avery pour le nonsense ? (non non, je rigole...)


Oui, l'exposition et la mise en place sont assez laborieuses. Et il est plutôt horripilant, ce grand dadais en cape de Zorro qui se nourrit de Lion et de Chamallow en débitant des insanités puériles (des puérilités insanes ?) à celle à qui il a demandé de l'essayer pour une durée de 24 heures (d'où le titre), qui n'arrête pas de faire des conneries qui lorgnent effrontément vers le cartoon (silhouette découpée dans la porte d'entrée, explosion dans la cuisine dont on ressort tout noir,etc...) sans être toutefois exploitées avec suffisamment de folie ou de génie burlesque. Reste que ce ton, mi bête-mi malin, mi burlesque-mi décalé rend quand même un son un peu original quand il veut s'en donner la peine.

Car tout ça n'est pas complètement négatif (on n'est pas dans Olé!, tout de même, qui reste pour moi et pour l'instant le mètre-étalon du néant cinématographique), je le reconnais, j'ai souri, j'ai ri, j'ai été attendri, j'ai même failli être un peu ému.
J'aime bien l'idée du crachat du début, j'aime bien le pingouin, j'aime bien le retour du mari, j'aime bien le voisin mateur... Et puis il a une bonne tête, ce Pierre-François (des bo z'yeux bleus, et un torse velu -entr'aperçu- plutôt appétissant... tss mais là est-on encore vraiment  dans la critique de film ?) alors, hein, on va le caresser un peu dans le sens du poil, en lui disant qu'il fera super vachement mieux la prochaine fois, que c'était juste un galop d'essai, que c'est pas complètement abouti, et qu'il est capable de jouer sur un autre registre que l'ado attardé romantico-nunuche-carambar...

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24 mars 2006

last day

Ben voilà ça y est.
Game over.
Dernier aller et dernier retour "officiels" aux bozarts.
Bon, je dois reconnaître que hélas tout ça c'est un peu fini en couilles, mais comme m'a dit Bernard "ça se finit toujours en couilles, c'est normal...." (si tu le dis...)
La journée avait mal commencé de toute façon : grosse flotte moche, je pars tôt pour pouvoir retirer du fric : premier distribanque "opération refusée" deuxième distribanque idem, troisième re... ben alors ? Pourtant suis pas plus à découvert que d'hab, je n'ai même pas encore dépassé mon autorisation! Tant pis j'y vais comme ça...
Dans le bus m'aperçois que j'ai oublié de prendre Gone, baby, gone que je me faisais pourtant un plaisir de terminer...
A Besac, rebelote "opération momentanément indisponible" je rentre dans la banque, explique mon blème au guichet, et le gentimonsieur me dit que non non pas grave ça vient de l'ordi, et me donne tout de même mes sous. Merci, gentimonsieur!
Arrivée bozarts, y a Pierre et Bernard au café, et c'est quasi tout.
Chuis revenu là, aujourd'hui, spécialement pour dire au revoir et y a personne ! En attendant, je prends des photos, plein, et clic et clic. Et là, hop, soudain horreur fausse manip', et l'appareil d'un coup d'un seul efface tout! arghhh!!!
Je me remets consciencieusement à l'ouvrage et clic clic je photographie...
J'ai offert un dictionnaire à Pierre : un Robert (ça s'imposait !) lui m'offre un tout petit livre blanc (2x2cm) qu'il a fabriqué.
Quelques étudiants apparaissent au fil de la matinée, je me dis que j'aurais pt'être mieux fait de rester à la maison. Je vais reprendre le bus de 13h30 me dis-je, pour bosser un peu c't'aprem'...
Dernier repas au R.U : saucisses frites et coca! (vive la diététique, je soigne ma taille de guêpe)
Je vais dire au revoir à Pierre et Marielle, évidemment ça s'étire un peu, larmozyeux, tout ça, et bien sûr je rate le bus de 13h30 !
Bernard me descend en ville, galerie d'art, marchand de vin, librairie, et on finit par se séparer rapidos sinon je vais aussi rater le bus de 16h...
Je suis un peu déçu quand même que qui-vous-savez ne se soit pas pointé ce dernier jour (il avait un dvd à me rendre) mais non finalement ça prouve qu'il avait certainement des choses BEAUCOUP plus importantes à faire que de penser à venir dire au revoir à un vieux machin (j'en prends note) et puis c'est mieux que je parte comme ça en me disant que c'est un petit con. Plus facile.
Le bus de 16h10 a des sièges encore plus serrés que ceux du Théâtre, c'est dire ! Assis normalement, on a les genoux qui touchent le siège de devant, et quasiment juste en-dessous du menton! J'essaie de dormir un peu.
Le garage appelle, ma bagnole sera pas réparée demain et celle qu'il devait me prêter en échange de l'éléphant à roues vient de tomber en panne... je garde donc la 405 pourrave jusqu'à mardi.
Chez le photocopieur, ya quelques problèmes au tirage du bouquin pour Claire, je repasse donc quasi une heure au magasin en compagnie du monsieur...
Suis passé à l'école, où j'ai commencé à réaliser un peu ce qui va se passer lundi.
(Bord des larmes)
Idem ensuite au supermarché, en faisant les courses.
Retour maison, trouve un mess de toujours-le-même qui m'explique que désolé il n'était pas aux bozarts et n'a donc pas pu me rendre les dvd.
Merci, je m'en étais aperçu...

