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lieux communs (et autres fadaises)
20 novembre 2021

envoi français

THE FRENCH DISPATCH
de Wes Anderson

Quelle tristesse! Pour cette première séance de THE FRENCH DISPATCH, à 18h, on était trois dans la salle 9... Remarquez, vu le nombre de voitures sur le parking, ils ne devaient pas être beaucoup non plus dans les autres, SAUF dans la 8 (par nous dite "la salle des bourrins") où on passait... LES B*DINS!. Oui, quelle tristesse...
Je n'ai rien voulu lire de précis sur le film (j'aime bien me faire mon idée par moi-même) mais j'avais vu un titre dans Téléramuche qui disait "Faut-il encore aimer Wes Anderson ?" (ou quelque chose du genre), ce qui m'avait déjà un peu agaçouillé et je me souvenais qu'à cannes l'accueil avait été... mitigé (mais comme dit Zabetta -qui a de l'entregent- "A Cannes, c'est particulier...")....
Et donc j'y suis allé confiant.
Et j'ai eu bien raison.  Et donc, tout en gardant intactes pour le sieur Anderson mon estime et mon admiration, je suis sorti de la salle en même temps joyeux et émerveillé (comme très souvent en sortant d'un film de W.A, non, pas osuvent, A CHAQUE FOIS), mais aussi avec quelques regrets :
1) on n'en a pas assez!: Ne nous sont racontées que trois histoires, (plus un préambule et un postambule), on en aurait juste aimé davantage...
2) y en a trop ! (je veux parler des sous-tires) comme d'hab' chez W.A, ça parle beaucoup (la fameuse voix-off) ce qui fait que lorsqu'on le voit en VO il faut parfois choisir entre la lecture des sous-titres et le contenu de l'image (qui est en général assez dense)
3) ça va trop vite ! : les sous-titres, l'action, le passage à l'écran de certains acteurs français (qu'on ne voirt parfois que pour quelques secondes), et, surtout, le défilement des noms au générique de fin, qui est spécialement illisible tellement il défile avec célérité...
4) (là c'est de ma faute) : comment se termine la deuxième histoire ? j'ai (épuisement) brièvement piqué du nez, fermé mes petits yeux l'espace oh d'un soupir,  et quand je les ai rouverts, j'ai compris que la troisième histoire avait démarré car je ne reconnaissais personne... arghhh!
5) dans quelle histoire Vincent Mcaigne (qui a été -re-arghhh- coupé au montage pouvait-il bien apparaître ?
Mis à part ces brimborions, bien obligé de constater que le plaisir est intact...
Donc donc donc je vais donc devoir retourner le voir, pour toutes les raisons susdites (et avec un très grand plaisir...)

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une campagne graphique très très très classieuse...

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