Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
lieux communs (et autres fadaises)
6 mars 2018

le jeu des 77 erreurs

(c'est dommage que je ne gare pas ma bagnole chaque fois exactement à la même place...)

77 erreurs

Trouve les 77 différences entre les 2 photographies

3 mars 2018

résultat des courses

(en rouge, ce que j'avais vu juste)

Meilleure Actrice :
- Jeanne Balibar (Barbara)
Meilleur Acteur :
- Swan Arlaud (Petit paysan)
Meilleure Actrice dans un Second Rôle :
- Sara Giraudeau (Petit paysan)
Meilleur Acteur dans un Second Rôle :
- Vincent Macaigne (Le Sens de la fête) 120 battements par minute
Meilleur Espoir Féminin : 
- Laetitia Dosch (Jeunes femmes) Camelia Jordana
Meilleur Espoir Masculin : 
- Nahuel Perez Biscayart (120 battements par minute)
Meilleur Scénario Original :
- Julia Ducornau (Grave) 120 battements par minute
Meilleure Adaptation :
- Au revoir là-haut
Meilleure Musique Originale :
- Arnaud Rebotini (120 battements par minute)
Meilleur Son :
- Olivier Mauvezin, Nicolas Moreau, Stéphane Thiébault (Barbara)
Meilleure Photo :
- Vincent Mathias (Au revoir là-haut)
Meilleur Montage :
- François Gedigier (Barbara) 120 battements par minute
Meilleurs Costumes :
- Mimi Lempicka (Au revoir là-haut)
Meilleurs Décors :
- Laurent Baude (Barbara) Au revoir là-haut
Meilleur Film d'Animation :
- Le Grand méchant Renard et autres contes
Meilleur Film Documentaire :
- Visages Villages (Agnès Varda et JR) I'm not your negro
Meilleur Premier Film :
- Patients Petit Paysan
Meilleur Film Étranger :, et ça doit être aussi agaçant pour
- Faute d’amour
Meilleur Film :
- Barbara 120 battements par minute

résultat : 11 sur 19, juste un peu plus que la moyenne, quoi...
(dans la liste des nominations que j'avais recopiée ils avaient , bizarrement, oublié
"Meilleur Réalisateur", c'est Dupontel qui l'a eu...)

Une soirée un peu molle, un peu convenue, Manu Payet est sympa en présentateur, mais un peu trop lisse, gentiment, sans rien de férocement drôle comme avaient pu l'être Foresti ou Lermercier en leur temps, j'ai souri quelques fois, j'ai baillé quelques autres, j'ai zappé plusieurs fois, j'ai été agacé par la musique violonasse qui venait signifier aux primés qu'il fallait abréger leur discours, le ruban blanc n'a pas servi à grand-chose, à part montrer que chacun l'avait bien, heureusement les filles comme d'hab' avaient sorti les robes des grands soirs, (bon Marion Cotillard portait un machin épouvantable comme si elle avait oublié la moitié du bas), et Nahuel Perez Biscayart au début et Jeanne Balibar à la fin m'ont ému dans leur discours, j'ai trouvé qu'il y avait eu vraiment beaucoup de morts en 2017, le clin d'oeil d'Aure Attika pour Mireille Darc était plaisant, questions résultats c'est bien pour Petit Paysan, c'est dommage pour Grave et Patients, (et le sens de la Fête) qui repartent parfaitement bredouilles, et ça doit être aussi agaçant pour Robin Campillo que pour Albert Dupontel d'avoir obtenu le meilleur film mais pas le meilleur réalisateur, (et vice-versa), non ?

2 mars 2018

pronostiquons

pour ce soir :

Meilleure Actrice :
- Jeanne Balibar (Barbara)
Meilleur Acteur :
- Swan Arlaud (Petit paysan)
Meilleure Actrice dans un Second Rôle :
- Sara Giraudeau (Petit paysan)
Meilleur Acteur dans un Second Rôle :
- Vincent Macaigne (Le Sens de la fête)
Meilleur Espoir Féminin : 
- Laetitia Dosch (Jeunes femmes)
Meilleur Espoir Masculin : 
- Nahuel Perez Biscayart (120 battements par minute)
Meilleur Scénario Original :
- Julia Ducornau (Grave)
Meilleure Adaptation :
- Au revoir là-haut
Meilleure Musique Originale :
- Arnaud Rebotini (120 battements par minute)
Meilleur Son :
- Olivier Mauvezin, Nicolas Moreau, Stéphane Thiébault (Barbara)
Meilleure Photo :
- Vincent Mathias (Au revoir là-haut)
Meilleur Montage :
- François Gedigier (Barbara)
Meilleurs Costumes :
- Mimi Lempicka (Au revoir là-haut)
Meilleurs Décors :
- Laurent Baude (Barbara) 
Meilleur Film d'Animation :
- Le Grand méchant Renard et autres contes
Meilleur Film Documentaire :
- Visages Villages (Agnès Varda et JR)
Meilleur Premier Film :
- Patients
Meilleur Film Étranger :
- Faute d’amour
Meilleur Film :
- Barbara