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23 mars 2006

comme avant

Un petit mot du soir... un soir comme avant. Comme disons, il y a quelques mois...
Revenu comme qui dirait à la case Départ (non, plutôt  Retournez au Boulevard de Belleville, vous ne passez pas par la case Départ et vous ne recevez pas 20000 francs pour celles/ceux d'entre vous qui ont joué au monopoly !) Non, j'exagère, je plaisante, je gémis un peu juste pour le plaisir...
M'aura apporté pas mal de trucs cette parenthèse enchantée, trucs que je mesure encore pas tout à fait présentement.
Des prénoms des visages des sourires des mots des complicités. plus de savoir-être que de savoir-faire(s) (pour jouer de nouveau à l'instit' qui se la pète avec les compétences. )

Avant d'aller dormir, m'écoute une petite compil sacrément douce et nostalgique (je me souviens de quelqu'un qui aimait Mes nuits sans Kim Wilde parce qu'à la fin Kim chuchotait Laurent il est l'heure de dormir, enlève tes lunettes, Laurent...) et je me rends compte que j'aime bien ce sentiment cotonneux, ou plutôt que je m'y sens bien, que j'y suis habitué...
J'dois être un peu maso...

22 mars 2006

partir revenir

C'est toujours pareil. Maintenant que je dois partir, et que je devrais me détacher progressivement des bozarts et de leurs environs géographiques et affectifs, voilà que je n'arrive plus à décoller...
P't'être à cause de la drôle d'ambiance qui règne depuis hier, étudiants en grève (plutôt en deuxième année) ou pas (plutôt en première ) certains en cours donc (comme moi ce matin, avec une prof qui s'est étonnée de voir que tout le monde était là, alors qu'elle pensait que quasi tout le monde ferait grève et leur/nous a donc tendrement remonté les bretelles à ce sujet) et d'autres pas (dans la salle de comm' , réquisitionnée par les grévistes, régnait une ambiance de ruche, aussi enfiévrée que productive, slogans au tableau, banderolles (un l ou 2 ? Hier en j'en ai mis 1, aujourd'hui j'en mets 2 pour équilibrer) au sol à différents stades de fabrication, affiches et caricatures diverses naissant un peu partout (chacun y allant de sa bonne idée...) avec, en plus, dans le couloir l'instauration d'un service de café solidaire (à 0,30€, soit dix cents de moins qu'au distributeur, qui fut d'ailleurs soigneusement boycotté) pour "indemnisation des grévistes" (pourquoi? ils sont rémunérés en tant que tudiants ? ) sans oublier, pour terminer en fanfare, la visite (et photo) du quotidien local (photo de groupe plutôt joyeuse, qui va m'obliger donc à acheter le journal demain, puisqu'y figurent certains visages particulièrement sympathiques...)

