Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
lieux communs (et autres fadaises)
21 octobre 2023

marionnettes

176
LE GRAND CHARIOT
de Philippe Garrel

Oh la la j'ai honte j'ai dormi dormi dormi (j'ai même réussi à piquer du nez pendant les bandes-annonces!). J'ai dormi copieusement, voluptueusement. J'ai loupé la mort du père (Aurélien Recoing, que j'aime pourtant beaucoup) que je n'ai vu que trente secondes lors de la scène d'ouverture et je n'ai ouvert les yeux qu'à celle de la mère (Oh, Francine Bergé pour qui je garde une grande tendresse quasiment amoureuse depuis son interprétation de LA BELLE JARDINIERE, feuilleton quotidien en noir et blanc de ma jeunesse...)
J'ai donc pris l'histoire en cours, mais cette histoire de marionett(ist)es m'intéressait moyennement (repensé à la scène de Guignol au début de SOMBRE de Philippe Grandrieux
Louis Garrel, Esther Garrel, Léna Garrel, trois frères et soeurs dans la vie qui jouet trois frères et soeurs de fiction dans un histoire, qui, paraît-il, ressemble à la leur.
Il me semble avoir compris qu'a eu lieu une permutation de couples, et qu'une des deux soeurs se met en ménage avec Pieter, qui faisait partie de la bande de marionnettistes mais va lui aussi quitter le navire (Louis part faire du théâtre et va devenir célèbre, et donc laisse tomber les marionnettes) pour faire de la peinture, de plus en plus obsessionnellement (spoiler : il finira à l'asile).
Avec une très jolie image finale (et un très joli décadrage / recadrage).
Je ne suis pas autorisé à émettre le moindre jugement sur ce film après y avoir autant dormi.
Je suis passé à côté de ce film, je suis un peu désolé...

4285171

Commentaires
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 384 691