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lieux communs (et autres fadaises)
1 septembre 2020

août 2020

samedi 1er (enfin)
toute la journée on a crevé de chaud, et je commençais à désespérer lorsque bradaboum! c'est devenu tout noir et l'orage a éclaté (mais attention, pas un orage de fillette, hein, plutôt de qualité supérieure, hein, quasiment orage tropical, bref et très violent -j'ai même filmé-)
dimanche 2 (Cuse)
entre deux manches de scrabble, avec Catherine, on a a fait une pause pour préparer une grosse salade de riz pour le soir (en confrontant nos pratiques personnelles, sur ce qu'on y mettait, ou pas... : poivrons, tomates, thon, champignons, maïs, anchois, crevettes)
lundi 3 (au 12)
les joyeux travailleurs de l'appartement du dernier en face : pour l'instant ils y sont quatre, le maigrichon tatoué et le barbu dégarniau petit chien ont été rejoints en début d'après-midi par deux nouveaux, deux trapus en short mou, qui étaient coincés en bas et n'arrivaient pas à rentrer (s'en est ensuivi un sketch assez plaisant sur le thème Comment réussir à les joindre ?)
mardi 4 (promo)
j'avais fait ce livre-photo sur le conconfinement (format carré 22x22, 100 pages), j'avais fini par le terminer mais je ne l'avais pas commandé, trouvant ça beaucoup trop cher (il me suffisait alors d'attendre -patiemment- qu'ils m'envoient une promo pages suplémentaires gratuites, et j'ai donc attendu, patiemment, quelques semaines, et finalement, c'est arrivé...)
mercredi 5 (au 12 ce n'est qu'un au revoir?)
peut-être la fin du job : en milieu de matinée, les deux habitués (le tatoué et l'homme au petit chien) ont passé pas mal de temps à descendre pas mal de trucs pour les ranger dans leur camionnette, et c'était un peu comme voir deux vieux copains faire leurs préparatifs de départ
jeudi 6 (Orkyn)
suis resté à la maison tout l'après-midi attendant la visite de contrôle annuelle pour ma machine à dormir (le sms spécifiait "entre 14 et 17h", j'ai appelé à 16h50 la maison-mère où on m'a confirmé que, comme je le supputais, le rdv ne se ferait pas et qu'on me proposerait une autre date)
vendredi 7 (Echenoz)
une invitation par sms d'Isa pour une soirée-pizzas sur la terrasse, il faisait doux, on a bu du rosé, les pizzas étaient bonnes, et aussi les petites mousses au citron du dessert
samedi 8 (Cuse)
il a tout de même fallu attendre la toute fin d'après-midi, que le soleil baisse un peu d'intensité, pour pouvoir -enfin- me livrer à mon plaisir favori ici : manger des mûres (elles étaient exquises,directement sur le mûrier (le long de l'escalier et tout en bas aussi)
dimanche 9 (binge watching)
(beaucoup) trop chaud pour sortir, alors dans la semi-pénombre, sur le canapé, j'ai regardé les trois derniers épidodes de la saison 1 + les six épisodes de la saison 2 de After Life (de et avec Ricky Gervais) que j'ai vraiment beaucoup aimé (sooooo british!), en alternant régulièrement avec la lecture de Fay de Larry Brown
lundi 10 (météo)
d'autant plus agréable que parfaitement inattendu, le plaisir, après cette journée affreusement chaude, de ressentir soudain ces bouffées de vent (même pas annonciatrices d'orage) qui sont venues -à point- nous rafraîchir alors que nous venions (Coralie Pépin et Loulou) de nous asseoir pour manger dehors
mardi 11 (décidément)
il n'a pas pu s'en empêcher, le projectionniste facétieux, de reprendre ses mauvaises habitudes, et rallumer les lumières de la salle cinq minutes avant la fin du film, au moment du climax dramatique (peut-être justement pour nous la faire ressentir, La Haine...)
mercredi 12 (estivale)
inauguré ce midi une salade délicieuse : tomate(s) + pastèque  + chèvre + menthe (celle de Catherine) + un filet d'huile d'olive et hop! ("ne pas mettre au frigo pour ne pas tuer le goût des tomates" dixit le site où j'ai trouvé la recette)
jeudi 13 (Imprimerie du Square)
un aller/retour en bus (avec masque) avec entre les deux le temps de manger à midi chez Pum avec Emma, tout ça pour quoi ? récupérer à temps le carton (lourd!) contenant les programmations et les bulletins d'adhésion pour nos chers zadhérents
vendredi 14 (Gy)
encore une pensée émue pour la maison Quévy : j'avais apporté "pour manger avec le café" un saucisson en chocolat (avec des noix pour faire le gras) plus vrai que nature, et absolument délicieux (heureusement Emma a pensé à Félicien avant qu'on ne le termine)
samedi 15 (Assomption)
en ce jour férié, j'ai suivi la règle et fait ce que je fais habituellement les jours fériés : je ne me suis pas habillé et je ne suis pas sorti (hin hin le temps s'y prêtait)
dimanche 16 (cinéma)
fort inhabituellement se tenait à 15h45 l'avant-première dominicale de Effacer l'historique (je l'ai appris par hasard et juste avant, en cherchant si Celles qui chantent passaient : non, alors j'y suis allé)
