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lieux communs (et autres fadaises)
28 octobre 2012

de l'autre côté (du mur)

(rêve de la semaine dernière, d'abord écrit sur carnet, au réveil, puis recopié ici)

dans la rue un papa brun, encombré (il porte son/ses enfant(s)) il laisse tomber des choses, ne peut pas les ramasser, je l'aide. Je lui remets ses baskets (il s'agit de bien tirer la languette avant de les lacer).

j'habite à C. (j'ai déménagé) le rez-de-chaussée  est pareil, mais au premier pas tout à fait. dans la cuisine (il y a pas mal de monde) je demande en plaisantant à régis s'il pourrait me refaire des étagères, et il me répond, toujours sur le ton de la plaisanterie, quelque chose comme "pas avant 2015..."

(avant) je suis dans une pièce avec du monde, je passe un coup de téléphone pour faire faire des cartes de visite. J'ai du mal à entendre ma correspondante, et je me déplace, suivant l'endroit j'entends plus ou moins bien. Il y a JP qui a fait des plantations, alignées sous la fenêtre, et plus ou moins florissantes en fonction des arrosages effectués (c'est une expérience comme faite en classe.)

la bibliothèque que m'a fabriquée Régis n'est plus fixée au mur, il ya du jeu de part et d'autre, et le mur semble d'ailleurs carrément se désagréger par endroits, on voit des trous à travers, au-dessus, et ça bouge dangereusement...

je pense les déplacer, et les mettre dans ma chambre, contre le mur en face du lit. je m'aperçois alors que le mur est en réalité un tissu suspendu, je regarde entre deux pans, et je vois passer un éclair de pelage roux, comme un faon, j'écarte davantage et je vois que la pièce se continue très loin de l'autre côté. C'est comme une immense grange, avec beaucoup de machins entassés (des armoires, toute une rangée de vieux lits) mais aussi des animaux, plusieurs sangliers notamment une laie allongée sur une table / charrette où elle vient d'accoucher, avec serrés contre elle toute une portée de bébés marcassins, encore roses et sans poils, et pourtant gros... Il ya dans le coin opposé de la pièce un vieux dont je pourrais craindre qu'il charge...

Je ne suis pas rassuré de penser que je dors (que je vais dormir) en face de ces animaux (et aussi de la rangée de lits, où je ne voudrais surtout pas dormir - peut-être que des gens y sont morts ? -) simplement séparé d'eux par la paroi de tissu

dans la chambre, il y a toujours beaucoup de monde, et maintenant, il y a de l'eau qui coule par terre, c'est comme un vrai ruisseau. l'eau est très claire, transparente, et je montre à Catherine les têtards, et même les petites grenouilles qui sautillent (peut-être que je suis en chaussette et que j'ai peur de les mouiller ?)

(avant) quelqu'un a préparé dans une cagette toute une s"rie de livres d'André Gide (? pas certain que ce soit lui) pour en distribuer un à chacun

dans un autre pièces (?) me dit en riant que, enfin, le papier va bientôt tomber, je ne me souviens pas de quoi elle parle et regarde dans une direction, mais elle me dit "non, là!" en me montrant du doigt, au dessus du mur, juste au coin, un trou carré, comme d'aération, avec, pris dedans, un papier jaune (une bande ,) qui volette avec le souffle d'air et qui bouge en claquant, comme s'il allait effectivement se dégager. "On va pouvoir le lire!"

(dans une autre pièce) je ramasse, sur un coin de table, une chemise en papier contenant des feuilles manuscrites et des coupures de journaux, je comprends qu'ils appartiennent à la fille de la famille (portugaise ,) du papa dont j'ai refait les lacets tout à l'heure...

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