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lieux communs (et autres fadaises)
5 novembre 2013

5 morceaux d'anton t.

"Quand la vraie vie est absente, on se nourrit d'illusions. C'est tout de même mieux que rien."

 

"C'est étrange quand même !... On se connaît, et puis... brusquement, sans savoir pourquoi... on ne se revoit plus jamais ! C'est toujours comme ça, dans la vie !..."

 

"Parfois, j'en souffre d'une façon insupportable. Mais pour moi aucune petite lumière au loin. Je n'attends plus rien. Je n'aime pas les gens... Depuis longtemps déjà je n'aime personne."

 

"Ce n'est qu'une apparence... Nous ne sommes pas, il n'y a rien dans ce monde, nous n'existons pas, ce n'est que par apparence que nous existons..."

 

"L'amour sans aucun espoir ça n'existe pas, jamais, que dans les romans. Ce qu'il faut, c'est ne pas faire de l'attente de l'amour le but de votre vie, attendre éternellement qu'il arrive."

 

 

4 novembre 2013

péchés mignons 20

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(besac, 10 septembre 2008)

3 novembre 2013

péchés mignons 19

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(rue charonne /14 août 2008)

2 novembre 2013

péchés mignons 18

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(paris / 13 août 2008)

1 novembre 2013

fifty-fifty (prévisionnement Pont-de-Roide)

(tentative de critique "deux pour le prix d'un")

LE GEANT ÉGOÏSTE
de Clio Barnard

LES GARCONS ET GUILLAUME, A TABLE!
de Guillaume Gallienne

Deux films qui m'ont plutôt plu, mais aussi un peu déçu, chacun à leur manière.
Le premier est un film "socio-britton", d'obédience Ken Loach ou Andrea Arnold -déjà deux rigolos- mais que, ces deux-là, à côté c'est quasiment les Bisournous). Le deuxième est un film dont on parle beaucoup depuis Cannes (et avant ?) et c'est l'adaptation par Guillaume Gallienne de son one-man-show du même nom, qu'il réalise qu'il joue -et peut-être même qu'il produit ?-).
Dans les deux films il est beaucoup question de mère (celle des différents personnages principaux) et accessoirement de chevaux (dans les deux films, coïncidence, le même plan ou quasiment d'une tête de cheval dont on voit surtout l'oeil.)
Chez Barnard, les deux héros sont des gamins / jeunes ados "en rupture" (familles dans la mouise, absentéisme scolaire, alcoolisme, surpopulation, chômage, joggings crasseux, clopes, etc.) -un petit blond maigrichon teigneux en colère contre la terre entière et un petit gros placide qui aime les chevaux, qui vont essayer de "s'en sortir" (surtout en volant du cuivre et en se mettant en cheville avec des ferrailleurs), tandis que chez Galienne le héros est Guigui lui-même, tout propre et bien frisotté, son problème étant qu'il est considéré dans sa famille (et par sa mère) comme une fille, et tentant donc de se comporter comme tel(le).
En Angleterre on essaye de s'en sortir en grattant du fric par-ci par-là avec des combines plus ou moins légales et honnêtes (plutôt  moins que plus, d'ailleurs), tandis qu'en France, il s'agit pour le héros juste de faire son coming-out en tant qu'hétérosexuel, ce qui n'est pas évident non plus, certes, mais pas exactement sur le même plan.
Le film de Clio Barnard est une reconstitution poignante et immersive, extrêmement vériste, jusqu'au moindre cheveu gras et autres ongles en deuil, tandis que celui de Gallienne est avant-tout  une aimable -et hallucinante- prouesse technique, puisque l'acteur joue simultanément son rôle et -c'est là que ça dépote- celui de sa mère omniprésente et castratrice -hallucinante, je le répète-).
Peut-être que le premier (film) est trop noir-noir-noir et répétitif dans les hurlement les fucking bastard et les coups de vache, et que l'autre au contraire est trop gentillet et égocentré... Mais c'est incontestable, on flippe autant devant l'un qu'on rigole ou sourit devant l'autre...

Dans Le géant... il faut attendre les quinze dernières minutes (après une catastrophe qu'on pressentait quasi depuis le début du film) pour que tout ça s'apaise un peu (c'est vrai que, par opposition avec tout ce qui a précédé la fin est comme une respiration, un appel d'air, un apaisement) et acquière une certaine grandeur, alors qu'on contraire j'ai le sentiment un peu flou (je n'ai plus exactement le souvenir) que, chez Gallienne, c'est la fin, au contraire qui serait un peu ramollo-planplan, et, du coup, pêcherait...

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1 novembre 2013

péchés mignons 18

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(dans la cour / 6 août 2008)

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