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lieux communs (et autres fadaises)
31 mars 2010

bons et loyaux services

Bon d'accord, elle était vieille.
Bon d'accord elle avait fait son temps.
Bon d'accord elle ne pouvait plus rouler, même avec la meilleure volonté du monde...
N'empêche que ce matin, après un ultime nettoyage, en lui faisant faire son dernier trajet, puis en la laissant là sur le parking du garage,toute seulette comme ça, promise à une mort certaine, je me serais presque senti comme le chasseur quand il va abandonner Blanche-Neige au milieu des bois, à la merci des bêtes sauvages.

In memoriam ma 306 (1997/2010)

306

(vue d'ensemble)

306_d_tail

(détail -flou mais attendrissant-)

30 mars 2010

printemps RNI

On serait censé parler du printemps : ciel bleu bourgeons giboulées herbe neuve pâquerettes and so on...
Euh, on n'a pas vraiment le temps, occupé qu'on est à composer et re des affiches, des bandeaux, des cartes postales (tout ça pour ROUGE NOIR ET IGNORANT (oups pépin j'allais encore écrire "innocent"!) la pièce qu'on va bientôt jouer, occupé qu'on est à copier et à envoyer les différentes machins à différentes personnes qui vont en faire différentes choses, occupé qu'on est à composer un livre-photo(s)sur le VoyajenInde parce que chez Pixmachin y a une super offre ; toutes les pages supplémentaires gratos, mais évidemment y a un hic c'est jusqu'à mercredi 31/03 à 0h, occupé à finir l'autre livre sur le VoyajenInde qu'on avait promis à Dominique pour son anniversaire, occupé qu'on est à se dire que cette bagnole, à la fin, est-ce qu'elle va finir par arriver, hein ,, occupé qu'on est à lire SEUL LE SILENCE, sur les conseils conjugués de Zabetta et de sa fille, occupé qu'on est à finir des trucs et des machins à/pour l'école, occupé qu'on est à faire des paquets et des envois divers pour Pricemachinnister, occupé à écrire que oui oui on est occupé, mais bon dans une semaine... ahahah

affet_bandeau

26 mars 2010

on se fait un turc ou un grec ?

SOUL KITCHEN
de Fatih Akin

Pour son premier soir dans le bôô cinéma, on était bien peu dans la salle. Tant pis pour les autres.
On était prévenu : Fatih Akin avait délaissé sa noirceur habituelle et nous livrait ici une comédie. Et tout ça est ma foi fort sympathique, même si le film ne laissera pas un souvenir impérissable, c'est vraiment très agréable, De la comédie le film emprunte le faux naturalisme, la simplicité de l'intrigue et des ressorts "basiques" (l'amour, la spéculation, les idéaux, la fraternité, sans oublier la cuisine, l'addiction au jeu, le mal de dos) et l'entassement des rebondissements (il faut bien que l'intrigue progresse), tout ça enrobé d'une musique aux petits oignons, faisant un chouette écrin pour cette brochette de personnages attachants (avec un -gros- faible pour les deux frangins, bien évidemment), touchants, agaçants, imposants (c'est selon).
Success story d'un restaurant donc,, (de gargote infâme à restau bobo  branchouille), qui va passer de mains en mains au fil de  hasards divers et successifs (ce qu'on appellera les aléas), qui suit plus ou moins en parallèle celle de son propriétaire, Zinos, tiraillé entre son amour pour la belle Nadine qui part en Chine, son frangin qui sort de prison en pointillés, un nouveau chef aussi tatillon qu'ombrageux,et un mal de dos aussi  inopiné qu'inopérable (le pauvre Zinos n'a pas de sécu) qui ne fera qu'empirer tout au long du film...
Jusqu'à la fin, ou, bien sûr, tout s'arrange. mais vraiment tout tout (on est dans une comédie, donc tout ça reste léger et joyeux.)
Le film, en fin de compte, ressemblerait à son (superbe) générique de fin, une suite de cartes postales arty (entre flashy, destroy, trash and fun : graphisme chiadé, couleurs pétantes, mise en page agressive juste ce qu'il faut...), une par personnage et par technicien quasiment, avec une musique gentiment déménageuse  qui s'amuse derrière tout ça : hyper agréable, plaisamment graphique,"facile", sans prise de tête...
Printanier, quoi! Et on aurait bien tort de s'en priver!

