Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
lieux communs (et autres fadaises)
24 mai 2014

Mais si, tu sais, celui...2.1 le retour

vlcsnap-2014-05-18-22h18m32s167Allez, on joue ?
un film par jour,
une photo à 7h
une deuxième le soir si d'aventure il n'était pas trouvé...

17 mai 2014

ici, là-bas, ailleurs

DSC03174(à l'hôpital, dans la chambre)

DSC03158(à l'hôpital, par la fenêtre)

DSC03125(à Vesoul, dans la cave des P.)

DSC03114(à Luxeuil, chez Pierre B.)

DSC02706(au Grand Palais, Bill V.)

DSC02537(dans le champ, Christian)

DSC02548(devant le champ, Philou)

DSC02472(dans la voiture de Nicolas, en rentrant de Pontarlier)

DSC02438(à Morteau, dans le hangar de Claude B.D)

DSC02413(à Besac, un lundi de pâques pluvieux)

17 mai 2014

matraque (de policier)

Voilà, je suis sorti de l'hôpital, j'ai mal dormi, d'autant plus que j'étais en plein dans le bouquin de Nesbo. J'avais lu 300 pages dans l'après-midi, j'en ai relu 100 le matin d'après en attendant la radio (pour laquelle on m'avait -hihihi- oublié, et que si je n'étais pas allé le demander à l'infirmière, peut-être que j'y serais encore...) hier soir j'en ai relu encore 100, et, comme pour Le bonhomme de neige, plus on approche de la fin et plus je suis tendu, et je suis obligé de fractionner ma lecture (boire un coup, aller dehors, regarder la télé) pour respirer un peu...
Le bouquin est vraiment redoutable. Nesbo reprend les choses plus ou moins où il les avait laissées à la fin de Fantôme, et aux, questions en suspens à la fin du précédent bouquin, il en rajoute assez rapidement quelques autres, puis d'autres encore. On retrouve tous les personnages qu'on connaissait déjà, plus quelques autres nouveaux, qui ne déparent pas dans la galerie de tronches de l'auteur.
C'est, comme d'hab', très bien écrit (c'est diaboliquement bien écrit, et, un peu à la façon de l'hameçon dans le doigt du pêcheur novice, une fois que c'est planté, il sera quasiment impossible de s'en défaire : plus on tire dessus et plus ça s'enfonce...)
C'est vraiment un bouquin à lire, comme on dit, toutes affaires cessantes. Des chapitres courts, subdivisés en paragraphes tout aussi courts, concernant des personnes différentes mais dont les actions se situent grosso modo dans le même temps (et Nesbo est excellent là-dedans), avec cet autre talent spécifique de l'auteur (je n'en connais pas beaucoup d'autres qui roulent avec cette roublardise leur lecteur dans la farine), à savoir de raconter minutieusement une action, en omettant sciemment "le" détail le plus important, de façon à faire imaginer au lecteur que c'est ça qui se passe, ou que ça concerne cette personne-ci, alors qu'en réalité (on l'apprendra un peu après) il était question de cette personne-, et que c'était ça d'autre qui se passait en réalité... Depuis le tout début du bouquin jusqu'à la quasi toute fin (très très fort, le quasi dernier chapitre!) il égare ainsi le lecteur avec un plaisir visible et un réel talent...
Comme d'hab' (en ce qui me concerne), les cent dernières pages sont époustouflantes (mais c'est vraiment une habitude chez lui), avec une tension quasi-asphyxiante, comme je l'ai dit plus haut,  d'autant plus qu'il va même jusqu'à nous placer une bombe à retardement à l'avant-dernier paragraphe...

Aïe aïe aïe... A bientôt, monsieur Nesbo!

