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lieux communs (et autres fadaises)
4 avril 2008

aloès...

... rien de nouveau ? Ben si, justement!
La dernière fois que j'y avais eu affaire, c'était... en Inde, en descendant des remparts de ??? (ne me tape pas, Christine!), nous étions tombés sur un visiteur guide-bénévole-ne-souhaitant-absolument-pas-être-rémunéré qui nous avait d'abord entrepris (copieusement et à plusieurs reprises) sur cet arbre ("burgad" ? avec 3 r roulés) qui rejetterait de l'oxygène au lieu du gaz carbonique (le banyan, apprîmes-nous par la suite), et nous avait rattrapés ensuite, à hauteur d'un buisson de feuilles vertes pointues et caoutchouteuses, dont il avait coupé un spécimen, s'en était frotté les mains, puis oint le visage, puis en avait bu le suc, en expliquant que cette plante, qui poussait là depuis des millénaires était véritablement miraculeuse, et nous avait alors incités à l'imiter. Catherine s'était ointe les mains (c'était plutôt jaunâtre) et moi j'avais goûté (c'était abominablement amer). Oui, plante miraculous, nous avait confirmé en souriant une anglaise qui avait assisté à toute la scène, assise sur son banc. Fin de l'épisode.

Depuis quelques jours, j'avais un problème d'épiderme, sur une toute petite surface, un genre d'eczéma d'abord sec qui avait ensuite viré en lésion cutanée, à un endroit où la peau est assez sensible, et, ne voulant pas aller consulter pour ça, j'étais allé voir sur gougueul, avec une recherche du genre "eczéma lésions cutanées traitement",et sur quoi retombe-je très vite, à mon grand étonnement ? cette fameuse plante à feuilles vertes et pointues à vertus miraculeuses : l'aloé vera. Diantre! Qu'avais-je donc à perdre ? Rien. J'achète donc le fameux gel (17,99€ tout de même!) je rentre à la maison, je m'oins. Le soir même, je me re-oins. et le lendemain, au réveil, j'inspecte : ô surprise et stupéfaction, enfer et émerveillement : plus de rouge, plus de chair à vif, plus de truc qui fait mal : tout est pratiquement cicatrisé et assaini. Comme dans les films de science-fiction quand le héros est invulnérable et qu'une blessure de flèche empoisonnée ou de rétrofulgur se soigne et se résorbe à vue d'oeil. (on sait bien qu'ils repassent le film à l'envers, d'ailleurs, hein...)
Incroyab' ! ca marche! ca maaaaaaaaarche!
Encore une fois, merci l'Inde et les Indiens!

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