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lieux communs (et autres fadaises)
21 janvier 2010

le sac

Régis et Emma habitent à Dijon. Je repars de chez eux, sur mon vélo. Ils habitent dans une sorte de ferme avec une cour... fermée, devant, et je sors par la troisième porte, celle qui est tout au bout. Je suis obligé de couper la circulation, deux fois, car je repars sur la gauche, et je traverse vite. Je roule au bord de la chaussée (il y a des travaux ?) quasiment dans les feuillages d'une haie, je me fais frôler par les automobiles (il y a pas mal de trafic), quand l'une d'elles me double, s'arrête, et me fait signe de m'arrêter aussi. Je comprends vite que c'est un flic en civil, qui m'annonce qu'il va être obligé de me verbaliser à cause de ma roue avant, et du danger consécutif que je représente pour les automobilistes. Je m'aperçois alors, avec un certain étonnement, que ma roue avant est effectivement "en huit", avec la chambre à air qui sort du pneu, le métal tordu, et je suis surpris de ne pas l'avoir senti davantage en conduisant.
Il commence à rédiger le procès-verbal, c'est très long et fastidieux, me pose des questions, me demande de lui fournir des justificatifs, dont certains me paraissent absurdes (la plaque en alu qui était originellement fixée sur le cadre du vélo, portant mes nom et adresse, je lui explique que je ne peux pas l'avoir, puisque c'est un vélo d'occasion...) Le ton monte un peu, de part et d'autre, je m'énerve mais j'essaye de rester poli (il me fait comprendre qu'avec les premières infractions constatées, j'en ai déjà pour au moins 150€, ce qui ne me remplit pas de joie je dois le dire...) mais ça dure ça dure j'ai l'impression que ça ne va jamais finir. Je trouve qu'il me prend un peu de haut et ça m'agace...
(...)
Je ne sais pas pourquoi, mais on est toujours ensemble (sans doute que, sans mon vélo, je ne peux plus rentrer chez moi ?) avec le flic, et un petit groupe de gens, qui sont ses amis. (au début, assez froids, me tenant à l'écart, c'est normal je ne les connais pas, mais finalement de plus en plus sympathiques...) Nous visitons un monument (un musée ? il me semble qu'il y a des grosses pierres dans des vitrines), puis un autre édifice, et nous finissons par entrer dans une taverne pour boire un verre. J'aperçois par une vitre de la taverne Emma, qui porte un bébé, et me fait un salut avec un grand sourire... Avant qu'elle ait pu entrer dans la taverne, c'est moi qui en sors, pour lui expliquer la situation : je me suis fait arrêter par un flic, etc.
Je suis de nouveau avec le flic et ses amis, et là je réalise soudain avec angoisse que j'ai perdu mon sac à dos (et donc tout : mes papiers, mon argent, etc.) lors d'une des deux visites précédentes. Il faut absolument que je le retrouve. Nous y retournons d'ailleurs, les autres m'aident même à chercher, (nous sommes presque "copains"), je fouille dans des coins et recoins, mais, RIEN.
Je suis effondré. Me voilà sans vélo, sans sac, sans argent, je ne sais pas comment je vais faire pour rentrer (et il va falloir dès le lendemain que je fasse refaire TOUS mes papiers, rien qu'à cette idée, je suis anéanti...)
On se dit adieu, avec les gens du groupe, l'une des gilles, une brune sympathique à cheveux bruns, se plaint parce que, en l'embrassant, je lui ai mordu le bout de la langue...

(je me réveille en sursaut, très soulagé de constater que je n'aurai pas à refaire mes papiers, mais je me souviens alors que j'ai -réellement- perdu mon écharpe, hier après-midi, au cinéma...)

