air connu...
d'après le titre d'une vieille chanson d'higelin...
Il faudra bien que je me résolve un jour à écrire ma
LETTRE A LA PETITE AMIE DE MON ENNEMI PUBLIC NUMERO UN (il y a dans cette ligne une litote)
parce que c'est la seule dernière chose dans cette histoire qui me reste "en travers du coeur et de la gorge" (je ne sais plus de qui c'est, mais j'aime bien cette expression). Il faudrait peut-être que je lui parle, avant de partir. Mais c'est difficile... Pour lui dire quoi ? Depuis qu'elle sait, elle m'évite, me fuit. Ne me salue que lorsqu'on est vraiment obligé et alors même ses yeux me fuient et me disent le contraire de son bonjour. Ca m'est pénible, voire même douloureux, car je ne sais pas ce que je peux y faire, ni ce que je pourrais lui dire...