14 mai 2014

mais avant d'aller dormir

Cet après-midi (et cette nuit) je vais dormir à l'hôpital (avec des capteurs et des cables et des caméras et des trucs et des machins...) en compagnie de POLICE, le nouveau bouquin de Nesbo, qui m'a été prêté aimablement par mon exquise collègue Catherine chérie...

nesbo police

14 mai 2014

magnum

TONNERRE
de Guillaume Brac

En tant que fan de base de Vincent Macaigne, je me devais absolument de voir le premier "vrai" long-métrage de Guillaume Brac (le précédent étant un faux puisqu'on y avait accouplé un moyen -Un monde dans femmes- et un petit  -Le naufragé- métrage(s), tous deux autour du même personnage, joué par le même Vincent M.)
Revoilà donc Vincentchounet, cheveux au vent et barbe bleue, en rocker mélancolique qui vient se ressourcer pour un certain temps chez son père (joué par l'excellentissime Bernard Menez) à, justement, Tonnerre, et y rencontre une très jolie (et jeune) journaliste (la toute mimi Solène Rigot) avec qui schlink! (c'est le bruit du coup de foudre, du love at first sight) vous imaginez aisément la suite...
Sauf que non, pas vraiment tout à fait. Le précédent (film) se passait en été au bord de l'eau, et Vincent y draguouillait gentiment, pataudement, une mère et sa fille. Tandis que si celui-ci se passe en hiver et dans la neige, Vincentchounet y est tout aussi draguouillant et,donc, fatalement (si, si!) malheureux en amour, mais cette fois peut-être de façon plus... démonstrative.
Le film est comme coupé en deux par une balafre inattendue, schlack! (c'est le bruit que ça fait quand ça coupe), et devient  justement peut-être un tout petit poil moins touchant (ou plutôt caressant -dans le sens du poil (que Vincentchounet a plutôt long)- dans cette seconde partie, mais c'est fait exprès, parce qu'il dérape dans une autre direction (genre demi-tour au frein à main) et qu'on n'a pas eu encore beaucoup l'occasion de voir Mister Macaigne dans ce registre-là.
Guillaume Brac l'avait déclaré dans une interview, que Tonnerre se ferait contre Un monde sans femmes, en ce qui concerne notre personnage principal masculin chéri à poils longs, comme pour casser une image de douceur, de gentillesse, voire de maladresse (mais que, somme toute, on finit par retrouver, non ?)
Une jolie chronique hivernale, moitié enneigée, moitié cafardeuse, où finalement il n'est question que de ce qui nous intéresse principalement, nous les midinettes et les midinets (ça m'a fait encore plus plaisir que Vincent Macaigne utilise ce mot pour se définir, dans la réponse qu'il a donnée aux Cahiaîs pour leur n° 700), je veux dire l'amour bien sûr (et pas la baise, non non, surtout pas que). Avec ce personnage de musicien qui n'est finalement pas si éloigné de celui, magnifique, que joue Gustave Kervern dans le tout aussi magnifique Dans la cour, de Pierre Salvadori (à ce propos, Pépin, tu m'énerves, voilà, c'est dit...) chacun des deux réglant à sa manière personnelle son propre probléme.
Il y a dans Tonnerre une petite chose un peu génante, mais c'est tellement systématique que cela ne peut être qu'intentionnel, un parti-pris : hormis les trois personnages principaux (le père, l'amant, la maîtresse) qui sont toujours extrêmement justes, on ne peut pas en dire autant de la majorité des personnages qui les entourent (dont on peut penser sans doute que pas mal d'entre eux jouent leur propre rôle, et ce probablement pour la première et la dernière fois) qui, s'ils n'ont  que peu de choses à dire, le font à chaque fois avec une touchante maladresse (c'est le critique de écranlarge.com qui (me) l'a fait remarquer.)
Mais là n'est pas le plus important (les gens). Il s'agit bien davantage des lieux (l'esprit des lieux), de la réalité (du réel, du solide, du concret) et de la façon dont le corps de chacun s'y inscrit. Et là, la réussite de Guillaume Brac est incontestable. Un excellent fait d'hiver, un récit attentif avec du froid et de la neige (des fois vraie et des fois fausse : je suis obsédé par ce détail dans les films et j'y suis très attentif), et traversé par les chaleurs diverses de l'amour, de la colère, de la vengeance, et peut-être aussi du pardon...
Un film blanc et rouge. Un sacré beau film.