13 janvier 2010

au cinéma

Je veux aller au cinéma pour voir (?)(un genre de méga blockbuster) mais dans mon porte-feuille je n'ai qu'un billet de 500, je passe devant la caisse du ciné (il n'y a qu'un ou deux clients) pour aller retirer de l'argent au distribanque. J'ai un peu de mal à en trouver un, (je marche je marche et l'heure tourne, je n'en trouve pas aux endroits que je connaissais) mais enfin ça y est ça y est, en voici un,  je sors de mon porte-feuille ma carte vitale, qui se casse en deux, mais je me dis en souriant que ce n'est pas avec ça que je vais retirer de l'argent! D'ailleurs je retrouve au fond de mon porte-feuille plusieurs billets froissés, quasiment roulés en boulettes, et donc je vais pouvoir aller au cinoche sans retirer d'argent...
Arrivé à la caisse, il n'y a qu'un seul client, un jeune, qui attend, la caissière n'est pas là. quand elle  finit par arriver, elle lui vend son billet, je  demande une place, je n'arrive pas vraiment à comprendre combien elle coûte, je sors mes billets que je défroisse, je les lui tends, elle a encore dans la main la monnaie de l'autre client, il y a un micmac pas possible entre billets donnés et monnaie rendue, la caissière rigole  en me disant "mais vous savez ce que vous m'avez donné? ", j'ai l'impression que je vais repartir avec plus d'argent que je n'en avais avant... La caissière se lance alors dans une longue et confuse conversation, je suis embêté car il y a de plus de gens qui attendent derrière, dont certains commencent à manifester à haute voix leur mauvaise humeur  en usant de qualificatifs peu amènes à mon égard...
Je sors de la caisse et je redescend par un escalier dans un hall où zigzague une impressionnante file d'attente, je ne suis pas sûr d'être à la bonne place mais tant pis je m'insinue... Je rentre dans la salle de cinéma, c'est comme un immense amphi avec des pupitres en bois clair, qui va en descendant mais qui remonte ensuite un peu de l'autre côté... Je ne sais pas où m'installer, je ne comprends pas où est l'écran. Je choisis une place en bout de rang, un peu en hauteur, j'ai l'impression qu'elle n'est pas mal du tout, Evelyne  d'ailleurs arrive et vient s'asseoir à côté de moi (oui, ça doit être une bonne place). La projection va bientôt commencer, on voit en l'air un genre d'hologramme, d'ectoplasme encore brumeux, je comprends que c'est là-haut que le film est projeté. L'obscurité se fait, et à ce moment là, l'ensemble de la salle bascule et se réorganise, à plat, ce qui fait que je ne suis plus si bien installé que ça...
Il y a comme un genre d'entracte (la lumière se rallume) où arrivent dans la salle plusieurs jeunes, qui font un genre d'intervention (ce sont des acteurs) ils sont à la recherche des sacs des gens (je tente de cacher mon sac à dos sous mon siège mais l'un des jeunes arrive et le prend, il l'ouvre, et commence à montrer à la cantonade, avec des commentaires, chacune des choses qu'il trouve à l'intérieur (il y a notamment un papier rose, de rendez-vous chez un coiffeur, qui le fait s'esclaffer, ce qui me gêne un peu...) Je me dis que tout le contenu de mon sac va y passer, et ça m'embête. Je me tourne vers la droite, pour discuter avec un autre jeune, en bout de rang, mais, quand je me retourne vers l'autre, il a disparu, pfuit!, et mon sac aussi...
Nous sommes plusieurs à être descendus, tous ceux qui n'ont plus leur sac et veulent le récupérer... On se promène à présent dans des couloirs souterrains du cinéma, il ya notamment un passage qui m'impressionne : c'est une section pour dissuader les gens de  fumer : si on tient une cigarette, elle vous est quasiment arrachée des mains par une force invisible, et se déplace toute seule, en l'air, par saccades ("en pointillés"), tandis que du plafond tombe une véritable averse (d'ailleurs, qu'est-ce que je fais donc avec, aux lèvres, une cigarette pas allumée ?)

(bout de rêve, bien sûr...)

