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lieux communs (et autres fadaises)

7 janvier 2006

rewind

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2005 ce fut

un congé de formation, un bonnet gris et noir  à rayures, un festival de cinéma à Belfort, une 205 rouge pourrie, un cinéma à Lisbonne, un cimetière à Londres, 3 voyages en avion Paris/Lisbonne, Lisbonne/Londres et Londres/Paris, quelques représentations de La Gitation,à Vesoul, à St Louis, à Coucouron, une nuit très pénible au Formule 1 de St Louis,  une expo Rebeyrolles, Bernadette Lafont et Laslo Zsabo "en vrai", deux affiches pour Pépin (une facile et une difficile), une semaine à St Mamers du Gard, une participation à EuroM*** avec Dominique, la mort de Fred, des photos des ouvriers du chantier de la Place du Marché à Besac, une série de coups de fil avec ma soeur pour une histoire d'héritage en Espagne, des cartes de visite bleues magnifiques, ***, "elle est à l'ouest", "lieux communs (et autres fadaises)", la découverte du monde des blogs, quelques nuits d'été un peu torrides, le bôô cinéma enfin à Vzoul, Narbé, le papa de M., le non au référendum, une expo de marque-pages, Florence Aubenas, Photoshop et autres Illustrator, un bouquin de Lucas Samaras, comment réaliser des photos bleues en modifiant la balance des blancs, un p'tit voyage à Paris pour mon anniversaire, une visite au Père Lachaise, le V & A grâce à Thierry, la Foire aux Livres ( Belfort encore!), le MK2 Beaubourg, une énorme doudoune, des huîtres chaudes, un agenda raté mais c'est pas de ma faute, quelques routiers amicaux, et d'autres moins, le non-retour de mon copain pâtissier, quelques départs en retraite, Be with me, Jonas Gardell, du théâtre en appartement un peu éprouvant pour mon neurone, une soirée cuisses de grenouilles, quelques Lieux Communs, un résultat de 130 à "testez votre Q.I", une belle fête du jardin à Villers-Ch, l'expo de Za sur le dos, le premier Noël "à Champlitte à Paris", les jardins à Arc-et-Senans, ...

7 janvier 2006

attente

Deux bribes qui me sont revenues, l'autre soir. Et qui fonctionnent conjointement.

La première, c'est une image de Snoopy, assis, les yeux fermés, immobile. Passe Lucy, léchant une glace, qui le voit et l'apostrophe en disant (à peu près) "Tu aimerais bien que je t'en donne , hein ?" puis lui rit au nez. Elle part, Snoopy reste seul. Immobile. Et, sur la dernière image, il pense simplement "Qui n'espère rien n'est pas déçu"

La deuxième, c'est dans le film Corps à coeur, de Paul Vecchiali ("que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaîîîîtreeu..."). C'est vers la fin, une scène très courte, où le héros, (Nicolas Silberg) qui vit un gros chagrin d'amour à cause d'une pharmacienne, discute avec son patron (il est garagiste). Là il apprend que le patron en question est amoureux de lui, en silence depuis des lustres, et lui propose alors de passer à l'acte, en disant (à peu près) "Un amour pareil, on n'a pas le droit de le laisser passer...".
Et l'autre refuse.

Je ne sais pas pourquoi, mais elles sont dans mon esprit indéfectiblement liées.

