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lieux communs (et autres fadaises)
8 septembre 2022

(rêve de rendormissement)

(ça faisait longtemps que je n'ai pas été aussi content (soulagé) de me réveiller...)

je réalise soudain que je n'ai plus mon téléphone, je me dis que j'ai dû le laisser en haut de l'escalier (métallique comme un escalator) où je suis resté un moment tout à l'heure
j'y retourne donc, tout en bas, au pied des marches contre le mur il y a une boîte (des objets trouvés ,) contenant justement un téléphone, mais beaucoup plus gros que le mien, et bizarrement gonflé en son milieu
j'arrive en haut des marches, sur la gauche il y a comme une petite trappe et je me dis que c'est là que je l'ai laissé. Je la soulève, bingo! mon téléphone est là (il est bien plus gros que dans la réalité, mais ça ne me fait pas réagir) je suis rassuré, mais lorsque je l'ouvre, je réalise que le voleur a tout pris ce qui était à l'intérieur : l'écran, les bitonios électroniques, la batterie, ce n'est plus désormais qu'une coquille vide, et j'en suis très malheureux

(pendant la suite du rêve, je continue de chercher mon téléphone, et d'être très malheureux de sa perte)
je monte d'abord dans la pièce qui est au-dessus de l'escalator, c'est un genre de grand dortoir avec des gamins à qui j'expose mon infortune et que ça fait ricaner, certains deviennent d'ailleurs légèrement menaçants, je pense que c'est un d'eux qui a dû faire le coup, mais je repars rejoindre les gens avec qui j'étais

ils sont déjà partis à (?) et je suis à leur recherche (beaucoup de leiux, beauccoup de gens, comme d'hab")

à un moment je vois au-dessus d'une porte le mot Pépin en métal ouvragé vert, style un peu art-déco, et je décide de le photographier, quand je vois arriver... Pépin (je pense "quand on parle du loup..."), chargé de plusieurs sacs en plastique contenant des BD, dont plusieurs sont dédicacées, et il m'en tend une, assez volumineuse, de Blutch, qui ressemble plutôt à un double rouleau de papier, en me vantant la qualité du papier ("c'est doux... presque comme du velours") mais je n'arrive pas à comprendre si c'est un cadeau, ou juste un prêt

je croise alors Loulou, qui était visiblement à la librairie avec son papa, mais on n'a même  pas le temps de parler

je ne sais plus où sont pépin et Loulou, je passe dans des pièces exrêment encombrées, comme des ateliers, avec, encore une fois, beaucoup de monde,et je réalise soudain que j'ai perdu aussi la BD de Blutch, que je m'emploie à chercher frénétiquement (il y a des tonnes et des tonnes de papiers entassés sur les établis, je vois même Dominique dans un coin, à qui je fais part de mon affliction mais qui plutôt que de me soutenir  commence à me faire la leçon, c'en est trop pour moi, et je lui articule silencieusement mais plusieurs fois "Merde merde merde merde" pour montrer ma colère

j'ai perdu mon téléphone, j'ai perdu la BD de Pépin, j'ai perdu les gens avec qui j'étais (que je devais rejoindre, mais je ne sais même plus où, je n'arrive pas à me rappeler du nom du lieu)

(il me semble que je me réveille, dans le rêve, et que je réalise que c'est bien la réalité, le téléphone, etc., que je ne suis pas en train de rêver, et que ça me rend encore plus triste)

mais je ne suis pas encore au bout de mes peines, puisque je réalise tout à coup que je n'ai plus mon sac à dos (où et-ce donc que je l'ai laissé ?) et que, du coup, j'ai aussi perdu mon appareil-photo

(quelle galère!)

j'essaie de refaire le chemin en sens inverse, mais je ne reconnais pas les lieux (qui sont, en plus, très emberlificotés, avec des espaces étroits, des angles aigus et des perspectives vertigineuses) et je passe fébrilement d'un espace à l'autre, essayant de me renseigner auprès des gens que je croise, en vain

(à un moment je me trouve en bas des remparts de ce qui ressemble à une cité médiévale, avec une petite route pavée qui s'éloigne vers le lointain ça ne me dit rien)

en suivant des jeunes, je me retrouve dans ce qui ressemble à un grand réfectoire (où ils viennent pour faire le service?) sous les ordres d'un grand qui n'a pas l'air trop commode et commence à s'approcher de moi pour me parler, mais je préfère tourner les talons et sortir, pour continuer de chercher mon sac à dos

(et je me réveille, ouf!)

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