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lieux communs (et autres fadaises)
6 juillet 2019

QV

Merci merci à Libé de prêcher pour ma paroisse et d'abonder dans mon sens en publiant cette jolie (floue mais quand même reconnaissable, isn't'it?) QV en une de ce Libé des photographes...

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(il y en a même une autre à l'intérieur, aussie floue, mais tout de même aussi reconnaissable)...

Libérons les quéquettes!

5 juillet 2019

samedi à rencontres & racines (3)

version floue
(je ne peux pas résister)

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4 juillet 2019

samedi à rencontres et racines (2)

(appareil-photo)

plus il y a de gens, plus il fait chaud, et plus on voit de JGTN*, c'est mathématique!

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en arrivant...

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sécurité

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Lombre

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premier rang

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rafraîchissement

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soif

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public (Komorebi)

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trop trop de monde là

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et là beaucoup aussi

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et là donc...

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Reco Reco réglages

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en attendant le concert

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Nasser réglages

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Nasser réglages encore

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Nasser suite

*(Jeunes Gens Torse-Nu)

3 juillet 2019

samedi à rencontres et racines (1)

(au téléphone)

il faisait chaud mais c'était... délicieux...

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à Lombre

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à Komorebi

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en attendant les samoussas

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virgin mojito

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en attendant Reco Reco
(trois anges sont venus... hihihi)

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en attendant Nasser

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à la fin de Nasser

2 juillet 2019

les avantages du sèche-cheveux

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YVES
de Benoît Forgeard

Et voici qu'il débarque, tout frais, en ce jour de "vraie" canicule, dans le bôô cinéma, en sortie nationale et dans notre programmation. J'y suis allé, immédiatement, sans rien lire, sans rien en connaître que son pitch : un jeune musicien raté (l'excellent William Lebghil dont je suis la carrière depuis des lustres, comme la bonne fée marraine penchée sur le berceau de Cendrillon, oui, je kife beaucoup ce jeune homme, dont c'est me semble-t-il, le premier vrai "premier rôle", (après pas mal de rôles de seconds couteaux au départ plutôt dans des films gaudriolesques) et dont la carrière semble vraiment prendre de l'ampleur et c'est trop tant mieux pour lui...), un jeune rappeur raté donc se voit confier à domicile un frigo parlant (et intelligent), pour faire une expérience (ou servir de test). Le frigo s'appelle Yves, devient son (meilleur) ami, et les montagnes russes du singulier et de l'improbable démarrent (c'est difficile d'en dire quoi que ce soit de plus sans gâcher le plaisir de la découverte). Un film qu'on peut bien évidemment qualifier de givré, vu l'histoire (et les circonstances), mais tout autant de cinglé ou même de désaxé.
Encore une fois (décidément, je glisse inexorablement vers le gâtisme) j'avais tout compris de travers et, étant donné la présence de Philippe Katherine au générique, je pensais, j'avais cru comprendre, qu'il jouait le frigo (ou, du moins, la voix de frigo) mais non  il joue un "copain" du rappeur, un beauf grandiose et inoxydable, un imprésario, en fait, le genre de personnages que Philippe K.  affectionne, qui lui permet de se promener cul nu, ou en manteau de fourrure, de s'exhiber lascivement, de parler la bouche pleine, de pisser dans la rue, bref un festival de katherineries où il reste plus que fidèle à son image.
Katherine qui était déjà prés(id)ent (et aux premières loges) dans le précédent film de Benoit Forgeard, Gaz de France, puisqu'il jouait, justement, un grandiose et katherinesque Président de la République (dans les sous-sols de l'Elysée).
Question cinglitude et singularité, venant après Le daim, Yves n'a pas à rougir, et même n'hésite pas à pousser encore plus loin les curseurs, me semble-t-il. Le thème de départ, l'homme et la machine, est (fidélement) extrapolé jusqu'à son extrême limite (mais toujours de façon cohérente et logique).
Le film est d'ailleurs excellemment défendu par le trio Lebghil / Katherine et (cherchez la femme) Dora Tillier. Au départ, un rappeur/loser, un imprésario beaufinet, et une "enquêtrice" à la solde d'une mystérieuse multinationale. Et le frigo clinquant et attentionné ("un vrai daron"...) aux petits soins du jeune homme, qui d'abord se préoccupe d'alimentation et de diététique, mais va rapidement outrepasser son rôle (avec une référence insistante, et même affirmée, avec un certain HAL (mais si, vous savez bien...) le super-ordinateur qui pète les plombs dans 2001 odyssée de l'Espace et qui n'existe qu'à travers sa voix et son oeil unique (et omniscient), rouge pour HAL et blanc (normal, c'est un frigo), pour Yves.
Bref on passe un plaisant moment de loufoquerie nonsensique (le Concours Eurovision mériterait à lui seul le déplacement), et on ne peut qu'être ravi par la façon dont Benoït Forgeard réussit à boucler la boucle de son récit, en nous rafraîchissant à distance avec beaucoup de glaçons... Malin!

