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lieux communs (et autres fadaises)
3 février 2021

poulailler 32

(Angers fini, Gérardmer fini -c'est Possessor qui a gagné, Bertrand Bonnello et son jury ont eu bon goût...- ne reste plus que Clermont, avec pas mal de pain sur la planche, pour toute la semaine... l'avantage incontestable, avec ce "rythme Festival", c'est qu'on perd complètement contact avec la réalité, les journaux télévisés, les taux de contamination et tutti quanti, et ça fait sacrément  du bien d'oublier tout ça de s'oxygéner un peu la tête c'est moi qui vous le dis...)

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EtAfbeUU0AEM_Am

(manif de teufeurs)

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EsY0CoEVEAEEJRA

(twitté par Jamie Lee Curtis -c'est elle qui est figurée à gauche-)

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hjpg

(extrait du Libé tout en bd)

cjpg
(extrait du Libé tout en bd)

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programme du jour :

(CLERMONT) :

F3
(un programme excellent !!!)

THE NIGHTWALK
d'Adriano Valerio

Capture d’écran (1431)

Un jeune homme part en Chine pour étudier. Dès son arrivée, la fac le prévient qu'il n'est plus autorisé à quitter son appartement : c'est le début du confinement...

JUSTE A NANTES
de Marjolaine Grandjean

Capture d’écran (1435)

Une jeune fille qui fait du stop monte dans la BX de Claude, quadragénaire, bonne pâte (bonne poire ?) et c'est le début d'une série de trajets, avec ou sans les copines, qui se terminera à la mer...

SOUVENIR SOUVENIR
de Bastien Dubois

Capture d’écran (1438)

Un film d'animation(s) à double niveau, puisqu'il raconte l'histoire d'un jeune homme (le réalisateur) qui veut faire un film sur la Guerre d'Algérie, à condition que son grand-père veuille bien accepter de lui en parler... (et donc avec technique(s) mixtes)

MALABAR
de Maximilian Badier-Rosenthal

Capture d’écran (1442)

Le choc de la rencontre -fortuite et nocturne-  de Mourad et Harrison (deux lascars, un black et un rebeu) avec Marcel, papy vietnamien (et de tout ce qui découle dudit choc) ... un incontestable bijou de tendresse d'humanité et de drôlerie... Ma friandise du jour (comme son titre l'indique)

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International 14

CUMBRES Y CENIZAS
de  Fernando Criollo (Pérou)

Capture d’écran (1445)

"Pourtant que la montagne est beeeeelle..." Processions, congrégations, chants, danses rituelles, pénitents, dans un très très beau noir et blanc (mais bon le mysticisme m'inquiète toujours un peu...)

NOSHTNA SMYANA (Travail de nuit)
de Yordan Petkov et Eddy Schwartz (Bulgarie)

Capture d’écran (1448)

un héros solitaire et barbu (et à l'air pas commode) trouve un boulot -de merde et mal payé- ("avant c'étaient les animaux qui faisaient ça") en équipe avec un autre mec qu'il lui faudra ensuite remplacer (exploitation, raisme, cynisme, capitalisme, en Bulgarie comme ailleurs)

LA FEMME INCOMPLETE
de Su-Young Huh (Corée du Sud)

Capture d’écran (1449)

Les morceaux du corps de la femme se sont séparés et partis chacun de leur côté, reste la main gauche qui raconte l'histoire...


PORTUGAL PEQUENO
de Victor Quintanilha (Bresil)

Capture d’écran (1453)

Le papa est religieux, le fils est aspirant-star, et demande à son papa de prier pour lui (et le papa répond "je le fais chaque jour..." (Je croyais que c'était un doc mais c'est une fiction)

GRAB THEM
de Morgane Dziurla-Petit (Suède)

Capture d’écran (1454)

(Je croyais que c'était un doc, je me suis posé des questions pendant tout le film, mais c'est bien une fiction) Sally a des soucis parce qu'elle ressemble à Donald Trump (mais dans le bus, elle trouvera enfin l'amour...)


L1

MAD MIETER
de M+M (Allemagne)

Capture d’écran (1458)

La vie sentimentale et affective de madame et monsieur Mante religieuse, en décors réalistes

TRAQUER
de Noelle Bastin et Baptiste Bogaert (Belgique)

Capture d’écran (1460)

La réalisatrice est antispéciste, son cousin est chasseur, et pourtant elle le filme parce que des années plutôt il lui a donné une patte de lapin. Quarante minutes, quand même, dans un beau noir et blanc, avec incrustations de texte, bleu pour elle, jaune pour lui, avec en prime (j'ai failli vomir) l'éviscération en plan-séquence d'un sanglier (j'ai failli vomir)

NIGHT CLUB
de Davoud Rangkhaneh (Iran)

Capture d’écran (1466)

Quatre jeunes et jolis barbus iraniens se retrouvent la nuit pour aller en voiture au bord de la rivière. ils se retrouvent autour d'un feu et envoient l'un d'eux chercher de l'eau pour le thé, celui-ci aura un echange sybillin avec un pêcheur (à propos de la rivière, justement) avant de retourner auprès du feu, puis de sortir de la rivière... Métaphorique ?

NIGHT BUS
de Joe Hsieh (Taïwan)

Capture d’écran (1467)

Une maman singe et son bébé, d'abord, puis un groupe de gens qui prennent un bus de nuit, et la rencontre entre les deux (un choc, comme dans Malabar) va produire une réaction en chaîne et une hécatombe gore. Ca charcle et ça gicle, et presque tout le monde meurt (sauf les amoureux, heureusement)

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