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lieux communs (et autres fadaises)
3 novembre 2015

deux fins de rêves

(j'avais d'abord écrit comme titre "deux queues de rêves", et j'ai réalisé que ça pouvait prêter -hum- à confusion)

(comme dans une colonie de vacances, une fois de plus)

il est temps de faire ses valises ? en tout cas c'est le matin, et je cherche où j'ai bien pu laisser mon jean la veille au soir (je parcours beaucoup de couloirs, j'entre dans de multiples pièces). Il doit y avoir dans ce lieu des adultes et des enfants, mais on ne voit que les adultes. Dans les couloirs, aux porte-manteaux, il y a des petits sacs à dos,, je trouve un élément avec un prénom posé sur le banc, qui ne correspond pas avec le prénom du porte-manteau au-dessus, et je le tends à Marie, qui déplore comme moi "qu'il y en a toujours (des enfants), qui s'amusent dans les couloirs à fouiller dans les sacs des autres", et je pense que, puisqu'on ne réussit jamais à les prendre sur le fait, on devrait installer des caméras dans les couloirs.

je continue de chercher mon jean, à un moment je passe dans une chambre, et pour rire j'en ramasse un qui traîne justement par terre (c'est un jean taille enfant) et je fais semblant d'avoir retrouvé le mien et je dis "ça y est! le voilà" en le mettant devant moi -il est vraiment minuscule- , pour faire rire les autres

c'est presque la fin de la matinée, déjà, et je suis plutôt surpris en voyant Catherine sortir de sa chambre... Elle n'est donc pas allée travailler ce matin ? (je pense "enfin, elle a osé...") je parle avec elle, demandant si elle a prévenu. Elle dit des choses un peu vagues, sybillines, que je n'entends d'ailleur pas très bien du genre "il est très calme, comme ça (la main figurant une ligne horizontale) et je crois d'abord qu'elle parle de son nouvel inspecteur, quand je réalise soudain qu'elle parlerait plutôt de sa directrice, et le fait que celle-ci ait cautionné son absence signifierait qu'elle serait amoureuse d'elle -et dans mon rêve je me dis mais oui, bien sûr cette directrice est lesbienne, ça explique tout...-

 

(dans un supermarché)

Je suis en train de faire les courses, j'ai à la main un grand sac en papier avec mes achats dedans, arrive une jeune dame avec un micro, très souriante, qui me demande de la suivre (je comprends que j'ai gagné quelque chose, et je me dis que c'est dommage si c'est par exemple la gratuité de mes courses, parce que je n'ai pas acheté grand chose) Je la suis à travers les allées du magasin, puis les réserves, les couloirs, elle marche devant elle va vite et j'ai un peu de mal à la suivre
On arrive à un genre de porte étroite qui donne sur le dehors, autour de laquelle sont disposées plusieurs caméras et des micros sur pied, je me dis qu'ils doivent interviewer les clients, comme moi, qui ont été choisis au hasard et qui ont gagné
La jeune dame franchit la porte et s'éloigne sans même se retourner
J'avance avec mon sac à la main, je sors à mon tour, je me dis qu'il va y avoir une sonnerie, ou quelque chose, mais non, rien.
Je suis dehors avec mon sac de courses à la main, je ne sais pas quoi faire. Personne ne fait attention à moi. J'ai posé le sac sur les marches d'un escalier, et je me suis un peu avancé, perplexe (en plus, les caméras ont dû me filmer quand j'ai franchi la porte)
Quand je reviens vers l'escalier, je ne vois plus mon sac. Un jeune homme est assis sur les marches, à l'endroit où je l'avais posé, et me montre mon sac, en disant que c'est à lui. Je n'ose pas lui demander directement de me rendre mon dû. Nous nous asseyons sur un banc en bas de l'escalier. J'essaie de négocier tandis que nous en inventorions le contenu. Il décide qu'il va garder la viande ("parce que c'est important, la viande") -un assez gros paquet enveloppé de plastique blanc - et les tractations se font plutôt amicales, d'autant plus que dans mon sac il n'y a visiblement que des merdouilles.
Jusqu'au moment où arrive un de ses copains, un gros ado en blouson de cuir noir et rouge, qui le regarde et qui se fige soudain, comme l'image s'était immobilisée