liste déposée ce jour devant huissier (Maître Jaunâtre) à 17h47

2 mars 2018

je ne serre pas la main aux malfrats

031
NI JUGE, NI SOUMISE
de Jean Libon et Yves Hinant

Je l'attendais d'autant plus qu'Hervé l'a présenté comme quasiment son film de l'année. La presse et les échos critiques semblaient assez d'accord, l'Amphore d'Or au Festival de Groland, et le taux de remplissage de la salle en ce dimanche après-midi semblaient confirmer cet enthousiasme...
Le portrait d'une femme assez extraordinaire (qui a déjà eu droit à deux reportages dans Strip-Tease), une juge belge qui pète le feu, qui ne prend pas de gants, et mâche pas ses mots. On la suit au quotidien, face aux prévenus (en présence de leur avocat) qui défilent dans son bureau, et, parallèlement, sur le terrain, où elle a déterré (cela s'avèrera, un peu plus tard, être au sens propre -beurk-) une vieille affaire : l'assassinat, il y a une vingtaine d'années, de deux prostituées, affaire restée inexpliquée, mais pouvant être reprise aujourd'hui grâce aux progrès scientifiques et à l'adn.
C'est vrai qu'elle vaut le déplacement, cette brave dame (plus jeune j'aurais dit "qu'elle arrache"...), et qu'elle justifie le film à elle seule. Elle cache bien son jeu, au début toute en candeur, en sourires affables et en sucreries distribuées, c'est au bout du compte une maîtresse-femme. Et c'est vrai aussi qu'au début on rit beaucoup. C'est du bonheur de la voir procéder. On repense, au début,bien sûr, à Depardon et à ses multiples instants d'audience (quand le quidam, vous, moi, est confronté à l'instance judiciaire, qui n'en fait généralement qu'une bouchée) et chacun des personnages face à Madame la Juge fait son petit cinéma et produit son petit effet, de ce côté là c'est impeccable. Et puis on rit un peu moins. Et encore moins, c'est l'effet Strip-Tease prend le dessus, ce mélange de fascination et de gêne mêlés (Bourdieu et sa Misère du monde ne sont jamais très loin...).
Car on finit, ici, par être un peu gêné aux entournures par le fait que tous ces prévenus ou presque sont maghrébins (plus jeune, j'aurais écrit "rebeus"). Et le film se continue un peu lourdement par une séance d'exhumation dont le réalisme insistant ne s'imposait peut-être pas, avant de se termine encore plus maladroitement par une audition interminable (et interminablement sérieuse) d'une mère infanticide qui ne méritait pas forcément qu'on lui consacre autant de temps (comparativement aux autres prévenus).
Un film acide, dérangeant, drôle, poil-à-grattesque, paradoxal, qui mérite bien son slogan "Ce n'est pas du cinéma, c'est pire!", qu'on ne peut qu'aimer fort (je viens d'en revoir la bande-annonce, et c'est bien l'effet produit) mais dont je suis sorti un petit poil moins ravi que j'aurais souhaité l'être.

ni-juge-ni-soumise-1

 

 

 