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24 mars 2010

inconvénient

Oui, un seul petit inconvénient, quand on n'a plus de voiture (enfin, presque plus de voiture : elle peut faire un trajet par jour, lorsqu'elle est froide, et de pas plus de deux kilomètres encore!), un seul inconvénient donc, c'est qu'on est beaucoup moins mobile : pour aller au cinéma, niet, pour aller respirer le bon air sur les parkings bucoliques, niet, pour aller acheter un carton d'enveloppes dans la librairie de la zone indus', niet... On se sent un peu dépendant, et on est obligé un peu alors de mendier du transport, à Pierre, à Paul, à Jacques (chacun à son tour, pas question de froisser des susceptibilités amicales...) allez qu'on se dit, juste une semaine à marcher!

23 mars 2010

bonbon

Un jour de grève, c'est un drôle de jour. Presque comme un jour férié mais pas tout à fait.

On ne va pas au travail (enfin, certains n'y vont pas, pour se retrouver, oh bien souvent les mêmes devant telle place ou telle fontaine, à heure dite, pour aller manifester.) En général, il fait très froid, ou bien il pleut, voire même les deux, et on est encore plus grognon et vindicatif (non, c'est pas vrai, en général c'est plutôt bon enfant).
Et bien ce matin il faisait un soleil éclatant, un ciel bleu magnifique, et donc ça ressemblait plutôt à une parade printanière, tout le monde avec ses lunettes de soleil. J'ai déjà enlevé une épaisseur, mais j'avais encore trop chaud, et c'était bien quand on défilait à l'ombre!
Et puis la manif s'est arrêtée, devant la Mairie, et n'est plus repartie, et c'était fini, c'était pile-poil l'heure de manger. Je suis rentré avec M. (elle ne souhaitait pas que je la nomme),pour  manger au FJT comme d'hab' (et il y avait des beaux travailleurs ensoleillés, enfin, plus que d'hab') et c'est là que, grâce à elle (elle a quasiment joué le rôle de ma p'tite femme!), j'ai fini par concrétiser une décision (mais ça n'a pas été si facile que ça alors je vous passe les détails) : mais hop,ça y est,  c'est signé : j'ai acheté une voiture ! (neuve!)
Oh, une petite, hein, mais bon voilà c'est fait, je devrais l'avoir (est-ce bon signe ?) juste la veille du premier avril (huhu ceci n'est pas un gag!)
Voilà, ce sera donc un jour de grève qui coûtera encore plus cher que les autres!