(réveil)

 

4 octobre 2015

de l'autre côté

(rêve de fièvre, extrait)

c'est comme si je faisais de l'analyse de texte (ou de la critique littéraire) à propos du bouquin de Georges Hyvernaud L'ivrogne et l'emmerdeur : il ne s'y passe rien en apparence, en surface, mais il faut s'intéresser à ce qui se passe de l'autre côté, s'intéresser à l'inintéressant -avec l'image d'un boulevard, peut-être parisien, peut-être de la belle époque, complètement vide, où, justement il ne se passe rien-, mais c'est à cela qu'il faut s'intéresser, mais d'une autre façon, regarder les choses autrement, et le nouveau point de vue éclairera d'une façon nouvelle ce  "rien en apparence" (très obsessionnel, et répété longuement, et avec jubilation) en rapport avec cette phrase de Philou, notée il y a longtemps "ce qui est intéressant, c'est ce qui n'est pas intéressant") oui regarder de l'autre côté du vide (c'est très confus, mais dans le rêve c'était extrêmement clair)

28 septembre 2015

photo blanc blanc

(lambeaux de rêves)

Il est question d'une P.E débutante prénommée Marie (on m'a donné aussi son nom, mais je l'ai oublié) qui aurait de très grosses difficultés dans sa classe (je suis à une espèce de soirée avec beaucoup de gens qui parlent)

Je suis chez (?) la soeur d'une vieille instit' de Gray que j'ai bien connue. Est en visite chez elle un (vieux) conseiller pédagogique qui était aussi présent à la "soirée" du lambeau  précédent. Ils sont dans une autre pièce (la chambre ?), je suis dans le salon. Sur le sol sont posés plusieurs i-phones, avec un fouillis de câbles et de prises, je comprends que la soeur de (?) est en train de recopier sur le sien le contenu de celui du vieux conseiller péda. Je me penche pour voir de quoi il retourne, et c'est visiblement une vidéo prise dans la classe de la jeune Marie (du lambeau 1), où il semble y avoir effectivement du chahut (beaucoup de bruit, surtout).
Tandis que je suis accroupi en train de regarder la vidéo, la soeur entre dans la pièce, me présente le vieux conseiller, et me dit que, si je veux, je peux en profiter pour regarder la vidéo (ce que je suis déjà en train de faire...) qu'il a enregistrée sur son i-phone
Je m'extasie sur la technicité et la qualité de ces appareils, et elle me dit, que, justement ils en ont en magasin (tiens j'ignorais qu'elle tenait un magasin... peut-être depuis qu'elle est en retraite ?), et que si je veux je pourrais en acheter un chez eux (me traverse alors l'esprit la réduction que je pourrais éventuellement obtenir, puisque je la connais)
Je récupère mes affaires (ce n'est pas très pratique, mon sac, un vêtement, plus quelque chose que je tiens hors du sac) et je sors (en repensant à la réduction)
Je suis avec Thierry, il est allongé sur un lit (style lit d'internat, en fer) et je dois le photographier pour terminer un travail (pour les Beaux-Arts ?). Il incarne un personnage de manga ou de bd niponne, Naruto je crois (dans la réalité je ne sais absolument pas qui est  Naruto), et je veux terminer par une photo où on ne verrait que du blanc, un plan rapproché où on verrait le bas de son t-shirt et son slip -blancs-.
Arrivent à ce moment dans la pièce toute une série d'étudiants, avec des appareils-photo, qui doivent visiblement finir le même travail photographique. La première est une demoiselle qui envisage de représenter le copain de Naruto, et prononce un nom à consonnance anglaise, genre BenTen (ça me fait penser à ça mais ce n'est pas ça), en s'avançant sur le lit (au bout duquel Thierry est toujours allongé) pour le photographier, mais je réussis à m'interposer en disant que je dois encore prendre ma dernière photo, et je réalise à ce moment que Thierry est gêné que je le fasse devant les autres étudiants

23 juin 2015

la promotion

(bout de rêve)

