enlever l'amertume des endives
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CHERE LÉA
de Jérôme BONNELL
Je n'avais pas forcément prévu de le revoir, bien qu'en en gardant un excellent souvenir, mais comme Catherine m'a dit qu'elle y allait à 13h30, j'ai décidé de l'y accompagner, avant la séance de 15h30 du Farahdi.
Et je crois que j'ai aimé encore plus que la première fois (et je me suis demandé pourquoi je ne l'avais pas mis dans mon top 20 et quelques 2021). Jérôme Bonnell parle d'amour(s), et c'est la chose qu'il sait le mieux faire, les deux Grégory sont les piliers adorables de cette histoire de séparation (d'apprentissage de), et le fait de l'avoir déjà vu une fois me permettait, connaissant le déroulement de l'histoire, d'être plus attentif aux détails, à la multiplication de tous ces fragments d'histoires, ici, là, qui commencent, se terminent, se perpétuent, renaissent, oui, les détails, comme autant d'enluminures plaisantes, de notes ajoutées sur la mélodie de l'aventure de Jonas.
Bref, un doux plaisir de cinéma.
Et une excellente de (re)commencer l'année-ciné!