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1 juillet 2019

juin 2019

samedi 1er (oldies)
je (re)découvre à la cave que j'ai une platine double K7, et, après quelques tâtonnements de branchements  et de boutons à pousser ou à tourner, MIRACLE! ça marche... (Je tenais à réécouter en premier le Red Mix (direct from 1993), et, bien entendu cette bouffée temporelle me fait pleurer), mais uniquement pendant l'écoute de cette K7 précisément, après elle ne fonctionnera plus comme il faut...
dimanche 2 (Cuse)
un dimanche très (trop) chaud, où on joue au scrabble à l'intérieur (Catherine gagne trois parties d'affilée en faisant -à chaque fois- un scrabble au tout dernier coup), puis à l'extérieur (en fin d'après-midi) avant un apéro dînatoire sur la terrasse, à base de carottes et radis bio (Dominique) et comté de la fruitière (Catherine), le tout arrosé de Cerdon...
lundi 3 (cinéma)
mon dieu que les choses sont compliquées ! Hervé qui devait rencontrer C. à 16h, pour la programmation, a ensuite (le matin-même) reçu un contr'ordre, précisant que dorénavant il devrait s'adresser à R., et j'en étais resté là de l'affaire, mais, lorsque je suis arrivé à la caisse pour le film de 18h et que j'ai posé la question à R., celui-ci m'a dit tout ignorer de cette affaire, et que d'ailleurs Hervé avait effectivement rencontré C. à 16h, comme tout initialement prévu (rdv qui avait été re-confirmé par sms en début d'après-midi)
mardi 4 (fjt)
il faisait tellement chaud soudain ce midi que, avec Marie, nous n'avons eu envie ni de tomates farcies, ni de riz ni de poisson, et avons donc déjeuné d'une grande assiette de crudités (suivie d'une salade de fruits frais, en ce qui me concerne) -mais bon du coup à 15h j'avais un peu faim...-
mercredi 5 (météo)
c'est sans doute l'annonce de violents orages accompagnés de vents non moins violents qui m'a -enfin- décidé à porter à la déchetterie mes quatre gros sacs de déchets verts (attendant dehors depuis si longtemps que deux d'entre eux, tellement ils auront souffert des intempéries les pauvres, ne seront hélas plus réutilisables)
jeudi 6 (sécateur)
l'orage avait bien bringuebalé le rosier blanc, qui avait ce matin un air plutôt penché, et j'ai donc décidé qu'un toilettage lui ferait du bien (trop de branches inutiles, sans fleurs, l'alourdissaient),  toilettage au cours duquel j'ai eu le plaisir de découvrir, en plein milieu, qu'un joli nid -désormais vide- y avait été construit, dont je n'avais jamais soupçonné l'existence
vendredi 7 (serrure)
le moindre problème matériel me laisse complètement désemparé : voilà qu'il m'était impossible de fermer à clé la porte d'entrée parce que je ne pouvais plus relever la clanche. Que faire ? Coup de bol, le maire était en réunion dans la salle à côté, et, appelé à l'aide, a résolu le problème en donnant un coup un peu énergique à la poignée récalcitrante
samedi 8 (récurrence)
quatre fois question de Régis aujourd'hui : quand je suis allé poster la carte pour son anniversaire (60 ans ça méritait bien un petit quelque chose de spécial...), quand je suis allé acheter ces deux verres qui me plaisent tant ("avec modération" et "sans modération") puis cet après midi quand je suis allé acheter son chèque-cadeau à la librairie, et deux heures plus tard quand je l'ai croisé "en vrai" à la sortie du cinéma (je sortais et il entrait)
dimanche 9 (peignoir)
je pensais que je finirais par devoir m'habiller pour aller jouer le soir chez mes voisins, mais Jean-Fran est venu en début d'après-midi sonner pour savoir si j'avais des pommes de terre, car ils étaient onze à table le soir et la fille qui était censée s'occuper du repas du soir  avait oublié d'aller en acheter le matin, je lui ai donné les quatre que j'avais, et du coup je bichais parce que je n'ai pas eu à m'habiller
lundi 10 (pentecôte)