21050900_20131018160525073

11 mai 2014

vingt et quelques albums dont on ne se lasse pas

des albums où tout est bon ou presque, des albums qu'on a beaucoup écouté, des albums qu'on réécoute sans se lasser, des albums qui ont compté, qui comptent, des albums qui font date, pour une raison ou pour une autre, des albums amis, accompagnateurs, des albums toujours présents...

ORANGE MECANIQUE Soundtrack (1971) /
Une colo maternelle à Bolandoz où on écoutait ça en boucle... / beethoven / un disque très joyeux, complètement détaché de la violence du film / quelque chose de plaisant et d'ensoleillé...
50902782

CABARET Soundtrack (1972)/
"Wilkomen, bienvenue , welcome..." / beaucoup écouté, et beaucoup chanté aussi / "Im cabaret, au cabaret, to cabaret..." / un film revu dans une petite salle du Vox, un soir avant de partir à Avignon / "Money makes the world go round... / une histoire de pull entre deux mecs...
Cabaret-cd-film

ROCK BOTTOM de Robert Wyatt (1974)/
Si je ne devais garder qu'un seul disque, ce serait sans doute celui-là... / une expression sublime de la douleur et/ou de la tristesse... / un univers aquatique / la voix si singulière de Robert W... / l'es claviers, la trompette / "Alifib, alifib..."
index

ROCK AROUND THE BUNKER (Serge Gainsbourg) (1975)/
le plus percutant et le plus provo des disques de Gainsbarre / un concept album sidérant pour l'époque / je l'avais en disque noir... / j'aimerais en savoir tous les textes par coeur/ j'entends des voix off / "Maquillez vos lèvres les gars avec des rouges délicats..." /réécouté à Gy il n'y a pas si longtemps...
rockaroundthebunker

EINSTEIN ON THE BEACH Phil Glass (1976) /
une performance live hélas ignorée à Avignon en 76 / beaucoup plus tard, un anniversaire d'Emma, avec un disque acheté en suède (!) / "Bank robbery may be punishable with twenty years in federal prison..."
414QP807QQL

MUSIC FOR 18 MUSICIANS Steve Reich (1978) /
"On dirait des mouches dans une boîte"... / et, beaucoup plus tard, une chorégraphie de Ann-Theresa de Kersmaeker... / une structure musicale envoutante, hypnotique
SteveReich

SO (Peter Gabriel) 1985 /
un album quasiment parfait /Toute une époque / Momo.../ un concert à Lyon / le clip de Do'nt give up / la voix de Kate Bush /  "les petites chaînes"...
PeterGabrielSo

POP SATORI Etienne Daho (1986) /
celui-là d'abord acheté en format "disque noir"... / toute la légèreté pop de la trentaine insouciante... / Vaux-le-Moncelot / le ravissement du début de Tombé pour la France,...
etiennedahopopsatori

SOLITUDE STANDING de Suzanne Vega (1987) /
Que des souvenirs agréables rattachés à ce disque / une ambiance ouatée, textes et musique / Oh hold me like a baby that would not fall asleep... / Gray, plutôt...
album7

IN THE DUTCH MOUTAINS de The Nits (1987) /
Momo, bien sûr... / les concerts au Montjoye / le groupe que j'ai sans doute vu le plus de fois en live / j'ai encore gardé l'affiche originale.../ "mountains... mountains..."
in-the-dutch-mountains-4ff82fb7127f5

RE de Rita Mitsouko (1990) /
Il fut beaucoup dansé sur ce disque... / C'est comme ça, bien évidemment / "This is not a compilation"... / Oh toutes ces belles guitares... / "don't forget the night..."
Rita_Mitsouko_-_Re-front

THE BELLY OF AN ARCHITECT soundtrack (1992) /
Greenaway pour la première fois sans Nyman / Wim Mertens et Glenn Branca... / Oh les photocopies et le bidon de Brian Dennehy...
41QR6E0MECL