1 mars 2018

février 2018

jeudi 1er (hall du cinéma)
à 18h, entre ceux qui arrivent et ceux qui partent, c'est comme j'y trouvais soudain réunis tous ceux et celles que je connais ou presque (comme dans ces foules dont je rêve assez souvent)
vendredi 2 (fjt)
remarqué que deux mecs que j'aime bien (le nouveau cuisinier et le nounours barbu en veste de travail fluo) étaient allés tous les deux chez le coiffeur le même jour (et que les cheveux courts ça leur allait d'ailleurs très bien, à tous les deux)
samedi 3 (à la cuisine)
tiens pour fêter la Chandeleur trouvé une recette de crêpes au chocolat (avec le chocolat dans la pâte) et donc j'en fais (goûtées le soir en rentrant du cinéma)
dimanche 4 (at home)
je passe toute la journée comme un jour férié, sans sortir, en peignoir et en pyjama (mais quand même avec des grosses chaussettes)
lundi 5 (MDA)
étrange la façon dont le parking se remplit ou se vide très rapidement (à 11h quand je suis arrivé il était quasi plein, dix minutes plus tard il était presque vide) : hordes de vieux qui se déplacent en bande ?
mardi 6 (fjt)
deux places gratuites pour le ficâââ qui (re)passent de main en main sans trouver preneur (Catherine puis moi puis Odile puis...)
mercredi 7 (bulletin météo)
d'habitude on est toujours (dans notre région) les dindons de la farce, mais pas cette fois-ci : "ils" avaient de la neige, les autres,et même beaucoup et partout (c'était dit et répété aux j.t), mais pas nous
jeudi 8 (scrabble)
Marie dit que j'ai souvent beaucoup de chance au tirage, mais là ce fut elle : en trois parties, elle a eu à chaque fois les jokers (deux fois par deux, et une fois l'un après l'autre)
vendredi 9 (dans la voiture)
"C'est du sucre... " a dit Catherine avec un petit sourire en me tendant un petit paquet (qui contenait des macarons) posé dans un sac de pharmacie portant les mots " parce que la santé n'attend pas"
samedi 10 (ordi)
passé un long moment pour finaliser deux mix, un pour dimanche soir ("ça va pas nous rajeunir") et un autre pour jeudi soir ("inconnu(e)s au bataillon?"), disques et jaquettes
dimanche 11 (Vesoul-Besançon)
un aller pénible (à 18h) avec beaucoup de voitures dans les deux sens (les départs en vacances ?) et un retour (à minuit) contre toute attente parfaitement paisible (avec zéro voiture en vue dans le sens de mon trajet)
lundi 12 (cuisine)
une envie de gratin de crozets qui se concrétise avec le remplacement du jambon de Savoie par un talon de jambon à l'os mouliné, et celui du beaufort par un rest de munster bio (dedans) et des copeaux de parmesan (dessus), j'ai trouvé ça divin
mardi 13 (autour du lac)
même si on n'a pu faire qu'un demi-tour (pour cause de travaux), on a vu plein de choses remarquables (à divers titres): une voiture de flics embourbée, une ancienne élève pas revue depuis 23 ans,  la musique des plaques de glace au bord de l'eau, et la pose de la passerelle à la grue)
mercredi 14 (st valentin)
je pense très fort à  Charlie Brown (ah ah ah!) et à Snoopy ("Qui n'espère rien n'est pas déçu...")
jeudi 15 (Gy)
Emma et Régis avaient préparé un pot-au-feu de taille impressionnante, dans lequel ils avaient prévu un os à moëlle par personne
vendredi 16 (à la radio)
à 20h un sms d'Isa m'informe que là, maintenant, tout de suite, sur France inter, Laure Adler interviewe Laurie Anderson... (Merci Isa!)
samedi 17 (goûter)
Catherine avait apporté des petits gâteaux (cinq!), Dominique un biscuit de Savoie, moi j'avais acheté une brioche feuilletée et fait des brownies à l'orange... En principe, on se retrouvait pour jouer au scrabble et goûter, et on a donc respecté notre programme... 

dimanche 18 (à la maison)
traîné en pyjama jusqu'à fort tard dans l'après-midi mais me suis tout de même rhabillé in extremis, pour aller voir le très beau La Douleur, d'Emmanuel Finkiel
lundi 19
(dans la cuisine)
que faire un jour pareil ? Tiens, sur une idée de Dominique, nettoyer mon congélateur (et le frigo du même coup) dans lequel  tant de glace s'était accumulée qu'on pouvait tout juste en fermer la porte
mardi 20 (en m'endormant)
Incroyable à quel point je peux parfois être sidéré par ma propre connerie, vraiment comme un lapin pris dans la lumière des phares
mercredi 21 (salle 9)
étonné de ne découvrir dans la salle qu'un groupe d'ados (fort sages) pour cette séance en VO de La forme de l'eau, et encore plus d'y être ensuite rejoint par Isa, en goguette et sans famille
jeudi 22 (devant chez moi)
j'ai -enfin ?- eu l'occasion de vérifier l'efficacité eet la courtoisie de Maif Assistance : contactés à 13h, batterie changée à 13h45 (mais tout ça parce que j'avais opté pour la bonne formule avec l'option dépannage à zéro kilomètre)
vendredi 23 (Azouz)
Je voulais acheter des très bons chocolats à Dominique pour son anniversaire : las! un écriteau sur la porte de la boutique m'informait de la "fermeture exceptionnelle les vendredi 23 et samedi 24".... Arghhhh!
samedi 24 (Authoison)
pouur le dessert, Martha avait préparé des verrines individuelles de mousse au chocolat, et, lorsqu'elle  les a servies, joueuse, elle m'en a apporté une minuscule,(un bébé mousse) spécialement pour moi (mais j'eu droit à une vraie, après, quand même)
dimanche 25 (Victor Hugo)
Rarement vu autant de monde qu'à cette sénce de 15h de Ni juge, ni soumise (heureusement, avec Emma et Dominique nous étions -bien-  installés à nos places de vieux)
lundi 26 (sur la route)
harnaché comme un bidendum pour aller retrouver Catherine à l'école (bonnet écharpe gants deux paires de chaussettes et quatre épaisseurs) ciel très bleu et vent glacé
mardi 27 (autour du lac)
le plaisir de marcher là, sous ce ciel très bleu, en ce jour le plus froid de l'hiver, avec toutes nos épaisseurs (voir message précédent) pour se protéger du vent sibérien (et agressif)
mercredi 28 (résolution)
et fêter donc, tagada tsoin tsoin,  le deuxième mois de 2018 où j'ai tenu bon sans acheter de livre...

<< < 1 2
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 384 527