A midi, une paella (tablée installée dans le couloir) à laquelle j'étais invité par les première année (j'ai même eu un cadeau, une bouteille de pinard...) dans une ambiance encore une fois sonore et joviale, conclue par un nouveau café solidaire pour faire glisser le tout, et il était alors temps pour moi de les saluer en les laissant à leurs occupations de djeunz (et qui sautera le plus haut et le plus loin sans s'exploser les roubignolles sur le rebord de la table, et qui glissera idem entre les jambes du pote, et qui idem mais avec un autre sur les épaules... ils sont joueurs comme des chiots!!!

Retour maison, téléphone au garage (je savais bien qu'elle ne serait jamais réparée hier), ma voiture est "ouverte" m'a dit le mécano, ils sont en train d'inspecter la boîte de vitesses... résultat : prolongation de la garde jusqu'à samedi matin (et corollairement je conserve mon éléphant à roues jusqu'à la même date ! mais bon ça y ça va je crois que je l'ai apprivoisée...)

Il pleut toujours, il fait gris comme une fin novembre (alors qu'on passe à l'heure d'été ce ouikinde! ) mais bon, pas grave... Me suis fait chauffer une tasse de lait (à boire en croquant une barre de chocolat, c'est très doux!) Et ce soir je vais voir El Tricicle...

(Everythin' in its right place)

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21 mars 2006

santé!

Guilleret quasi ce soir en revenant sous la pluie. Content parce que c'était un bon jour (d'averse) pour arroser mon départ. Les six bouteilles de Clairette n'ont d'ailleurs pas suffi (mais bon s'il y en avait eu 10 de plus, je pense qu'ils les auraient bues toutes les 10!) Content de voir là, dans cet endroit que j'aime bien (on était à l'atelier typo) pratiquement tous les gens que j'ai eu plaisir à rencontrer, à connaître (et même des autres aussi!) pendant ce premier séjour: aline, marielle, bernard, pierre, claire, thomas, thibault, julien, ses potes dont je ne sais pas le prénom, fanny, benjamin, karim, manu, brigitte, balthazar...
(Petit jeu : *** et sa copine sont cachés dans cette liste... sauras-tu les retrouver ? )

Les bozarts sont en grève à partir de demain... S'est constitué un collectif dans la salle des 2ème année : AG, banderoles, manif et vote à main levée... Faut les soutenir, ces graines de révolutionnaires ! Bonne raison donc pour y retourner faire un tour ! (d'autant plus que les 1ère année m'ont gentiment invité pour bouffer avec eux à midi -et boire aussi, me semble-t-il- ), et en profiter pour ...euh, (smiley avec les joues rouges et l'air penaud) prendre quelques photos des djeunz ? Ca fait loooooooooongtemps que je n'en ai pas prises (Même sans barbe, comme il l'était aujourd'hui, il me fait tjs autant craquer ce p'tit con, même si désormais je suis en même temps capable d'une part de prendre sur moi, et d'autre part de reconnaître, avec une certaine lucidité/objectivité dont j'étais, je le reconnais volontiers, naguère dépourvu, qu'il n'est absolument pas exempt de défauts voire faiblesses bassesses etc... enfin trucs énervants quoi!)

Tout va donc -presque- pour le mieux. J'étais très content que sa copine ait répondu à mon invitation, elle est venue, elle a bu, on a un peu parlé, elle a souri... je la (et je me, donc) sentais beau coup mieux... Un point douloureux en moins, c'est bien.
Ni remords, ni regrets, comme disait l'autre!

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