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lieux communs (et autres fadaises)
17 février 2022

robots

028
BIG BUG
de Jean-Pierre Jeunet

Tiens donc! Netflixmuche me prévient que vient d'y sortir le nouveau film de Jean-Pierre Jeunet. Ah bon ? Je vais donc y jeter un oeil (samedi soir à la maison, canapé, rien de mieux à faire), négligent au début, voire suspicieux, mais voilà, bien qu'en me trouvant plein de bonnes raisons de zapper et d'aller voir ailleurs, je suis quand même resté jusqu'au bout (jusqu'au bout du bout même, car je voulais savoir qui était cet acteur incarnant le méchant très méchant robot et dont le visage m'était (si) familier, et j'ai fini par le savoir, ouf!).
Premier constat, d'abord, visuellement c'est très laid. Un univers dystopique (2040) en couleurs saturées flashy où on a vite mal au coeur (et  aux yeux) devant cet empilement polychrome.
Il s'agit d'un huis-clos (une "famille" se retrouve piégée dans son propre appartement, dont les issues ont été bloquées par leurs propres robots domestiques, inquiets du risque potentiel généré -en cas de sortie, justement- par des nouveaux robots méchants très méchants qui veulent remplacer l'homme, où il sera question, pendant presque tout le film, de savoir comment faire pour en sortir... Chacun gamberge et y va de sa solution...
Le synopsis est mince, mais la distribution est sympathique (Isabelle Nanty, Elsa Zylberstein, Stéphane de Groodt, Youssef Hajdi, Claire Chust pour les humains, Claude Péron et Alban Lenoir pour les robots (une robote intendante qui voudrait devenir humaine -et éprouver des sentiments-) et un robot coach sportif et romantique -que sa propriétaire considère déjà (a déjà programmé) comme tel -humain- ou presque-), et François Levantal (numériquement multiplié, comme dans Matrix) en robot méchant très méchant, plus ça et là (à la télévision, surtout) quelques brèves apparitions amies que je vous laisse le plaisir de découvrir), les effets spéciaux sont chiadés (cette phrase est un peu complexe, vais-je réussir à m'en dépétrer ?), la variété robotique plaisante (tout ceux qu'on voit sur l'affiche), sans oublier une louchette d'humour, et voilà quoi, on passe un (très) bon moment de cinoche du samedi soir devant sa téloche (manquaient le popcorn et le soda...)

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