21 novembre 2009

poissons volants

Je ne suis pas très people ni chronique mondaine, et c'est rare que je me fasse ici l'écho d'une disparition. Sauf quand il s'agit de quelqu'un qui me touche.
Voilà, j'ai appris hier (en retard, comme toujours) celle de Kriss

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Kriss, c'était, bien sûr, une voix. Pour moi qui ne suis pas très radio, j'étais, un certain week-end des années 80, tombé sur "L'oreille en coin, une émission de Pierre Codou et Jean Garretto", avec son générique trompettant, et , en plein milieu cette voix si reconnaissable, si FIP, cette voix suave, cette voix délicieuse, cette voix inimitable, et surtout qui racontait des choses qui me touchaient, qui me faisaient rire...
Et je l'ai suivie, de loin en loin. J'avais même acheté son bouquin Sur un air de poissons volants... Elle faisait partie de ces gens que je ne connais pas vraiment mais pour qui j'éprouve une immense sympathie, des gens  avec qui justement on aimerait être plu proche...

Voilà, Kriss est partie raconter ailleurs, et je suis tristounet.

29 septembre 2009

exécution

(un bout de rêve)

(beaucoup de monde) Je rencontre une ancienne amie, qui vient d'être nommée directrice, et m'annonce qu'elle est très contente à l'idée que nous allons nous réunir ensemble (personnellement, l'idée ne m'enchante pas trop, mais j'essaie de faire bonne figure) Je lui demande si elle a déjà fixé des dates de concertation, et elle me dit avec le sourire qu'elle me les fera parvenir prochainement.
Je vais être fusillé, je suis condamné à mort (je ne sais pas pourquoi mais c'est comme ça) je serai en principe exécuté le lendemain matin. Je passe la nuit dans la même maison que les soldats du peloton qui vont me fusiller (mais je ne les vois pas). Je suis allongé à côté d'un ami, il fume une longue pipe, je comprends que c'est de l'opium, et qu'il veut me souffler la fumée dessus pour atténuer ma tristesse (ma peur ?) de mourir. Mais je n'ai pas peur, simplement je me dis que c'est inéluctable, et que c'est dommage.
Quelqu'un me parle, en voix off, de celui qui commande le peloton d'exécution et qui a fait quelque chose de bien pour ses soldats (ceux qui vont m'abattre).
On tourne un film dans une maison (c'est la même que précédemment, ou bien c'est un décor) Il est question d'enfoncer des portes (en réalité je cherche désespérément des toilettes). Dans l'équipe du film, il y a le mari de la collègue rencontrée précédemment, je me demande d'ailleurs ce que je fais là, comment je peux avoir la tête à jouer dans un film, même réalisé par un ami, alors que je vais être exécuté demain.
Je sens dans ma poche le porte-clé avec une petite vache qui tient toutes mes clés, et je me dis qu'il faudra que je réussisse à le faire passer à Dominique , pour qu'elle puisse récupérer toutes mes affaires.
Je demande à la collègue du début si elle était au courant, pour mon exécution, elle me dit que oui, et je lui réponds que c'était bien la peine de faire tout ce cinéma avec ces dates de concertation alors, puisqu'elle savait qu'on ne les ferait pas ensemble.
C'est le matin, je suis sorti de la maison et je suis sur un genre de balcon très long et plutôt étroit, j'ai très envie de pisser, alors je sors ma teub et je pisse contre le mur (il doit y avoir des soldats qui me voit et qui rigolent). Je continue de pisser (ça dure très longtemps cette scène) et maintenant le mur s'est transformé en grillage contre lequel je continue de pisser, par saccades (j'ai le sentiment que ça ne va pas s'arrêter) Il y a de l'autre côté du grillage un mec (un des officiels de l'exécution, en train de pisser lui aussi)

[Je me réveille en ayant effectivement très envie de pisser]

[Je me rendors]