lundi 17 (au 12, mais hors-sujet)
une longue séance presque tatiesque avec un jeune cycliste (avec son beau vélo) essayant vainement de faire s'ouvrir la porte, obstinément close : en tapant le code, en téléphonant, en la bourrant la porte, d'un côté, de l'autre, des deux côtés en même temps, en re-téléphonant, (je l'ai perdu de vue pendant quelques instants et quand je suis revenu, lui et son vélo avaient disparu : entrés, ou pas ?)
mardi 18 (solanacées)
au magasin Esprit Paysan, il y avait, à côté des tomates-cerises, une barquette de trucs que je n'avais jamais vus, à la question "C'est quoi ?" la jeune vendeuse, rose de plaisir de me renseigner, m'a annoncé qu'il s'agissait de tomatilles, et que ça ressemblait beaucoup aux... physalis, j'en ai donc pris une barquette (mais bof...)
mercredi 19 (kéfir)
en utilisant des figues fraîches -de Gy- à la place (puis, en plus, car les figues fraîches flottent) des figues sèches, on donne à la boisson une très plaisante couleur délicatement rosée
jeudi 20 (en cuisine)
quand on est arrivés à Authoison, avec Catherine, on a trouvé Martha et Manue  très occupées, en pleine confection de pâtes fraîches (avec la maquina per fare la pasta) aux farines de sarrasin et de riz, tout spécialement pour Pacoune (qui est "sans gluten")
vendredi 21 (tourisme)
une "journée-jardins" avec Catherine et Dominique : celui de Cornimont le matin (Jardin des Panrées, hélas en cruel manque d'eau) et celui de Berchigranges, toujours aussi somptueux, l'après-midi, (tout ça dans la nouvelle voiture de Catherine, très agréablement rafraîchie)
samedi 22 (il en faut)
me suis fait deux plaisirs : passer chez S*sh pour mon mobile (le forfait à 13,99 pour 60 gigas qui expire lundi), et passer à l'Espace Kulturel pour y acheter le monumental (1100 pages!) Les Lionnes de Lucy Ellmann
dimanche 23 (à l'envers)
drôle de rester sans rien toute la journée dans l'appart aux volets fermés, et de finalement s'habiller sur le coup de 19h pour aller au cinéma, pour voir Le sel des larmes de Philippe Garrel (joli titre)
lundi 24 (trésorerie)
le monsieur à la caisse du bôô cinéma (qui en est aussi le propriétaire) m'a fait une fleur en me faisant, après réflexion,  un tarif d'entrée à 6€ pour l'avant-première de Tenet (en vf), mais  sur mon billet j'ai bien vu que c'était écrit 4€ (tarif jeune), comme quoi quand on est du bon côté de la caisse, on peut faire absolument n'importe quoi
mardi 25 (je reviens te chercher)
c'était bien, cette séance de 18h de The Climb, avec Catherine (à côté) et Zabetta (juste devant), quasiment une dizaine de personnes (toutes ADC) où je connaissais chacun(e), comme au bon vieux temps
mercredi 26 (alien)
mon aide-ménagère a démontré une fois de plus sa parfaite efficacité en me débarrassant de ce truc dégueulasse (et non identifié) qui pendouillait depuis quelques jours au plafond des toilettes (juste au coin)
jeudi 27 (composez à présent les dix chiffres)
je me suis fait penser aux personnages de Kervern et Delépine (Yolande Moreau, surtout) quand je me suis retrouvé face à un répondeur, pour activer ma nouvelle carte sim de chez S*sh
vendredi 28 (sacha distel)
depuis que j'étais rentré de courses, je n'arrêtais pas de me dire que je n'avais pas dû éteindre mes phares, et je me suis enfin décidé à re-sortir pour aller vérifier sur le parking de la rue Serpente : quand je suis sorti, il commençait à bruinouiller, le temps que j'arrive au parking (pour voir que je les avais effectivement éteints) la pluie s'est intensifiée, et quand je suis arrivé chez moi j'étais trempé
samedi 29 (prenez la queue comme tout le monde)
je reste persuadé que le gros qui s'est soudain matérialisé devant moi dans la file d'attente pour la poissonnerie, et qui a acheté pour 100€ de poiscaille en mettant des plombes pour choisir (et je veux ci, et comment vous cuisinez ça, et ça c'est quoi) avait en réalité truandé
dimanche 30 ("on s'occupe de tout")
il aura fallu grosso modo presque 6 heures, après la malencontreuse dernière mise à jour de wind*ws, (et n arrêts sauvages et redémarrages forcés) et beaucoup d'inquiétudes pour que mon ordi reprenne -enfin- son aspect habituel, au moment où je commençais vraiment à perdre tout espoir...
lundi 31 (écouvillon)
Catherine (chez qui j'ai passé l'après-midi d'hier) me téléphone ce matin pour m'informer qu'elle a eu un appel de sa fille (au mariage de qui elle a assisté la semaine dernière) qui l'informait qu'une des jeunes invitées avait été testée positive au cocovirus, et qu'elle va donc se faire elle-aussi dépister (j'attends ses résultats)

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