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lieux communs (et autres fadaises)
15 juillet 2018

mais si, tu sais bien... le retour 32

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(huhuhu)

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Bon c'est pas le tout, hein... C'est pas pasqu'on est les Sampions del Mundo qu'il faut baisser les bras... Il faut le trouver, ce dernier film! Voici la deuxième photo...

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Bon c'est trouvé, mais je vous en mets encore une petite... :

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et tiens, tant qu'on y est, c'est pas plus mal de finir sur les fesses de qui vous savez...

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14 juillet 2018

mais si, tu sais bien... le retour 31

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Oups! Problème d'intervalle, sans doute, et j'ai réalisé qu'il me manquait un film...
Que j'ai donc dû rajouter à l'arrache...

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"le jour du quatorze juillet je reste dans mon lit douillet..."
allez, une deuxième image! :

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et une petite troisième, même si ça a été trouvé...

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14 juillet 2018

zeurocks 2018

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retour à la Green Room...

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Manue...

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J-H Pascal et Corine

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Eddy!

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Eddy! Eddy!

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en montant vers la Grande Scène

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en faisant une pause en redescendant de la Grande Scène

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une petite galette forestière (et Catherine)

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en allant s'installer à la Loggia

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...vraiment tout devant! (assis contre les grilles)

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the Limiñanas

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encore The Limiñanas d'amour...

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"on se retrouve entre les lettres et la grande roue..."

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sur le E

...et c'est là que la pile de l'appareil a rendu l'âme et que j'ai réalisé que je n'avais pas emporté les autres de rechange, même si je les avais soigneusement rechargées... la suite sera donc téléphonique...

13 juillet 2018

mais si, tu sais bien... le retour 30

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Tiens... une autre main avec du sang...

Pas facile, comme ça, mais ça devrait vite s'arranger! :

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12 juillet 2018

mais si, tu sais bien... le retour 29

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une journée où tout le monde est resté silencieux...

(le foot ? la chaleur ? la sieste ? les vacances ?
il est temps que ça s'arrête...)

une deuxième image, d'un film qui m'a bouleversé :

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... et une troisième, allez... :

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12 juillet 2018

quarante pompes

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VOLONTAIRE
d'Hélène Fillières

Profité de la Fête du C. pour l'aller voir. Les films sur l'armée, les bidasseries, les bourrineries, ça n'est pas d'habitude trop ma tasse de thé (même si c'est une bonne raison d'y voir, en général une collectivité testostéronée s'y ébattre, je dois le reconnaître). Et voilà qu'on découvre, dès l'affiche, que "le" (qu'on supposait) Volontaire du titre en est une, en réalité. On découvre son beau visage ses cheveux blonds et ses yeux clairs, dans une image qu'on croirait tirée d'une pub  " engagez-vous, l'armée à besoin de vous" belle comme tout, idéalisée, sur papier glacé. Puis on découvre, de la même manière, que le réalisateur en est une, qu'on connaît depuis belle lurette tant on l'adora comme actrice (le passé simple étant de rigueur puisque ça fait un certain temps qu'on n'a pas eu le plaisir de la voir, justement, en tant que telle).
Hélène Fillières cultivait une singularité en tant qu'actrice, qu'elle a conservé en changeant de casquette : non seulement elle réalise, mais elle joue aussi le rôle du commandant adjoint (féminise-t-on les titres à l'armée ?) de la base où notre jeune recrue de l'affiche a été affectée (dans la marine, on dit "marin", on ne dit pas "soldat") après s'être engagée un peu sur un coup de tête, pour "voir ce que c'était", au grand dam de ses parents (maman Balasko, actrice de théâtre, et papa Marcon, metteur en scène, perfect tous les deux) puis de son copain Philippe (Jonathan Couzinié, adoré en son temps dans un court à Clermont, que j'ai eu du mal à reconnaître je l'avoue).
ON va suivre le parcours de cette jeune Laure (Diane Rouxel, parfaite) sous les ordres du strict Commandant Rivière (Lambert Wilson, qu'on a beaucoup de plaisir à revoir ici) arc-boutée dans sa volonté d'intégrer une unité d'élite après la participation à un stage-commando dont son supérieur, justement lui refuse l'accès car pour lui c'est "réservé aux hommes".
Laure a sympathisé avec un jeune aspirant (Corentin Fila, découvert chez Téchiné et retrouvé chez Civeyrac) qui souhaite intégrer le même corps d'élite.
Bon, c'est vrai, il y a beaucoup de militairerie dans ce parcours (hiérarchie, ordres, tenues règlementaires, garde-à-vous, brimades et une-deux une-deux (j'ai mis un peu de temps à reconnaître Alex Descas dans le bourrin entraîneur, tellement juste et crédible qu'on croirait qu'il n'a fait que ça toute sa vie...), mais ce que j'ai adoré, c'est que, sous tous ces uniformes, battent des petits coeurs, et la réalisatrice est assez forte pour, justement, retranscrire les frémissements (l'affleurement) des sentiments(et leur multiplicité)  dans le conditionnement strict du kaki.
Ce n'est pas La ronde ni Le plaisir, mais presque, quasiment, tant le catalogue raisonné des affects en milieu militaire est soigneusement et affectueusement feuilleté par Hélène Fillières. Une très belle surprise, dont il faut souligner l'homogénéité et la puissance du casting, qu'on peut qualifier d'inoxydable (ce qui en ce moment, pour moi, signifie le top du top...)