Je ne serai finalement pas exécuté sur place, mais un camion va venir me chercher pour m'emmener à (Toul ?) m'annonce Dominique. Je suis en train de marcher dans la rue, au petit matin, il me semble qu'à un moment je cours en faisant voler une grand morceau de tissu ou de plastique.
Je discute avec Françoise et Françoise (c'est la même, mais elle est en même temps en face de moi (F1) et à ma droite (F2), j'explique à F1 que c'est "lors de ma première exécution" que j'ai retrouvé l'odorat (F2 me demande "mais qu'est-ce que tu as fait alors ?" Et je réponds " ben, je sentais tout autour de moi..." J'essaie d'expliquer à F2 les raisons qui me font regretter de devoir être fusillé : que le développement (je n'arrive pas à trouver le mot "durable") est désormais à la mode, je veux parler du fait que je j'aime beaucoup manger de la viande rouge, mais je ne pense  pas que ce soit une très bonne raison... (Il y a aussi quelque chose à propos du cuir, mais je ne sais plus quoi.) Nous sommes devant une espèce de géode avec de multiples facettes qui réfléchissent la lumière du soleil. F2 me dit qu'elle a rencontré un mec super pour moi. Je demande qui, et elle me répond "Pierre Bougey" (ou "Cougey" ?) et qu'elle aimerait que son mari fasse sa connaissance, que c'est quelqu'un qui "fait plein de trucs"... j'acquiesce comme si je le connaissais, alors qu'en fait, pas du tout...

20 juillet 2009

bricklayer

(ça tourne au cauchemar...)

Je suis avec (?) et (?) nous arrivons en voiture près d'une maison en construction, du premier étage surgit un maçon, torse-nu, c'est leur pote, et ils me racontent que c'est vraiment un sacré boute-en train... D'ailleurs, il est en train de rigoler, et, depuis l'ouverture de la fenêtre fait mine d'ouvrir sa braguette comme s'il allait pisser... J'entends (?) dire, en parlant de lui que dans des fêtes, il lui est arrivé de se mettre en jupon pour faire le con...
J'ai mon appareil-photo et j'aimerais bien réussir à prendre le mec en photo. Je sais qu'il bosse au dernier étage, sur une sorte de galerie qui fait le tour de la pièce, en hauteur. C'est très compliqué (la maison est gigantesque, il y a beaucoup de pièces en enfilade, un dédale de couloirs, je suis obligé de passer à l'extérieur, puis de revenir, je traverse d'ailleurs un cours de chant où j'ai un peu peur de perturber mais le regard et le sourire complices de la prof me persuadent du contraire (peut-être que je la connais ?)
Ce sera bientôt la fin de sa journée du travail, et il faut absolument que je réussisse à le prendre en photo... Je le vois, là-haut, il est penché, il se relève, je déclenche, mais quand je regarde la photo, il me semble qu'il a mis sur sa tête un fichu triangulaire de vieille paysanne, avant de disparaître...

(manque un bout de rêve)

Je suis ailleurs, avec d'autres gens, plus tard. Je tombe sur une photo, dans un journal, où je reconnais le fichu triangulaire. Il s'agit d'un assassin qui vient d'être arrêté. (Une des nanas qui est avec moi, dit "Outreau, c'était lui..." et j'entends expliquer que il a tué des enfants après s'être travesti en femme...)

(manque un bout de rêve)

Encore plus tard, dans une maison... "Il" a été tué (arrêté ?), nous ne risquons plus rien. Il ya une pièce qui a été retapée (peinte en blanc ? vidée ? ) et avant de partir, je me dis à plusieurs reprises que je dois aller récupérer mon appareil-photo que j'ai laissé sur l'étagère. Je retourne à la fameuse pièce, j'ouvre la porte, la pièce est vide, la lumière est éteinte mais on y vois suffisamment. A gauche de la porte, sur l'étagère, je saisis mon appareil photo dont je reconnais le poids rassurant (en écrivant cela, je réalise qu'il ne s'agit pas de mon appareil numérique, mais de mon ancien argentique, que j'avais équipé d'un gros zoom) je prends donc l'appareil pour quitter la pièce, et, avant de franchir la porte, machinalement, je jette un coup d'oeil vers le fond de la pièce. Il y a là l'encadrement d'une porte, et tout en bas à droite, je vois "son" visage (il a des yeux noirs et des cheveux bruns mi-longs) qui m'observe en silence, comme interrogatif. Je sursaute, il dit "je suis là" je quitte la pièce en courant, me retrouve dans un genre de vestibule, en criant "Il est là! Il est là!", mais j'ai du mal à avancer, je suis comme engourdi, et je me dis que s'il veut sortir de la pièce il va le faire avant moi, que je ne vais pas assez vite...
En effet, le voilà qui surgit, par une porte juste à côté de celle que je viens de franchir. Il y a un enfant à côté de lui. Dans le vestibule, face à nous est entrée une femme qui a l'air terrorisée. Je vois qu'à la main "il" tient un couteau à la lame triangulaire assez courte, recouverte d'une substance rouge et brillante, qui évoque plutôt la confiture de fraise que le sang. Je me dis que je vais sûrement y passer, mais que c'est peut-être mieux comme ça, finalement. Je suis assez calme.