7 janvier 2006

family life

Vous n'avez jamais ressenti ça ?
Des gens, dans un groupe où vous ne vous connaissez pas (mais où vous serez amenés à vous côtoyer pendant un certain temps) et , au milieu de ce groupe, où vous ne connaissez encore personne, il y a des gens dont vous sentez quasi immédiatement qu'ils font partie de votre "famille" (prenons le terme dans son acceptation affective , au sens large).
Question d'affinités, d'accointances, d'atomes crochus, d'attrait réciproque, (d'attraction, d'attirance ? ) Tiens c'est drôle tout ça commence par la même lettre, ce n'est peut-être pas fortuit, ça serait-y pas quasiment ça le b a ba de toutes relations sociales ? (on peut toujours rêver...)
Comme toujours, à (me) poser des questions dis papa c'est quoi cette bouteille de lé ? A chercher la p'tite bête, à vouloir comprendre, expliciter, rationaliser. Démonter.
Pourquoi, avec certaines personnes, ça passe tout de suite (adsl relationnel) et d'autres tout de suite pas (et tout de suite jamais, d'ailleurs !) Inné ou acquis ? (hihi) Selon quels critères ? A cause de quoi ?
So much questions, and so few answers. Même pas d'answer du tout!
Voilà, aux bozarts c'est comme partout ailleurs. Il y en a qui sont de ma famille, définitivement, et il y en a d'autres qui ne le seront jamais, et ce tout aussi définitivement!
Ca tient à quoi au départ ? un détail physique ? une façon de s'habiller ? une couleur d'yeux ou de cheveux ? un mot ? un sourire ? un regard ? une odeur ?
C'est quand même mystérieux tout ça, ça tient de la chimie, de la météorologie, de la physique, mais en général, très vite , on sait.
Peut-être que c'est le fait d'être "un vieil orphelin qui ne veut pas grandir" (dixit jadis, et assez justement d'ailleurs, mon amie Catherine P., exilée dans sa cure de C., et dont j'ai appris qu'elle lisait parfois ces lignes... Hello Catherine!) qui me pousse à envisager les choses sous cet angle.
A vouloir reconstruire de bric et de broc une chimérique famille "relationnelle" ?
Non, non. Juste penser que ces liens-là, même virtuels , existent : une telle pourrait être comme ma soeur jumelle, un tel comme un petit frère à défendre, celle-ci voudrait quasiment être ma mère, et cet autre pourrait être l'oncle qui m'emmènerait en vacances, et ces deux-là encore les petits cousins insupportables, et lui, là-bas, un genre de papa ?  and so on...
Les liens familiaux, on finit par s'y attacher.

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6 janvier 2006

montage

allez voir !
(et tapez, par exemple "chorizodoux")
c'est rigolo...

6 janvier 2006

mille-feuilles (les miettes)

J'avais d'abord mis comme titre écrits (et chochotement), que je trouvais pas mal, mais bon, autant terminer cette trilogie dite "du mille-feuilles" (suite et fin donc des gambergeages dans la voiture)

Le premier point, c'était pour expliquer que je me sentais comme mon ordi, quand j'ai lancé Shareaza pour télécharger des choses (je sais, c'est mal, mais j'ai l'habitude de soigner le mal par le mal...) et que je veux, par exemple, bidouiller un machin sur Publisher. Ca rame!
Ben en ce moment, au niveau création personnelle, c'est pareil : ça rame grave de la mort. J'ai des trucs à faire pour les bozarts et je traîne lamentablement. Sec. Pas le bout de la queue d'une idée. En panne, quoi.
Jusqu'à ce que je réalise que bon sang mais c'est bien sûr c'est pas ma faute! Je n'ai plus assez de mémoire vive disponible !  Ce blochounet ici présent me prend  beaucoup de temps et d'énergie (je ne sais pas d'ailleurs si on s'en rend vraiment compte...) et le peu restant est court-circuité par les idées troubles relatives aux messieurs (enfin, comme dit Roland Dubillard in Les Diablogues "la luxure me dévore"...)
Ce qui fait que ma bande passante est réduite au mini. Faudrait que je réussisse à fermer un de mes programmes mentaux en cours (ce programme est actuellement en cours d'utilisation et ne répond pas), que je gagne de la place sur mon disque dur interne, que je me défragmente, voire que je me reformate total.
Y penser.

Car, vous je ne sais pas, mais pour moi, ici, présentement, cette activité bloguesque a commencé à prendre de plus en plus de place et d'importance, (voui voui exactement, l'image de l'engrenage et que tu mets juste le bout du petit doigt et que schlong! il te grignote tout jusqu'à l'omoplate...) à tel point que je me demande parfois si je ne suis pas en train de devenir spectateur de ma propre existence, pour mieux en devenir le narrateur.