par contre un jour férié où, contrairement à mes habitudes, je me suis vêtu, pour continuer le rangement "goutte-à-goutte" commencé dans le salon (dvd et cd) et le bureau (ce qu'il y a dans la grande double étagère) en me disant que je n'aurais jamais assez de cartons...
mardi 11 (tourmente)
retour un peu épique de Gy, où on venait de fêter l'anniversaire de Régis (60!) : nuit d'encre, il pleut affreusement pendant tout le trajet, on n'y voyait goutte, travaux, dénivellations soudaines, "absence de marquage", un vrai parcours du combattant (en plus, la fatigue), mais, heureusement, en tête cette image très douce d'Emma endormie dans les coussins du canapé, paisible comme une petite fille
mercredi 12 (bénévolat)
lors de la mizenplis de la dernière programmation de la saison, Z. nous donne des nouvelles du cinéma qui m'attristent, quant à l'avenir cinéphilique du cinéma qu'elles engagent (et qui engagent aussi d'une certaine façon -morale- ma participation future à notre association)
jeudi 13 (alors ça)
Je l'ai croisé le matin en allant à la Poste, il venait de garer son utilitaire In*tec, , après avoir baissé sa vitre, il m'a salué et dit "Vous êtes le monsieur qui mange au FJT...", et comme j'acquiesçais, il a rigolé "Bon, ben, à tout à l'heure!", je l'ai recroisé quand il arrivait à midi, il m'a fait signe à travers la vitre, puis une nouvelle fois quand il est entré pour manger (nous étions déjà installés), et encore une autre  quand il est reparti... "Quatre fois..." m'a-t-il fait remarquer en partant (et en roulant des mécaniques, a fait remarquer Marie)
vendredi 14 (bouquins)
c'était le traditionnel désherbage annuel à la Bibliothèque Municipale, on était les premiers, avec Marie, j'ai trouvé huit volumes des Aventures de Lapinot, de Lewis Trondheim (8x1€), et un énorme volume Chronique du Cinéma (de sa naissance à 1991) (2€) soit 10E pour l'ensemble
samedi 15 (Musicoul)
le premier concert a commencé avec une heure de retard à cause d'une panne, c'était Joseph Chedid (le petit dernier de la famille) qui essuyait les plâtres (il pleuvait...), seul en scène, avec son clavier et sa guitare (mais aussi sa belle grosse barbe et sa charmante façon de remuer son popotin quand il danse) "Il est très loukoum..." a dit Catherine, qui connaît bien mes goûts en matière de pâtisserie (virile) moyen-orientale...
dimanche 16 (chez les voisins)
alcoolisme social ? : j'avais apporté une bouteille de Chouffe, Christine avait préparé une flopée de cannelés salés (la recette de Marie-Claude P-P) (nous les avons tous mangés), puis nous avons bu une autre bouteille (je ne me souviens plus laquelle) , puis enfin une bière de Brie, (un quatrième est venu nous aider et en boire un peu aussi quand même)
lundi 17 (fjt)
le temps se réchauffe, c'est indéniable, et donc les (vaillants) travailleurs suivent le mouvement et se mettent à l'aise : tout le monde ou presque en short et t-shirt (débardeur même parfois) et je ne sais plus où donner de l'oeil, à perte de vue tout est plaisant à regarder
mardi 18 (marchons)
il faisait trop chaud pour envisager le tour du lac, alors Catherine nous a emmenés (avec Marie, Geneviève, Véro, Françoise) dans les bois, on a trouvé le fameux trou au loup, et presque vu la grotte de Solborde (et aussi pas mal d'instits -en retraite- qui eux aussi arpentaient les sous-bois propicement ombragés)
mercredi 19 (cinéma)
plutôt que de prendre le bus et d'aller à Besac pour voir Le daim, j'ai préféré manger tranquillement au fjt et aller voir ce même Daim à 13h45 dans le bôô cinéma (où j'ai beaucoup fait rire le caissier en lui résumant -à sa demande- le pitch du film)
jeudi 20 (informatique)
Mais quel idiot je fais! en essayant d'ouvrir l'ordinateur pour dépoussiérer le ventilateur (problèmes de surchauffe) j'avais dévissé toutes les vis que je trouvais, et notamment  celles qui fixaient ledit ventilateur à la paroi, il avait chu et donc  ne ventilait plus rien! Mais grâce aux conseils (et au tournevis) de Jean-Fran, j'ai réussi à solutionner le problème