(et je me réveille, absolument terrifié...)

2 juin 2009

(lou reed...)

"Just a perfect day,
Drink sangria in the park,
And then later, when it gets dark,
We go home.
Just a perfect day,
Feed animals in the zoo
Then later, a movie, too,
And then home.

Oh it's such a perfect day,
I'm glad I spent it with you.
Oh such a perfect day,
You just keep me hanging on,
You just keep me hanging on.

Just a perfect day,
Problems all left alone,
Weekenders on our own.
It's such fun.
Just a perfect day,
You made me forget myself.
I thought I was someone else,
Someone good.

Oh it's such a perfect day,
I'm glad I spent it with you.
Oh such a perfect day,
You just keep me hanging on,
You just keep me hanging on.

You're going to reap just what you sow…"

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25 mai 2009

my name is bond, edward bond...

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(d'un week-end-théâtre)

24 mai 2009

apéritif "champêtre" chez dominique...

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(sous les cerises il y avait des fraises des bois (si, si!) ...
et on a accompagné tout ça d'un petit guignolet-citron...)

4 avril 2009

le groupe

(fin de rêve)

Je suis harcelé par un groupe. (Plusieurs personnes dont je ne connais ni l'identité précise ni les motivations. ils procèdent par allusions, par menaces voilées...). Comme quand t'es gamin et que tu sais qu'il y en a qui t'attendent à la sortie de l'école et qu'ils vont peut-être te casser la gueule...
Je suis à la maison des assoc' pour une réunion des Amis du Cinéma. Ca ressembe plutôt à un genre de hall de gare, ou de Buffet de la gare, avec des tables partout, des gens assis qui discutent. Je suis assis comme sur une mezzanine,je surplombe la scène, et à gauche, en contrebas, je les vois, assis à un table, comme s'ils avaient organisé leur réunion, il y a des papiers rangés par tas, et l'un d'eux (le chef ?) vient me prévenir que ma présence à leur réunion est obligationnelle... Il veut donc que j'aille avec eux plutôt qu'à la réunion où je devais aller.
Je descend de l'autre côté, et vais m'installer à une table diamétralement opposée. J'y retrouve des amis, Philippe S., Christian D., Emma, à qui je raconte successivement mon histoire de hracèlement mais qui ont l'air de s'en fiche un peu, ou tout du moins de ne pas comprendre... A ce moment je vois passer "le groupe", qui sort du café, en me regardant avec un air narquois style "tu perds rien pour attendre" et je me dis qu'ils vont se venger en saccageant ma bagnole (j'essaie de me rappeler où je l'ai garée, il me semble que ce n'est pas tout près de là heureusement.) je suis désespéré que mes amis ne  comprennent mon problème, et je me lève pour aller chercher mon manteau et m'enfuir (je suis sur le point de pleurer)
Une histoire de corridor à deux issues par où ils seraient passés, moi aussi, et par lequel je repasse. Quand j'arrive face à la porte aux trois verrous, elle est fermée de l'intérieur (je mets un certain temps à les ouvrir) et ça me chiffonne parce que normalement ils auraient dû être de l'autre côté (les verrous) et ça veut donc peut-être dire que les gens du groupe sont en réalité derrière moi. J'arrive à sortir à l'air libre.
Je débouche dans un espèce d'atelier de fonderie où travaille Nicole J. (une instit que j'ai connue il ya longtemps) et notre étonnement est réciproque. Je n'arrive pas à comprendre exactement ce qu'elle fait là: elle dirige un atelier mais de quoi ? théâtre ? (il ya des enfants) fabrication de prothèses ? (image de flammes par la porte ouverte d'un four) Je ne sais pas