HAPPINESS de Lisa Germano (1993) /
un univers magnifique (ah les guitares à l'envers...) / un coup de maître pas réitéré / une virée à deux à Dijon / Fnac Dijon :"celui-là, tu l'as ?" / Gy /...
LisaGermano

BRIGHT RED de Laurie Anderson (1994)/
Un disque longtemps attendu et beaucoup beaucoup écouté / "You know that little clock, the one on your vcr..." / "Tu l'attends trop, ton disque..." / Je déménage...
laurie

PLAY (Moby) 1999 /
un disque que j'ai vraiment cherché un certain temps / l'occase de l'oncle Tom / un noël à Champlitte / Porcelain... / "Tell the truth you never wanted me..."
71AZeY5TqRL

THE LAST ROMANCE (Arab Strap) (2005)/
c'est un peu de la triche, car je n'ai écouté cet album de 2005 qu'en 2014 / redécouverte de ce duo écossais dont j'avais tous les albums, qui a hélas splitté / "explicit lyrics" / un disque qui sent la baise triste / un univers qui me convient parfaitement
The_last_romance

L'HORIZON (Dominique A) (2006) /
suite à un concert magnifiques aux Eurocks / je serai ta pleureuse / l'infiniment belle tristesse de Rue des marais / les Beaux-arts...

a26374

A BRIGHTER BEAT (Malcolm Middleton) (2007) /
la suite logique d'Arab strap et un coup de foudre pour ce "géant rouquin et barbu" dont j'ai alors acheté TOUS les albums / celui-ci est le premier découvert / "We're all going to die.." sur un rythme guilleret et très speed / un état d'esprit qui me sied tout particulièrement...
Malcolm_Middleton-A_Brighter_Beat-Frontal

HIGH VIOLET (The National) 2010 /
"le meilleur groupe du monde" disait ce critique / la voix du chanteur qui fait dresser les poils... / les deux paires de frangins... /" I still owe money, to the money I owe..."
The-National-High-Violet

A SECRET WISH (de luxe)  (Propaganda) (2011 reissue 1985) /
les années 80 / Zang Tumb Tumb records / Mabuse et compagnie / magnifique et ultracopieuse réédition
/ "just a dream, within a dream..." / quand on partait en voiture le matin de Besançon à Gray...
CS1721088-02A-BIG

LES BIEN-AIMES (Bande originale) d'Alex Beaupain (2011) /
un film que j'ai adoré, et une bande originale idem /Beaupain fait très fort, et les acteurs -interprètes aussi / Chiara Mastroianni au-delà des éloges, mais Deneuve, Garrel, Sagnier et tous les autres assurent grave/ "Mademoiselle est-elle telle..." / "J'en passerai des meilleures..." / "Jeunesse se passe et je m'y fais..."

3298499019116_600

UN OISEAU S'EST POSE (Gérard Manset) (2014) /
ce vieux Manset qu'on connaît depuis 70 et qui a la bonne idée de ressortir un "best of" live, revisitant avec sa voix de 2014 -que j'adore- les "morceaux-phares" de son oeuvre / Lumières, echinodermes, matrice...
0825646299294_600

10 mai 2014

angoisse(s)

 