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11 juillet 2018

mais si, tu sais bien... le retour 28

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Ah bon, me voilà rassuré...
Et voici donc une deuxième photo :

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(voui voui c'est le même film)

Minuit, heure de la troisième photo :

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...et voixi la quatrième :

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10 juillet 2018

mais si, tu sais bien... le retour 27

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10 juillet 2018

jus de raisin (des français)

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RETOUR A BOLLENE
de Saïd Hamich

J'ai attendu la Teuf du Ciné pour aller voir ce film de notre programmation (un euro de moins, hein, c'est toujours ça...) et je l'ai donc vu dans une salle inhabituellement remplie (mais ça, ça faisait plutôt plaisir).
Un film ramassé (1h15), sec, tendu, autour d'un fils, prénommé Nassim, ayant quitté sa famille pour aller travailler à Abu Dhabi, et décidant soudain de revenir les voir, (pour leur présenter sa fiancée ?), en France, à Bollène plus précisément, où il a passé son enfance, et où sont restés tous les siens.
Il revient sur des lieux qu'il a quittés (qu'il a fuis) depuis longtemps, et va devoir se confronter à son passé. Il passe voir son frère, ses soeurs, sa mère, mais refuse obstinément de rencontrer son père, avec lequel on comprend qu'il est fâché depuis un certain longtemps, sans espoir de rémission (de pardon). Nassim voit beaucoup de monde, donc, échange sur la religion, le respect du Coran, le chômage, les petits boulots, les petits trafics, la fumette, le rap, l'extrême-droite et les fascistes, les gâteaux faits maison de sa mère... C'est passionnant, jamais théorique ou systématique.
On observe, en même temps que Nassim, la situation catastrophique (pathétique) de la ville et de ses habitants.
Nassim est joué par Anas El Baz, un acteur imposant, impressionnant, à double visage pourrait-on dire, puisque le réalisateur nous le présente d'abord sous bon profil droit (son "bon" profil) avant qu'un plan suivant ne nous face découvrir son profil gauche, et de découvrir qu'il a quelque chose (peut-être un accident, qui a laissé des traces) au niveau de l'oeil et de l'arcade sourcilière, et nous le rend, du coup, encore bien plus attachant.
Le film aborde les problèmes, comme nassim, assez frontalement et poursuit vers sa destination (enfin, celle que le spectateur envisage), qu'il atteindra dans une scène qu'on aurait pu craindre climaxique (celle de la rencontre avec le père) mais qui reste, curieusement, assez dépassionnée, traitée à juste distance, au mileu d'une serre, un couteau à la main, mais juste pour cueillir des salades. Un genre de Du passé faisons table rase de notre héros. une rencontre qui ne changera finalement pas grand chose pour Nassim (ni pour son père d'ailleurs).
Et on se quittera sur cette scène magnifique (oui, qui justifie à elle-seule de voir le film) où Nassim, seul dans sa bagnole, enregistre un message téléphonique pour sa copine, qui est repartie, message où il se "déboutonne" et se laisse aller. puis l'efface et en enregistre un autre, moins touchant. Qu'il efface à son tour pour en enregistrer un troisième bien plus neutre, où il a reboutonné sa cuirasse.
Très fort.
Top 10, sans doute.

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9 juillet 2018

mais si, tu sais bien... le retour 26

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et une deuxième, tout de même...

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