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lieux communs (et autres fadaises)
4 janvier 2013

l'institut

(festival de cinéma ?) nous sommes assis dans une pièce (sur des chaises) et nous assistons à plusieurs projections de films consécutives. une vient de se terminer, et la suivante va bientôt commencer, on s'installe sur les chaises, face à un tableau noir sur lequel les films sont projetés. je suis assez loin, au cinquième ou sixième rang,, et je réalise que devant moi, au premier rang, vient de s'installer une femme assez grande, avec une assez grosse caméra, je m'en inquiète (je ne vais pas bien voir) et on me répond que oui oui, elle vient filmer (le film, donc!). Je change de place, Dominique aussi, on trouve une place au premier rang, sur la gauche, je réalise que je suis pas très loin de (?, un mec que j'aime bien), on change encore une fois de place, avec toutes les chaises qui se déplacent et qui font du bruit, ça fait du désordre, et je m'arrange pour m'asseoir juste à côté de (?), -en fait nous sommes assis ensemble à un "double pupitre" d'école - je me dis que, peut-être, dans le noir, avec ce film qui va durer longtemps...
(peut-être avant ?) nous sommes en Inde (voyage en groupe) et nous allons visiter un "Institut" (bâtiment immense, qui relie deux rues, portes imposantes, avec un garde qui nous fait entrer, et nous explique qu'il faut remplir et signer une feuille chacun à l'entrée (et à la sortie, comme je l'apprendrai par la suite), chacun doit remplir et signer une feuille personnelle.
Nous sommes installés comme pour un banquet, rangée de tables parallèles recouvertes de nappes en papier blanc, exactement dans la même disposition que pour la scène précédente, sauf que il y a des gens des deux côtés des tables et que, derrière, il y a un mec, derrière un comptoir, qui entreprend de distribuer à chacun un peu de pâtisserie dans une assiette. Il sert chacun, successivement, dans l'ordre, et je comprend qu'il "fait ce qu'il peut", peut-être avec des restes (personne ne semble avoir la même chose dans son assiette). J'attend que mon tour arrive (je dois être quatrième), mais étrangement,me voilà debout et j'ai changé de côté de la table, je vois que la fillette à côté de moi a dans son assiette une grosse crêpe (fourrée au chocolat ?) et je réalise que mon assiette, à côté d'elle,  est restée vide (j'ai raté mon tour ?)
Je fais le clown et m'éloigne un peu, je suis dehors, dans la rue, en Inde, donc, et arrive un gamin qui baragouine en me demandant quelque chose (j'ai dans la main un kinder bueno, et je me dis que c'est pour moi, que je ne vais rien lui donner) je m'éloigne, puis je culpabilise, je reviens sur mes pas pour le lui donner, il y a à présents deux gamins, qui tendent la main en baragouinant, le temps que je partage la barre chocolatée, il y en a de nouveaux qui apparaissent, comme une génération spontanée, ils sont quatre, puis, cinq, puis... je fractionne au fur et à mesure ma barre chocolatée en morceaux de plus en plus petits...
(toujours à l'Institut), je suis dans une pièce, en contrebas d'un genre de mezzanine chargée de livres au fond de laquelle se trouve une porte qui ouvre sur un couloir où je reconnais Marcel, -je vois juste sa tête - en grande discussion (je me demande d'abord ce qu'il fait là, puis je dis un truc comme "bah, c'est normal, ne t'insuiète pas, tu es en train de rêver..." qui me fait sourire, tandis que Malou m'aide à me hisser sur cette fameuse mezzanine, au milieu des bouquins.
Je me retrouve à l'extérieur, dans la rue derrière l'Institut, et je dois faire en sorte d'y rentrer à nouveau... C'est facile, je vais faire le tour (je sais qu'il s'ouvre sur deux rues) pour retrouver l'entrée principale. Dans la rue, je vois des gens, et quelques scènes pittoresques qui me font regretter de ne pas avoir pris mon appareil-photo. il y a notamment un mec, un travailleur, qui s'est carrément allongé dans la rue, sur la chaussée,  pour faire la sieste, les mains derrière la tête comme s'il était sur la plage, au pied de ce qui semble être un énorme bulldozer (il y a quelque chose de suspendu au-dessus de lui, qui pourrait être une guirlande de bal de 14 juillet). J'ai fini de longer la rue transversale, et j'arrive donc dans la rue où se trouve l'entrée principale de l'Institut. Catastrophe! il y a des engins et des camions partout, ils sont en train de refaire le revêtement de la chaussée, et, en Inde, ils ne font pas comme en France : tout le monde continue d'aller et venir, comme si de rien n'était, pendant que les ouvriers font couler le goudron (qui n'a pas l'air bouillant, même si ça m'inquiète un peu quand même...) directement sur la chaussée (et le trottoir, d'ailleurs) puis le nivellent, égalisent la surface, comme ça, à la bonne franquette. J'essaye de ne pas marcher dedans, je fais des tours et des détours pour réaliser que, finalement, ils n'ont pas goudronné la portion de trottoir devant l'Institut, qui, par comparaison, apparaît très blanche . (Pendant toute cette partie je n'arrête pas de me répéter que j'ai perdu le fameux papier que j'ai signé le matin (ou n'est-ce pas plutôt celui que je devais signer le soir en sortant ?))
J'arrive devant le portail de l'Institut, devant moi un homme a sonné, une femme en sari vient lui ouvrir, le fait entrer en souriant. Elle referme la porte (qui est vitrée) et me fait comprendre, à travers la vitre, en montrant un bouton, qu'elle doit attendre, pour me l'ouvrir à nouveau, que le mécanisme (électrique) ait fini son cycle et se déclenche. Ca y est, elle me fait entrer, toujours en souriant.
C'est bientôt l'heure de partir, il faut se préparer. (On se change ?) Je suis en sous-vêtements, je passe dans une pièce rougeâtre avec une zone surélevée, arrive Françoise S. qui vient prendre sa douche (c'est la zone surélevée), je crie en disant que non non je ne veux pas être mouillé, et elle me répond en rigolant "ah oui, toi t'es en midi" (alors que, me dis-je, elle doit être "en matin" puisqu'elle va se doucher).
Une pièce avec plein de gens assis, notamment le "chef du groupe", à qui je redemande si c'est vraiment important, ce fameux papier à signer pour sortir, parce que je pense l'avoir perdu, et il me dit que oui oui c'est super important, et il sort de la pièce pour aller m'en chercher un. Entre-temps, je trouve sur la table une pochette plastique avec mon prénom et mon nom écrits dessus. je crie au chef de revenir, que ce n'est pas la peine, que j'ai trouvé ma feuille, mais il est déjà parti... Il ya une faute dans mon nom de famille, un t au bout (ce qui arrive assez souvent dans la réalité) et j'entreprends donc de le gratter pour l'enlever (sur la pochette plastique, ça doit être facile) mais au lieu de ça ça fait un genre de tâche grisâtre qui semble s'étaler au fur et à mesure que je frotte... Il y a peut-être, assise derrière,Françoise Hardy qui manifeste son agacement en soupirant.

(ouf! 45 minutes pour retranscrire ce qui doit à peine représenter une ou deux minutes de cette fin de rêve)

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