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lieux communs (et autres fadaises)
20 juin 2016

tu sais celui... 11

1

(j'aurais dû faire comme j'avais prévu et mettre celle-là pour commencer.... :)

2

(C'eut été moins facile, non ?)

19 juin 2016

rain and tears 3

mais si, ça s'arrange... :

 Capturesempluie4
(les dernières prévisions, jusqu'à mercredi,

 

les avant-dernières étaient plus pessimistes!)

Capturesempluie

 

19 juin 2016

tu sais celui... 10

1

une autre...

2

et une autre, tiens...

3

18 juin 2016

tu sais celui... 9

et de une

1

et de deux :

2

et de trois
(quel dommage que vous ne l'ayez pas vu...)

3

et de quatre...
(allez, un effort!)

4

17 juin 2016

tasses cassées

TAKLUB
de Brillante Ma Mendoza

Un film saisissant. Aux Philippines, après un typhon d'une violence extrême, des "habitants d'un quartier défavorisé", qui ont survécu (mais en ont été chacun à sa manière durement éprouvées, surtout par la disparition de proches -et l'incertitude qui en résulte-), survivent, donc, chacun avec son énergie propre, et gèrent au quotidien les problèmes, parent au plus pressé, font des démarches, s'entraident, espèrent...
Un des personnages centraux est celui d'une mère divorcée, qui tient une gargote, et dont trois des enfants ont disparu. Un personnage magnifique, poignant, de par sa simplicité, son extrême dignité, sa compassion, sa volonté. Elle continue de servir des breakfasts, elle effectue des démarches auprès des autorités, elle vient en aide aux (encore) plus défavorisés...

La caméra de Brillante Mendoza est toujours maniée à l'épaule, mais on n'éprouve pas ici ce sentiment parfois éprouvant de roulis et tangage qu'on éprouva par le passé. La qualité d'image est admirable. L'utilisation de focales très courtes, avec passages fréquents du net au flou (et inversement) font de chaque plan une composition saisissante, plastique, comme si chacun des à-plats  (difficile à expliquer cette sensation, référence à la peinture, à l'importance de la matière, de la densité) pouvait être apprécié  "abstraitement", seul,  avant de faire sens en tant qu'élément d'un discours filmique (d'un tout narratif). La lumière du film est, le plus souvent, inouie. On apprécie chaque plan avant de le comprendre.

Car Taklub ("le piège", en vo) n'est pas construit linéairement, le long d'une trajectoire personnelle, mais plutôt comme la mise en commun de  différents éléments simultanés, ou voisins. Une composition impressionniste (et impressionnante), où il serait plutôt question d'existences saisies à un instant n, sans qu'il soit forcément question de comprendre tout ou de justifier quoi que ce soit.
On sait Brillante Mendoza cinéaste du réel, et Taklub l'exprime sans doute encore plus que les autres films du cinéaste. en tout cas différemment. (On pourrait presque parler de réalité augmentée). Comme on nous l'expliquera à la fin, il s'agit des histoires de personnages réels, qui ont été rejouées par des acteurs, mais sur les lieux-mêmes (décors qui "parlent d'eux-même", de par la violence qu'ils montrent ou suggèrent) où les choses se sont passées. Un an après les faits, ils vivent toujours dans la même précarité (encore aggravée pour certains, pour la plupart) pas grand-chose n'a changé, et les faits se répètent (une scène de tempête absolument saisissante). Cette forme de reportage à peine scénarisé (ou de scénario documentarisé) accentue encore l'effet produit sur le spectateur (où il serait question d'empathie). Le film débute, de nuit, par un fait-divers tragique (la mort d'une famille dans l'incendie de sa tente) et se clôt sur un acte minuscule, en apparence, mais extrêmement fort, d'apaisement. c'est le matin, c'est un autre jour. A chaque fois, repartir...

J'aurais pu (j'aurais du?), en bon athée que je suis, être un peu gêné par l'importance de la foi, et la place accordée à Jésus (la figuration récurrente de la croix) mais Brillante Mendoza y a recours de façon plus intelligente. Si, ailleurs, le football est l'opium du peuple, la religion aussi l'est, ici. Le réalisateur nous parle de l'espoir que ces personnages mettent dans une hypothétique présence divine, et de la façon dont la religion est omniprésente dans leur vie, mais il évoque aussi, à plusieurs reprises, la déception éprouvée, voire carrément la révolte que plusieurs de ces personnages vont expérimenter. L'un d'eux va même refuser de continuer à porter sa croix, au sens propre, et tourner simplement les talons. S'éloigner.
J'ai vécu le film au premier degré, simplement, intensément, immersivement, et j'ai eu plusieurs fois les larmes aux yeux. Un vrai grand beau et incontestable moment de cinéma.


504377

17 juin 2016

tu sais celui... 8

2

(non non, ce n'est pas Vincent Macaigne...)

*

(plus tard ds la journée : mes excuses pour ceux qui m'en ont fait la remarque : la photo a été publiée à 7h21, parce que je l'avais -étourdiment- programmée ainsi. Cela ne se reproduira plus, et, du coup, tiens, je vous remets deux photos !

*

et de une :

1

... et de deux :

3

16 juin 2016

rain and tears 2

Capturesempluie

"flic floc flic floc
elle fait tic et elle fait toc
la petite goutte d'eau
qui tombe sur le carreau..."

16 juin 2016

tu sais celui... 7

1

(non non ce n'est pas Vincent Macaigne...)

*

c'est déjà trouvé, mais j'en rajoute une !
(autant qu'elles servent...) :

2

15 juin 2016

labos

"L’ONG Médecins du Monde aurait dû lancer une campagne choc, ce lundi 13 juin choc contre le prix de certains médicaments. Mais il n’en sera rien, elle a été “bloquée” par l’Autorité professionnelle de régulation de la publicité (ARPP) qui juge qu’elle pourrait nuire aux laboratoires pharmaceutiques." (Les Inrocks)

Voici l'ensemble des dix affiches incriminées.


"Signez la pétition pour faire baisser le prix des médicaments sur www.leprixdelavie.com"

15 juin 2016

tu sais celui... 6

vlcsnap-2016-06-14-08h01m36s098

voici donc une deuxième image...

2

allez, j'en mets une troisième, mais ça a été trouvé...

4

 

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