Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
lieux communs (et autres fadaises)
10 août 2021

CMFUBJ ?

(ça leur fait une belle jambe à tous)

le généraliste a dit "voyez avec l'angiologue", puis "voyez avec le diabétologue", le diabétologue a dit  "voyez avec avec l'angiologue" puis "voyez avec le dermato", le dermato va sûrement dire "voyez avec le diabétologue" ou "voyez avec votre généraliste" ou "voyez avec l'angiologue", l'angiologue m'avait dit (pour 80€, quand même) que tout allait bien que je n'avais pas de problème de circulation,  (le diabétologue était sceptique quand je lui ai dit ça...) mais qu'elle aussi avait eu un erysipèle -au bras- et que ça avait duré très longtemps...

(un fait-divers comme j'aime)

"Un voleur est entré au domicile d’un couple de la rue Jean-Jaurès à Vesoul, dans la nuit de mardi à mercredi, pour dérober divers objets électroniques. L’occupante des lieux a été réveillée par le bruit mais c’est son mari, dans le plus simple appareil, qui a poursuivi le voleur dans la rue afin de récupérer le cabas contenant les affaires dérobées. Il a ensuite prévenu les forces de police. Par chance, le voleur avait laissé dans le cabas son téléphone portable. Il contenait, en galerie photos, une image d’une convocation en justice où figurait son nom. Les policiers n’ont plus eu qu’à cueillir ce Vésulien âgé de 33 ans, le lendemain, à son domicile et à le conduire au commissariat où il a été placé en garde à vue. Le parquet décidera des suites de cette affaire." (L'Est Répu)

(depuis très longtemps écrit sur mon "sous-main")

"Je comprends que si on n'est pas capable de garder son propre secret, on ne peut pas demander à quelqu'un d'autre de le garder."
(mais je ne sais plus du tout d'où ça vient)

(from tw*tter : le sens de l'humour)

E8L4gpjXoAEMItF

 (à la pharmacie)

suivant les conseils de Dominique, j'ai demandé des chaussettes de contention en coton (pour l'été) et la pharmacienne m'a proposé celles-ci, en précisant qu'un supplément de 10€ était demandé par paire, et qu'elle n'était pas sûre que la MGEN prenne en charge ledit supplément (mais elle m'a quand même fait une facture)

cho7contention

(renseignement pris, Dominique m'a assuré que la MGEN avait toujours tout pris en charge pour elle...)

(à propos de jouissance)

Rien ne semble mieux partagé que la volupté. Dans toutes les espèces où les mâles exhibent des organes «emphatiques», les femelles "sont dotées de papilles formant un tubercule analogue au clitoris", dit Lodé, en citant pêle-mêle les cas d’autruches, marsupiaux, rats ou tortues capables de mouiller. Reste à savoir pourquoi. En vue d’éclairer sa fonction secrète, le biologiste propose d’en finir avec quelques idées reçues concernant la jouissance : on a trop longtemps cru que l’homme était le seul détenteur de ce privilège. On croit encore toujours que la copulation animale n’est qu’une forme particulière de la lutte pour la vie. Faux, rétorque l’auteur qui s’appuie sur le cas surprenant des canards colverts, connus pour leur impressionnant pénis spiralé. S’agit-il d’un atout sur le plan de la sélection naturelle ? Pas vraiment, explique l’auteur, soulignant que les canards TBM (très bien membrés) ne sont pas forcément les "mieux pourvus dans la fécondation". Et pour cause : durant la danse de séduction, le mâle n’exhibe pas ses attributs qui restent parfaitement invisibles. "La grandeur du pénis a peu d’impact sur sa performance reproductive." La femelle ne le voit pas. Quand elle convole avec un mâle, il se sert de son pénis comme d’un crochet pour prendre le contrôle, mais cette ruse elle-même n’a pas grand effet car la femelle possède un "cloaque labyrinthique", un "vrai dédale de plis" permettant d’éviter la fécondation. En cas de pénétration forcée, la femelle peut donc non seulement piéger l’organe phallique dans un cul-de-sac, mais le tordre méchamment dans une douloureuse direction anti-horaire. Et si, par malheur, une femelle se fait fertiliser par un mâle qui refuse de prolonger le badinage, elle pond ses œufs puis les abandonne afin d’aller convoler ailleurs. Délaissant l’incubation, il arrive donc que la femelle "annule la descendance d’un géniteur trop pressé pour séduire". Conclusion : la nature n’est ni bien ni mal faite. Elle est un ensemble ahurissant de contradictions, de gaspillage et d’improductivité.

"Qu’y a-t-il de plus saugrenu que le sexe ?, se demande Thierry Lodé. Quelle incongruité a pénétré l’évolution biologique pour avoir ainsi verrouillé notre vitalité dans un mécanisme aussi complexe qu’insensé ?" Balayant d’un revers de manche le mythe d’une "programmation" rationnelle cachée dans les jeux de conquête, le biologiste propose de voir le plaisir comme une force qui conditionne l’histoire évolutive du vivant. Ce n’est pas la reproduction qui nous guide, insiste-t-il, mais la pâmoison. "Si, sans plaisir, la puissance d’exister s’amenuise, n’est-ce pas que le ravissement est nécessaire à sa biologie ?" (Libé)
Histoire naturelle du plaisir amoureux de Thierry Lodé

BYMB6F4TS5HBBEWQV5VJI3GNFQ

Commentaires
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 384 641