Je suis "dans un rêve" (dans le rêve) Une enfilade de pièces remplies de bric-à-brac. On est tout au bout, dans un cul-de-sac, une pièce remplie de tas de machins entassés sur des tables, La pièce est étroite, je suis avec (?) (encore Nicole ?) et le groupe arrive. Le "chef" est un gros bonhomme à l'air bonnasse, Il me mence encore , allusivement (en tout cas j'ai très peur de ce qu'ils pourraient me faire, même si c'est abstrait) A un moment, Nicole J. prend sur une des tables une pile de soucoupes en porcelaine vert pâle et le frappe sur la tête à plusieurs petits coups répétés. L'effet est presque comique. Il finit par être atteint, mais comme après un temps de latence et sort en dodelinant la tête comme s'il allait tomber, en titubant, suivi de ses acolytes.
(avant, dans l'atelier ?) il y a une autre instit que j'ai connue il ya longtemps, Chantal B., et elle offre à une autre collègue un truc pour sa kermesse de fin d'année. C'est une publicité gonflable pour un film (que j'aime plutôt bien mais dont j'ai oublié le titre), qui représente un bonhomme, ou un hot-dog, ou un pot de ketchup (ou les trois) et qui s'emboite par deux têtons dans un socle en plastique jaune, gonflable lui-aussi. (mais le support ne semble pas assorti au reste : il a l'air plus vieux, poussiéreux, et même un peu dégonflé. J'aperçois d'ailleurs la valve prévue à cet effet (comme sur les bouées quand on était petits.)
Je continue de fuir, mais je suis conscient que je suis à l'intérieur d'un autre rêve. Je suis avec Manu M. (encore une instit!) et une prof de français (Catherine P.) Ca me fait un peu marrer de penser que je suis dans un rêve de/avec Catherine P, parce qu'on va fatalement y rencontrer (?) (Elle rêve toujours du même personnage) C'est très vert, on court sur un genre de pelouse (ou dans un immense pré) avec des groupes de personnages au loin (la menace du grope est un peu estompée). A un moment je tiens Manu par une main et Catherine par l'autre, et nous sautons tous les trois, en contrebas, et Manu dit en riant "ça c'est l'effet-Alice!" (pour bien me confirmer que nous sommes dans un rêve.)
Je suis à nouveau inquiet, et je suis avec Madame Monnier, l'ancienne libraire de Gray. Elle m'emmène à la bibilothèque enfantine du Centre St Pierre, où elle travaille désormais (je me dis qu'avant on la trouvait antipathique mais qu'elle désormais très sympa). Je circule entre les rayons et arrive à la porte du fond de la bibliothèque (celle par laquelle on passait avant mais qui est désormais condamnée. C'est drôle, parce qu'il ya un énorme verrou sur le côté droit, mais le côté gauche est comme arraché, il ya un interstice qui montre qu'on peu le pousser. Ce que je fais (ce faisant je sens que je me suis pris une écharde), je passe un instant sur le palier, c'est très clair, très lumineux, et je vois un  escalier en bois blond qui descend, très large mais sans rampe. Je me dis qu'il ne devait être conçu à l'origine que pour monter (pour descendre ça peut-être dangereux.) Je reviens dans la bibilothèque.
Extérieur. Je retrouve des gens que je connais (mais pas les amis du début), je leur parle de ma peur du groupe, à ce moment passe un avion dans le ciel, et je me dis qu'ils auraient été très capables d'y accrocher , par exemple, une banderole me dénigrant. Je retiens mon souffle, mais non. Avec les gens que je connais, nous repartons. Je suis à côté d'un d'eux, on ne parle pas, je ne me sens pas très bien, un doute me saisit : et s'il était l'un d'eux ? Il se tourne vers moi et me dit "Tu as l'air tout vide..." d'une façon (que je trouve) ambigüe. Comme un zoom avant sur un gros plan sur son cou (il est de profil) je me dis qu'alors, il  pourrait enlever son masque, comme dans Fantômas, et que ce serait lui, le chef du groupe...