23 mars 2010

métropolite

TSAR
de Pavel Lounguine

Comme je l'ai chuchoté à Zabetta pendant le film "Y a pas, ces russes, tout de même, ils savaient s'amuser!". Au vu de cette fresque historique (un bout de l'histoire d'Ivan le Terrible), pleine de bruit et de fureur, (et de fourrures aussi) de soudards, d'exécutions, de supplices divers et variés, de traîtres, de capitaines et de princes, de paysans et de cavaliers, avec les Polonais comme des antéchrists (on les attend autant que Godot) et leur invasion supputée en tant que fin du monde (promise et bien méritée!)
On s'approche successivement de l'inéluctable en quatre cercles concentriques (La prière du tsar / la guerre du tsar / la colère du tsar / le divertissement du tsar) où sont exposées ses relations avec Filipp (oui, comme celui des 2b3 mais celui-là est nettement moins rigolo), un religieux ami qu'il va nommer son nouveau cosmopolite (pour remplacer le précédent qui s'est enfui et réfugié dans un couvent) et dont le film va peindre l'ascension puis la chute et enfin la béatification, car le pauvre (saint) homme a la malchance de ne pas être en odeur de sainteté, justement, chez la garde rapprochée du tsar, une troupe d'excités qui se baptisent eux-mêmes "les chiens du tsar", et qu'on reconnaît au fait qu'ils portent, plutôt qu'une queue de renard ou un protège-volant en fourrure, une tête de chien coupée accrochée à leur selle.
Ambiance.
Ca faisait quelques temps que je n'avais pas vu de film de Lounguine (depuis Taxi blues et La noce...), je gardais le souvenir d'un cinéma très... russe (viril, alcoolisé,teigneux, mal dégrossi,  le genre où les mecs s'embrassent pour se saluer mais n'hésitent pas à se coller des ramponneaux pour un oui pour un non) et ben là c'est la même chose sauf que c'est en costumes, et que c'est encore plus violent, parce que si le pauvre tsar est complètement brindezingue, ses "gardes" sont véritablement fous furieux. Et le pauvre pope a fort à faire pour tenter de se battre (et de faire entendre raison) seul contre tous, avec juste sa petite foi.
Car qui dit "reconstitution historique russe" dit "icône". Et qui dit "icône" dit "religion". Et qui dit "religion" dit "foi". Et c'est peut-être ce qui me gêne ici. l'irruption de la foi comme ultime valeur à laquelle se raccrocher. Le bon dieu sans confession, quoi. La scène des moines dans l'église en flammes est évidemment très forte, mais bon.) Autant ça ne me "dérangerait" pas chez Paradjanov ou Tarkovski (où le mysticisme fait loi), autant ici, oui oui, ça me gêne aux entournures (de la soutane...) Mais bon moi, c'que j'en dis...

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20 mars 2010

le point d'acupuncture sur la cuisse

MOTHER
de Bong Joon Ho

J'avais déjà beaucoup aimé les deux films précédents du réalisateur (Memories of Murder et The host), et suite aux rumeurs plutôt enthousiastes concernant celui-ci, j'y allais sans trop d'inquiétude . Si The Host ressemblait à un film de science-fiction, on peut dire que Mother ressemble à un polar, mais un polar augmenté, amélioré, "élargi", (en anglais j'aurais dit enhanced) tant la mise en images transcende les codes habituels du genre. Le réalisateur use vraiment de tous les possibles de la caméra (du très gros plan "expressif" sur le visage d'un personnage  au plus somptueux des plans d'ensemble) pour nous raconter l'histoire de cette mère d'un fils "attardé" qui va mener sa propre enquête pour l'innocenter du meurtre d'une adolescente dont il est accusé...
La mère, le fils, le meilleur copain du fils, et un flic plutôt attachant, voici le quatuor des personnages principaux entre lesquels va se jouer une sorte de quadrille, autour de la figure mystérieuse et  progressivement dévoilée de l'adolescente assassinée.
Preuves, indices, fausses pistes, reconstitutions, interrogatoires se succèdent, comme dans un polar normal, mais le réalisateur a un certain don pour imaginer des situations saugrenues (la mère cachée dans le placard), dérangeantes (la mère qui regarde son fils pisser),  des environnements très graphiques (le terrain de golf) ou des plans simplement stupéfiants de beauté (celui, par exemple, qu'on verra deux fois, de la mère au milieu des champs)
Le spectateur progresse au même rythme dans son enquête, puisqu'il ne possède aucun indice supplémentaire que les enquêteurs ou la mère, et va finalement où on veut bien lui dire d'aller... Le noeud de l'affaire tient à la reconstitution, qui est liée à la fragilité de la mémoire défaillante du fistion... Et tout est donc possible.
On sort de là ravi, admiratif à la fois de la technique cinématographique (il faut bien ici parler de maîtrise) et du malaise durable que ce récit provoque en nous...