Se  regarder vivre au lieu de vivre vraiment.
Oui, finalement.
Bon je vous laisse (hihi) je vais aller vivre un peu. (Pause)

ps : Vient de me revenir in extremis ce truc qui m'avait échappé hier (voir mille-feuilles 1) il s'agissait d' attente. J'y reviens donc un poil plus tard!

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5 janvier 2006

mille-feuilles (la crème)

Donc, de retour du ciléma, avec un sourire un peu béat. UNE BELLE JOURNEE est ce genre de film dont on sort en ayant un peu plus foi dans l'humanité. Optimiste, quasiment. Ce n'est pas forcément un "grand" film, mais c'est pétri d'humour, de tendresse, d'émotion, de hargne aussi parfois. Et puis, ces britanniques, ils ont le don pour vous réussir à vous faire rire et essuyer une larme dans la même scène. Y a du thé, y a des chips, y a une bande de potes... Go on !

Bon, comme je disais ds le post précédent (le préambule de celui-ci) j'ai beaucoup cogité en rentrant. Je suis allé aux bozarts cet après-midi alors que je n'avais strictement rien à y faire. Mais bon j'avoue, j'avais une arrière-pensée. Et bingo! j'ai eu raison. Je l'ai vu arriver, ***, tranquille, souriant, et barbe rase. Echange de voeux, puis il a été question de Stranger than Paradise, que je lui avais prêté, et de Salo, qu'il souhaiterait que je lui prête. Et du coup, tout en parlant ciné, je suis allé en cours avec eux pour le reste de l'après-midi (en observateur plus ou moins discret, d'ailleurs.) Tout en le regardant (et en me retenant un peu de baver) je me faisais genre grands discours moraux et interrogations métaphysiques dans ma tête (Mais qu'est-ce que tu attends de lui, hein, finalement ? ) auxquelles je finissais par répondre (toujours dans ma tête) rien. Oui c'est ça. Rien. Qu'est-ce qu'un mec de cinquante balais peut bien attendre d'un keum qui en a quasi trente de moins, hein ?
Rien.
Entre le trivial et le sublime, le "courtois" et le "fucking", je n'hésite pas : comme Sophie Calle, je suis prêt à répéter ad vitam aeternam "no sex last night" ; l'amour de loin, frémissant, en silence, à la Tchékhov, ça me connait. Faut juste -ce coup-ci- que je me protège un chouïa, je me connais, j'ai tendance à vivre ces situations toujours un peu trop paroxystiquement. Take it easy. N'en garder  que la quintessence, que le positif, comme quand on a un très bon jambon dans son assiette, il n'y a pas de raison de n'en consommer que le gras et la couenne. Au contraire. On savoure le bon très bon, et on vire le reste (peut-être pas très heureuse, ma comparaison bouffatoire...)

Voilà, il est là, je le regarde, ça me fait plaisir, on parle, je lui fais découvrir des films, des bouquins, on se rapproche, prudemment, il semble qu'on ait quand même des choses en commun au niveau du ressenti. J'ai trois mois pour en profiter. Comme disait Bernard à midi, "la vie est trop courte..."
Je lui ai offert, tout à la fin,  le bouquin de Perec Un homme qui dort, auquel son film m'avait fait penser, il m'a fallu un peu de courage, mais je me suis senti récompensé par cette façon qu'il a eu de bafouiller, un peu embarrassé oh fallait pas en ouvrant le paquet. (Bon là normalement il devrait avoir un peu la puce à l'oreille, non ? )
(Si j'étais psy, je dirais que si je j'aime faire des cadeaux, c'est pour donner ce que je n'ai pas reçu, enfant. et pour qu'on m'aime. Fastoche, Sigmund Chori. )
Et puis le cours a été terminé, et puis a bien fallu sortir, et puis on a encore parlé un peu, devant les bozarts, quand soudain son pote et lui sont partis comme une volée de moineaux. "Mais c'est notre bus qui arrive!" (La prochaine fois, que je me suis dit, je lui propose de le ramener!)
Véritablement envolés.
Et,  le regardant courir, j'ai pensé à L'Insoutenable légèreté de l'être .
Oui, exactement ça. Il est parti légèrement, je me devais donc de faire idem.