Nous sommes un certains nombre à avoir été "choisis" : nous allons, chacun à notre tour être reçus par le Général de Gaulle (et Mme de gaulle, Yvonne, dont j'apprend incidemment, à l'occasion, qu'elle n'est pas sa femme mais sa soeur). Nous sommes tous dans une grande pièce, attendant notre tour.  Je ne comprend pas trop ce qui se passe, d'autant que je n'y suis pour rien : j'ai avec moi mon "parrain", celui qui a tout supervisé, tout préparé (il tient une série de lettres que je suis censé avoir écrites). Mon tour va bientôt venir, on se lève et on se rapproche (quand c'est son tour chacun se lève et passe dans la pièce d'à côté, dont les portes sont grandes ouvertes (et qui m'évoque plutôt un studio de photographe) pour y être reçu seul par le général (d'ailleurs, ne va-t-il pas faire une photo de chacun ?).
Mon tour vient, je suis plutôt intimidé, avec mon "parrain", nous sommes face à Mme de Gaulle, il lui tend les lettres (que j'ai peut-être finalement écrites moi-même, mais pas comme il faut, pas en suivant le protocole, puisqu'en les transmettant, il escamote un feuillet qui visiblement ne convient pas.) en minaudant (comme on est censé le faire face à un personnage important de la République ?), en ergotant sur le mot "pèlerinage" qui a été utilisé à tort. (Mme de Gaulle ressemble à Clothilde Mollet dans Le journal d'une femme de chambre) J'essaie finalement de prendre part à leur dialogue en expliquant, faux-cul, combien ce terme est effectivement choisi, je m'en dépatouille laborieusement, tandis qu'elle semble m'écouter avec une apparente politesse bienveillante.
Derrière moi j'entend quelqu'un dire que le Général, lui, n'a pas prononcé un mot lors de leur entrevue. (D'ailleurs, c'est comme dans un film historique qui parlerait de Gaulle sans jamais le montrer, on ne le verra à aucun moment.) Et que tous ne vont pas, finalement, passer auprès de lui
D'ailleurs, il semble que mon tour soit passé (les choses s'accélèrent) et que quelqu'un d'autre soit appelé : je ne serai donc pas reçu dans la pièce à côté, et j'en éprouve un certain soulagement (J'avais avec moi un costume militaire que je devais mettre pour la rencontre, qui était censé être le mien, mais que je n'avais même pas essayé avant, j'avais d'ailleurs peur qu'il ne soit pas à ma taille : vraiment, tout ce protocole c'est du pipeau).
La cérémonie est terminée, les gens repartent, et deux mecs reviennent vers moi en me disant de m'occuper du "nouveau" : c'est un jeune homme qui a eu le bac (ou qui a été reçu) à 20 ans. c'est le dernier qui est passé dans la pièce d'à côté auprès du Général. Je dois l'accompagner sur le chemin du retour. Je ne sais pas trop comment me comporter avec lui lorsque je réalise qu'il y a au-dessus de moi, sur le côté, une perche-son avec un micro, et que nous sommes donc filmés pour la télévision (les actualités régionales ?), j'essaie de lui faire la conversation avec un air naturel, mais tout ce que je dis sonne très faux. Je ne sais pas si je dois le prendre par la main (c'est un enfant) d'autant plus qu'il me semble devenir encore plus petit : il est question de sa chemise qui fait un pli et remonte au-dessus de son cou, je suis obligé de m'agenouiller pour l'aider à se rhabiller, il s'agit même d'un nain plutôt que d'un enfant, qui porte un genre de costume de cow-boy comme en trompe-l'oeil, dont tout le dessus, chemise, et gilet est en réalité cousu d'une pièce, et un peu cartonneux, et est donc plutôt difficile à remettre en place.
Je lui propose d'aller voir (?), un dessinateur de bd qu'il aime beaucoup, et qui justement est là (nous passons devant un autre bâtiment où se déroule cette rencontre, la porte en est ouverte et on aperçoit beaucoup de gens, une foule dense, qui sont tous tournés vers la gauche, mais, lorsqu'on pénètre dans la pièce, on réalise que le fameux dessinateur de bd (un petit gros, lui aussi, avec un genre de chignon de samouraï) est, au contraire, sur la droite, sur une scène où ont été installées plein de petites tables auxquelles sont assis des enfants en train de dessiner (c'est un genre de master class ?), je demande donc à celui que j'accompagne s'il veut lui aussi y participer...

