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lieux communs (et autres fadaises)
25 octobre 2012

d'inde

(rêve en deux moitiés très nettes)

1) une histoire d'école et de remplacement. il manquait un enseignant, il en manque peut-être un de plus... toujours est-il qu'il ne faut surtout pas en parler aux parents, ils ne doivent pas du tout être au courant, on se tait et on continue à travailler comme ça... (c'est l'heure de la sortie, avant midi, nous sommes dans une grande salle de jeu, très grande et très vide, avec beaucoup de baies vitrées...) impression de froid

2) je dois retrouver Marie à midi pour qu'on mange ensemble dans ce fameux restau indien (enfin, dans une ville indienne dont je ne parviens plus à me rappeler le nom, je crois que c'est en quatre syllabes... Je suis en bas d'une pente, et normalement le restau est juste au-dessus, je me souviens, je connais le chemin, ça ne devrait pas être du tout difficile à (re)trouver, c'est juste l'affaire de quelques minutes... je marche, le sol est très varié niveau texture (ça grimpe dur mais ce n'est pas pénible) des dalles, comme en porcelaine jaune, plus je continue et plus je me dis que j'ai dû me tromper de chemin à un moment

j'arrive tout au-dessus dans un restaurant qui est une pizzeria où on m'invite à entrer (morceau oublié)

je continue de marcher, peut-être je redescend, je prends des petits chemins de traverse (toujours beaucoup de variété au niveau des structures) plus ça va et plus je me dis que le temps passe, que je ne pourrai pas la prévenir puisque je n'ai pas pris mon portable (deux fois de suite je sortirai un truc de ma poche, mais il ne s'agit jamais de mon téléphone - un truc qui ressemble à un revolver mélangé à un sèche-cheveux mais en plus petit et plus plat, sentiment d'un truc "joufflu") et de toute façon, je n'arrive toujours pas à me rappeler du nom du fameux village / restau indien en question

en continuant mon chemin, je saute à un moment sur un genre de tas de neige, il y a des lettres (adressées à un photographe ?) et diverses choses à moitié cachées sous la poudreuse, j'en ramasse une il s'agit d'un sac à dos publicitaire vert (où est-ce que je ne ramasse pas plutôt mon sac à dos , toujours est-il qu'à ce moment je vois un rideau se soulever à la fenêtre de la maison juste au dessus, je comprends que c'est le photographe qui habite là, qu'il va sortir pour vérifier que je ne suis pas un voleur, et qu'il va falloir lui expliquer que je ramassais juste mon sac... j'attends patiemment que le mec sorte, je ne suis pas inquiet, je sais que je suis dans mon bon droit

quand il sort de chez lui, il marche sur un genre de plate-forme métallique grillagée (ou alvéolée), juste au-dessus de moi, et je m'aperçois qu'il n'est pas belliqueux, bien au contraire... Je vois son sexe d'ailleurs, (et, juste derrière, dans l'encoignure d'une fenêtre  à la limite de mon champ de vision, j'entraperçois un corps nu de femme, en train de se doucher)

(...)

je suis affairé avec le photographe, entrent à ce moment (nous sommes à l'intérieur) trois copains à lui, genre grandes folles, qui rient et parlent fort, à grand coups de "salut ma chérie..." (enfin, tout ce que je déteste), ils me chambrent quand j'explique que je cherche le nom de ce restau indien, me proposant d'abord plusieurs noms de villes (Shandigar), puis n'importe quoi, des onomatopées qui pourraient passer pour des noms indiens... ils se foutent de moi

il faudrait que je songe à repartir, le temps passe (je n'ai plus aucun espoir d'arriver à l'école pour 13h30...) d'autant plus que je n'ai plus qu"un chaussure au pied (j'ai perdu l'autre), et je farfouille dans un amoncellement de chaussures dépareillées sans parvenir à la retrouver (il s'agirait peut-être d'eune basket en toile grise, mais avec le bout assez allongé..)

à ce moment-là, un des trois mecs me prend à part, et m'explique que mes manigances ne servent à rien, car c'est lui qui vit en couple avec le photographe, et il conclut avec un geste éloquent (matamore) en disant "J'ai réussi, moi!"

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