vendredi 21(beurk)
alors que je venais de m'engager en voiture sur le pont (étroit, et donc ne permettant aucun écart) à l'entrée du village, je n'ai pas pu faire autrement que de rouler sur un serpent qui traversait paisiblement la route (je l'ai vu dans le rétroviseur se tortiller violemment plusieurs fois, exposant son ventre crème)
samedi 22 (consommation)
moment de stupeur intense (de sidération) au rayons "jambon" du supermarché (le "Grand Leclerc") -où je n'ai pas l'habitude d'aller- devant ces dizaines et dizaines de packs de tranches de jambons, dizaines de marques, dizaines d'accroches d'appellations et de "spécificités" jambonesques qui m'ont laissé médusé (je n'ai rien acheté)
dimanche 23 (en deux fois)
Les Soria n'ayant pas pu benir hier soir à mon "anniversaire-surprise-dont j'étais-parfaitement-au- courant" comme d'hab, ils sont donc venus ce soir, on a partagé une bouteille de Cerdon et on a "fini les restes" (j'avais été particulièrement enthousiaste, par exemple, pour les proportions du taboulé)
lundi 24 (c'est parti)
après tri et choix (ceux qui partent chez le bouquiniste, ceux que je déposerai dans la boîte à livres du lac...) il s'avère que les livres de la "bibliothèque dans l'escalier" remplissent dix-sept cartons et demi
mardi 25 (encore)
étiaffé sur mon canapé, dans une bienheureuse pénombre, je zappe et je tombe sur Never let me go, et, encore une fois, je le regarde jusqu'au bout, et, encore une fois, je pleure comme une madeleine (j'adore spécialement la scène où Carey Mulligan et Andrew Garfield rendent visite à Nathalie Richard et Charlotte Rampling...), et quel bonheur que de pleurer dans ces conditions...
mercredi 26 (encore et encore)
il fallait fêter dignement ce jour encore plus chaud qu'hier (et bien moins que demain) en allant acheter un frigo et un micro-onde, en passant à la banque, en passant chez sfr pour changer de box, en mangeant au fjt, en réussissant à joindre le service après-vente de sfr pour cette fameuse nouvelle box, en passant boire le café chez Coralie et Pépin, en allant réserver l'utilitaire pour le 13 juillet, en retournant chez Coralie et Pépin manger du gâteau, puis, enfin en retrouvant Catherine au cinéma pour voir Yves... Ouf!
jeudi 27 (où va-t-on ?)
chaque fois que je vais chercher Dominique à 11h05 (le car qui vient de besac) je l'emmène dans un endroit différent pour paser le temps qui nous sépare de l'heure du fjt : là ce fut d'abord  Jardival, (le nouveau hot spot de Pépin) dans la quête vaine d'un chapeau, puis Tout'Occase, dans la recherche tout aussi vaine d'un fauteuil club rouge
vendredi 28 (repas d'été)
très agréable  ce soir de manger dehors chez Coralie et Pépin avec les Soria, s'attarder (fin de repas en été) avec la sensation d'une relative fraîcheur, mais du coup difficile ensuite, par contre, en rentrant chez moi, de supporter la température étouffante en bas (et encore bien plus en haut)
samedi 29 (Audincourt)
ce moment de grâce, tandis qu'avec Catherine nous avions trouvé un arbre bienveillant contre lequel nous asseoir (en attendant le concert de Reco Reco) quand sont venus se poser et s'allonger dans l'herbe, juste devant nous, trois jeunes gens torse-nu, avec la casquette le short et le pétard réglementaires, dans un alanguissement particulièrement plaisant dont je n'ai pu que profiter
dimanche 30 (Cuse)
un fol après-midi de scrabble, d'abord avec Catherine et Dominique, puis catherine et Louise, puis Catherine Dominique et Louise, et finalement Catherine et Louise (galette comtoise puis taboulé et brochettes tout fait maison de Catherine,  pastèque et cerises bio par Dominique, et moi j'ai apporté la toute dernière bouteille de Clairette from Claude...)

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