les de gaulle

12 mai 2015

anagrammes

du rêve de cette nuit ne me restait, à mon réveil, que le fait que les mots caféine et fiancée sont des anagrammes...
en essayant de les retrouver ce midi, j'ai découvert, en plus, que faïence en était un(e) aussi.
(voilà qui va, je pense, bouleverser le monde)

cafeinefiancée

1 mai 2015

le scooter

(juste en phase d'endormissement)


J'entends distinctement, dans le garage qui est juste en-dessous de ma chambre, du bruit : quelqu'un est en train de faire démarrer un véhicule, mais pas ma voiture, plutôt un deux-roues... Un solex , une mob ? Non, un scooter, mon scooter... (J'aurais donc au fond de ce garage un scooter que j'y aurais oublié ?)
Dans un sursaut, je me réveille : il n'y a aucun garage en dessous de ma chambre (ça, c'était dans l'appartement d'avant), et je n'ai absolument jamais eu aucun scooter que ce soit...

dessin-margerin-01

(la nuit dernière, très flou, mais ça m'a mis en joie lorsque je m'en suis rappelé aujourd'hui)

Je suis avec des jeunes filles plutôt joyeuses. Parmi elles je réalise qu'il y a Adèle Haenel (et il doit y a voir aussi une autre jeune actrice que j'aime beaucoup, peut-être "l'autre" Adèle (Exarchopoulos), mais je ne suis pas sur). Je suis en même temps très joyeux moi aussi d'être avec elles, mais plutôt un peu impressionné : qu'est-ce que je vais bien pouvoir leur dire, il ne faut pas les décevoir...

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18 avril 2015

micro142

*

ce papier que j'ai cherché en vain toute la journée
et qui réapparaît miraculeusement, le soir, sur mon bureau

*

ce que j'écris ici intéresse en moyenne 11 personnes
(c'est peu, mais c'est tout de même suffisant)

*

 jusqu'à quelle heure, le matin,
peut-on -raisonnablement- se recoucher ?

*

(phrases que je ne comprend pas immédiatement) :
La dépression n'est par un facteur de risque de criminalité.

*

 les premiers vrais beaux jours
me mettent dans un état inimaginable
(et indescriptible)

*

 des abeilles entrent dans ma cuisine je ne sais pas par où

*

on n'arrose pas les tulipes

*

finalement, à quoi bon
tous ces films ces concerts ces pièces de théâtre ces spectacles de danse
puisqu'à 99% on les oublie ?

*
"Si j'étais un bonhomme de neige ?
(après mûre réflexion)
... j'irais fondre au Maroc, ou en Algérie..."
(Rayane D.)

*

11 avril 2015

téléphone cassé / tango raté

(bouts de rêve)

Dominique a cassé mon téléphone...
Elle me le rapporte, et me le lance en me conseillant de le rattraper. Évidemment je n'y arrive pas et il tombe par terre. Le téléphone a l'air intact mais il y a, tombés autour de lui, des pièces et des morceaux qui semblent venir de l'intérieur.
Je la remercie ironiquement d'avoir cassé mon téléphone, elle part en se mettant à pleurer très fort et très exagérément. (on la voit -et on l'entend-  s'éloigner assez longtemps)
Je la regarde partir en pleurant et je réalise que j'aurais pu au moins lui dire que mon téléphone est dans ma poche (je pose ma main dessus) et que je suis en train de rêver. Je la retrouve assise sur des gradins (pour assister à un spectacle ?) et je lui dis en riant que ce n'est pas la peine qu'elle s'inquiète, puisqu'on est tous les deux en train de rêver, on est dans le même rêve!
(et je lui dis que c'est la première fois dans un rêve que je dis à quelqu'un qu'on est en train de faire le même rêve...)
Nous rions tous les deux (et même le monsieur qui était assis juste derrière nous)

