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lieux communs (et autres fadaises)
25 mars 2024

brouillons

(dans un film) il écoute le message qu'une fille a laissé pour lui sur son répondeur : "T'es parti comme un voleur ce matin. Pas un bisou, pas un mot, pas un doigt..."

 

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Croisé une dame comme déguisée en Pacoune : Même taille, même coiffure (sauf que ses cheveux à elle étaient gris), mêmes lunettes (sauf que les siennes étaient rose pétant) et même genre de robe...

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Dimanche, 8h du mat' à peine, ils remontent la rue St Georges avec une certaine difficulté. Un garçon et une fille. Il est tellement bourré qu'il semble avoir vraiment du mal à marcher. Arrivé presque au coin de la rue, il s'arrête au milieu du trottoir, commence à déboutonner son jean, elle le tire et le retourne pour qu'il soit face au mur et non face à la rue, elle l'aide à pisser contre le soupirail d'une cave, peut-être aussi à se rhabiller, et ils repartent tout deux, lui de façon toujours aussi instable, et elle qui le soutient et l'aide à avancer.

 

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au restaurant des Abattoirs, c'est encore mieux quand on est copain avec le patron : le serveur lui demande (à un client qui, visiblement est un très vieil ami) s'il désire un dessert, propose tarte aux pommes, crème brûlée et mousse au chocolat (la liste "normale", habituelle), et le patron derrière son bar rajoute "Et vacherin!" Bien entendu, le pote du patron choisit le vacherin... J'assiste à ça en mangeant ma tarte maison (qui est très bonne comme d'hab')

 

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coïncidences : je viens de poster un paquet pour Riri la Gâchette, et, en rentrant, je découvre sur le blog qu'il m'a laissé un message en disant qu'il s'était inquiété pour ma santé...

 

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le paradoxe du stationnement : je suis tellement content d'avoir trouvé cette place juste en bas de chez moi hier soir  que du coup j'hésite à prendre la voiture aujourd'hui, parce que ça signifie que je vais la perdre... (stationné un jour, stationné toujours ?)

 

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après analyse, il apparaît que ce sont deux hommes (j'ai bien sûr pensé à FIRST COW...)

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on n'était que quatre dans la salle,et au bout d'une heure ou deux de films, les deux dames ont commencé à discuter, comme si elle étaient dans leur salon (enfin, l'une d'entre elles), à tel point que je finis par me lever pour aller leur demander de se taire... La bavarde s'exécute. Plus de bavardages jusqu'à la fin du film. A la sortie, elle vient vers moi et s'excuse aimablement en disant "je ne pensais pas qu'on parlait aussi fort..." Mais si, mamie, mais si...

 

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"Les gens qui ont des certitudes sont sûrs de se coucher le soir aussi cons qu'ils se sont levés le matin." (Lucien Jerphagnon)

 

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(à propos d'Yves Simon) "Durant le voyage il me raconta qu'il possédait néanmoins une Porsche que lui avait offerte Jane Birkin mais qu'il ne la sortait jamais du garage. Jane, en lui cédant l'engin, aurait cherché à s'en débarrasser, me dit-il, car elle pensait avec malice que Gainsbourg lui avait offert la voiture pour qu'elle... "se tue" au volant." (Nicolas Comment, Chronique du temps qui passe)

 

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Tout seul dans le salon (pas encore ouvert au public), debout face au grand miroir, un sèche-cheveux dans la main gauche et une brosse dans la droite, le jeune coiffeur se refait une beauté capillaire avant l'arrivée des clients.

 

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(café-scrabble 22/03) Avec TRENTE, Pépin a fait 10.

 

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(Frédéric Mitterrand is dead.) Plus que son "Bonsoir!" me restera la phrase "Franck Capra est le cinéaste du bonheur..."

 

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"La dernière fois, juste avant le déménagement, il m'a offert un livre car il a senti que ça n'allait pas. Je l'ai remercié, lui ai dit que c'était tellement gentil. Il m'a répondu sèchement : Tellement gentil ? Ah ben mince alors, quand on fait un cadeau on pense rarement tomber autant à côté de la plaque... Ce n'est pas tellement gentil en fait, c'est Charles Juliet, il était jeune quand il a commencé à écrire et que la dépression le guettait. Tellement gentil... La prochaine fois que tu mordras la poussière, cow-boy, je t'offrirai des chocolats, ça sera tellement gentil." (Panayotis Pascot, La prochaine fois que tu mordras la poussière)

 

Commentaires
B
Désolé Roberto, j'avais mal compris et pensais que je devais relevers ma boîte mail.<br /> Or je viens d'apprendre que j'ai reçu un colis de ta part. Mais je suis hospitalisé depuis 4 semaines et demie dans une clinique de diabéto-endocrino de l'Indre (à côté de Sainte Sévère où Tati a tourné Jour de fête), histoire de tenter de réguler mon diabète et d'éviter l'insulino-dépendance. Je sors lundi prochain. Un lundi de Pâques 1er avril, ça ne pouvait pas mieux me convenir !!!<br /> Bref je n'ai pas encore pu ouvrir ton colis. Mais j'anticipe en t'en remerciant très vivement. Il ne fallait pas camarade !<br /> J'espère qu'il s'agit d'un poison aussi rapide qu'indolore pour quitter cette garce de vallée de larmes (hihihi !).<br /> Riri la Gâchouille
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C
Bah C'est l'occasion qui fait le larron, comme dit l'autre! j'ai vu ce truc, ça m'a fait penser à toi, "on" m'a communiqué ton adresse et voilà! Prompt rétablissement, et bon retour chez les vivants (il le faut bien!) Hasta la vista Riri!
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