Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
lieux communs (et autres fadaises)
7 janvier 2006

attente

Deux bribes qui me sont revenues, l'autre soir. Et qui fonctionnent conjointement.

La première, c'est une image de Snoopy, assis, les yeux fermés, immobile. Passe Lucy, léchant une glace, qui le voit et l'apostrophe en disant (à peu près) "Tu aimerais bien que je t'en donne , hein ?" puis lui rit au nez. Elle part, Snoopy reste seul. Immobile. Et, sur la dernière image, il pense simplement "Qui n'espère rien n'est pas déçu"

La deuxième, c'est dans le film Corps à coeur, de Paul Vecchiali ("que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaîîîîtreeu..."). C'est vers la fin, une scène très courte, où le héros, (Nicolas Silberg) qui vit un gros chagrin d'amour à cause d'une pharmacienne, discute avec son patron (il est garagiste). Là il apprend que le patron en question est amoureux de lui, en silence depuis des lustres, et lui propose alors de passer à l'acte, en disant (à peu près) "Un amour pareil, on n'a pas le droit de le laisser passer...".
Et l'autre refuse.

Je ne sais pas pourquoi, mais elles sont dans mon esprit indéfectiblement liées.

Commentaires
Z
je ne crois pas l'avoir vu (j'ai vu les suivants....)
Répondre
C
D'accord avec toi en ce qui concerne la sublimissime Hélène Surgère... Est-ce que tu avais vu, à la même époque "les belles manières" de J.C Guiguet ?
Répondre
Z
Tiens, j'avais oublié la fin. Et Hélène Surgère m'avait fait plus forte impression que le garagiste (bien que costaud et poilu), c'est grave docteur ?
Répondre
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 384 631