*

Je suis dans une pièce avec beaucoup de monde (beaucoup de monde que je connais) Passe une demoiselle, et je l'empoigne pour danser (j'ai ma main droite sur sa hanche, et la gauche qui tient sa main, comme pour une danse de salon traditionnelle. Nous commençons à danser, on avance en se frayant un passage au milieu de tous les gens, c'est difficile de tourner, il n'y a pas beaucoup de place.
Je lui suggère de danser autre chose, la java par exemple, et lui montre le petit déhanchement qu'il faut faire
On essaye plutôt de danser le tango (j'ai du mal à tourner)
Je danse à présent avec Pépin, il m'explique qu'il me faudra "beaucoup de temps et de patience pour apprendre à tourner, de très longues années..."
Je lui réponds que si je n'arrive pas à tourner c'est à cause de lui, qu'il est beaucoup trop lourd
Je dois à présent danser avec Thierry, je lui demande s'il connaît "Savez-vous planter les choux ?" et il me répond très sérieusement que oui c'est son morceau préféré
Je suis face à lui, je suis tout petit et il est exagérément grand (je le vois en contreplongée) comme dans un dessin de Dubout, pensé-je, d'autant plus qu'il y a une personne, puis une autre, qui grimpent successivement sur ses épaules

27 janvier 2015

les chaussures / le fil du micro

(un rêve qui me laisse, au réveil, passablement agacé)

je suis avec (?) , on a acheté chacun une place pour aller au cinéma mais la séance n'est qu'à 13h (ou 15 ?) et on a le temps donc on va (?)

(on se retrouve aux Beaux-Arts, ou peut-être plutôt chez Thomas (le jeune homme dont je m'étais entiché, il ya 10 ans) ambiance de fin d'année, les étudiants préparent des cartes, ou des feuilles A4, qu'ils vont s'échanger, où ils inscrivent chacun leur tour leurs coordonnées, nom, adresse, numéro de téléphone, pour rester en contact (je me réjouis de savoir que je vais avoir les coordonnées de Thomas), tout ça de manière très graphique, très "artistique"

il arrive, d'ailleurs, le voilà, il est entre deux filles, c'est drôle, je me souvenais qu'il était petit, mais là il est vraiment très petit,  il a changé de coiffure, n'a plus "la touffe" qu 'il avait aux beaux-arts ni le crâne rasé qu'il avait ensuite, il a juste des cheveux mi-logns, et raides, ce qui lui fait une drôle de tête ça me fait drôle de le revoir après tout ce temps, je me demande s'ils se souvient que j'ai été amoureux de lui, et je me demande si je suis toujours amoureux, et j'ai du mal à répondre non mais je vais faire comme si de rien n'était
en tout cas, il est très aimable
(je fais quelque chose avec une feuille de papier qui est déjà peinte et sur le bord de laquelle je voudrais laisser une traînée de peinture blanche)


au moment de partir, je m'a perçois que je n'arrive plus à remettre la main sur mes chaussures que j'avais enlevées en entrant, je me souviens que j'avais des sabots, et il n'y en a pas pas, parmi la multitude de chaussures qui sont posées par terre

nous sommes dehors, devant la maison de Thomas, il y a un énorme monticule de terre (comme ceux qu'on obtient en creusant pour faire les fondations d'une maison) on grimpe dessus, un de ses copains  essaie de reconstituer le trajet que j'ai fait, pour essayer de retrouver mes sabots mais c'est compliqué

je suis embêté, j'ai à présent aux pieds une paire de chaussures qui semblent être des chaussures de fille, un peu, pas trop, plus ou moins, ça dépend des fois quand je les regarde

on est en train de marcher à plusieurs dans la rue (ou sur un chemin plat comme un bord de canal), et soudain j'enlève une de mes chaussures (ce sont alors quasiment des talons-aiguilles, mais un peu vieillots, style dame des années 50, gris perle, me semble-t-il), et en la regardant de plus près, je m'aperçois que le nom de sa propriétaire (et son adresse) sont calligraphiés dessus, sur le côté : il s'agit d'une américaine, et je me dis que c'est donc elle qui a dû partir avec mes chaussures (mes sabots)