Vendredi soir, je me suis couché tôt (22h)
Je m'endors très rapidement, et je suis réveillé en sursaut par la sonnerie du téléphone. Au radio-réveil, il est 23h45. jai horreur d'être réveillé en sursaut par la la sonnerie du téléphone, je me lève, vais dans le bureau, je décroche, rien. juste la tonalité, le correspondant a raccroché. Ca me fait un peu flipper (je repense notamment aux appels de Marcel qui m'avaient conduit à déposer une main courante...). Je retourne me coucher, mais j'ai un sentiment d'angoisse aussi diffus qu'irraisonné... j'ai peur que le téléphone sonne à nouveau. Je me recouche néanmoins, j'éteins la lumière et je tente de me rendormir. Rien à faire, mon esprit est aux aguets, j'épie les bruits, d'ailleurs au bout de peu de temps, j'entends comme un choc sourd, dehors, en bas de la maison, à l'extérieur. Je redouble d'attention et d'inquiétude. et voilà que j'entends mon portable qui sonne à son tour, dans la poche de ma chemise, dans le bureau. le sentiment d'angoisse grandit encore, surtout quand j'entends soudain sonner à la porte d'entrée... Je me relève, quasiment paniqué, mais je ne descend pas, je vais au bureau et j'ouvre la fenêtre, pour voir qui ça peut bien être (j'ai le cerveau qui carbure à fond)... je me penche et je vois en bas, devant ma porte, ma voisine d'en face, le portable allumé (j'imagine aussitôt que le pire est arrivé chez elle et qu'elle vient me chercher... Elle lève la tête, me voit, et a l'air soudain... rassurée. Elle me dit "tu nous a fichu une sacrée trouille...", et m'explique que, en fermant ses volets, elle a vu ma voiture avec le coffre grand ouvert, que cela lui a semblé bizarre, et qu'elle a craint, avec son mari, qu'il ne me soit arrivé quelque chose... je la rassure, effectivement, quand je suis allé faire les courses, tout à l'heure, je n'ai pas refermé le coffre tout de suite, parce que j'avais les deux mains prises, mais je pensais revenir le faire immédiatement dès que j'aurais posé les sacs dans la cuisine. Et j'ai oublié.
Elle s'en va, rassurée, et traverse la rue pour rentrer chez elle. je suis touché par tant de sollicitude, mais je ne me sens pas du tout en l'état pour aller me coucher. Elle aussi, elle m'a fichu une sacrée trouille, mais bon c'est vrai c'est un peu de ma faute... je vais regarder un peu la télé, je bouquine, pour que mon esprit retrouve l'état de calme minimum propice à l'endormissement.
A minuit et demie, je retourne me coucher, et je me rendors, comme un gros bébé...

 

cri-insecte

8 mai 2014

Oh oh

Oh oh comme les choses s'accumulent, s'entassent , se précipitent... Il y a eu la semaine du procès (dont je n'ai pas voulu parler), puis la première semaine de vacances (dont je n'ai pas eu le temps de parler), puis la deuxième (dont je n'ai pas pu parler, puisque j'étais in Paris), et voilà que sont terminées ces "mes dernières vacances de pâques", retour à l'école pour "la dernière ligne droite", le sprint le long de ce mois de mai traditionnellement cabossé et plein d'ornières, dont on se dit qu'on n'aura jamais le temps de faire tout ce qu'on a prévu d'y faire...
Ca y est, c'est "officiel", je vais partir en retraite, mon poste a été publié au mouvement, cela a été écrit et acté, et des gens déjà téléphonent pour se renseigner, /avec à l'intérieur de moi ce bizarre sentiment de ne pas y croire tout à fait, de ne pas en être sûr, en tout cas d'appréhender ce que vraiment ça représente, et de ne pas encore être capable de se projeter dans un avenir quelqu'il soit, au-delà de juillet/août et de ses habituelles piscine/chaise-longue/vacance/ne rien faire etc./

5 mai 2014

from paris 2

149022

174935

033857

418492

491047

542714

047773

rude journ

21057161_20131113102103945

479126

4 mai 2014

back from paris : quelques points de vue(s)...

DSC02581samedi : tiens, ils ont prévu des sièges exprès pour moi...

DSC02631lundi : tiens, il y a un chantier juste en face de chez Malou...

DSC02707lundi : tiens, l'expo Bill Viola...

DSC02686mardi : tiens, le chantier de la Canopée...

DSC02938mercredi : tiens, les toilettes du Club Marbeuf...

DSC02940mercredi soir : tiens, une nature morte dans mon assiette...

DSC02953jeudi : tiens, il pleut...

DSC02961jeudi soir : tiens, des gouttes panoramiques parisiennes...

DSC03045vendredi : tiens, à bientot la Canopée...

DSC03069vendredi : tiens, ils ne font pas le pont...

<< < 1 2 3 > >>
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 384 568