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5 janvier 2006

mille-feuilles (le glaçage)

Hmmm je sens que ce post risque d'être un peu bordélique... Chais pas pourquoi (enfin si, je le sais un peu...) mais ce soir j'ai vachement gambergé dans ma 'oiture en rentrantdes bozarts. Pour la première fois, il a fallu que je me dépêche, en arrivant, de noter deux trois trucs sur un bout de papier parce que je ne voulais rien oublier... (Et bien c'est raté, il me manque un truc! Ca m'est revenu fugacement à la lisière de la conscience, whoooosh! tandis que je lisais le dernier post de Tiger, et le temps que je finisse de le lire et de me dire "faut que je le note", whooooosh, c'était reparti dans le néant!)

Tiens, pour rire, voilà ce que j'ai noté :

-spectateur
-mémoire vive
-insoutenable légèreté
-"courtois"
-faire des cadeaux
-gras de jambon

Et tiens, je vais m'arrêter là puisqu'il est temps d'aller au ciné (UNE BELLE JOURNEE, de Gaby Dellal, avec Peter Mullan, qui me touche beaucoup depuis MY NAME IS JOE)
Considérons donc ce qui est ci-dessus comme une préface, un préambule, une déclaration d'intention, un prière d'insérer, etc...

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5 janvier 2006

après coup

UNE SEULE SOLUTION,
LA RESOLUTION!

voui voui voui, les résolutions c'est comme les serments d'amour éternel : ça ne se fait pas comme ça, à la légère, au débotté, inconsidérément : ça demande du temps, et des formes ! 
Aujourd'hui donc 5 janvier, nous , Chori Premier, avons décidé que

1) La couleur de Notre Royal Vlog (hmmm j'aime bien Vlog, comme dirait Sol, ça vous a un petit côté slave, qu'on en entendrait presque déjà les violons et les choeurs des bateliers de la Volga) ne serait plus le sujet d'aucune controverse, et que toutes remarques désobligeantes à son sujet seraient désormais l'objet d'une impitoyable censure de Notre Royale Main
(pff c'est fatiguant de faire le roi, redevenons simple!)
2) Je relirai mes post et mes comm scrupuleusement avant de les publier (j'ai de plus en plus tendance à être dylsexique quand je tape sur le clavier!)
3) Je resterai calme lorsqu'on me fait une critique (ou même une remarque , surtout quand elle est justifiée) sans prendre la mouche ni grimper illico on my big horses
4) Je lirai tous les livres que j'achète, et au moment où je les achète. Et pas quatre en même temps (au bout d'un moment on s'y perd)
5) J'écrirai régulièrement des vraies lettres, avec un beau feutre fin, sur du papier qu'on plie et qu'on met dans une enveloppe qu'on timbre (hélas qu'on ne lèche plus... vous avez remarqué comme ça fait désuet de lécher une enveloppe ? On se sent tout de suite comme dans un film en noir et blanc des années cinquante...) à ceux (et celles) qui le méritent (notion ambigüe)
6) Je continuerai de mater les mecs dans la rue (et ailleurs ) et d'avoir des arrière-pensées lubriques en les matant (et ailleurs)
7) J'arrêterai de me prendre la tête avec les statistiques de mon vlog, et de les consulter anxieusement comme un médecin avec la fiche des températures d'un grand malade
8) Je voyagerai le plus possible (de toute façon, je ferai en sorte que mes valises soient d'ores et déjà toujours prêtes, au cas où, en 2007... comme Yannick N., vi! )
9) Je me consacrerai davantage, comme dirait philou, à mon oeuvre
10) Je procrastinerai le moins possible
11) ... (je fais comme tiger, celle-là je la garde pour moi)
12) Je tenterai d'avoir une vie sociale plus extravertie (mais pour ce faire, il faudrait que j'ai un instinct rangeatoire beaucoup plus développé... ou bien que je prenne une femme de ménage ???)
13) ... des suggestions ?

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4 janvier 2006

tricheur!