21 mars 2009

Gérard D.

(bouts de rêve 1)
... comme d'hab', je cherche ma voiture, que j'ai garée la veille. Je marche dans une zone urbaine, un peu escarpée, avec un genre de tumulus, sur un chemin qui en ferait le tour. Il ya des jeunes qui font des fouilles archéologiques (exhument des ossements ?) et c'est en rapport avec une aprtie antérieure du rêve, oubliée (un crime y aurait été commis, dont les preuves serainet mises à jour ?)
Je suis l'amant de Gérard Depardieu. il est vraiment très simple et très gentil. on est assis dans un genre de salon en demi-cercle, il discute avec des journalistes (?) j'assiste avec lui à la conversation, assis un peu à l'écart.
Je me lève pour aller pisser, je sors de la pièce, et marche dans les couloirs, je réalise qu'on est dans un centre de rétention, que je n'ai pas mes papiers sur moi et que je pourrais très  bien me faire arrêter à l'improviste. Sur la porte des toilettes, il doit y avoir une inscription genre "toilettes migrants"...
Quand je reviens dans le salon, il est vide, et une dame, genre attachée de presse, m'explique qu'elle va me conduire à la chambre de Gérard. Je la suis le long de couloirs en pierre qui font penser à ceux d'un château médiéval, l'image est très surexposée, comme s'il y avait bcp de lumière, j'ai peur de la perdre, elle marche vite sans se retourner.
On arrive à la fameuse porte et (référence à une chose déjà évoquée dans une partie antérieure du rêve) elle est toute petite, à peine une cinquantaine de centimètres de haut, et il faut forcément "se baisser pour y entrer" (c'est encore d'inspiration moyen-âgeuse, une genre d'ouverture en forme d'écusson de pierre, de meurtrière..)
Je réalise que je suis dans la chambre de Gérard Depardieu, et je suis un peu ému... C'est d'ailleurs plutôt un véritable appartement, une "garçonnière" (un duplex, même, puisque, en plaisantant, je le porte dans les escaliers qui mènent à la chambre, escaliers qui semblent revêtus d'une moquette/ fourrure blanche pas très bien ajustée, qui fait des plis, qui glisse un peu dans laquelle mes pieds s'enfoncent agréablement mais où j'ai peur de trébucher) Contre toute attente, il n'est pas lourd du tout, je le porte assez facilement, comme le Prince Charmant porterait Cendrillon, presque sans effort (d'ailleurs, ne serait-ce pas une princesse que je porte ?)
Nous arrivons dans la chambre, j'espère qu'il ne va pas se déshabiller tout de suite, il est en costard et j'aimerais pouvoir le déshabiller moi-même, ça serait excitant de lui enlever sa veste, puis sa chemise, etc.
(...)
Comme dans un film où on zapperait la scène de sexe. Il est dans la salle de bain, en train de se laver, je suis allongé par terre, et je l'aperçois par la porte entr'ouverte...

(bout de rêve 2) (je me suis réveillé, puis à nouveau rendormi)
Nous somme dans la salle de bains de Gérard D. Il est avec deux autres mecs, en train de se laver les dents, devant la glace d'un lavabo, devant moi sur la droite. Au fond de la pièce à gauche, il y a un autre lavabo, mais quand je m'approche, il est plein à ras-bord d'une eau sale et croupie, et je comprends qu'il est bouché et inutilisable.
Il y a aussi, sur la gauche (en face du lavabo ou Gérard et les deux mecs se lavent les dents en rigolant) un genre de baignoire, mais très étroite, au fond de laquelle semblent tremper plusieurs vêtements (dont un genre de combinaison rôsâtre et défraîchie), ce qui me la rend aussi inutilisable. J'ai ma brosse à dents à la amins, je voudrais bien pouvoir aussi me laver les dents. Il va me falloir attendre...

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