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lieux communs (et autres fadaises)
7 février 2021

poulailler 36

Clermont : ça sent la fin. On peut voir les films de la programmation jusqu'au 6, MAIS les films primés seront visibles encore une semaine... J'ai voté ce matin in extremis à 7h54 pour les prix du Public, avec clôture des votes à 8h!, (un film en compét' nationale, un en international et un en labo...), et du coup à présent je suis moins motivé pour en voir d'autres, puisque même si j'en vois un que je trouve génialissime, je ne pourrai plus voter pour.
En plus, en parlant de Festival, j'apprends in extremis et juste trop tard -c'est fini depuis hier- que j'aurais -peut-être- pu aussi assister à celui de Sundance, mais les modalités d'accès avaient l'air plus complexes, et ça aurait été trop cher -pour donner une idée, le mug de Clermont, que je me suis offert -il est joli-, coûte 10€ tandis que  celui de Sundance 20, carrément le double (et il est beaucoup moins joli) argh ces ricains, DONC j'ai encore économisé plein de sous...)

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(revenons doucement à la réalité...)

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du coup je suis allé voir ailleurs... sur arte.tv, pour voir un film qui n'était dispo que jusqu'au 07.02 (et je devais donc faire fissa)

 

5019875


IN MY ROOM
de Ulrich Kohler

que j'avais, en son temps et sans succès, essayé de faire intégrer dans notre programmation (ces temps-là me semblent aussi lointains -et révolus- que si je parlais de l'Age de Pierre...)
Un film allemand d'un réalisateur moins... "présent" que Christian Petzold, mais qui gagnerait donc à être davantage connu, si on en croit ce film-là, que j'ai beaucoup aimé.
Qui commence comme un film "normal, avec l'exposition prolongée- qui nous présente le personnage principal, Armin, avec ses plantages  divers (la premère scène est étonnamment délicieuse), dans à peu près tous les domaines, et la façon dont il semble s'accommoder de cet état de faits. Jusqu'à ce que.
Un matin, Armin se réveille et plus rien n'est comme avant, oui, au bout d'une quarantaine le film bascule dans une dystopie, et Armin avec lui. Et commence un autre film, pourrait-on dire, avec la façon dont notre héros fait face et s'installe dans son nouvel univers (enfin, le même qu'avant, grosso-modo, à un seul et unique détail près...)
Je me suis régalé (et j'en ai encore profité pour prendre quelques captures d'écran supplémentaires (ce truc me fascine, j'ai dû en prendre 500 -c'est bien, elles se numérotent automatiquement- depuis fin décembre, et j'aim expérimenter ce média qui se trouve à l'exact mi-chemin entre photo et ciné) puisque le film a, en plus, l'excellente idée d'être AQV.

Capture d’écran (1610)

Capture d’écran (1617)


(Mais bon je suis désolé, quand vous lirez ces ignes il sera sur le point de n'être plus diffusé...

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laboratoire_2

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