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19 mars 2010

micro75

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"Certains font tout en général et pas grand chose en particulier"
(sur une camionnette)

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un sérieux problème avec le temps qui passe (trop vite)

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Affalé sur le siège passager, il tient son téléphone comme il tiendrait son petit bout

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Bon, la neige, ça suffit peut-être, non ?

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(Struggle for pleasure, à partir de 2'22)

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Je n'arriverai jamais à combler mon déficit en heures de sommeil

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Ces soirées passées à écouter à la chaîne des vieilles rengaines
finissent en général avec les larmes aux yeux

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"Je t'ai fait un thé léger..."

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le plaisir retrouvé de boire dans une cuillère à soupe le sirop contre la toux

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19 mars, le premier jour où on peut dire à nouveau "il fait chaud".

*

17 mars 2010

des anges

oui oui, je confirme ça existe...
je viens d'en voir deux.
(non non je n'ai rien absorbé d'anormal)

j'ai encore eu des problèmes de 'oiture. Comme je quittais ma riante bourgade pour aller au vert vérifier de visu si la sève montait bien dans les branches, mon voyant stop! rouge s'est allumé. je me suis donc arrêté illico (coup de bol, y avait juste un parking! j'ai ouvert le capot, constaté la surchauffe, attendu que ça refroidisse, remis du liquide de refroidissement, redémarré. Et hop!
A peu de distance, voilà que ça se rallume... je me r'arrête (parking suivant) ouvre le capot, me dis que j'en ai pas assez mis, en remets donc à ras la gueule, ai du mal à refermer le capot (on dirait que ça ne s'enclenche pas mais bon, et je repars me disant que je vais y aller mollo il ne reste que quelques kilomètres.
je repars , et au bout de très peu de temps, dans une grande ligne droite descente/montée, mon capot a la mauvaise idée de s'ouvrir et donc de se plaquer contre le pare-brise. je n'y vois plus rien, je m'arrête aussitot, je suis aveuglé (enfin mon pare-brise) et j'entends le bruit des voitures qui ralentissent qui passent, je ne sais pas ça fait beaucoup de  bruit...
par la vitre, je vois la bagnole qui a pilé derrière moi (et ne m'a pas percuté) redémarrer et venir se garer devant moi, tandis que repartent les autres voitures qui ont pilé aussi derrière. Vient vers moi un jeune homme, à ma grande surprise très calme, qui constate les dégâts m'explique d'abord que j'ai eu de la chance, à qui j'explique mes problèmes de refroidissement et tout ça, et se met illico à farfouiller dans le moteur, à chercher si ça vient de la durite ou du radiateur, ou de je ne sais quoi, pendant que je téléphone à mon gros garagiste en lui demandant un dépannage, et qu'il m'oppose le même refus que l'autre fois ("mettez de l'eau, et essayez de rentrer doucement... et apportez-moi la bagnole demain...") Je ne sais pas quoi faire, tandis que le jeune homme s'active trifouille dans le moteur, et me décrète que c'est le radiateur (on vient d'y verser une bouteille entière d'eau minérale), que je ne peux pas rouler sous risque de griller le moteur,  et que ils vont donc  me ramener à Vesoul, en me tractant.
Il me déniche  dans leur coffre un tendeur avec lequel il ligature le capot pour qu'il ne se barre pas de nouveau, une courroie avec laquelle il attache ma bagnole à celle de son copain, et devant mon peu d'enthousiasme me propose de prendre lui-même le volant si je veux.
Ce que je veux bien évidemment, et nous voilà partis, warnings, 60 maxi, conduite souple sans à-coups, il m'apprend qu'il n'est pas d'ici, qu'il est arrivé depuis quelques jours pour faire un stage de mécanique à l'AFPA (vraiment on sent que c'est son truc la mécanique!). piano piano et presque sans à-coups, on arrive sur le parking de chez moi, ils poussent ma bagnole pour la stationner comme il faut. Je bafouille, je leur dis que je ne sais pas comment les remercier, je fouille dans mon porte-feuille, je n'ai qu'un billet de 10€.
Je leur tends, ils refusent d'abord, me disant qu'ils n'ont pas fait ça pour ça, qu'ils ont eu plaisir à venir en aide à quelqu'un. Ils ne veulent pas boire un coup, non ils ne veulent rien...
Je leur serre la main, ils finissent quand même par accepter le billet en rigolant, en disant que  bon puisque j'ai vraiment l'air d'y tenir, oui d'accord ils boiront un coup à ma santé...
Je leur fais un signe de la main, et ils disparaissant dans la nuit... Je ne sais même pas comment ils s'appellent.
Je reste comme un con, dans la nuit, devant chez moi. J'ai les jambes en coton, je réalise que j'ai eu doublement (ou triplement) de la chance : de ne pas m'être fait emboutir (là j'ai eu vraiment très chaud, son copain m'a dit qu'il avait appuyé sur le frein de toutes ses forces, et que sur le coup il avait l'impression que ça ne freinerait jamais...), et surtout que ce soit leur voiture qui ait été derrière la mienne à ce moment-là...
Non, je ne sais vraiment pas comment les remercier....