En 2006, je ferai une croisade contre le mensonge!
Première victime épinglée cet après-midi : Comme je passais tout à fait par hasard devant un parking, me vint l'idée soudaine -et incongrue ? - de m'y arrêter. Pour faire pipi, bien sûr. Etait garé un énorme camion avec une non moins énorme remorque. Vide Et non loin, une petite voiture bleue marine et boueuse (je change les détails et je floute les visages, bien évidemment!) Vide, elle aussi (la berlinette). Je reviens devant le camion, vous savez d'hebitude, les routiers aiment bien afficher la plaque avec leur surnom de cibi (tiens, je vous filerai la liste que je m'étais amuser à recopier il y a quelques temps.) Ca, ce sont les routiers dits "de base". Normaux, hétéros en majorité mais bon ne répugnant pas de temps en temps à faire une entorse à leur code de bonne conduite, on est des hommes, n'est-ce-pas. Parmi eux, il ya quelques "incorruptibles" (j'allais écrire incorrigibles !), vous savez bien, les hétéros grand teint de chez grand teint, qui ne rétrécissent pas, ne boulochent pas, ceux-là, en général, pour ne pas être embêtés par des créatures viles dans mon genre affichent le grand jeu d'entrée : en plus de la plaque avec leur prénom (mettons "gégé" ), côté conducteur, ils en rajoutent une autre, côté passager, avec le nom de leur petite chérie d'amour en sucre et mère de leurs enfants chéris (mettons "ginette" ).
Et là, o surprise, j'étais devant un bahut de ce type-là, à deux plaques donc, ceux sur lesquels je ne jette même pas un oeil, sinon je risquerais de me sentir comme le Dragon face à St Georges. SAUF QUE, là, le gégé en question (je reste sur mon exemple de gégé et ginette...), je n'ai pas tardé à l'apercevoir, un peu plus loin (les arbres sont bien dépouillés en cette saison...) visiblement en virile et stimulante compagnie, puisqu'il était en train -sans équivoque- de se livrer à des activités dont sa double-plaque aurait pu laisser penser qu'il les réprouvait...
Tiens donc. Si on ne peut MÊME PLUS faire confiance à ceux qui sur-signifient qu'ils sont "100% purs et intacts" où va-t-on ma brav' dame, où va-t-on, je vous demande un peu!

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(photo non contractuelle)

ps (beaucoup plus tard) : et doublement menteur, en plus! Quand je l'ai rencontré quelques temps après, sur le même parking, il a fait mine d'être un incorruptible irréprochable pur et dur hétéro à 200% j'aime ma chérie moi non mais qu'est-ce que vous allez penser là, et a chassé soudain tous les prétendants d'un oeil courrouccé et voix idem.Tss tss!

3 janvier 2006

pas à pas

pas de givre ce matin
pas besoin de gratter le pare-brise
pas facile de doubler ce convoi exceptionnel
pas grand monde aux Bozarts
pas très bon le café de la machine
pas de *** en vue
pas de raison de flipper néanmoins!
pas moyen de couper aux "bonne année" et "meilleurs voeux" divers
pas cours ce matin
pas payé le repas de midi
pas de quart de côtes du rhône sur le plateau
pas cours cet après-midi
pas de raison de rester là
pas mis très longtemps pour rentrer at home
pas d'excès de vitesse
pas trop de place sur le parking de l'école!
pas de voeux dans la boîte aux lettres
pas de quoi en faire un fromage
pas réussi à bosser cet aprèm'
pas pu résister au plaisir d'aller me promener
pas rencontré grand monde d'ailleurs
pas oublié de passer à l'école pour souhaiter bonne nannée à toutes
pas de chocolats en solde à l'inter
pas grave : en ai trouvé ailleurs!
pas encore ouvert cette énorme boîte (la vie, c'est comme...")
pas trop d'inspiration pour le repas de ce soir
pas de nouveaux commentaires
pas la peine de jeter un oel aux programmes tv
pas trop traîner, suis naze
pas d'états d'âme particuliers
pas grand chose à raconter quoi...

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