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lieux communs (et autres fadaises)
12 juillet 2016

la gare de mulhouse

Je visite (ou j'emménage dans) un nouvel appartement. c'est une voisine qui m'a ouvert la porte (mais je ne sais plus exactement où elle habite). C'est en HLM mais l'appart' est étonnamment grand, plein de couloirs de coins et de recoins (j'ai l'impression qu'il me faudra du temps pour en assimiler la topographie). En tout cas, il me plaît beaucoup.

Je suis dans une pièce (le bureau ?) , j'ouvre la porte du fond : un grand placard (vide, avec un ou deux cintres suspendus), derrière la porte suivante, il y a juste le mur (une fausse porte) et la pièce se continue avec des étagères où s'entassent pas mal de vieux (et énormes) classeurs, des reproductions plastifiées de photos de nature (d'assez grande taille),rangées dans des boites plates superposées, et des vieilles gravures d"histoire, comme on en trouvait aux murs des écoles, mais elles pas trop bien rangées

je me dis que le précédent locataire aurait pu vider correctement l'appartement et me figure tous les trajets que je vais devoir faire jusqu'aux poubelles pour vider son barda

il y a un genre de cour intérieure d'où on peut voir les balcons des étages supérieurs, je fais signe à la voisine du dessus (qui est en train de discuter avec une autre de l'étage encore au-dessus, je la reconnais c'est (Véronique H? Sylvie P?), je lui dis de descendre, je vois qu'elle est seins nus, elle doit juste s'habiller...

j'essaie de lui expliquer tout ce que j'ai trouvé dans l'appartement et qu'il va me falloir débarrasser...

Je suis avec elle et plusieurs autres personnes, et nous réalisons que l'appartement s'ouvre directement sur un salon cossu (c'est étrange comme première pièce) qui est entièrement meublé, et visiblement toujours habité, et je réalise alors en riant mon erreur (notre erreur) : il ne s'agissait que d'une visite, les gens qui habitent ici auraient pu rentrer chez eux à n'importe quel moment, ils auraient été étonnés!

* (Je suis sorti avec le fille blonde, on marche dans la rue, et à un moment il faut rejoindre la rue supérieure, elle monte dans un genre de cabines pleines de cordes dont il faut s'aider pour passer au-dessus, je n'ai pas envie d'essayer ça et je marche le long de la palissade en cherchant un endroit (elle a l'air de baisser progressivement) où elle n'est pas trop haute et où je pourrai la franchir, c'est comme si il y avait derrière moi une cour de recréation avec des gamins qui rient très fort devant mes efforts à vouloir franchir la barrière sans encombre (faire le mur) -ils se moquent de moi parce que je suis trop gros et qu'ils pensent que je en pourrai jamais passer ? Je réussis à enjamber une paroi en plastique translucide, pas très haute)

* (je suis obligé de passer par l'appartement de madame A. pour pouvoir sortir, elle est avec plusieurs de ses fils, elle est très joviale (pas comme dans la vraie vie) nous parlons un moment et je la félicite pour le mariage de son fils avec la jeune K., elle me regarde, étonnée, me serais-je trompé , oui m'explique-t-elle c'est la famille Ayoub qui marie son fils, et pas elle. Elle rit, et son fils aîné me conduit jusqu'à la porte de sortie)

Je suis à la gare de Mulhouse avec un groupe de gens (de filles), nous avons fait une "excursion" et nous devons bientôt prendre le train du retour

j'ai acheté une grosse bd que je trimballe dans un sac-plastique vert (à un moment auparavant, dans la rue, nous discutions, et une des filles, que je ne connaissais pas mais que je trouve très péremptoire a d'ailleurs ouvert mon sac, sans me demander, pour voir ce qu'il y avait dedans, et y a rajouté, dans me demander, un roman qu'elle venait de lire -et que je suppose à l'eau de rose-)

(à un moment je suis sorti de la gare et j'ai marché dans la rue, je suis d'ailleurs passé devant un mendiant -je me suis arrêté- qui m'a fait le signe de déguerpir (en restant devant lui je l'empêche de faire son job)

je réalise soudain que ça fait un moment que je n'ai plus fait attention à mon sac à dos (et au sac en plastique vert) que j'avais posé au pied du banc (nous sommes dans un genre de salon d'attente), et je me mets à le(s) chercher anxieusement . Évidemment, ils ont disparu. Je commence à m'inquiéter, puis à paniquer, l'heure du départ est proche, et j'avais tout dans mon sac (papiers, carte visa, billet de retour) je cherche partout, fiévreusement, à un moment j'ai une fausse joie, je crois les avoir retrouvés, mais lorsque je m'approche je réalise qu'il s'agit d'un autre sac à dos et d'un autre sac en plastique... je commence à paniquer

une dame me conduit à un genre de bureau des réclamations, il est double, comme des toilettes hommes/femmes sauf que là il s'agit de drapeaux, et me fait comprendre par gestes que je dois entrer là où est peint un drapeau français

je rentre dans ce qui ressemble à un cagibi, où s'affaire un homme à qui j'explique mon histoire, il me dit qu'il n' pas beaucoup de temps, qu'il doit lui aussi prendre son train (lui aussi pour Vesoul), nous marchons dans la gare, il pense que c'est peut-être des gamins qui l'ont chapardé,nous regardons de tous les côtés, mais rien, à un moment il ouvre une porte et va farfouiller derrière mais rien

je lui explique que je n'ai ni argent ni billet retour (tout est dans mon sac) mais lui m'explique qu'en présentant mon billet aller (que je sens d'ailleurs dans ma poche) au guichet ils comprendront, je pourrai avoir une réduction, d'aillerus lui doit partir, c'est l'heure de son train, et il me fourre dans la main, d'un air un peu gêné, une série d'objets hétéroclites qu'il a ramassés par ci par là (notamment un bouchon de champagne, une vieille gomme...), comme si ça pouvait me consoler...

je reste seul avec ses cochonneries dans la main, que je finis par jeter rageusement...

il faut que je trouve le quai... je ne sais pas comment mais un chaton s'est accroché à ma main, me mord et je n'arrive pas à le faire lâcher prise (mais ça ne fait pas vraiment mal)

sur le mur j'aperçois un panonceau bilingue qui indique la direction des quais, (je m'aperçois qu'en allemand quais se dit bite, et ça me fait sourire malgré mon angoisse)

je me réveille, avec le coeur qui bat, et je me dis que je suis vraiment heureux de me réveiller

(les 2 fragments entre parenthèses avec un * devant ne sont peut-être pas à la bonne place)

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