 

grey shoes

(un autre bout de rêve, le lendemain, sans rapport)

je suis sur une scène, toute en longueur, comme posée sur les douves d'un château (d'ailleurs, par l'espace entre le bord de la scène et les murs, on voit qu'il y a de l'eau en dessous)
je dois faire un duo avec un chanteur japonais (il arrive sur scène) je ne sais absolument pas ce que nous allons chanter et je men inquiète un peu, mais il me fait un clin d'oeil complice, en souriant, genre "ne t'inquiète pas, tout va bien se passer..." La musique commence, je ne reconnais toujours pas la chanson... Nous avons chacun un micro, avec un très looooooong fil, et j'essaie de me dépêtrer du mien, pour changer de place, en le faisant passer dessus ou dessous des obstacles qui sont sur le bord, il me semble que nos deux fils de micro, qui passent par dessus un fil tendu très haut entre les murs, en travers de la scène, sont en réalité reliés ensemble, et que je suis, en quelque sorte un contrepoids pour le chanteur japonais, je m'en rends compte d'ailleurs brutalement puisque, ayant réussi à libérer mon fil d'un obstacle, je réalise que du coup le système de contrepoids ne fonctionne plus, et que, du coup, le chanteur, déséquilibré, tombe à l'eau de façon misérable, (ce n'est ni trop haut ni trop profond) il a l'air humilié, et les gens rigolent...
Arrivent des coulisses des membres de son équipe, dont une dame asiatique qui a l'air plutôt en colère après moi, et ne mâche pas ses mots pour me faire comprendre que c'est de ma faute, parce que j'aurais du venir plus tôt pour les répétitions (comme lui est célèbre et moi pas, c'était à moi de me déplacer, de faire le premier pas)

micro

 

14 décembre 2014

(le genre de rêve dont on est très content de se

(le genre de rêve dont on est très content de se réveiller!)

(au début, il y a une histoire de téléphones portables qui sont tombés dans les toilettes, qui contiennent des (?) importants, deux téléphones, celui de Régis puis le mien, et que je récupère tous les deux, dans une impulsion, et que je mets dans la poche de mon sac à dos)

puis il ya une enquête (en rapport peut-être avec les fameux téléphones)

je suis d'abord auditionné par un "avocat" dans une pièce très exigüe, comme une chambre de bonne, mais très étroite, et mansardée, il n'y a d'ailleurs de la place pour que un lit, posé par terre, on s'installe dessus, je me dis que ça ne va pas être très facile pour lui de noter les réponses aux questions qu'il va me poser, vu qu'il s'est allongé, et qu'il tient une feuille (un cahier ?) sur son torse, ce qui fait qu'il est obligé de relever la tête pour pouvoir lire

puis un deuxième interrogatoire, plus officiel, celui-là, puisqu'il se fait dans un genre de tribunal (il y a une juge qui n'a pas l'air très commode), mais pas vraiment, puisque nous nous partageons cette pièce avec un groupe musical en train de répéter (la juge nomme les instrumentistes comme "les saxophonistes" (mais je ne suis pas sur)

dans une maison avec plein de gens, toujours dans cette enquête/interrogatoire (le filet se resserre, je sais que je n'aurais jamais du récupérer ces deux téléphones dans les toilettes, que c'est très grave si on les découvre, je vais être accusé, jugé, mon compte est bon) l'enquêteur le plus acharné (il ressemble à Marc) pose la même question à chaque personne, et plus il se rapproche de moi, plus je me dis que je suis fait, puisqu'il demande à chaque personne s'il peut voir une dernière fois ce qu'il y a dans son sac, pour vérifier...

avant qu'il ne vérifie le mien (et découvrir les deux fameux téléphones) je sors de la maison, tellement je n'ai pas envie qu'on découvre que j'ai menti, d'être pris sur le fait

c'est intolérable, je vais être accusé... je marche dans la rue avec Emma, qui tente de me consoler

(et je me suis réveillé, extrêmement content de réaliser que je n'étais accusé de rien, du coup je me suis rendormi, et que crois que j'en ai remis une petite louche, de tribunal and co)

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