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lieux communs (et autres fadaises)
30 juin 2017

ce tout (de jeu)

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GIMME DANGER
de Jim Jarmusch

Que dire ?
D'abord que j'ai très honte d'avoir beaucoup dormi...
(pardon Jim, pardon Iggy...) Iggy raconte et se raconte (et ce papy du rock en a eu une existence "mouvementée" : sex, drugs and rock'n'roll à donf... Surtout les deux derniers, à vrai dire, le susdit étant plus discret sur le volet "sex".)
Comme les histoires du Père Castor, finalement : ici le Papy Iguane, assis dans son fauteuil, nous balance benoîtement ses histoires, à nous minots émerveillés par les hauts et les bas et les cahots de sa vie, et pas seulement musicale. Son enfance, le mobile home jaune où il vivait, son adolescence, les débuts des Stooges, et tout un pan au parfum nostalgique mais enthousiasmant de l'histoire ricaine, des années 70, tout ça revisité sous nos grand syeux de gamins ébahis par la voix d'iggy (qui ne s'appelle pas du tout Iggy), par les documents d'époque (et quelle époque!) et par la patte et l'oeil de cinéaste du grand Jim (qui évoque tout de même à propos des Stooges "le plus grand groupe du monde"...) qui enjolive régulièrement le récit de quelques animations délicatement (et faussement) naïves
Mais voilà, mais voilà, j'ai dormi, j'ai dormi, une grande partie du film (comme d'hab', et plutôt inexplicablement, d'ailleurs, au début) et j'en suis fort penaud.

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