16 mars 2010

le progrès

(soupir...)
et dire qu'il fut un temps où je m'astreignais à laisser un message chaque jour pour être juste certain que mon auditoire, fasciné autant que captivé, reviendrait le lendemain, fou de curiosité pour découvrir le charmant oeuf que cloc cloc! je venais de pondre...
oui, il est bien loin ce temps-là, mais, croyez-moi (cloc cloc attention le nouvel oeuf frais du jour arrive oui oui je le sens poindre...) à propos de mon absence écriturielle de ces derniers jours, ici (mais ne doutez pas une seconde que je n'ai cessé de penser à vous, ô mes lectrices/teurs chéris...) ce n'est pas vraiment de ma faute...
figurez-vous que, petit un, j'ai été 'achement occupé (oui oui, chacun de mes jours, est justement, et trop à mon goût hélas, plein comme, justement, un oeuf...) mais là n'est pas le plus important.
figurez-vous donc, re, que depuis quelques années, j'écrivais (enfin, parfois juste tentais de) sur un clavier relié à un ordinateur qui tendait à imiter son possesseur (moi en l'occurrence) et à chaque jour un peu plus se décatir, se délabrer, se démantibuler, mais que, vaille que vaille et comme que comme, je m'obstinais à continuer de chérir (enfin, des fois, comme on dit, ça n'était plus de l'amour, c'était de la rage...)
et voilà que donc que samedi, en fin d'après-midi, après une prise de tête informatique qui me bouffa quasiment  toute la journée (je ne pouvais plus rien faire dans l'immédiat, chaque appuyage de touche étant suivi par rien, avec, en apothéose, l'apparition signalée par mon anti-virus, bien cacochyme aussi, le bougre, d'une flopée de méchants worms se succédant et s'entassant sur mon pauvre disque dur déjà bien affaibli et qui n'avait même plus la force de se  traîner pour se défendre), la rage donc m'a pris, en cette fin d'après-midi, et je me suis véhiculé illico au centre commercial le plus proche où j'ai illico cédé aux sirènes de la consommation, et acheté donc, comme ça, tout de go, un nouvel ordi...
et vous ne voyez hélas pas la différence, mais l'ordi en question est équipé (dans ce cas-là, on pourrait dire "pourvu"...) d'un écran, non seulement plat,  mais de taille si conséquente qu'il pourrait quasiment rivaliser avec, tiens pour ceux qui connaissent, celui de la salle 6 de mon MK 2 Beaubourg chéri à moi
voilà voilà
comme chantonnait cette fillette dans un vieil album de Couture "quand on a peur du progrès, on devient l'apôtre des regrets, oui l'apôtre des regrets..."

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